Isabelle emmène Valériane dans sa chambre, les deux s’enlacent, tombent sur le lit, elles roulent l’une sur l’autre. Avec des gestes habiles, elles se retrouvent vite nues. Pendant une grosse partie de la nuit, leur ébat fut torride. C’est épuisé, qu’elles s’endorment nues, dans les bras l’une de l’autre.
Au petit matin, Valériane s’éveille la première, elle regarde son amour et, ne peut s’empêcher de lui donner un baiser. Se geste tendre réveil Isabelle qui s’étire en souriant, les deux se regardent intensément, leurs yeux jettent des flammes. Leurs corps sentent encore les effluves amoureuses de la nuit. Sans se dire un mot, elles s’enlacent et s’embrassent amoureusement. Les mains fébriles de Valériane parcourent le corps moite d’Isabelle. Elles caressent les seins qu’elle avait tant aimé pendant la nuit. Les bouts se raidissent, ils deviennent larges et épais. Isabelle gémit en regardant son amante, elle lui dit faiblement :
-Arrêtes, tu me fais mourir, tu es insatiable ma chérie !
Valériane sourit, c’est la première fois qu’Isabelle l’appelle ma chérie. Elle la regarde sans cesser de lui agacer les mamelons et lui dit :
-Pour une qui n’était pas lesbienne, eh bien ma cochonne, tu t’es bien rattrapée !
Isabelle ne répond pas, mais soupire sous le doigté magique de Valériane. La bouche avide s’empare des mamelons et les suce de plus en plus férocement. Isabelle grogne en agitant son corps qui réclame des caresses. La bouche gourmande descend sur le corps tremblant de désir de la femme amoureuse. Isabelle s’ouvre comme une fleur sous la rosée du matin. Avant d’atteindre la fine toison soyeuse, la bouche couvre chaque parcelle de peau.Isabelle se cabre, les lèvres brulantes de Valériane viennent de se poser sur sa fente humide. La coquine est habile de la langue, elle la fait glisser sur la fente un bon moment avant de l’enrouler sur la protubérance sensible. Isabelle pousse des gémissements terribles, son ventre est secoué de soubresauts. Valériane lui gobe le clitoris en l’aspirant violemment. Sous l’aspiration monstrueuse, Isabelle se cabre en grognant comme une bête. Elle murmure :
-Oh, ma chérie, je meurs de plaisir !
Valériane dévore la boule de chair comme une affamée, Isabelle pousse un hurlement, appuie sur la tête de son amante et jouit. Soudainement, Isabelle fait basculer Valériane et se place sur elle, les deux corps ondulent comme deux reptiles.Les seins entrent en contact et s’écrasent.Les chattes sont l’une contre l’autre, les bassins se mettent à s’agiter. L’excitation est en augmentation dans le corps des deux amantes. Les chattes brulantes qui se frottent, font gémir les deux protagonistes. Les lèvres vaginales soumissent au frottement continuel, ne peuvent retenir le flot continue de cyprine qui s’échappe des chattes en ébullitions. Les râles sont bruyants, les deux amantes s’embrassent à en perdre haleine. Soudain, un râle, plus puissant que les autres, font cabrer les deux amantes, qui jouissent simultanément. Les respirations s’accélèrent, Isabelle glisse entre les cuisses de Valériane et comme une agression lui enfonce sa langue dans le vagin en le fouillant sauvagement. La jeune amante et prise de frémissements, elle s’accroche son amour en lui murmurant des mots d’amour. Isabelle se déchaîne, elle dévore la vulve dégoulinante de la jeune femme qui l’a séduite le jour avant. Les deux femmes se rendent sans retenue l’amour qu’elles ont en elles. Une ultime jouissance les épuise, elles restent enlacées en se caressant doucement le corps. Soudain la porte de la chambre s’ouvre. C’est Juliette qui passe la tête par l’ouverture. Elle reste un moment figée puis en souriant dit :
-je constate que l’on prend du bon temps ici, bravo, bisou à vous deux profilées bien de la vie !
Elle ajoute :
-Maman tu es radieuse, l’amour te réussi, Valériane, je vois que tu es arrivée à tes fins, bravo !
Les deux femmes filent un parfait amour depuis plusieurs années, Juliette poursuit ses études avec succés en Angleterre.
Valériane