Le retraité et la voisine 2
Je suis un retraité qui découvre tardivement les joies du sexe. Dans mes recherches, je suis accompagné de ma charmante voisine, Marie Claude. Une femme de presque vingt ans ma cadette, mais dont les désirs sont aussi nombreux et exigeants que les miens… Une belle rencontre qui nous emmène loin sur la route du plaisir.
Dans l’épisode précédent, j’ai fait connaissance de ma partenaire d’exhibition et nous partageons nos premiers moments sur sa terrasse.
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Le printemps qui avait si bien commencé se gâte un peu, la pluie s’est invitée, Marie Claude et moi sommes alors privés de notre jeu quotidien. Quand elle rentre, je la vois courir sous la pluie pour regagner sa maison, en passant devant chez moi elle m’adresse un petit signe de la main. Dépité et surtout frustré après une journée d’attente, je m’installe dans mon salon avec le vague à l’âme, je n’ai même pas envie de me branler pour me changer les idées. La sonnerie du téléphone me fait sursauter, je décroche, c’est elle.
— Bonjour, toi.
— Bonjour.
— Eh bien dis donc, quel entrain. Je te dérange peut-être.
— Non, je suis juste un peu déçu aujourd’hui. Cette foutue météo me donne le blues et surtout me prive de toi.
— C’est pareil pour moi, alors tu pourrais peut-être m’inviter pour le café.
— Ben… Oui pourquoi pas, enfin, si tu veux. Je…
Je n’entends pas sa réponse, le téléphone m’indique qu’elle a raccroché. Suis-je bête, mon hésitation n’a pas dû lui plaire, « vieux con », je ne suis vraiment pas doué. Je vais la rappeler et essayer de récupérer mon ânerie. Avant même que je ne compose son numéro c’est à la porte que l’on sonne, je me précipite pour ouvrir et découvre ma Marie Claude. Pour venir elle a dû affronter les trombes d’eau qui tombent, là devant moi il y a un petit bouchon tout mouillé, les cheveux bruns plaqués sur son visage ruisselant et plus désarmant encore, une robe d’été devenue transparente, collée à son corps et qui laisse voir ses dessous blancs.
Je l’invite à rentrer promptement. Elle est là, à quelques centimètres de moi, sur son visage un sourire qui me ravit, je ne peux la laisser dans cet état, je la conduis donc à notre salle de bains et lui donne de suite des serviettes pour se sécher puis un peignoir pour pouvoir se changer et ôter sa robe. Je me précipite à la cuisine pour lui préparer un café chaud. Quelques minutes plus tard, elle me rejoint, qu’est-ce qu’elle est belle, ses cheveux presque secs en bataille lui donnent un charme fou. Je l’entraîne vers le salon et elle s’installe sur le canapé, sa tasse de café calée entre ses mains je vois ses lèvres souffler sur le liquide brûlant. Les yeux dans les yeux nous nous observons sans un mot, il est vrai que depuis que nous nous connaissons nous n’avons jamais vraiment engagé une vraie conversation, notre relation étant purement physique et sexuelle.
Dans l’ouverture du peignoir, je devine la nudité de sa peau, elle a suivi mon regard et posant sa tasse, toujours en silence elle en ouvre les deux pans. Ses seins m’apparaissent en premier, ils sont petits en forme de poire et les tétons bien tendus, je devine son excitation, puis c’est au tour de son ventre et de son pubis. Tout lisse, son mont de Vénus est fortement marqué par la position assise, le pli de ses lèvres roses me fascine, son sexe est l’un des plus beaux que j’aie jamais vu. Vers le haut, ses petites lèvres légèrement gonflées m’offrent la vue d’un petit cœur cachant son clitoris. Elle se redresse et ôte le dernier rempart à sa nudité, se rassoit prenant une position qui me rappelle celle de la petite sirène, les jambes repliées sur le canapé me privant du même coup de toute vue sur son intimité. Je sens la tension dans l’air, elle, dans la splendeur de sa nudité, et moi, assis face à elle, moi le vieux dont le tee-shirt ample masque les bourrelets, et dont le jean est distendu par une érection. Les minutes passent en silence, égoïstement je profite du spectacle, sa poitrine menue monte et descend au rythme de sa respiration. Finalement c’est elle qui prend la parole et me le joue à la Bardot d’une voix toute douce.
— Tu les trouves jolies, mes jambes ?
— Oui.
— Et mes cuisses, elles te plaisent, mes cuisses ?
— Oh oui
— Et mes fesses, tu aimes mes fesses ?
— Oui, elles sont sublimes
— Et mes seins, tu aimes aussi ?
— Oui, ils sont divins.
Le sourire aux lèvres elle se tait un instant puis reprend.
— Et ? Tu vas me laisser comme ça ! Viens près de moi et réchauffe-moi.
Je me positionne à ses côtés, j’ai une vue sur son dos légèrement bronzé et le haut de ses fesses posées sur le canapé. Une de mes mains se saisit de son mollet que je caresse en remontant jusqu’aux genoux, ma tête effleure son cou et je respire son parfum alors que ses cheveux encore humides viennent chatouiller mon visage. Mon autre main se glisse entre son dos et le dossier, se posant délicatement sur sa hanche tout en attirant vers moi son corps, elle se laisse aller et sa nuque vient reposer sur mon épaule, je peux alors déposer de tendres baisers sur la peau de son cou. Elle déplie ses jambes et les pose sur les coussins offrant ainsi à ma vue la totalité de son corps nu, mes doigts, de part et d’autre de celui-ci, empoignent ses seins et y prodiguent des caresses circulaires, puis jouent avec ses tétons durcis, les pinçant légèrement. Sa respiration s’est accélérée et elle mordille la lèvre inférieure de sa bouche entrouverte, je me glisse alors vers le tapis du salon et m’y assois tout en l’allongeant sur la banquette.
J’en profite aussi pour libérer ma queue qui, comprimée dans le pantalon, me fait presque souffrir, ma verge est turgescente et le bout de mon gland est déjà brillant de liquide séminal. Je continue mes caresses, parcourant chaque centimètre de sa poitrine et ma bouche vient prendre possession de la sienne, nos langues jouent ensemble un ballet brûlant alors que nos salives se mélangent. C’est au tour de Marie Claude de prendre l’initiative, son bras est descendu vers moi et sa main prend possession de ma queue, ses doigts enserrant fortement ma hampe tout en la branlant doucement. Dans le même temps, une de mes mains vient se poser sur son sexe, pour m’en faciliter son accès, la belle écarte les cuisses. L’endroit est déjà humide et je sens sous mes doigts le miel de sa mouille, rapidement mes doigts se glissent dans la fente et progressent vers l’entrée de sa chatte, je m’en sers alors comme d’un gode dans un mouvement de va-et-vient rapide, le clapotis de ses sucs est doux à mon oreille. Elle me bloque alors la main tout en me demandant crûment :
— Viens, baise-moi, baise-moi fort. Je veux ta grosse queue, mets-la-moi bien au fond.
Avec son visage angélique ces paroles sont surprenantes, elle continue presque suppliante.
— Allez viens, défonce-moi comme une salope… Prends-moi comme une chienne.
Nous n’avons jamais fait l’amour ensemble et je brûle de désir pour ce sexe offert. Pour être sûr d’être à la hauteur et contourner l’obstacle de mon ventre proéminent, je la retourne brusquement la plaçant à cheval sur l’accoudoir du canapé afin de pouvoir la prendre en levrette. Elle rugit.
— Allez viens, vas-y, baise-moi vite.
Baissant mon pantalon, je me place derrière elle et positionne ma bite à l’entrée de son vagin, je veux être tendre et la pénétrer doucement, car je sais que mon sexe est bien plus long et épais que la moyenne. Mais je n’en ai pas le temps, car Marie Claude d’un brusque mouvement volontaire en arrière vient de s’empaler violemment sur mon membre. Elle pousse un cri, douleur ou plaisir, je ne sais pas, toujours est-il que mon pubis est collé à son cul et mon chibre enfoncé jusqu’au fond de sa chatte. L’endroit est tellement mouillé que je n’ai aucune difficulté pour me lancer alors dans un pilonnage en règle, à chaque pénétration elle me crie son plaisir, ponctué aussi par des mots salaces. C’est tellement fort que je ne résiste pas longtemps avant de décharger ma semence bien au fond, elle réagit instantanément à la contraction ultime de ma verge, son corps s’arc-boute et un feulement sort de sa bouche en même temps que je rugis de plaisir.
Fiché toujours en elle, je mets quelques secondes à reprendre mes esprits, elle semble évanouie et respire fort. Je sors alors de son sexe, en reculant je vois de la fente encore bien ouverte couler abondamment nos fluides, je me penche et place ma bouche à l’orifice pour cueillir le divin mélange de mon sperme et de sa cyprine, ma langue lui fait une toilette en règle, rien ne m’échappe et en quelques secondes je déclenche un nouvel orgasme chez la belle. Comblé, je regagne le fauteuil où je m’avachis essoufflé, je contemple une nouvelle fois la belle alanguie sur le canapé attendant qu’elle reprenne ses esprits. Quelques instants plus tard, elle finit par se redresser.
— Eh bien mon cochon, tu m’as bien baisée.
— Pas déçue alors ? J’étais pourtant un peu rapide.
— Non pas déçue, oui rapide, mais c’était très fort. Je n’ai jamais ressenti une telle jouissance en faisant l’amour. Pardonne mon vocabulaire cru, qui n’est pas dans mes habitudes, mais avec toi je suis tellement bien que je me sois lâchée un peu, tu as ouvert en moi une porte secrète, celle de mes désirs refoulés. La gentille épouse, la mère, la femme bien sage que je suis veut connaître d’autres choses, d’autres plaisirs et avec toi je ne sais pas pourquoi je suis en confiance.
— C’est gentil, moi je suis encore surpris par ce qui m’arrive avec toi, tu es belle, jeune, et moi tout le contraire, vieux, et pas très désirable, reconnaît le.
— Ce n’est pas le sujet, moi je ressens autre chose, je ne vois pas ton physique. Oui, tu es gros (elle rit), mais tu as un truc indéfinissable qui m’attire, et aussi une très grosse queue (elle éclate de rire). Je sens que nous n’avons pas fini de faire des bêtises ensemble. Bon redonne-moi mes affaires, il faut que je rentre à la maison.
Je vais chercher sa robe dans la salle de bains, elle est encore toute mouillée, je la place alors dans un sachet et lui trouve un vieil imper, elle ne peut traverser la rue à poil ! Elle me quitte après un baiser sur la bouche. Par la fenêtre, je la regarde courir vers sa maison, je ressens une certaine fierté et surtout je suis le seul à savoir qu’elle est toute nue sous le vêtement de pluie. Je n’ai pas le temps de savourer l’idée, car une voiture vient se garer devant chez nous, mince alors, c’est mon épouse qui rentre bien plus tôt que d’habitude du travail. Je n’ai que le temps de me précipiter au salon pour ranger les coussins, vérifier que tout est en ordre et poser la tasse à café dans le lave-vaisselle que déjà la porte d’entrée s’ouvre :
— Coucou c’est moi.
— Hello, c’est bien tu rentres tôt, tu as passé une bonne journée au boulot ?
— Oui, mais j’étais un peu fatiguée alors décidé de regagner mon « sweat home » et mon homme. Tu me prépares un drink s’il te plaît, je vais me changer.
Alors qu’elle file vers la salle de bains, le téléphone sonne, je décroche. Une petite voix que je reconnais tout de suite chuchote.
— C’est moi.
— Allo, oui bonsoir monsieur.
— C’est l’horreur absolue, tu as oublié de mettre mes sous-vêtements dans le sachet…
Je n’ai même pas le temps de répondre qu’un cri provient de la salle de bains :
— Fernand !
En quelques millièmes de seconde, je comprends, là je suis vraiment dans la merde…
À mon oreille le téléphone bip.
Et voilà qu’après un après-midi dans les bras de ma chère voisine, la soirée virait au drame avec mon épouse. Comment avais-je pu oublier les sous-vêtements de Marie Claude dans notre salle de bains… Ma femme, transformée en furie, déboule dans le salon en hurlant et en me brandissant un string et un soutien-gorge blancs.
— Fernand, qu’est-ce que c’est que ça, que font ces sous-vêtements dans NOTRE salle de bains. Et ne me raconte pas d’âneries, c’est à qui, que fais-tu avec ça chez nous. Tu me trompes ? Avec qui ? Voilà donc ce que tu fais de tes journées, salaud…
Ma Marthe face à moi est rouge de colère, je ne sais comment désamorcer la bombe que j’ai moi-même allumée. Sans réfléchir plus en avant, j’adopte une tactique inattendue, j’éclate de rire, essayant au maximum de donner à mes esclaffements une certaine crédibilité, cherchant de fait à la décontenancer. Et de lui répondre.
— Mais attends, qu’est-ce que j’en sais… Dans notre salle de bains, des sous-vêtements féminins, tu te moques de moi, à qui veux-tu qu’ils soient si ce n’est à toi, attends, dis-moi que c’est un gag, tu plaisantes.
Ajoutant une pique d’humour
— En tout cas, ce n’est pas à moi.
Et je ris de plus belle. Mais elle continue de crier.
— Mais tu me prends vraiment pour une conne, ce n’est pas vrai, tu te fous de moi. Je me doute bien que ce n’est pas à toi, et encore moins à moi d’ailleurs. Alors à qui c’est ? Ils ne sont pas tombés du ciel comme ça. Comment peux-tu me faire ça et chez nous en plus.
Maintenant il me faut réfléchir et vite, une histoire, n’importe quoi, mais vite.
— Mais Marthe, écoute-moi, je ne comprends pas plus que toi… Ou bien si, mais là tu ne vas pas me croire, c’est trop dingue.
— Ah Monsieur a une explication, eh bien vas-y je t’écoute.
— Eh bien cet après-midi j’ai bien reçu la visite d’une femme, en l’occurrence la voisine d’en face. Elle a sonné et m’a expliqué qu’elle était coincée devant sa maison, sa clé bloquée dans la serrure de la porte et qu’elle voulait contacter son mari, ou un serrurier si j’en connaissais un. La pauvre était dans un de ces états, trempée comme pas possible avec l’orage et les trombes d’eau qui tombaient.
Marthe est devant moi, sans mots et le regard noir, mais avec une pointe d’incrédulité, je poursuis donc mon récit délirant.
— Je lui ai proposé de se sécher dans la salle de bains, de prendre les serviettes nécessaires, pendant que je téléphonais à SOS 24 heures dépannage. Après elle est revenue et nous avons attendu quelques minutes l’arrivée du dépanneur, rien de plus. Ah si, je lui ai prêté ton imperméable du jardin pour rentrer chez elle, et c’est tout. Rien de plus.
C’est au tour de Marthe de rire nerveusement tout en répliquant.
— Mais tu me prends vraiment pour une pomme mon pauvre vieux. Tu viens de baiser avec je ne sais qui et tu veux me faire gober cette histoire insensée de voisine. C’est même peut-être elle que tu as baisée.
— Attends, mais regarde-moi, comment je suis foutu, elle a quoi, quarante ans. Tu n’images quand même pas que…
— Tais-toi, c’est dégueulasse ce que tu me fais. Jamais je ne t’aurais cru capable de ça. Plus de trente ans de vie commune et tu…
Les sanglots ont pris le pas sur les cris. Là, je dois avouer que je ne vois plus trop quoi ajouter, je vais tout droit au drame. À cet instant la sonnette de la porte d’entrée vient nous interrompre, suivi par ma femme, je vais ouvrir. Sur le pas de la porte, Marie Claude.
— Bonsoir Monsieur, excusez-moi de vous importuner à nouveau, je vous rapporte l’imperméable que vous m’avez si gentiment prêté cet après-midi. Par contre j’ai oublié des affaires dans votre salle de bains, si vous me permettez, je voudrais bien y retourner.
Mon épouse me pousse rageusement sur le côté et s’adresse à Marie Claude.
— Inutile d’aller plus loin chère madame, je pense qu’il s’agit de cela.
Elle lui tend, ou plutôt lui jette, string et soutien-gorge. Le visage de Marie Claude s’empourpre rapidement.
— Vous me voyez confuse, voire honteuse, je n’ai pas de mots pour m’excuser, et…
Avant même la fin de la phrase, Marthe lui claque la porte au nez. Je ne sais trop quoi dire, Il ne me reste qu’à attendre la réaction de ma moitié. Et le verdict tombe. Marthe semble calmée, mais le ton reste agressif.
— Mais je rêve, c’est quoi cette femme, elle vient chez moi, se fout à poil, laisse ses cochonneries et revient tranquillement comme ça. Et vas-y le : « Auriez-vous l’amabilité de bien vouloir me restituer mes dessous ». Mais attends, jamais je n’aurais imaginé une chose pareille. Et toi vieux cochon, dis-moi que tu n’as rien vu pendant que tu y es. Ah, tu as dû te régaler !
Je n’ose rien dire, la tempête semble se calmer, et mon histoire vraiment peu crédible semble être acceptée sans plus de difficulté. Je regarde ma femme, son regard me transperce.
— Tu as fantasmé sur elle, mon salaud ! Avoue, une petite jeunette chez toi. Hein, dis-moi tout, tu aurais bien voulu te la faire. Reconnais-le, tu l’aurais bien baisée.
J’en reste pantois, la situation semble se calmer, mais le comportement de Marthe me surprend un peu, car elle n’a jamais marqué d’intérêt particulier à mes envies ou mes fantasmes. Surprise d’autant plus grande quand elle continue sur le même sujet.
— Je vois bien comment tu l’as regardée et je devine que tu aurais voulu lui enfiler ta grosse queue, vieux pervers.
La situation est devenue irréelle. Elle, si réservée et peu encline au sexe, m’apparaît d’un seul coup comme excitée, ses pommettes ont rougi et ses yeux pétillent. Chez moi aussi le contexte a provoqué une poussée de testostérone et dans mon jean l’animal est au garde-à-vous. À mon grand étonnement, ma femme s’approche de moi et me saisit la queue au travers du tissu.
— Tu vois, c’est bien ce que je pensais, tu bandes pour elle.
Sur ces mots, elle ouvre le zip et dégage ma verge qu’elle empoigne d’une main ferme, presque à me faire mal. Tout en la serrant, elle me force à reculer vers le canapé avant de m’y pousser violemment. Face à moi et sans attendre, elle relève sa jupe et arrache littéralement sa culotte, je vois sa touffe qui me paraît déjà bien humide, ce qui m’est confirmé deux secondes après quand elle s’empale sur ma queue. Elle me chevauche rapidement et je sens son miel couler sur mes testicules à chaque mouvement qu’elle ponctue d’un râle de plaisir. Je reste concentré, surtout ne pas jouir tout de suite, cela doit bien faire plus de dix ans que nous n’avons pas baisé comme cela. Heureusement, je ne dois pas trop attendre, elle crie sa jouissance et je peux enfin éjaculer. Vivement elle se redresse laissant échapper mon sexe poisseux qui déjà redescend. Alors qu’elle se dirige vers la salle de bains, sa jupe remontée sur son ventre, je vois couler sur ses cuisses des traînées blanches. Avant de disparaître, elle se retourne vers moi, le regard encore noir.
— Tu as de la chance, mon chéri, tu ne m’as jamais si bien baisée, signe que tu as peut-être été sage cet après-midi. Sache quand même que si tu avais un jour l’envie de me tromper avec cette garce, je pourrais facilement te rendre la pareille, ce ne sont pas les occasions qui me manquent… Si tu vois ce que je veux dire.
Je vois, je vois même très bien, je me revois aussi sur le canapé il y a deux trois heures, baisant ma maîtresse. Par contre une question commence à me tracasser, ma femme m’aurait-elle déjà trompée. Non, pas elle, je l’aurais vu, non ?
Cet épisode sexuel m’a ravi, une voisine qui comble mes longues journées et ma femme qui semble redécouvrir le chemin du plaisir, voilà un avenir qui s’annonce bien. Je me dirige à mon tour vers la salle de bains. Par la porte entrouverte, je vois Marthe qui est sous la douche la tête rejetée en arrière et son visage dirigé vers le pommeau, ses yeux sont fermés. Je vois l’eau qui coule sur ses seins, mais la surprise est légèrement plus basse où l’une de ses mains s’active vigoureusement sur sa chatte. La coquine n’en a manifestement pas eu assez…
A suivre
Brigitte