Il est presque 2 heures du matin quand nous arrivons devant mon pavillon. Les pneus de la Mercedes font crisser les gravillons de l’allée pendant qu’Ahmed se gare. Nous sortons de la voiture et tout de suite Ahmed prend congé de nous. Il reprend son véhicule et retourne dans son sex-shop.
Nous entrons dans mon pavillon et je reste bouche bée devant le spectacle qui s’offre à nous. Muriel, ma fille, seins nus est vêtue d’un porte-jarretelles noir et des talons aiguilles qui m’appartiennent, ceux avec le talon en acier. Elle est allongée sur la table du salon, les chevilles attachées aux pieds de la table et Albert, à genoux devant elle, lui lèche la fente. Sébastien, debout devant la table lui a enfourné son membre dans la bouche et elle lui administre une fellation.
Marie nous pousse dans le salon, Isabelle et moi et nous ordonne d’enlever nos tenues de putes et d’aller prendre une douche. Nous nous exécutons, plutôt contente de pouvoir nous débarrasser du sperme qui colle nos cheveux et sèche sur notre corps. Nous arrivons dans la salle de bains et Marie décide que nous allons nous doucher toutes les trois ensembles. Nous prenons donc notre douche sous la surveillance de Marie qui s’amuse à nous branler de temps en temps. Elle prend un gant de toilette et nous le passe sur le corps, nous caressant les seins. Elle se penche et nous suce les mamelons en alternant. Elle me force à sucer la pointe des seins de Isabelle pendant que celle-ci doit m’enfoncer deux doigts dans ma chatte. L’eau coule sur nos corps et je commence à respirer un peu plus vite sous la caresse de Isabelle qui me titille le clitoris. Je halète comme une folle et Isabelle agite de plus en plus vite ses doigts dans ma fente. Un flot de mouille envahit ses doigts. Je lui suce toujours les seins lui mordillant les pointes ce qui la fait gémir de bonheur. Marie nous passe le gant sur tout le corps pendant ce temps-là. Elle nous lave les fesses maintenant et insiste bien sur l’anus. Elle enlève son gant et enfonce son index dans le cul de Isabelle qui pousse un gémissement sourd.
– Je dois vérifier qu’il est propre vu que tu t’es comportée comme une chienne dans le sex-shop.
Elle retire son doigt et je dois le sucer. Puis, comme dans le sex-shop, Marie nous ordonne de nous embrasser. Isabelle proteste et elle reçoit une claque sur ses fesses. Marie m’agrippe par les cheveux et rapproche mon visage de celui de Isabelle et je dois poser mes lèvres sur les siennes. Nous nous embrassons de longues minutes pendant que Marie guide nos mains et nous oblige à nous inspecter le vagin mutuellement.
Nous sortons de la douche et allons dans ma chambre pour nous habiller pour la nuit, lance Marie en rigolant. Elle farfouille dans ma penderie et mon tiroir de lingerie pendant que nous devons attendre, nues, à côté d’elle. Elle choisit une nuisette transparente pour moi que j’enfile sur un collant noir satinée et une guêpière rouge pour Isabelle avec un porte-jarretelles et des bas noirs qu’elle a dénichée dans mon tiroir. Nous devons enfiler toutes deux des talons aiguilles et nous retournons dans le salon.
Sébastien et Albert en ont terminé avec Muriel et celle-ci est en train de s’essuyer la bouche pour enlever le sperme qu’elle a régurgité. Sabrina s’approche de ma fille et la courbe en avant. Elle lui attache les poignets à ses chevilles, lui enfonce le gode avec la queue-de-cheval dans le cul et lui ordonne de rester comme ça. Mohamed et Hervé surgissent soudain et sifflent en nous découvrant. Ils se font raconter par Marie notre expédition au sex-shop et Marie lui montre les photos qu’elle a prises avec son téléphone portable.
– Super, lâche Hervé, on va pouvoir rajouter ça sur le site. On a fini de mettre les photos et le film qu’on a tourné tout à l’heure. Tu veux voir ?
Nous suivons Hervé dans le bureau de mon mari et je comprends soudain que je ne l’ai pas encore aperçu. Hervé se connecte sur internet et mon site où, effectivement, on peut voir les photos de notre « partouze » de début de soirée. Ils éclatent de rire quand on voit en gros plan Isabelle en train de faire des pipes à tout ce joli petit monde. Marie lui claque les fesses :
– Eh bien Mme la Conseillère municipale, vous n’avez pas honte de vous conduire comme une traînée ?
Isabelle est rouge de honte et elle baisse les yeux. Nous retournons dans le salon. Mohamed, les mains sur les hanches de ma fille, la besogne à grands coups de reins. Ses seins ballottent et elle pousse de longs gémissements. Mohamed accélère son va-et-vient et éjacule sur le dos de ma fille en poussant un cri rauque. Hervé propose du champagne et Sabrina tout excitée d’un coup crie :
– Bonne idée, vous allez voir ma nouvelle soubrette !
Je reste interloquée. De qui veut-elle parler ?
– Henriette ! Apporte le champ !
La porte de la cuisine s’ouvre et, horrifiée, je vois apparaître Henri mon mari. Sabrina l’a obligé à s’habiller en soubrette pour faire le service. Il est vêtu d’une robe noire qui lui arrive presque à l’aine et son sexe pend misérablement. C’est une robe qui m’appartient et je me demande comment il est rentré dedans. Il est d’ailleurs complètement boudiné. Mais le pire, le comble de la déchéance et de l’humiliation, du moins pour un homme, il porte des bas et des talons hauts. Il trébuche et manque de tomber à chaque pas.
Il porte un plateau avec des flûtes et fait visiblement un effort considérable pour ne pas le renverser. Il me regarde honteux et je me rends compte que Sabrina a poussé le vice à le maquiller. Elle lui a mis du rouge à lèvres.
Henriette fait le service et Sabrina, Marie, Hervé et Mohamed trinquent pendant qu’Isabelle et moi nous devons nous mettre à genoux devant eux. Henriette retourne dans la cuisine. Ma fille Muriel est toujours attachée courbée en avant. Sébastien, lui, est attaché courbé en avant également sur un haut tabouret trouvé dans la cuisine, les mains liées derrière le dos, un bâillon boule dans la bouche et ficelé sur le tabouret par une lanière sans doute trouvée dans les affaires SM qu’Ahmed avait ramené de son sex-shop et que Sabrina a gardé précieusement.
Nos tourmenteurs prennent le champagne autour de la table ronde de notre salon. Au bout d’un moment, on nous demande à Isabelle et à moi de passer sous la table. Mohamed et Hervé ont sorti leurs bites de leurs pantalons et nous devons les sucer. Isabelle s’occupe de Mohamed et moi de Hervé. Ma langue s’enroule autour de son gland, je le pompe en salivant dessus. Il me force à l’engloutir entièrement en m’appuyant sur la nuque et j’émets une protestation étouffée. Isabelle subit le même sort. Ma tête monte et descend sur le membre imposant de Hervé qui donne des coups de bassin comme pour s’enfoncer encore plus. Très vite, il éjacule en lâchant des traînées de foutre sur mon visage. Mohamed éjacule également souillant le visage de Isabelle de son sperme poisseux.
Nous sortons de dessous la table et, à la demande de Marie, nous devons nous nettoyer la figure en nous donnant de petits coups de langue, nous léchant mutuellement le sperme. Puis, de nouveau, nous nous embrassons. Nos langues s’enroulent. Mohamed prend des photos et propose que nous nous allongions sur le sol. Sabrina me fesse le cul violemment et déchire mon collant. On nous force à nous mettre tête-bêche et je dois, sous la pression, mettre ma langue dans la chatte de Isabelle pendant qu’elle fait de même. Je sens sa langue m’agacer le clitoris et je lui introduis un doigt dans sa chatte dégoulinante. Isabelle pousse un gémissement et ondule du bassin. Je la masturbe de plus en plus vite, agitant mes doigts, lui pinçant le clitoris Mohamed prend toujours des photos et Hervé filme la scène avec la caméra de mon mari. J’agite mon bassin de plus en plus vite, Je sens monter l’orgasme et je me mords les lèvres pour ne pas hurler. Isabelle, elle, ne se retient pas. Elle pousse un cri en jouissant et je reçois sa mouille sur mon visage que j’avale en donnant de grands coups de langue. Je pousse un râle et je m’effondre sur le sol, exténuée. Il est 4 h 00 du matin et nous sombrons dans le sommeil Isabelle et moi. Nous pelotonnant l’une contre l’autre pendant que j’aperçois Henri mon mari devenu « Henriette la soubrette » aller se coucher avec Sabrina. On détache Sébastien et Muriel et ils s’écroulent également sur le canapé, ivres de fatigue. Bientôt, le silence règne dans mon pavillon.
Je suis réveillée en sursaut par un cri qui provient de ma chambre où Sabrina et Henri ont été se coucher. Il fait jour et je jette un coup d’œil à ma montre : 10 h 00. Je me lève et me dirige silencieusement vers ma chambre. La porte est entrouverte et j’aperçois Henri, nu, en train de faire l’amour à Sabrina. J’en ressens une pointe de jalousie. Il a relevé les jambes de Sabrina à la verticale et sa bite s’enfonce dans sa chatte à une cadence infernale. Sabrina tourne la tête dans tous les sens, haletante, se tordant et suppliant qu’il la défonce encore plus. Mon mari agite son bassin en soufflant comme un bœuf. Je regarde Sabrina se faire prendre par mon mari et j’ai l’impression de n’avoir jamais été prise de cette façon, avec autant de fougue par Henri.
Un bruit derrière moi me fait sursauter. C’est Marie qui a également entendu les cris. Elle ne dit pas un mot mais plaque sa main sur mon ventre à travers le collant et commence à me caresser. Elle descend le collant et introduit deux doigts dans ma chatte. Je me pince les lèvres. Je ne résiste plus à cette caresse et très vite je l’accompagne en ondulant du bassin et en poussant des gémissements plaintifs.
Sabrina pousse un cri de démente. Elle vient d’avoir un orgasme et Henri éjacule sur son ventre, lui déversant de longues traînées blanches. Cette scène me fait jouir et je pousse également un cri puissant ce qui fait retourner Henri qui s’apercevant de ma présence devient blême. Je remets mon collant et je retourne suivi de Marie dans le salon.
Tout le monde est réveillé et nous prenons le petit-déjeuner. C’est Isabelle et moi qui dois faire le service. Sébastien et Muriel demandent s’ils peuvent retourner chez eux car des amis à eux doivent venir les voir. Marie et Sabrina hésitent mais finissent par se dire que leur absence pourrait sembler curieuse. Ils les autorisent donc à rentrer mais leur rappellent qu’ils possèdent des photos et des films et qu’Isabelle et moi nous restons ici.
J’assiste au départ de ma fille et mon futur gendre, une boule dans l’estomac. Mohamed et Hervé se lèvent à leurs tours et prennent leur petit-déjeuner tout en nous tripotant Isabelle et moi à chaque occasion. Les seins de Isabelle dégagés des balconnets de la guêpière sont malaxés continuellement par Mohamed ou Hervé et même Marie. Sabrina, elle, masturbe Henri allongé sur la table du salon et de temps en temps nous demande à moi ou à Isabelle de venir lui téter le gland. Marie lance l’idée qu’on pourrait aller faire un tour au marché de la ville puisque nous sommes dimanche. Isabelle en entendant cela devient blanche et supplie :
– Non, je vous en prie, le Maire est sur la place du Marché pour sa campagne pour les élections municipales, s’il me voit avec vous…
Bien entendu, personne ne tient compte de ses protestations et Marie et Hervé nous demandent de nous habiller pour sortir. Nous retournons dans ma chambre, suivies de Marie et c’est elle qui choisit nos vêtements, avec pour objectif bien entendu que nous sommes le plus indécente possible. C’est ce qui l’excite le plus : Nous contraindre à nous habiller de façons provocantes, nous les bourgeoises, les mères de famille respectables. Je dois enfiler la jupe droite d’un de mes tailleurs avec des bas gris et des sandales à talons roses. La jupe est trop courte et on aperçoit l’attache du porte-jarretelles. Un chemisier avec les trois premiers boutons ouverts complets la tenue et laisse apercevoir mes seins. Pour une fois j’ai eu le droit d’enfiler un soutien-gorge, rouge, donc très provocant.
Isabelle est contrainte d’enfiler un tee-shirt noir trop petit pour elle ce qui fait qu’on a l’impression que ses seins vont le déchirer et une minijupe en jean sur des bas blancs et des talons aiguilles rouge vif.
Nous sortons du pavillon et nous nous dirigeons vers la Mercedes pour nous rendre en centre-ville. Nous arrivons assez rapidement et nous nous garons. Nous commençons à nous promener dans le marché et, sournoisement, Marie nous entraîne vers le Maire en train de serrer des mains tout en glissant un « voté pour moi » discret. Il reste bouche bée en apercevant sa conseillère municipale habillée de cette façon et plusieurs habitants de la ville nous connaissant restent interloqués tout en se demandant qui sont ces jeunes qui accompagnent ces deux femmes si « correctes » d’habitude.
Nous croisons l’épouse du Maire, une grande femme distinguée au visage fin. Elle a des origines aristocratiques me semble-t-il. Elle est vêtue d’un tailleur d’un grand couturier sur des bas noirs. Elle nous lance un regard méprisant en nous croisant et Marie me souffle dans l’oreille.
– Madame ne voudrait pas voir cette pimbêche ramper à ses pieds, un gode dans le cul ?
Je ne réponds pas, la scène vient de me traverser l’esprit et cela m’a excité. Nous continuons notre balade. Nous baissons les yeux souvent Isabelle et moi, honteuses de croiser des amis qui nous regardent les yeux ronds parfois avec un dégoût non dissimulé.
Nous arrivons près de l’hôpital. Juste à côté se trouve une Chapelle. Sabrina et Marie se regardent et nous poussent vers celle-ci.
– Salopes comme vous êtes, vous devez ressentir le besoin de vous confesser.
Nous entrons dans l’édifice religieux. Il y fait froid et sombre. Dieu merci, c’est le cas de le dire, la messe est terminée et tous les fidèles sont partis. Sauf deux handicapés en fauteuil roulant que nous apercevons devant l’Autel en train de prier. Même le Curé est absent. Nous nous avançons poussées par Sabrina et Marie vers l’Autel. Elles retroussent nos jupes et nous sommes culs nus dans ce lieu saint. Les deux paraplégiques nous aperçoivent et restent bouche bée en voyant s’approcher ces deux femmes, le cul à l’air. Sabrina et Marie s’approchent d’eux et leur expliquent que ces deux salopes veulent leur offrir le cadeau de leur vie.
– Ça vous dirait de vous dégorger le poireau ?
Les deux jeunes hommes hochent la tête, stupéfaits.
– Eh bien ces deux chiennes acceptent de vous faire une pipe gratuitement.
– Mais ici ? Balbutie un des jeunes, outré.
– C’est ce qu’il y a de plus excitant, le lieu. Lui murmure Marie.
Sur un claquement de doigts, nous devons nous mettre à genoux entre les jambes de ces deux jeunes et sortir leurs queues de leurs pantalons. Elles sont déjà raides et dures. Isabelle plonge la tête et aspire la bite la première. Je fais de même, tétant le gland de ce jeune handicapé. On entend plus que nos bruits de succions dans la Chapelle silencieuse. La tête de Isabelle monte et descend sur le membre du garçon qui la guide en appuyant sur sa nuque. J’enroule ma langue sur le gland de mon « client », arrêtant parfois de le sucer pour le masturber et lui lécher la hampe.
Derrière moi, Marie me masturbe, elle a enfilé deux doigts dans ma chatte et elle me branle. Sabrina fait de même avec Isabelle. Je m’active sur la bite du type, je salive, je lui lèche les couilles, replonge sur son sexe. Je halète, je gémis en sentant Marie qui plonge ses doigts dans mon vagin. J’entends Isabelle couiner de bonheur, gémissements étouffés par le membre de son handicapé qu’elle pompe à toute vitesse maintenant. Il lui éjacule sur le visage, le sperme jaillit et va s’écraser sur ses lèvres, sa joue et ses cheveux. Le mien ne tarde pas non plus à suivre et, contrainte d’ouvrir la bouche par Marie, il m’éjacule son sperme sur mon palais et je dois tout avaler. Un hurlement nous fait soudain sursauter. C’est le Curé qui, de retour, découvre ce spectacle de débauche dans sa Chapelle. Il s’écrie d’une voix de stentor :
– Qu’osez-vous faire dans la maison du Seigneur ?
Les deux handicapés, honteux, partent sans demander leur reste. Marie et Sabrina s’approchent du Curé et lui expliquent que ces deux femmes sont d’une perversité sans nom et qu’elles sont sûrement habitées par le Démon. Le curé reste perplexe devant cette explication d’autant qu’il reconnaît Isabelle la collaboratrice du Maire. Il a soudain une lueur dans le regard et s’approche de Isabelle.
– Comment vous Madame, une paroissienne si assidue, vous vous vautrez dans le vice et la luxure ?
Se tournant vers Marie et Sabrina :
– Je peux tenter un exorcisme ?
– C’est vous l’expert Mon Père. Réponds perfidement Marie.
Je reste stupéfaite d’entendre cela. Le Père va sans nul doute se livrer à des pratiques que la morale chrétienne réprouve au plus haut point. Lui ! Un homme d’Église ! Il s’approche de Isabelle et lui trifouille soudain la chatte.
– Vous dégoulinez cochonne ! N’avez-vous pas honte ?
Il l’emmène vers l’Autel en la poussant. Elle titube sur ses talons aiguilles et manque de tomber. Il la force à se courber dessus et lui remonte la jupe en jean. Il va prendre une badine dans la Sacristie.
– Vous devez expier vos péchés dans la douleur, ma fille !
Le premier coup s’abat sur ses fesses avec un claquement sec et Isabelle pousse un cri de douleur. Il y a un deuxième coup puis un troisième. Bientôt on entend plus que les cris de Isabelle dans la Chapelle. Puis ses cris se transforment en gémissements. Le Curé, avec un regard de fou, lui assène des coups de plus en plus violents. Elle a le cul tout rouge. Cela dure un bon moment jusqu’à ce que, n’en pouvant plus, Isabelle supplie qu’on la laisse en pleurnichant. L’homme de Dieu s’arrête et repose la badine, essoufflé.
– Je pense que cela suffira pour aujourd’hui. Dit-il d’un ton très sérieux, mais il se peut que l’exorcisme n’ait pas marché. Dans ce cas, n’hésitez pas à me ramener cette pécheresse pour une deuxième séance.
– Nous n’y manquerons pas Mon Père. Lance Marie en nous poussant vers la sortie.
À suivre…