Un silence pesant règne dans la Mercedes qui nous ramène chez moi. Marie nous a de nouveau humiliées Isabelle et moi en nous exhibant dans le centre-ville, nous faisant rougir de honte en croisant des personnalités qui nous ont dévisagées, choqués de voir ces deux femmes respectables habillées comme des putes.
Nous entrons dans mon pavillon et nous devons nous déshabiller. La séance d’« exorcisme », que ce prêtre pervers a infligé à Isabelle, a beaucoup amusé Marie et elle raconte la scène à Mohamed et Hervé. Isabelle a enlevé ses vêtements et elle déambule dans le salon uniquement vêtu de ses talons rouges et ses bas blancs.
Pour ma part, Mohamed a soulevé ma jupe dévoilant mes bas gris et il a ouvert mon chemisier, baissant mon soutien-gorge. Mes seins sont à la vue de tous et Hervé ou Mohamed ne se prive pas de me les triturer à chaque occasion.
Il est midi et nous devons préparer le repas et faire le service accompagné par Albert et Henri, qui n’est plus habillé en soubrette. Ils sont nus tous les deux, l’érection de leurs sexes entretenue régulièrement par Marie ou Sabrina qui toutefois leur interdit d’éjaculer. Nous mangeons ensemble dans une ambiance glauque, Henri et Albert étant masturbés par Sabrina qui est assise entre eux deux pendant qu’Isabelle coincée entre Mohamed et Marie se fait peloter ses gros seins. Hervé lui plonge régulièrement deux doigts dans ma fente. J’ai l’impression que le repas dure des heures.
Mohamed prend son portable et appelle plusieurs personnes leur donnant rendez-vous dans le nouveau parking souterrain que la Municipalité a fait construire. Marie et Sabrina nous entraînent Isabelle et moi dans ma chambre en nous annonçant une promenade dominicale. Nous devons nous déshabiller totalement et mettre les vêtements que nous tendent nos « maîtresses ». Je dois enfiler un élégant tailleur blanc sur des bas blancs avec les inévitables talons aiguilles également blancs. Isabelle, elle, porte une jupe droite serrée avec des bas nylons et une veste avec un col en fourrure sans rien en dessous bien sûr. Habillée, pour une fois, très bourgeoise, Marie m’explique qu’en fait nous allons retrouver des internautes qui par le biais du site internet ont souhaité rencontrer ces deux bourgeoises salopes. Elle précise avec un sourire pervers que nos maris nous accompagnent cette fois.
Nous prenons la Mercedes et nous nous dirigeons, de nouveau, vers le centre-ville. Nous arrivons très vite devant le parking et descendons la rampe d’accès. Le responsable de la caisse, qui pour une fois n’est pas automatisée, nous annonce le prix pour 2 heures et bien entendu, je suis contrainte de payer. Nous nous garons dans le troisième sous-sol du parking. Comme dans tous les parkings souterrains, l’atmosphère y est oppressante, glauque. Le peu de luminosité et nos talons aiguilles qui résonnent me font frissonner.
Nous nous dirigeons vers le fond du parking ou j’aperçois cinq personnes qui attendent. Ils sont d’âge et de physique différents. Il y a un jeune, d’à peine vingt ans, je pense et un autre beaucoup plus âgé certainement un retraité, un gros, presque obèse, un autre a un physique vraiment ingrat et doit rêver de se taper deux belles bourgeoises, le dernier est tout petit. Mohamed s’approche d’eux et horrifiée je l’entends leur parler du tarif. Une fois de plus, nous sommes prostituées par ces pervers et devant nos maris. La transaction financière se termine très vite, ils payent tous sans rechigner, impatients qu’ils sont de pouvoir se taper ces deux bourges qui les font fantasmer sur internet. Mohamed se tourne vers Marie et lance :
– C’est bon, tu peux déballer la marchandise !
Je suis outrée d’être traitée de marchandise mais je ne proteste pas quand Marie s’approche de moi et soulève la jupe de mon tailleur découvrant mes longues jambes gainées de bas blancs. Elle ouvre également la veste de mon tailleur exhibant mes seins. Les cinq hommes nous dévisagent le regard fou en ricanant, commençant à nous traiter de salopes. Isabelle a été forcée de se mettre à quatre pattes sur le sol du parking, la jupe tire-bouchonnée autour de la taille, dévoilant son cul. Sabrina lui donne des claques faisant rougir ses grosses fesses et la contraint à avancer vers le groupe d’hommes. Certains ont commencé à sortir leurs bites fièrement dressées. Elle n’a pas le temps de protester. Une queue épaisse s’engouffre dans sa bouche manquant l’étouffer. C’est le « papy » qui lui fait coulisser sa verge dans sa bouche en soufflant et en l’insultant.
Le plus jeune faufile une main dans l’échancrure de la veste et lui pince la pointe d’un mamelon la faisant couiner de douleur. Un des hommes, accroupi derrière elle, enfonce ses doigts dans sa fente et la branle.
Marie me force à m’agenouiller également et je dois me diriger vers une voiture ou est adossé un des hommes, le sexe tendu. Je me positionne entre ses cuisses et j’avale sa queue, ma tête monte et descend sur le membre dressé. Je m’active, la mâchoire distendue par le calibre impressionnant du type. Il appuie sur ma tête m’obligeant à engloutir encore plus loin son sexe. J’entends Isabelle gémir et je l’aperçois toujours en train de sucer le papy tout en alternant avec le gros. Sabrina lui tanne le cul et ses claques résonnent dans le silence du parking. Le papy fait soudain le tour et pénètre Isabelle en poussant un soupir, il lui agrippe les hanches et commence à la pistonner à grands coups de reins, faisant claquer son ventre contre ses fesses.
Celui que je suis en train de sucer s’active soudain faisant coulisser sa queue de plus en plus vite entre mes lèvres pulpeuses et me lâche un torrent de sperme dans ma bouche me contraignant à tout avaler en me tenant solidement la nuque. Je me relève et aperçois Henri, mon époux, en train de baiser Sabrina sur le capot d’une voiture. Je comprends que mon mari s’entend très bien avec ma tortionnaire et je trouve cela offusquant et choquant.
Isabelle pousse un hurlement étouffé par la bite qu’elle en train de sucer et je tourne la tête vers elle. Le vieux pervers lui a enfoncé sa bite dans le cul et il la sodomise violemment.
Mohamed s’approche de moi et m’allonge sur le sol crasseux du parking, mon élégant tailleur n’est plus si blanc. Hervé, Mohamed et Albert, les yeux luisants s’approchent de moi et se mettent à genoux. Ils me caressent les seins, les jambes, ma chatte. Je m’offre sans aucune pudeur aux mains qui me fouillent.
Le papy pervers éjacule sa semence sur le dos de Isabelle en poussant un râle pendant que celui qu’elle suce lui déverse tout son foutre sur son beau visage de bourgeoise distinguée. Elle est traînée à côté de moi et on nous force à nous mettre à quatre pattes. Isabelle, le sperme coulant sur son visage, doit sucer le membre qu’on lui présente et elle fait une grimace de dégoût. Derrière elle, le gros lui enfonce sa bite dans son anus et se met à aller et venir lentement prenant son temps.
Je subis le même sort et je gémis de douleur quand la queue d’un de nos « clients » me pénètre sans précaution. On me pince le nez, me forçant à avaler une bite qui appartient à je ne sais qui. Je lui tète le gland en salivant dessus.
Le plus jeune se faufile sous Isabelle et s’amuse à lui téter les seins. L’obèse qui encule Isabelle éjacule le premier avec un cri rauque. Il lâche son foutre au fond de son cul. Celui que je suce m’arrose le visage de sa semence épaisse. Le type que suce Isabelle jouit a son tour, lâchant des traînées de sperme sur ses lèvres, son nez, son menton. Des filaments coulent sur ses seins.
Nous restons toutes les deux, haletantes, fiévreuses, à quatre pattes dans une posture de soumission qui excite encore plus nos bourreaux. On m’oblige, à petits coups de langues, à lécher le sperme qui souille le visage de Isabelle. Tous les hommes font cercle autour de nous, nous regardant avec lubricité. Les commentaires vont bon train :
– Quelles deux belles salopes, jamais vu ça.
– Ces bourgeoises ! Toutes des chiennes en chaleur.
– Des vraies putains !
Le papy s’avance et me caresse les fesses avant de m’enfoncer un doigt dans l’anus.
– Ça m’excite de défoncer le cul de deux bourgeoises, ça te plaît aussi hein salope ? Me lance-t-il.
La tête baissée, je ne réponds pas mais je pousse un gémissement quand il tourne son doigt dans mon cul et le fait coulisser. Puis il m’enfonce deux doigts, puis bientôt trois. Et c’est toute sa main qu’il réussit à introduire dans mon rectum. Deux des cinq hommes sont obligés de me bâillonner de leurs mains pour étouffer mes hurlements.
– Allez ! Ricana le vieux pervers, un petit Fist Fucking n’a jamais tué personne ! Et ton cul en a vu d’autres ma salope !
Il fait coulisser son poing dans mon cul quelques minutes puis le retire, me laissant haletante. Un des hommes se positionne derrière Isabelle et appuie son gland contre l’anus. Il pousse et introduit sa bite dans l’orifice. La saisissant aux hanches, il fait coulisser sa queue dans son anus et lui donne de grands coups de reins. Isabelle a poussé un cri strident. Il continue de la limer sans se soucier de ses plaintes. Il se retire soudain et se plaçant devant elle, il se vide par saccades sur le visage de Isabelle.
Toujours positionnées à quatre pattes dans ce parking désert, Isabelle et moi sommes maintenant léchées par tous ces pervers qui introduisent leurs langues dans notre chatte, nos trous du cul. Tous nos orifices sont explorés, fouillés. Nos seins sont malmenés par des mains avides qui les tirent, les malaxent sans aucuns ménagements. On nous oblige à sucer des doigts couverts de sperme puis à nous embrasser langue contre langue.
Nous devons sucer sous la contrainte nos propres maris qui n’ont pas l’air gêné du tout. On allonge Isabelle et l’Obèse la pénètre et la lime furieusement. Il jute dans son ventre la remplissant de sperme. Puis elle doit le sucer pour le nettoyer.
Le plus jeune et le vieux pervers décident de s’occuper de moi, ils me prennent en sandwich, un dans ma chatte, l’autre dans mon cul alternant leurs coups de bites, faisant ballotter mes seins. Un autre enfonce sa queue dans ma bouche. Celui qui m’encule bouge de plus en plus vite dans mon cul et finit par éjaculer. Celui que je suce décharge dans ma bouche m’envoyant son sperme au fond de ma gorge. Le dernier se dégage et m’éjacule sur le visage.
Nous avons été baisées Isabelle et moi pendant des heures enculées un nombre incalculable de fois, soumises à toutes les dépravations de ces pervers. On a éjaculé sur nos cheveux, nos chattes, nos culs, nos bouches, souillant nos visages. Nous sommes remplies de sperme. Nous en avons sur tout le corps. Nous avons été prises de toutes les façons, dans toutes les positions. Sabrina et Marie nous prennent alors à part et nous demandent de leur sucer la moule. Nous protestons, n’en pouvant plus.
– Tais-toi, la bourge ! Tu n’es qu’un sac à foutres, une traînée !
Je suis saisie et plaquée au sol, jambes écartées. Sabrina s’est assise sur mon visage et frotte sa moule sur mon nez et mes lèvres. Elle me barbouille le visage de sa mouille. Je suis forcée d’ouvrir la bouche pour lui lécher la chatte et lui pomper le clitoris. Isabelle subit le même sort avec Marie pendant qu’un des hommes la baise furieusement. Puis nous devons sucer Sabrina et Marie en donnant de grands coups de langue sur leurs chattes dégoulinantes, les faisant jouir.
C’est à ce moment que surgit le gardien du parking, celui qui était à la caisse. Il est accompagné d’un pitbull menaçant, les babines retroussées. Il nous menace d’appeler les flics si on ne dégage pas rapidement les lieux. Mohamed, Hervé et Marie s’approchent de lui et commencent à lui parler. Nous sommes relevées Isabelle et moi et on nous débarbouille la figure, enlevant le sperme avec un mouchoir. Le gardien change d’attitude, nous regardant avec une lueur perverse dans le regard. Ce n’est pas compliqué de comprendre ce qu’on est en train de lui dire. Il s’approche de moi, le chien a ses côtés.
– Alors, la bourgeoise ? On fantasme dans les parkings souterrains ? On veut se faire prendre à la chaîne, comme une vulgaire pute ?
Je reste sans voix. Voilà donc ce qu’ont imaginé Mohamed et Hervé. Il me pousse vers le capot d’une voiture et ordonne à Isabelle de faire la même chose. Nous devons nous allonger, les escarpins posés sur le pare-chocs de la voiture. Je pense qu’il va nous prendre mais le gardien est bien plus pervers. Il tire sur la laisse de son chien, le faisant avancer vers la fente de Isabelle qui instinctivement serre les cuisses. On la frappe sur les seins et elle se repositionne correctement, dévoilant sa fente.
Le chien s’approche en grognant et il se relève, posant ses pattes sur le capot. De cette manière, il est à la hauteur de la vulve de Isabelle. Il approche le museau et commence à lui lécher la fente. Isabelle pousse un « Ho » de surprise et de dégoût mêlé. Sa truffe s’enfonce de plus en plus loin. Perdant toute dignité, Isabelle halète en secouant la tête dans tous les sens, ouvrant largement les cuisses. Le chien ouvre la gueule, pointant sa langue, l’enfonçant dans le vagin de Isabelle. Il lape les gouttes de mouille qui s’en échappe. Isabelle ouvre la bouche mais aucun son n’en sort comme si elle étouffe. Elle pousse tout à coup un petit cri et jouit dans un spasme. Elle ferme les yeux, tentant de reprendre son souffle. Le gardien s’approche de moi sortant sa bite gonflée à bloc.
– J’en peux plus salope, tu vas me sucer la bite.
Trop heureuse d’échapper au chien, je me relève, me mets à genoux et prends sa bite dans ma main, le masturbant un peu avant de l’enfoncer dans ma bouche. Elle est dure comme l’acier et je commence mon mouvement de va-et-vient, lui pompant le gland. Il me demande de m’appliquer, me menaçant de me faire baiser par le chien. Frémissante a cette idée, je fais du mieux que je peux, lui suçant le gland, lui léchant la hampe, lui malaxant les couilles. Il me relève brusquement, me fait pivoter contre le capot. Courbée en avant, les seins écrasés contre la tôle, je pousse un cri quand je sens soudain la langue du pitbull me lécher la fente. Ce gardien est diabolique, il m’a fait croire que j’échapperais au chien alors qu’il n’en est rien. J’entends les autres éclater de rire. Le chien enfonce sa langue dans mon vagin puis il lèche mon anus. Il revient au vagin, il enfonce sa langue de plus en plus loin. Je halète, c’est une sensation extraordinaire, à la fois écœurante et terriblement excitante. Je suis sur le point d’avoir un orgasme quand je sens que le gardien repousse le chien. Je pousse un cri de frustration mais il enfonce sa bite dans ma chatte me tenant solidement aux hanches et commence à me donner des coups de reins puissants.
À côté de moi, Henri, mon mari, baise Isabelle comme une brute sous le regard pervers de son mari, Albert. Le gardien accélère ses coups de reins et éjacule sur mon dos. Isabelle gémit à côté de moi, poussant des petits cris, se tordant sous les coups de boutoirs de mon mari. Celui-ci se retire soudain et lâche son sperme sur le ventre de Isabelle. Nous nous relevons, exténuées, vidées. Les cinq internautes et le gardien prennent congé de nous et nous nous dirigeons vers la Mercedes pour rentrer. Marie se penche vers moi :
– Pour demain, après les cours, nous irons dans le chantier qui est coté du pavillon. Tu as remarqué comme les ouvriers te reluquent chaque fois que tu passes devant ? Je suis sûre qu’ils seraient ravis que je t’y emmène toi et l’autre salope !
Je n’ai pas le temps de répondre. Une voiture surgit soudain faisant crisser ses pneus, trois hommes en surgissent, pistolet au poing, en criant :
– Police !
Tout le monde reste immobile. J’aperçois soudain Sébastien, mon gendre, sortir d’une autre voiture avec un homme. Sébastien s’approche de moi et me prend dans ses bras.
– Le cauchemar est fini belle maman.
Il me présente l’homme à côté de lui, un commissaire de police à qui il a tout raconté. On passe les menottes à Marie, Sabrina, Mohamed et Hervé. Sébastien m’explique qu’une « souricière » a été montée dès le matin et qu’ils nous ont suivis pour les prendre en flagrant délit. Une pensée sournoise me traverse l’esprit ils auraient pu intervenir plus tôt. Les policiers, on bien du se rincer l’œil.
Sabrina, Mohamed, Hervé et Marie sont emmenées au SRPJ pour être mis en garde à vue. Plus tard je raconterai mon histoire à un officier de Police Judiciaire qui m’auditionnera pendant des heures. Pendant que je lui explique comment je suis devenue l’esclave de ses jeunes, comment ils m’ont contrainte à me prostituer dans un bar, une cave et même un sex-shop, je me demande s’il bande.
Sabrina, Marie, Hervé et Mohamed ont été condamnés à quinze ans de prison ferme pour agressions sexuelles. Je sais qu’aujourd’hui Hervé et Mohamed sont devenus les « vides couilles » des Caïds de la prison. Y a une justice quand même. Le Maire a gagné les élections municipales et Isabelle est devenue 1er Maire Adjointe. Il paraît qu’elle est la maîtresse du Maire. Muriel et Sébastien se sont mariés et ont ouvert un cabinet d’avocat qui marche très bien. Quand a moi, J’ai changé de lycée et de région pour oublier cette terrifiante histoire. Mais ma vie je dois bien le reconnaître a complètement été bouleversée. J’ai divorcé et je vis avec un homme plus jeune que moi. Il est adorable mais il a des fantasmes. Nous allons tous les week-ends dans une boîte échangiste. Il adore me voir me faire baiser par d’autres hommes que lui. Que les hommes peuvent être cochons !
FIN
Marie Claude