Après cette nuit de folie où ma fille, son futur mari et sa belle-famille ont été contraints d’obéir aux ordres pervers de ma domestique Marie et à ses désormais complices, Mohamed, Hervé et Sabrina, nous sommes tous dans une espèce de torpeur dont nous avons du mal à sortir.
Gaston, Manuel et Benoît, qui nous avaient rejoints pour pouvoir abuser de nos corps, nous ont quittés tout en nous faisant promettre à moi et à Isabelle de venir les retrouver bientôt dans leur bar. Isabelle est écroulée sur le sol du salon, les cuisses largement ouvertes, cuvant les nombreux orgasmes qu’elle a eus au cours de cette soirée.
Ahmed et Sébastien mon futur gendre, insatiables, s’occupent de ma fille Muriel. Elle est à genoux sur le sol du salon, masturbée par un gode enfoncé dans son vagin et un autre dans son anus. Les deux godes sont manipulés par Sébastien et Ahmed qui les font coulisser dans les orifices de ma pauvre fille qui gémit de plaisir. Par moments, on retire un des godes et on l’oblige à le nettoyer avec sa langue, le suçant comme si c’était une bite, léchant sa mouille.
Sabrina s’occupe de moi. Elle est assise sur un des fauteuils du salon, les cuisses largement écartées et je dois la sucer, passant ma langue sur sa fente, agaçant son clitoris pendant qu’elle me tient par les cheveux en me traitant de salope et de bourgeoise perverse. Des flots de mouille s’échappent de sa vulve, dégoulinant sur mon visage. Sabrina agite son bassin pour venir à la rencontre de ma langue tout en se triturant les seins.
– Ah ma salope, tu sais y faire.
Elle regarde Isabelle, toujours allongée sur le sol du salon, qui s’est plongée deux doigts dans sa chatte dégoulinante et qui se masturbe, haletante, les yeux hors de la tête. À côté d’elle, mon mari Paul, le sexe à la main, se masturbe comme un fou en soufflant. Isabelle se pince soudainement le clitoris et elle a un orgasme la faisant hurler de plaisir.
Elle est bientôt rejointe par Muriel qui se tord de plaisir sur le sol, un gode toujours enfoncé dans sa chatte et son cul, et qui pousse un cri quand l’orgasme la submerge.
Sabrina prend ma tête à pleine main et me plaque la bouche sur sa fente en poussant, elle aussi, un hurlement. Paul éjacule en lâchant un torrent de sperme sur le visage de Isabelle.
Albert, lui, est à genoux devant Marie et il lui lèche la vulve.
Ahmed signale qu’il doit retourner bosser dans son sex-shop de la rue des merles et il demande s’il ne peut pas nous emmener Isabelle et moi. Muriel ne semble pas l’intéresser. Il est sans doute plus excité par deux bourgeoises d’âge mûr.
Marie et Sabrina se concertent et décident qu’il peut nous emmener mais à condition que Marie vienne avec lui pendant que Sabrina restera avec les autres dans notre pavillon. Je suis mortifiée d’apprendre que l’on va nous conduire dans ce haut lieu de la prostitution, nous, deux bourgeoises respectables.
Isabelle semble aussi abattue que moi. Elle proteste en disant qu’il est hors de question qu’elle les suive. Marie s’approche d’elle et lui susurre d’un ton à la fois doux et menaçant qu’elle a intérêt à obéir car tous ses exploits sexuels de cette nuit ont été filmés et que si elle ne veut pas que ce soit connu de ses clients ou du Maire, elle a intérêt à être très gentille. Isabelle baisse la tête, vaincue.
Nous sommes contraintes de nous déshabiller et nous leur offrons un strip-tease digne des plus grandes professionnelles. Isabelle et moi enlevons donc nos vestes et nos jupes de tailleur BCBG et nos bas pour apparaître toutes nues devant eux. Ahmed sort du sac qu’il avait amené en arrivant des vêtements trouvés dans son sex-shop. Isabelle doit enfiler un corset qui comprime ses gros seins opulents et une jupe en vinyle noire ultracourte ainsi que des bas résille et des cuissardes à hauts talons. Ma tenue n’est pas mieux : Une minijupe en cuir rouge, un body noir transparent qui laisse voir mes seins puisque bien entendu je n’ai pas le droit de porter de sous-vêtements et des mules à talons aiguilles très haut également. Je porte aussi des bas résille.
Isabelle et moi, nous nous regardons, honteuses d’être attifées de cette façon, comme des putes, nous, des mères de famille, des femmes respectables et respectées par les habitants de cette ville huppée où nous habitons. Que vont penser ces habitants bien-pensants si jamais ils nous voient dans cette tenue, moi, le professeur de français et Isabelle, la Conseillère municipale.
Marie et Ahmed nous poussent dehors et on décide de prendre la voiture de Albert et Isabelle, une Mercedes. Nous montons à l’arrière, Marie au milieu et Ahmed au volant sous l’œil de Albert, qui semble plus inquiet pour sa Mercedes que par le sort que l’on réserve à son épouse.
Nous roulons longtemps. Pendant tout le temps du trajet, Marie nous masturbe, nous faisant couiner de plaisir. Elle a faufilé sa main sous ma jupe et me branle sans ménagement, mais en s’arrêtant à chaque fois qu’elle sent que je vais jouir. C’est un jeu qu’elle adore visiblement. Elle fait de même avec Isabelle la laissant au bord de l’orgasme à chaque fois. Elle a un regard exorbité, elle halète comme une folle et se tord par moments. Elle supplie même Marie de la faire jouir ce qui fait éclater de rire Ahmed.
– Ne t’inquiète pas ma chérie, tu vas jouir crois, moi, j’ai des clients pour toi !
Isabelle ne dit plus rien, catastrophée par ce qu’elle vient d’entendre. Marie en rajoute :
– Évidemment, vous les bourgeoises friquées vous ne savez pas ce que c’est, mais nous autres on a des fins de mois difficiles. Vous allez pouvoir nous aider à augmenter notre pouvoir d’achat.
Nous arrivons dans le quartier de la gare et Ahmed gare la Mercedes dans une contre-allée. Nous descendons et nous nous dirigeons vers une rue transversale que je reconnais comme étant la rue des merles. Faut dire que ce serait difficile de se tromper. Il y a un sex-shop ou un peep-show. Pendant que nous descendons cette rue, nous avons droit à plusieurs regards lubriques posés sur nous par des clients de prostituées, qui se trouvent un peu plus hauts, nous explique Ahmed. Nous entrons dans son sex-shop. Un homme à la caisse nous regarde, étonné. Ce n’est pas si souvent que deux femmes viennent dans son magasin. Il est encore plus étonné d’entendre Ahmed lui dire :
– Salut Daniel. Ces deux bourgeoises veulent s’amuser avec nous.
Le dénommé Daniel le regarde intrigué et perplexe. Il doit se demander si nous sommes vraiment des bourgeoises comme Ahmed le prétend. Je le sens qui nous observe. Puis, il doit se dire que cela doit être vrai.
– Ah ces bourges ! Toutes les mêmes ! Ça joue les femmes respectables mais dès que ça peut se dévergonder. Même déguisées en putes, on voit qu’elles viennent des beaux quartiers ces deux salopes.
Autour de nous quelques clients, des jaquettes de DVD à la main, s’arrêtent de les regarder soudain plus intéressés par le spectacle à la caisse. Affolée, Isabelle fait mine de vouloir repartir mais Marie qui la tient fermement par la main lui ordonne de rester là. Ahmed s’approche de Isabelle et soulève sa jupe en vinyle pour bien montrer qu’elle ne porte rien dessous.
– Elle rechigne un peu au début, mais quand elle est chaude, elle supplie qu’on la baise.
Marie enfonce deux doigts dans la chatte de Isabelle commençant à la masturber. Ahmed s’approche de moi et me lance :
– Va sucer mon pote !
Je m’approche du fameux Daniel qui n’en revient pas du fantasme qu’il est en train de vivre. Une bourgeoise déguisée en pute va lui faire une pipe gratos. Je m’agenouille et sors son sexe de son pantalon. Il est déjà gonflé, épais et dur comme l’acier tant il est excité. Je l’avale et commence à le sucer.
Pendant ce temps, Marie a positionné Isabelle à quatre pattes sur le sol, jupe retroussée, et elle la fouille en alternant un doigt dans son vagin et un autre dans son cul. Isabelle, la bouche ouverte, halète. Un client s’approche se touchant à travers son pantalon, le regard fou. Marie lui demande s’il veut qu’Isabelle le suce. Pour toute réponse il sort son membre qu’il pointe en direction des lèvres pulpeuses de la femme mature. Marie relève Isabelle, la mettant à genoux. L’autre lui enfile aussitôt son sexe dans sa bouche.
Daniel fait coulisser sa queue entre mes lèvres et je le pompe du mieux que je le peux. Je lui prends les couilles à pleines mains par moments et il s’enfonce encore plus dans ma gorge. J’ai parfois l’impression qu’il veut me toucher la glotte avec sa queue.
Du coin de l’œil, je peux observer Isabelle. Maintenant elle s’active comme une forcenée sur la bite du client qui lui donne des coups de bassin pour encore plus s’enfoncer dans cette bouche de bourgeoise qui lui taille une pipe avec professionnalisme. Isabelle émet par moments un son, un gémissement étouffé par le mandrin qui lui obstrue la bouche. Elle sort la bite, passe sa langue sur la hampe et replonge dessus avec avidité. C’est le client qui jouit en premier. Il déverse dans la bouche de Isabelle un flot de sperme qu’elle doit avaler, la tête fermement tenue par Marie.
Daniel, voyant cela, ne peut se retenir plus longtemps et, sortant sa queue, il éjacule sur ma jupe en cuir, lâchant de puissants jets de foutre.
L’homme à qui Isabelle vient de faire une « gâterie » se rajuste et Ahmed lui demande de payer la prestation de Isabelle. Tout content, il accepte sans rechigner même quand Ahmed lui donne le tarif qui est, dit-il, largement au-dessus du prix normal. Marie lui explique le tarif en lui faisant remarquer que c’est une authentique bourgeoise qui vient de lui faire cette fellation, pas une pute de bas étage. Ce qui parut le convaincre. Isabelle et moi nous nous regardons, honteuses.
Bien que j’aie déjà connu cette situation dans la cave de la Cité de Hervé et Mohamed qui m’ont déjà prostituée pour se faire de l’argent de poche, je suis effondrée d’être à ce point rabaissée au niveau d’objet sexuel. Nous ne sommes plus Isabelle et moi, que des poupées de chair que l’on manipule comme on veut. Mais surtout, comment expliquer que malgré le fait que nous soyons les victimes d’un odieux chantage, nous y prenions autant de plaisir, Isabelle et moi ? Car Isabelle aussi a eu des orgasmes en se faisant maltraiter par nos tourmenteurs. Ne serions-nous devenues, comme le prétendent Marie, Mohamed et Hervé, des bourgeoises salopes, des chiennes qui ne jouissent que dans l’humiliation ? Des bourgeoises masochistes ? Marie relève Isabelle et m’ordonne de venir près d’elle, ce que je fais immédiatement.
– Cette cochonne a du sperme sur le visage, nettoie-la !
Je m’approche, hésitante, du visage de Isabelle qui me regarde, une lueur trouble dans ses jolis yeux. Je sors timidement ma langue et Marie me claque les fesses après avoir relevé ma minijupe.
– Plus vite !
Je m’exécute. Je la nettoie en passant ma langue sur son visage. Je lèche les quelques traces de sperme que son client lui a laissé bien qu’il ait éjaculé dans sa gorge. Ahmed prend des photos avec son téléphone portable. Marie m’agrippe par les cheveux et pose mes lèvres sur celles de Isabelle. Celle-ci garde les lèvres obstinément fermées en lâchant un cri de protestation étouffé. Je reçois encore une violente fessée et je sors ma langue forçant le barrage de ses lèvres. Nos langues s’enroulent et nous nous embrassons, rouges de honte.
Marie nous éloigne et nous sommes dirigées par elle et Ahmed vers le fond du sex-shop. C’est là que se trouvent les cabines de projection privées. Nous sommes mises à genoux et on nous ordonne d’attendre. Un homme arrive, sans doute envoyé par Daniel.
C’est vrai qu’on peut se taper des bourgeoises salopes ici ? Demande-t-il avec un regard rempli de perversion.
Marie nous désigne et lui demande de payer d’avance. Il s’exécute et sort sa bite déjà dressée et se met devant moi.
– Vas-y ma chérie, fais-moi une pipe d’enfer.
J’ouvre la bouche et aspire son sexe. Il m’insulte pendant tout le temps de la fellation, me traitant de pute. Quand il éjacule sur mon visage, je me rends compte qu’il y a déjà plusieurs hommes qui attendent leur tour. Quand l’homme part c’est le signal de la curée. Nous sommes manipulées, Isabelle et moi comme des poupées. On sort les seins de mon body, le déchirant à moitié et je vois qu’on fait de même avec Isabelle. Ma poitrine est manipulée par des mains avides, on me tord les tétons, on me malaxe les seins dans tous les sens. On enfonce des doigts dans ma chatte dégoulinante de mouille et dans mon anus. Nous sommes maintenant à quatre pattes, Isabelle et moi.
À côté de Isabelle, un grand type lui présente une bite qui me paraît énorme. Docile, Isabelle tourne la tête vers cette virilité et ouvre la bouche. L’homme s’engouffre et commence à donner des coups de bassin en tenant Isabelle par les cheveux. Derrière elle, un homme à genoux lui agrippe les hanches et plonge dans son vagin lui donnant de violents coups de reins.
Je pousse un petit cri quand quelqu’un me pénètre avec brutalité et commence à me limer furieusement. Son ventre claque contre mes fesses. Devant moi, une queue apparaît et sans réfléchir, j’ouvre la bouche, soumise.
On a changé Isabelle de position et elle est empalée sur une queue. Elle s’agite en gémissant, ses gros seins ballottant dans tous les sens. Cela dure des heures. Isabelle et moi sommes baisées de toutes les façons. On nous éjacule dans la bouche, sur le visage, dans les cheveux. Nous sommes recouvertes de sperme. On en a sur tout le corps. Les hommes qui nous défoncent sans aucun ménagement poussent des cris d’animaux quand ils se déversent sur notre corps. Isabelle, à un moment, sera prise par les trois orifices : Empalée sur un client allongé, pénétrée par le cul et une bite dans la bouche. Les trois hommes jouirent assez rapidement, l’aspergeant de leur semence sur son visage.
On se presse autour de moi, glissant des mains sous ma jupe et mon body. On me présente une bite et une forte odeur d’urine manque me faire vomir. On frotte la queue sur mon visage en me caressant les seins. Je ne sais plus où je suis, je suis trempée et je halète comme une noyée.
Isabelle tente de recracher le sperme quand un des types lui gicle sa semence au fond de son palais, l’obligeant à avaler pour ne pas s’étouffer. Le client qui est derrière elle se retire de son ventre et lui pénètre le cul. Elle pousse un gémissement sourd. L’homme se met à la pistonner en lui claquant les fesses par moments. Elle ouvre la mâchoire pour crier mais le bâillon de chair qu’elle a entre les lèvres l’empêche d’émettre le moindre son. L’homme qui l’encule accélère son va-et-vient et sort précipitamment sa bite pour éjaculer sur son dos.
J’accélère également ma fellation pour que mon client éjacule au plus vite. Il sort sa queue et « lâche la purée » sur mon visage. Des traînées de foutres coulent sur mes lèvres et mon menton et je passe ma langue pour me nettoyer. Je ne sais pas combien de temps nous avons passé dans ce sex-shop.
À un moment, nous comprenons que nos clients sont partis. Je me rapproche de Isabelle, nous sommes couvertes de sperme toutes les deux. Nous en avons sur le visage et nous nous nettoyons avec un mouchoir. Marie et Ahmed arrivent et nous regardent avec un air goguenard. Ils nous demandent si nous nous sommes bien éclatées.
Nous sortons du sex-shop et Ahmed promet à Daniel que nous reviendrons en agitant dans sa main la liasse de billets. Visiblement, nous avons bien travaillé. Nous nous dirigeons vers la Mercedes mais une surprise nous y attend. Deux filles, des prostituées à n’en pas douter sont contre la portière de la voiture. Elles ont entendu parler des deux bourges qui se conduisent comme des putes et elles se plaignent de concurrence déloyale. Elles demandent une compensation qui leur est accordée par Marie et Ahmed. Sarah et Elena, c’est le nom des deux putes qui visiblement viennent des pays de l’Est visiblement et parlent avec un fort accent russe, nous obligent, Isabelle et moi, à nous pencher sur le capot de la Mercedes, les seins écrasés, la croupe cambrée. Elles commencent par nous donner la fessée et très vite nos culs deviennent rouges sous les coups. Puis, elles nous obligent à marcher à quatre pattes sur le bitume, nous écorchant les genoux et déchirant nos bas. Elles nous donnent toujours des coups, parfois avec un martinet qu’elles ont sorti de leur sac à main.
Puis, Sarah s’allonge sur le capot de la voiture et oblige Isabelle à lui lécher la fente. Isabelle obéit, lui donnant de grands coups de langue pendant que je suis penchée par Elena sur le capot et qu’elle introduit le manche du martinet dans mon cul et qu’elle le fait coulisser rapidement.
Marie prend des photos, beaucoup de photos. Sarah se retourne et exige qu’Isabelle lui lèche le trou du cul. Isabelle hésite et il faut la menacer de rester ici toute la nuit pour qu’elle obtempère. Elle se penche et je suis le témoin involontaire de sa déchéance complète. Elle, la femme exemplaire, est en train de lécher le trou du cul d’une prostituée qui la traite de tous les noms pendant que Marie, se prenant au jeu, lui claque les fesses.
Elena continue de me branler le cul avec le manche de son martinet et je la supplie d’arrêter. Elle se positionne sur le capot et écartant les cuisses, elle me demande de la lécher. Je me précipite, complètement excitée par cette situation et je lui aspire le clitoris, lui léchant sa vulve dégoulinante. Très vite, elle a un orgasme foudroyant, la laissant pantelante. Les deux putes veulent finir en nous ordonnant de pomper Ahmed. Nous devons-nous traîner jusqu’à lui à quatre pattes et sortir sa queue de son pantalon. Sa bite est dure et épaisse et je commence par la prendre dans ma main et à le masturber. Puis je l’enfourne dans ma bouche et commence à le sucer, lui donnant des coups de langue sur son gland. Pendant ce temps, on oblige Isabelle à lui malaxer les couilles remplies de sperme. On alterne. Je suce Ahmed puis il sort sa bite et la plonge dans la bouche de Isabelle qui le pompe en faisant des bruits de succion interrompus par un gémissement de sa part quand Sarah ou Elena lui assène une claque sur ses fesses. Cela dure un bon moment avant que, n’en pouvant plus, Ahmed se vide sur Isabelle et moi nous aspergeant par saccades de son sperme qui s’étalent sur nos nez et nos lèvres. Des filaments coulent lentement et tombent sur nos seins.
Marie et Ahmed prennent congé de Sarah et Elena qui repartent « travailler » et nous montons dans la Mercedes direction mon pavillon pour y retrouver ma fille, mon gendre et mon mari. Dans la voiture qui me ramène chez moi, je me demande ce que Marie et ses amis nous réservent encore.
À suivre…