C’est une chaude soirée d’été. Une de ces soirées où l’air est si pesant qu’il vous colle à la peau. Nous en sommes à la moitié de nos vacances que nous passons dans la maison que nos cousins ont mise à notre disposition. Cherchant à fuir la moiteur ambiante, nous avons pris place à l’étage, sur la banquette matelassée du salon. Toutes les fenêtres sont ouvertes et un léger courant d’air tiède caresse délicatement notre peau humide.Le reportage diffusé à la télévision est loin d’être captivant et laisse à mon esprit tout le temps de voguer d’une pensée à l’autre. Je regarde ma femme. Sa robe très simple, en tissu léger, laisse apparaître ses jambes et ses bras nus. Sa peau hâlée par le soleil a des reflets dorés et sa poitrine se soulève doucement au rythme de sa respiration tranquille. Langoureusement étalée, les pieds sur la table basse, elle offre son corps à mon regard. Je la trouve tout simplement belle et désirable.Je me penche vers elle et me mets à l’embrasser tendrement. Les joues, le nez, le cou, la bouche sont les premières victimes de mes lèvres. Feignant un intérêt pour le reportage, elle me repousse gentiment afin de retrouver son champ de vision. Prenant alors le relais de mes lèvres, ma main entame une lente caresse. Ses cheveux châtains sont soyeux et la peau de son visage lisse et douce. Stoïquement, ses yeux restent rivés à l’écran. Pourtant, à chaque passage de mes doigts sur ses lèvres, la pointe de sa langue m’encourage à continuer mon exploration. Peu à peu ma main quitte son visage et s’aventure vers son cou et sa gorge. Imperceptiblement, sa respiration s’accentue, devient plus profonde. Elle fixe toujours l’écran, totalement immobile. De lents mouvements, plus proches de l’effleurement que de la caresse, mènent ma paume sur son buste. Elle ne porte pas de soutien-gorge et le tissu de sa robe galbe discrètement ses seins. Volant d’un côté à l’autre, montant et descendant avec légèreté, mes doigts ralentissent à l’approche de ses globes dont les pointes ne tardent pas à durcir à travers le coton. Mes gestes se font plus précis et au moment ou je commence à pétrir doucement ses seins, elle laisse échapper un soupir de satisfaction. Plusieurs minutes s’écoulent ainsi avant que je ne reprenne mes baisers. J’ouvre alors délicatement la fermeture dorsale de sa robe et en fait glisser les bretelles sur ses bras. Ma bouche quitte à nouveau la sienne pour descendre vers ses épaules, sa gorge et la naissance de ses seins. Je finis par dégager complètement sa robe qui, une fois rabattue sur ses hanches, offre enfin à ma vue sa poitrine. Ma bouche prend le relais de mes mains, couvrant de baisers tout son buste. Sa respiration se fait plus présente et ses seins durcirent encore au contact de ma langue. Totalement passives jusque là , ses mains rejoignent ma bouche. Ses doigts jouent avec ma langue et ses tétons dressés, alors que ses paumes remontent ses globes en les pétrissant.Un bon quart d’heure de ce traitement a raison de son calme. Sa respiration profonde devient peu à peu plus rapide. Sur le chemin de ses jambes, ma main trouve la télécommande. Une pression sur le bouton d’arrêt plonge soudain la pièce dans le silence et la pénombre. Remontant alors sa robe, mes doigts effleurent son entrejambe. Le triangle recouvrant son sexe est humide. Ecartant l’élastique, je glisse lentement ma main sous le coton, découvrant la moiteur de son intimité. Mes doigts n’ont aucune peine à se frayer un chemin. Ses grandes lèvres déjà ouvertes, mes caresses se font immédiatement précises. Son corps immobile jusqu’alors se cambre. Le ton est donné. Ses soupirs font place à de doux gémissements. Mes doigts s’introduisent en elle et remontent sur ses seins pour y répandre son jus. Elle saisit alors ma tête et plaque ma bouche sur sa poitrine, puis m’embrasse fougueusement, léchant mes lèvres pour y récolter son propre goût. À chaque passage sur son sexe, ses doigts suivent les miens et tournoient sur sa vulve et son clitoris, y répandant sa moiteur avant de s’introduire dans son vagin. Son autre main abandonne ses seins pour se diriger vers mon sexe dressé que mon short a de la peine à contenir. Elle décalotte le gland et entama une douce masturbation, répandant sur toute sa longueur et sur les testicules le liquide témoin de mon excitation. Puis sa main trempée revient sur ses seins, sur son visage. Je la débarrasse de ses derniers vêtements, fait glisser mon short et me dévêt totalement. Une fois nus, nous continuons nos attouchements, recouvrant ainsi peu à peu nos corps de nos liqueurs respectives. La douceur de nos gestes et le goût de nos ébats sont si agréables qu’il se passe un temps infini avant qu’elle ne se décide à passer à autre chose. Me repoussant doucement, elle se lève.M’ayant pris par la main, elle me conduit à l’extérieur, dans le jardin, ou une balancelle semble nous attendre. La nuit est claire et calme. De faibles rumeurs nous parviennent des maisons environnantes, mais masqués par la haute haie entourant la piscine, nous ne pouvons voir les lumières du voisinage. Elle s’assied sur la balancelle puis remonte ses jambes pour les poser sur le rebord. Ainsi exposée sous le ciel étoilé elle est plus désirable que jamais. Je m’agenouille et ma bouche prend possession de son sexe. Il a gardé les traces de nos jeux précédents et mes lèvres se pressent goulûment sur sa vulve. J’en explore de la langue les moindres recoins et mes mains rejoignirent les siennes sur sa poitrine ou ses tétons durcis semblent prêts à exploser sous la pression conjointe de nos doigts. Je la fais ensuite basculer sur le dos et me place entre ses jambes. Ma verge n’à aucune peine à trouver le chemin de son sexe dégoulinant et la pénétration est profonde. La réaction ne se fait pas attendre. Un long râle s’échappe de sa bouche et elle attire ma tête au creux de son cou. À mesure que mes mouvements s’accélèrent, ses gémissements augmentent. Elle me mordille l’oreille, griffant amoureusement mon dos et mes fesses, et nos mouvements deviennent plus saccadés. Elle détache son visage du mien et nos regards se croisent. Une lueur étrange illumine ses yeux. Me repoussant à nouveau, elle se lève, puis se glisse délicatement dans la piscine. Lentement, elle entreprend une traversée. J’observe son corps luisant flottant sur l’eau. Quel bonheur ! Une fois atteinte la partie la moins profonde du bassin, elle se hisse et s’assied sur le bord, cuisses écartées et pieds dans l’eau. L’invite était claire. Il me faut peu de temps pour la rejoindre et me retrouver à nouveau avec mon visage à la hauteur de son sexe. Cette fois, le goût et l’odeur du chlore se mêlent à ses senteurs. Ma langue se fait moins douce qu’auparavant et les petits coups donnés sur son clitoris gonflé provoquent l’ondulation de son bassin. Elle ne résiste pas longtemps à ce traitement et, se laissant couler dans l’eau, vient s’empaler directement sur mon sexe dressé. Entourant mes reins de ses jambes, portée par la pression de l’eau, elle se met à monter et à descendre de plus en plus vite. Nos bouches se mêlent jusqu’à l’explosion conjointe.Retrouvant peu à peu notre souffle et nos esprits, nous nous laissons flotter quelques instants, contemplant le ciel étoilé tout en nous lavant mutuellement le corps Puis c’est mon tour de la prendre par la main. Une fois séchés, je la conduis à notre chambre, la pousse doucement sur le lit et recommence à l’embrasser. Sa chair est fraîche et encore un peu humide. Elle prend alors ma tête et la dirige vers son sexe à nouveau ruisselant. J’y pose mes lèvres et ma langue reprend son lent va-et-vient. Elle pousse mon bras jusqu’à ce que ma main soit à l’entrée de son vagin. Tirant alors sur mon poignet, elle y fait pénétrer mes doigts et leur imprime un rythme identique à celui que ma langue a adopté sur son clitoris. Lâchant alors ma main, elle entreprend à nouveau de se masser la poitrine, tirant même fortement sur ses pointes. Son bassin se met à onduler, se cambre et vient à la rencontre de ma bouche pour accentuer la pression de ma langue et de mes doigts qui tournoient en elle. Puis elle se dégage, me retourne sur le dos et, après avoir frotté son sexe sur mon visage, mon buste et mon ventre, vient se poser sur ma verge. Durant quelques minutes, ses mouvements sont amples et lents. Mais nos quatre mains sur sa poitrine lui font adopter un rythme plus soutenu auquel je ne peux résister. Alors que j’éjacule en elle, elle ralentit, laissant couler le long de ma verge le sperme qui s’échappe de son vagin, puis se dégage et vient poser son sexe sur mon visage. Sa respiration est entrecoupée et ses mains torturent ses seins. Rapidement menée au bord de l’orgasme, elle frotte avec frénésie sa vulve sur ma bouche, dirige ma main sur son clitoris et le masse avec force jusqu’à l’explosion. Ondulant encore quelques instants, laissant retomber la tension, elle se roule sur le côté et m’attire à elle, entreprenant de m’embrasser et de lécher mon visage couvert de sa liqueur et de mon sperme mélangés. Enfin, épuisés, transpirants et heureux, nous nous endormons dans les bras l’un de l’autre.