Audrey a ouvert le journal au signet suivant et a continué.
«âCharles est inconscient de lâaffliction de Donna, mais chaque fois quâelle le regarde, je peux voir le dĂ©sir brĂ»ler dans ses yeux. Elle nâest plus la fille heureuse et extravertie quâelle Ă©tait, et elle se retire de plus en plus chaque jour. Je sais ce dont elle a besoin. Elle me ressemble beaucoup Ă bien des Ă©gards, mais contrairement Ă moi, elle nâa pas de frĂšre excitĂ© pour le lui donner. Je devrais peut-ĂȘtre demander Ă Charles sâil veut aider. Je suis sĂ»r que je peux le persuader de laisser Donna nous rejoindre au lit quand ses besoins seront trop grands.â»
«âWĂŽwâ»
«âOuaisâ»
«âEt, est-ce quâils⊠tu saisâ?â»
«âJe nâen suis pas encore lĂ â»
«âMais tu penses quâils le ferontâ?â»
«âJe ne sais pasâ»
«âTu me le liras quand il arrivera quelque chose, nâest-ce pasâ?â»
«âBien sĂ»râ»
«âJâespĂšre quâelle le fera. Ce serait trop sexy. Je peux dĂ©jĂ lâimaginer : Maman couchant avec son propre pĂšreâ»
«âTâes bizarreâ», riait Audrey.
«âJe sais, je sais. Mais tu adores çaâ».
«âOuiâ», elle a admis et mâa embrassĂ© sur les lĂšvres.
Nous nâavons pas eu le temps de faire plus que dâĂ©changer quelques baisers, car il Ă©tait presque lâheure du coucher et nos parents allaient monter Ă lâĂ©tage Ă tout moment. En effet, quelques secondes seulement aprĂšs quâAudrey et moi avons cassĂ© notre baiser, la porte sâest ouverte et maman est entrĂ©e.
«âBien, tu es dĂ©jĂ lĂ â», mâa-t-elle dit. «âJe suis dĂ©solĂ©, mais on a dĂ» mettre tout ça quelque partâ».
«âCâest bon maman, Audrey mâa dĂ©jĂ expliquĂ©.â» Jâai dit. CâĂ©tait dur de regarder maman et de garder un visage sĂ©rieux.
«âDâaccord. AlorsâŠ. euh, le lit est assez grand pour deux, mais si vous prĂ©fĂ©rez dormir ailleurs, il y a un lit pliant, ou vous pouvez utiliser le canapĂ©.â»
«âCâest bien maman, ça ne me dĂ©range pas de partager un lit avec ma petite sĆurâ»
«âAllez, maman, on est tous les deux des adultes. Je te lâai dit, câest bonâ», ajoute Audrey, peut-ĂȘtre un peu trop impatiente.
«âJe sais⊠Câest juste queâŠâ» Maman a dit «ââŠ. peu importeâ»
Elle secoua la tĂȘte et sortit.
«âOh mon Dieuâ!â» chuchota Audrey. «âElle saitâ!â»
«âElle ne me laisse mĂȘme pas dormir sur la mĂȘme planĂšte que toi si elle avait la moindre idĂ©e de ce que je compte faire de toiâ?â»
«âJe ne sais pas. Souviens-toi, elle a baisĂ© son propre pĂšreâ».
«âVraimentâ?â»
«âProbablement. Pas encore en tout cas. Mais elle lâaurait fait, si elle avait eu la moitiĂ© du temps.â»
«âComme dormir dans un lit, tu veux direâ?â»
Elle hocha la tĂȘte, souriant Ă nouveau.
«âAlors, dis-moi, quels sont ces plans dont tu mâas parlĂ©â?â»
Jâai ri. «âTu vas adorer çaâ».
«âJâen suis sĂ»r. Dis-mâen plusâ».
«âDâabord, je vais commencer par me coucher sur toi et ensuite je vais te faire lâamour jusquâĂ ce que le soleil se lĂšveâ»
«âCâest une promesseâ?â», gloussa-t-elle en riant.
«âJe te le promets.â»
Samedi
Le lendemain matin, je me suis rĂ©veillĂ© le premier, me sentant mieux que jamais. Quand jâai ouvert les yeux, la premiĂšre chose que jâai vue, câĂ©tait le beau visage de ma sĆur, qui dormait encore paisiblement. Elle ressemblait Ă un ange aux cheveux auburn sous le soleil matinal. Jâai observĂ© ses traits dĂ©licats et Ă©coutĂ© sa respiration rĂ©guliĂšre pendant quâelle dormait. Finalement, elle ouvrit les yeux et sourit.
«âHĂ©â», jâai dit.
«âHeyâ»
«âTu as bien dormiâ?â»
«âHmmmâ», elle a souri. Sa main a pris la mienne et nos doigts se sont entrelacĂ©s. «âJâaime coucher avec toi. Jâai rĂȘvĂ© de toi. CâĂ©tait sympaâ»
Elle a tirĂ© mon visage sur le sien et mâa embrassĂ©.
«âSais-tu quelle heure il estâ?â» demanda-t-elle.
«âJuste aprĂšs dix heuresâ»
Elle gĂ©mit tristement. «âIl faut quâon se lĂšveâ».
On sâest douchĂ©s sĂ©parĂ©ment, encore un peu prudents aprĂšs lâĂ©vasion dâhier soir. Audrey y est allĂ©e en premier, puis jâai pris mon tour. Quand je suis rentrĂ© dans notre chambre, elle Ă©tait assise sur le lit, en train de lire le journal. Elle sâappuyait contre le mur, toujours vĂȘtue uniquement de son peignoir, et sa main Ă©tait entre ses jambes.
«âMaman et papa sont partisâ», dit-elle en me voyant. «âNous sommes tous seuls. Je tâattendaisâ».
«âTu jouais avec toi-mĂȘmeâ?â» Jâai demandĂ©.
«âPeut-ĂȘtreâ» dit-elle avec un vilain sourire.
Jâai tirĂ© sa main entre ses jambes et jâai mis les doigts dans ma bouche. Ils avaient un goĂ»t dĂ©licieux de chatte.
«âJe crois que tu caches des bonbons sous ton peignoir. Tes doigts sont collantsâ».
«âPourquoi tu ne le dĂ©couvrirais pas par toi-mĂȘmeâ?â» dit-elle en me redonnant ce sourire.
Je lâai retournĂ©e sur le lit et jâai Ă©tĂ© immĂ©diatement accueilli par une chatte nue et trĂšs excitĂ©e.
«âIl y a des bonbons savoureuxâ», jâai dit : «âIl y en a assez pour moi aussiâ?â»
«âCâest tout pour toiâ», riait Audrey.
CâĂ©tait lâinvitation que jâattendais et jâai baissĂ© la tĂȘte jusquâĂ ce que mes lĂšvres touchent son ventre. De lĂ , jâai embrassĂ© mon chemin jusquâĂ son monticule fraĂźchement rasĂ©, puis devant sa chatte et le long de ses cuisses. Deux fois de plus, jâai croisĂ© les lĂšvres humides en grignotant et en embrassant lâintĂ©rieur de ses jambes, avant de traĂźner soudainement ma langue tout le long de sa fente bouillonnante et de rouler la pointe autour du petit nub de son clito. Elle a inhalĂ© brusquement quand mon doigt lâa pĂ©nĂ©trĂ©e. Jâai mis mon doigt dedans et dehors, et je lâai lĂ©chĂ©e en mĂȘme temps. BientĂŽt, elle gĂ©missait doucement et ses mains sur ma tĂȘte mâont dit quâelle Ă©tait prĂȘte pour plus.
Je lâai tirĂ© plus bas sur le lit et je me suis glissĂ© entre ses jambes. En raison de la façon dont elle Ă©tait couchĂ©e, sa chatte Ă©tait une cible ouverte et la pointe de ma bite glissait en douceur entre ses lĂšvres lisses.
«âAttendsâ», chuchota-t-elle alors que jâallais entrer en elle.
«âQuoiâ?â»
«âTu veux baiser maintenant, ou je te lis lâhistoire de la premiĂšre fois oĂč maman a couchĂ© avec son pĂšreâ?â»
Ma bite allait dĂ©jĂ exploser. MĂȘme si je voulais en savoir plus sur le vilain secret de maman, il nây avait pas vraiment de choix pour moi. Jâai poussĂ© mes hanches vers lâavant et pĂ©nĂ©trĂ© ma sĆur pendant que je voyais notre mĂšre adolescente perdre sa virginitĂ© au profit de son pĂšre. Nous avons baisĂ© sauvagement, grognant et gĂ©missant pendant que nous courions vers lâorgasme.
CâĂ©tait un coup rapide et dĂ©sespĂ©rĂ©, et je ne sais pas lequel dâentre nous est venu en premier. Je me rappelle juste avoir tirĂ© dans sa chatte convulsive alors quâelle me mordait la lĂšvre assez fort pour me faire une prise de sang.
DĂšs que la lĂ©gĂšretĂ© dans nos tĂȘtes sâest dissipĂ©e, Audrey est remontĂ©e en rampant vers le haut du lit et a ouvert Ă nouveau le journal. Je me suis allongĂ© derriĂšre elle, regardant par-dessus son Ă©paule et Ă©coutant lâhistoire.
«âCe matin, alors que Charles sortait de la cuisine, jâai vu Donna fixer son cul. Elle mâa surpris en train de la regarder et a soupirĂ©, souriant dĂ©sespĂ©rĂ©ment. Elle Ă©tait encore trĂšs amoureuse de son pĂšre. Puis une larme lui a coulĂ© dans lâĆil et jâai pu voir quâelle Ă©tait sur le point de faire une autre dĂ©pression. Je lâai tirĂ©e sur mes genoux et je lui ai dit que jâallais prendre des dispositions pour quâelle couche avec Charles ce soir, si elle le voulait toujours. Sa rĂ©action a Ă©tĂ© belle, ses yeux sont devenus grands et un sourire sâest formĂ© sur ses lĂšvres. La morositĂ© et lâapathie ont instantanĂ©ment disparu dâelle et jâai retrouvĂ© ma fille aĂźnĂ©e. Elle mâa demandĂ© si jâĂ©tais sĂ©rieuse et je lui ai promis que je lâĂ©tais. Elle mâa serrĂ©e dans ses bras et mâa embrassĂ©e en me disant quâelle ne savait pas comment me remercier.
«âJe lui ai remis mon dĂ©shabillĂ© et lui ai dit de le mettre et de venir dans ma chambre Ă onze heures exactement. Elle mâa demandĂ© si je serais lĂ aussi. Jâai dit que je nâavais pas prĂ©vu ça, mais elle mâa demandĂ© de rester. Jâai dit que si elle le voulait, je serais lĂ .
JâespĂšre que ce ne sera pas trop dur de voir Charles faire lâamour avec une autre femme.
«âJe dois encore trouver un moyen de prĂ©parer Charles. Quelques jours aprĂšs la confession de Donna, alors que nous faisions lâamour, jâai essayĂ© un petit jeu de rĂŽle et jâai commencĂ© Ă appeler Charles âpapaâ. Cela lâa rendu plus excitĂ© que jamais et il mâa mĂȘme appelĂ© âDonnaâ quand il est entrĂ© en moi. Il a toujours Ă©tĂ© un bon mari et un bon pĂšre, mais il ne fait aucun doute quâil la veut presque autant quâelle le veut. Mais alors que Donna ne dĂ©sirait rien de plus que de se donner Ă Charles, il pourrait avoir besoin dâun peu dâencouragement. Si jâavais bien jouĂ© les choses, il serait sĂ»rement prĂȘt Ă lâemmener.
Je ne sais pas encore comment je vais faire, mais ce sera une sacrĂ©e surprise pour lui.â»
«âCher journal intime,
«âTout sâest parfaitement dĂ©roulĂ©â! Je nâavais rien dit Ă Charles au sujet de mon plan, mais il a jouĂ© son rĂŽle Ă merveille. Bien sĂ»r, il a remarquĂ© que jâĂ©tais plus excitĂ©e que dâhabitude, mais il ne connaissait pas la vraie raison. Il mâa laissĂ© le traĂźner dans la chambre et lui arracher ses vĂȘtements. Je me suis agenouillĂ©e entre ses jambes et jâai commencĂ© Ă lui masser la bite Ă la duretĂ©. Mon timing Ă©tait parfait. Ă onze heures, je lâai presque fait Ă©jaculer quand jâai entendu les pas de Donna dans le couloir. En quelques instants, elle entrait par la porte. Je me suis levĂ©e et jâai attendu prĂšs de la porte, laissant Charles nu et debout.
«âAlors quâil Ă©tait assis seul sur le lit, il mâa regardĂ© et mâa demandĂ© ce que je faisais. Je lui ai dit de se dĂ©tendre et de profiter de la surprise que jâavais pour lui. Puis, la porte sâest ouverte et Donna est entrĂ©e, ne portant que mon dĂ©shabillĂ©. La lampe dans le couloir illuminait le tissu transparent et lui donnait une aura Ă©thĂ©rĂ©e, comme une nymphe ou peut-ĂȘtre un ange.
Le corps jeune et impeccable de Donna remplissait ce vĂȘtement dĂ©licat mieux et plus joliment que le mien ne lâavait jamais fait. Elle Ă©tait excitĂ©e, avec une lĂ©gĂšre rougeur sur le visage et la poitrine et des mamelons froncĂ©s, durs comme des petites balles roses. Jâai pris sa main et je lâai conduite dans la chambre. Elle marchait avec confiance vers son pĂšre, se balançant sĂ©duisamment sur ses hanches au fur et Ă mesure quâelle bougeait.
«âCharles me regarda avec Ă©tonnement. Il nâarrivait pas Ă croire que la surprise que je lui avais promise Ă©tait notre propre fille vierge. Jâai lĂąchĂ© sa main et elle sâest assise sur les genoux de son pĂšre. Elle lâembrassa sur les lĂšvres et lui dit quâelle lâaimait et le voulait Ă son premier amant. Il a regardĂ© Donna de nouveau et mâa regardĂ© de nouveau, ses yeux demandant maintenant la permission dâaller de lâavant. Il est si gentil, je crois honnĂȘtement quâil aurait rejetĂ© Donna sâil pensait que je nâĂ©tais pas dâaccord Ă cent pour cent avec ça. Jâai encore hochĂ© la tĂȘte et je lui ai envoyĂ© un baiser. Prenant cet encouragement, il prit notre fille dans ses bras et dĂ©tacha le dĂ©shabillĂ©. Le vĂȘtement de soie est tombĂ© de ses Ă©paules et a flottĂ© jusquâau sol, laissant Donna aussi nue que le jour oĂč elle est nĂ©e.
«âElle nâĂ©tait plus du tout comme cette petite fille. Maintenant, elle Ă©tait dotĂ©e dâune paire de magnifiques seins ronds, dâune taille fine et de hanches courbes. Donna Ă©tait une femme adulte maintenant, et prĂȘte pour son premier homme. Je pouvais dire que Charles aimait ce quâil voyait. Sa grosse bite Ă©tait dâune Ă©rection obscĂšne, palpitant contre le ventre de notre fille alors quâil lâattrapait et lâembrassait sur les lĂšvres. Elle lâembrassa avec empressement, avec une pure faim sexuelle.
«âSans perdre une seconde de plus, Charles a soulevĂ© notre fille dans ses bras et lâa dĂ©posĂ©e tendrement sur le lit. Par instinct, elle a Ă©cartĂ© les jambes et levĂ© les genoux, donnant Ă son pĂšre un accĂšs complet Ă sa chatte mouillĂ©e qui coule.
Il sâest mis Ă genoux et sâest dĂ©placĂ© au-dessus dâelle. Il a embrassĂ© ses seins, puis son estomac. Son corps nubile tremblait alors que ses doigts chatouillaient ses flancs en descendant. Puis ses yeux devinrent grands et elle sursauta quand Charles lâembrassa entre les jambes. Comme personne dâautre, je connais les merveilleuses choses que Charles peut faire avec sa bouche, et je pouvais voir que son effet nâĂ©tait pas perdu pour Donna non plus.
«âAlors quâil lui lĂ©chait les lĂšvres et tĂ©tait son clitoris, jâai vu le regard de surprise sur le visage de notre fille se transformer en luxure, puis presque douloureux Ă lâapproche de lâorgasme. Il y a eu un moment oĂč jâai senti une pointe de jalousie me hanter. Au dĂ©but, je pensais que câĂ©tait Ă cause de Donna, qui goĂ»tait le plaisir qui avait Ă©tĂ© exclusivement le mien, mais si je suis honnĂȘte, celui que jâenviais vraiment Ă©tait Charles, grignotant cette dĂ©licieuse chatte vierge.
âEn quelques minutes, Donna a Ă©tĂ© frappĂ©e durement avec un premier orgasme. Ses poings serraient des poignĂ©es de cheveux de son amant et elle le gardait coincĂ© entre ses jambes. Bien quâil ait pu avoir quelques difficultĂ©s Ă respirer, la bouche de Charles est restĂ©e verrouillĂ©e sur son sexe pendant quâelle reposait sur le matelas en tremblant. Elle a semblĂ© culminer Ă jamais, mais les convulsions ont fini par sâattĂ©nuer jusquâĂ ce quâelles ne soient plus que des frissons.
âCharles sâest mis Ă genoux et a rampĂ© entre les jambes grandes ouvertes de notre fille. Il leva un peu les genoux et se plaça sur elle. Avant dâagir, il a demandĂ© si elle Ă©tait prĂȘte. Donna acquiesça. Elle Ă©tait un peu effrayĂ©e, mais dĂ©terminĂ©e Ă aller de lâavant.
âMaintenant quâil avait sa permission, il a attrapĂ© sa grosse bite et lui a frottĂ© la chatte de haut en bas plusieurs fois. Puis il a pointĂ© la pointe vers son entrĂ©e et a commencĂ© Ă pousser vers lâintĂ©rieur. Je pouvais voir Donna se prĂ©parer alors que son pĂšre augmentait lentement la pression. Puis je lâai vue et entendue grimacer quand la tĂȘte Ă©moussĂ©e du pĂ©nis de son pĂšre lui a cassĂ© la cerise.
âCharles Ă©tait beaucoup plus doux et prudent que SĂ©bastien ne lâavait Ă©tĂ© avec moi. AprĂšs ce premier mouvement, il a laissĂ© le temps au vagin de Donna de sâadapter Ă sa bite envahissante, pour que ce ne soit pas trop douloureux. Au bout dâun moment, elle chuchota quâelle allait bien, et Charles la nourrit lentement de quelques centimĂštres de plus. BientĂŽt, il Ă©tait presque Ă lâintĂ©rieur dâelle.â
Pendant tout ce temps, pendant quâAudrey lisait, je lâavais dorlotĂ©e. Il ne fallut pas longtemps avant que lâhistoire ne dĂ©clenche une autre Ă©rection et maintenant ma bite Ă©tait fermement appuyĂ©e contre son cul. Cherchant un peu plus dâespace, jâai glissĂ© ma tige entre ses jambes, oĂč elle est tombĂ©e en douceur dans le petit espace entre ses cuisses et sa chatte. Le peu de sperme qui sâĂ©tait Ă©coulĂ© de son vagin rendait lâespace Ă©troit trĂšs glissant et je nâai pas pu mâempĂȘcher de voir doucement des allers-retours entre ses cuisses pendant quâelle continuait Ă lire.
âCâĂ©tait beau de voir Donna se tordre sous son pĂšre. Elle avait ses longues jambes enroulĂ©es autour de sa taille et le serrait fort pendant quâil lui faisait lâamour. Maintenant quâelle lâavait enfin en elle, elle sâest assurĂ©e quâil ne se retirerait pas avant quâelle soit complĂštement satisfaite.â
Audrey continuait Ă lire calmement pendant que je pompais lentement mes hanches, mais je savais quâelle Ă©tait de plus en plus excitĂ©e. Sa voix me lâa dit, et la chaleur croissante entre ses jambes lâa confirmĂ©. Quand jâai poussĂ© vers lâavant une fois de plus, elle a soudainement pressĂ© sa main entre ses jambes et inclinĂ© ses hanches en mĂȘme temps. Au lieu de glisser le long de ses lĂšvres glissantes, ma bite maintenant les a Ă©cartĂ©es et est rentrĂ©e en douceur dans sa chatte grasse.
Comme nous avions partagĂ© un orgasme intense il y a quelques minutes Ă peine, il nây avait pas de pression ni dâurgence. Jâai juste glissĂ© ma bite dans et hors de lâorifice veloutĂ© de ma sĆur, câest tout ce que je voulais. Nous avons fait lâamour lentement pendant quâAudrey lisait dans le journal intime, les phrases entrelacĂ©es de soupirs et de gĂ©missements.
âMaintenant que Donna Ă©tait plus habituĂ©e Ă sa taille et Ă sa circonfĂ©rence, il a commencĂ© Ă sâenfoncer plus profondĂ©ment en elle. Sa bouche sâouvrit et elle fixa le plafond avec de grands yeux lorsquâelle expĂ©rimenta pour la premiĂšre fois le plaisir que seul un homme pouvait lui donner. En repensant Ă ma premiĂšre fois douloureuse, jâĂ©tais content que Charles soit son premier. Il prit son temps, poussant constamment pendant des minutes pendant quâil embrassait ses lĂšvres, son cou ou sa poitrine, ne faisant quâaccĂ©lĂ©rer le rythme au fur et Ă mesure que son excitation atteignait un nouveau niveau plus Ă©levĂ©.
âJe savais que Donna et Charles Ă©taient proches de lâorgasme. Il la baisait vraiment maintenant, de toutes ses forces. Je commençais Ă craindre quâil ne puisse pas le retenir assez longtemps pour quâelle atteigne son apogĂ©e, quand Donna sâest tendue, a gĂ©mi, a gĂ©mi un âpapaâ doux et est venue. Les muscles de son estomac se sont contractĂ©s si fortement quâils ont soulevĂ© le haut de son corps du matelas et lâont maintenue en suspension dans lâair pendant que les vagues traversaient son corps en courant.
âAlors que ses ongles sâenfonçaient dans le dos de son pĂšre, il lui enfonça une fois de plus sa bite au fond dâelle. Je pouvais voir ses fesses serrĂ©es et je savais quâil Ă©jaculait Ă lâintĂ©rieur de notre fille. Je doute que Donna ait Ă©tĂ© consciente de ce qui se passait, car elle Ă©tait consumĂ©e par son propre plaisir. Elle sâaccrocha Ă son pĂšre et le regarda profondĂ©ment dans les yeux, le suppliant de ne pas sâarrĂȘter. Sous lâimpulsion de sa demande gĂ©missante, Charles nâa cessĂ© de lui enfoncer sa queue tout au long de son orgasme et longtemps aprĂšs.
âLentement, Donna revint Ă la raison et pressa Ă nouveau ses lĂšvres contre celles de son pĂšre. Elle lâembrassa affamĂ©e et passionnĂ©ment, intensĂ©ment reconnaissante quâil avait finalement grattĂ© la dĂ©mangeaison qui lâavait tourmentĂ©e si longtemps, lâavait remplie et avait fait dâelle une femme. Je sais quâelle en voudra plus Ă partir de maintenant, et je devrai rivaliser avec ma fille pour attirer lâattention de mon mari, mais je ne suis pas jalouse. Je les aime tous les deux incroyablement, et voir Donna culminer sous le corps de son pĂšre Ă©tait peut-ĂȘtre la chose la plus belle et la plus gratifiante que jâaie jamais vue.
âCharles a poussĂ© ses mains sous le dos de Donna et lâa soulevĂ©e du matelas. Pendant quâil Ă©tait encore Ă lâintĂ©rieur dâelle, il sâest roulĂ© sur son dos et elle sâest retrouvĂ©e sur lui. Guidant ses mouvements avec ses mains, il a appris Ă notre fille Ă monter sur sa bite. Elle sây est vite habituĂ©e et elle sâest mise Ă rouler les hanches en se levant et en tombant sur ses genoux.
âJusquâĂ prĂ©sent, je les observais de lâautre cĂŽtĂ© de la piĂšce. Pour ce deuxiĂšme tour, je suis aussi montĂ©e sur le lit et me suis allongĂ©e Ă cĂŽtĂ© de mon mari et de ma fille. Je ne voulais pas mâimposer et faire du duo un plan Ă trois, mais je voulais en faire partie dâune façon ou dâune autre. Charles mâa vue et mâa attrapĂ© la main. Nos doigts se sont entrelacĂ©s dans un geste dâaffection et de gratitude. Jâai embrassĂ© sa main et posĂ© ma tĂȘte sur son Ă©paule.
âDonna, dâautre part, Ă©tait bien trop absorbĂ©e par toutes les nouvelles sensations dans son corps pour remarquer ma prĂ©sence. Le monde entier aurait pu exploser sans quâelle sâen aperçoive, si complĂštement concentrĂ©e quâelle Ă©tait sur la bite de son pĂšre. Mais elle Ă©tait magnifique. Ses yeux Ă©taient fixĂ©s sur Charles et elle avait une expression sur son visage qui Ă©tait un mĂ©lange de convoitise, de dĂ©termination et de plaisir. Ses seins fermes dansaient pendant quâelle rebondissait de haut en bas, son corps tout entier rougissait et scintillait dâune lueur de sueur, les cheveux noirs entre les jambes Ă©taient emmĂȘlĂ©s dâune mousse Ă©paisse et crĂ©meuse de sperme et sa propre lubrification.
âDans son dĂ©sir de trouver plus de plaisir, elle sâĂ©levait un peu trop haut ou se dĂ©plaçait un peu trop en avant, et le pĂ©nis de Charles glissait de sa chatte. Je lâai attrapĂ© et je lâai remis Ă sa place. Pendant que jây Ă©tais, je nâai pas pu rĂ©sister Ă lâenvie de frotter rapidement le clitoris de Donna. Elle a levĂ© les yeux et a souri en me voyant. Elle sâest penchĂ©e pour mâembrasser sur les lĂšvres et mâa dit que jâĂ©tais la meilleure mĂšre du monde et quâelle mâaimait aussi.
âJe lui ai donnĂ© une petite tape sur les fesses et elle a recommencĂ© Ă bouger. Elle nâavait plus besoin dâĂȘtre guidĂ©e par son pĂšre, mais il sâaccrochait quand mĂȘme Ă son cul, pĂ©trissant les globes de ses fesses pendant quâelle rebondissait sur ses genoux, faisant de grands bruits humides quand elle montait et descendait.
âJe me suis agenouillĂ©e sur Charles et je lui ai donnĂ© un baiser sur les lĂšvres. Pour lui, câĂ©tait une confirmation que jâĂ©tais dâaccord pour quâil baise notre fille, mais honnĂȘtement, je voulais goĂ»ter la chatte de Donna, et les lĂšvres de Charles Ă©taient aussi proches que je pouvais lâatteindre sans la lĂ©cher moi-mĂȘme. Le lĂ©ger goĂ»t sur ses lĂšvres mâa donnĂ© envie dâen savoir plus.
âUne fois de plus, lâenthousiasme de Donna devint trop grand et Charles lui Ă©chappa Ă nouveau. Jâai plongĂ© immĂ©diatement, et cette fois-ci, avant de le rĂ©insĂ©rer, jâai sucĂ© sa bite dans ma bouche et jâai goĂ»tĂ© le jus de Donna frais de la source. Elle avait vraiment bon goĂ»t. Capiteuse, douce et indĂ©niablement fĂ©minine. Jâai sucĂ© sa bite une derniĂšre fois et je lâai ramenĂ©e dans la chatte dâattente de Donna et je lui ai fait un autre petit massage.
âAprĂšs avoir sucĂ© la bite de Charles et lâavoir ramenĂ© dans la chatte de notre fille quelques fois de plus, jâai vu que Charles nâallait plus durer longtemps. Jâai posĂ© ma tĂȘte sur sa poitrine et jâai vu comment Donna lâa conduit Ă un autre orgasme.â
âMaintenant je suis confuseâ, lâai-je interrompue, âEst-ce que grand-pĂšre est aussi notre pĂšre, ou est-ce que maman nâest pas tombĂ©e enceinte cette premiĂšre foisâ?â
âNon, il ne peut pas ĂȘtre notre pĂšre, grand-pĂšre a eu une vasectomie aprĂšs la naissance de Annie. Et câest encore des annĂ©es avant ta naissance.â
âOhâ
âMais attends, lâhistoire ne sâarrĂȘte pas lĂ â
La suite de la sage demain mĂȘme heure !