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Histoire taboue inceste Le secret de Grandma Chapitre 11

Posted on novembre 1, 2022 By 2ne7l Aucun commentaire sur Histoire taboue inceste Le secret de Grandma Chapitre 11
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« MĂȘme aprĂšs son deuxiĂšme orgasme, Charles n’arrĂȘtait pas de pousser sa bite dans la chatte de Donna, forçant des ruisseaux de sperme Ă  chaque poussĂ©e, jusqu’à ce que son Ă©rection finisse par se flĂ©trir et qu’il commence inĂ©vitablement Ă  sortir. Donna aussi continuait Ă  pousser ses hanches vers le bas, son corps essayant de garder autant de lui que possible Ă  l’intĂ©rieur d’elle. Elle espĂ©rait peut-ĂȘtre un troisiĂšme tour, mais Charles Ă©tait vraiment Ă©puisĂ© pour le moment.
« Elle a embrassĂ© et cĂąlinĂ© son pĂšre pendant un certain temps, puis elle a roulĂ© de son corps et sur son dos. Sa bite et son ventre Ă©taient mouillĂ©s avec son sperme et le jus de Donna. Je l’ai nettoyĂ© avec ma langue, et j’ai lĂ©chĂ© chaque goutte de la concoction capiteuse de la tige et des couilles, puis j’ai pris sa bite flasque entre mes lĂšvres et aspirĂ© les derniĂšres gouttes de sperme dans ma bouche. Donna l’avait bien drainĂ© et mĂȘme mes meilleurs efforts n’ont pas eu pour rĂ©sultat une coulĂ©e de sperme ou la moindre Ă©rection.
« Alors que j’arrivais, toujours affamĂ©e de sperme, mes yeux Ă©taient attirĂ©s par Donna, qui Ă©tait allongĂ©e sur son dos, les jambes Ă©cartĂ©es. Elle jouait paresseusement avec elle-mĂȘme en me regardant. Je pouvais voir le dĂ©sir dans ses yeux et j’ai dĂ©cidĂ© d’y aller.
J’ai bougĂ© entre ses jambes et j’ai mis mon visage sur sa chatte. Elle n’a pas fait un seul geste pour m’arrĂȘter quand j’ai plongĂ© et a lentement traĂźnĂ© ma langue de son trou rempli de sperme Ă  son petit clito.
« Je n’avais pas Ă©tĂ© aussi prĂšs de la chatte nue et excitĂ©e d’une autre femme depuis plus de vingt ans, mais ma langue n’avait pas oubliĂ©. Elle a facilement trouvĂ© tous les bons endroits et j’ai fait gĂ©mir Donna en quelques secondes. J’ai utilisĂ© toutes les techniques que j’avais perfectionnĂ©es sur Liv et j’ai aussi essayĂ© certaines des choses que j’aimais que Charles me faisait. Je savais que je le faisais bien quand les mains de Donna me griffaient les cheveux et me tiraient la bouche contre son sexe surchauffĂ©. Elle n’a pas mis longtemps Ă  atteindre son apogĂ©e. »
« Ce qui me rappelle que tu ne m’as toujours pas montrĂ© la partie oĂč Nan et Livvy se disputent » j’ai dit.
« Chut. Tu pourras te branler plus tard. Maintenant, tais-toi et n’arrĂȘte pas de bouger. »
J’ai saisi ses hanches et je l’ai poussĂ©e dans les profondeurs Ă  quelques reprises avant de reprendre mes lentes et rĂ©guliĂšres poussĂ©es.
« On s’est embrassĂ©s et ses doigts ont jouĂ© avec ma chatte. Pendant ce baiser, Donna s’est roulĂ©e sur moi, et aprĂšs avoir embrassĂ© mes lĂšvres, elle est passĂ©e Ă  embrasser mes mamelons, Ă  embrasser mon bas ventre et mes cuisses. Ses lĂšvres et sa langue bougeaient lentement vers ma chatte, et quand elle m’a finalement embrassĂ©e sur les lĂšvres et m’a lĂ©chĂ© le clitoris, je suis venue presque sur place.
Elle Ă©tait inexpĂ©rimentĂ©e, mais elle apprenait vite. Comme elle me lĂ©chait, je l’ai tirĂ©e sur moi avec sa chatte qui coulait sur mon visage. Je me suis immĂ©diatement accrochĂ© Ă  ses lĂšvres humides et je l’ai lĂ©chĂ©e pendant qu’elle me lĂ©chait. On se roulait sur le lit comme ça, Ă  sucer, lĂ©cher et embrasser le sexe de l’autre.
« Soudain, alors que je tournoyais la langue autour du petit clito de Donna, j’ai senti une paire de mains sur mon cul et puis ma chatte a Ă©tĂ© pĂ©nĂ©trĂ©e par quelque chose de grand ; l’érection revigorĂ©e de Charles. Regarder sa femme et sa fille en 69 l’avait tellement excitĂ© que sa bite Ă©tait revenue Ă  la vie. Il me baisait comme s’il avait Ă  nouveau une vingtaine d’annĂ©es ; infatigable, sauvage et Ă©nergique.
Parfois Charles se retirait de moi et offrait sa bite Ă  Donna, qui la suçait un peu, puis la repoussait dans ma chatte. AprĂšs quelques autres rĂ©pĂ©titions, il a dit Ă  Donna de se mettre Ă  genoux Ă  cĂŽtĂ© de moi et de la baiser pendant un moment. Donna et moi, on s’embrassait pendant que Charles se relayait pour nous baiser, jusqu’à ce qu’il vienne en moi.
“AprĂšs cela, nous Ă©tions tous Ă©puisĂ©s et satisfaits. Donna nous a embrassĂ©s et nous a remerciĂ©s pour tout. Nous nous sommes blottis dans le grand lit et nous nous sommes endormis tous les trois, Charles au milieu et ses deux femmes de chaque cĂŽtĂ©. Deux fois plus cette nuit-lĂ , j’ai Ă©tĂ© rĂ©veillĂ© par des mouvements dans le lit alors que Donna chevauchait la bite de son pĂšre ou se faisait baiser par derriĂšre. Au total, il lui avait farci la chatte affamĂ©e cinq fois avant le petit-dĂ©jeuner et une fois de plus avant que Annie rentre Ă  la maison Ă  midi.”
lundi
Je me suis rĂ©veillĂ© seul dans mon lit. Le temps s’était Ă©coulĂ©. Le week-end Ă©tait terminĂ© et j’étais de retour dans ma chambre, Ă  deux cents Kms de chez moi et d’Audrey. C’est Ă©tonnant comme on s’habitue rapidement Ă  dormir Ă  cĂŽtĂ© d’un corps chaud et souple et Ă  se rĂ©veiller avec la fille qu’on aime. La vie semblait sombre sans elle et tout semblait s’éterniser. Mes journĂ©es Ă©taient remplies d’heures de confĂ©rences interminables et d’études.
Alors que je rentrais chez moi Ă  pied Ă  la fin de la journĂ©e, j’ai reçu un message d’Audrey. C’était une photo d’une paire de culottes, son gousset est sombre et humide. Tout ce qu’elle a dit, c’est qu’elle aurait aimĂ© que je sois avec elle maintenant. DĂšs que j’étais seul dans ma chambre, je l’ai appelĂ©e, impatient d’apprendre ce qui la rendait toute chaude et excitĂ©e.
Elle m’a dit qu’elle n’avait pas le temps de me le dire maintenant, mais elle me rappellerait ce soir.
J’ai jetĂ© une pizza dans le four et je me suis effondrĂ© sur le canapĂ©. Les minutes me semblaient des heures pendant que j’attendais qu’Audrey m’appelle. Finalement, mon tĂ©lĂ©phone a commencĂ© Ă  bourdonner sur la table. J’ai rĂ©pondu en moins d’une seconde. C’était super d’entendre Ă  nouveau sa voix. Je me suis tout de suite senti beaucoup plus heureux. Je lui ai dit combien elle me manquait, combien je dĂ©testais me rĂ©veiller sans elle.
Quand je lui ai demandĂ© ce qui l’avait poussĂ©e Ă  salir sa culotte comme ça, ce n’était pas surprenant qu’elle ait recommencĂ© Ă  parler du journal. Comme prĂ©vu, les semaines qui ont suivi la dĂ©floraison de Donna ont Ă©tĂ© remplies de rapports sexuels entre les trois. Le dernier dĂ©veloppement majeur est que la sƓur de Donna, Annie, a dĂ©couvert qu’il se passait quelque chose.
Toute la famille s’assit ensemble et eut une conversation honnĂȘte et gĂ©niale au cours de laquelle Annie exprima une curiositĂ© envers les filles. Elle avait expĂ©rimentĂ© un peu avec quelques copines, mais elle Ă©tait impatiente d’apprendre ce que c’était qu’ĂȘtre avec un homme. Ce qui a suivi a Ă©tĂ© un quatuor fumant pendant lequel Annie a appris qu’elle n’était pas gay, mais qu’elle aimait la bite tout autant que la chatte.
Peu importe Ă  quel point l’histoire Ă©tait chaude, ce n’était pas ce que je voulais le plus entendre. La voix d’Audrey l’était. Elle m’a peut-ĂȘtre lu des extraits du dictionnaire et m’a quand mĂȘme captivĂ©. Une heure s’est Ă©coulĂ©e en l’écoutant, et pour l’instant, je me sentais presque proche d’elle. Cependant, il Ă©tait tard et maman avait dĂ©jĂ  dit Ă  Audrey de raccrocher le tĂ©lĂ©phone et d’aller au lit. Je lui ai souhaitĂ© bonne nuit et lui ai dit une fois de plus que je l’aimais. En pensant Ă  elle, j’ai fermĂ© les yeux et j’ai attendu que le sommeil arrive.
Mardi
Quelques heures plus tard, j’ai Ă©tĂ© Ă  nouveau rĂ©veillĂ© par le bourdonnement de mon tĂ©lĂ©phone portable sur la table de nuit. Il Ă©tait 23 h 30 et c’était Audrey qui appelait. Craignant que quelque chose ne se soit passĂ©, j’ai rĂ©pondu Ă  l’appel aussi vite que mon cerveau encore endormi le permettait.
“Chuck?” Audrey a demandĂ©. J’ai entendu les larmes dans sa voix.
“Je suis lĂ  bĂ©bé  Qu’est-ce qu’il y a ?”
“Charles est mort.” Elle a pleurĂ©.
“Ow merde
. Je suis dĂ©solĂ© bĂ©bé  Que s’est-il passé ?”
“Il s’est fait renverser par un camion qui roulait Ă  toute vitesse. Il l’a tuĂ© sur le coup.”
“Merde
 Je
”
“Pourquoi devait-il le faire ? Pourquoi lui ?”
“Qui sait
 certaines choses arrivent comme ça. Tu savais qu’il allait mourir, n’est-ce pas ? Je veux dire
”
“Oui, mais pas comme ça. C’est si
 soudain”
“Eh bien, c’était un accident, aprĂšs tout”
“Je sais, mais la veille, elle Ă©crivait sur le sexe merveilleux qu’ils avaient ensemble, et maintenant il est parti.”
Je ne savais pas quoi dire.
“Et si
 je
 je ne veux pas te perdre” elle a pleurĂ©.
“Ne dis pas ça, bĂ©bĂ©. Rien ne nous arrivera Ă  aucun d’entre nous”.
“Tu ne peux pas savoir ça”
“Tu as raison, mais ne t’inquiùte pas. Ce qui compte, c’est le temps que nous avons ensemble.”
“Mais nous sommes à 200kms. Nous ne sommes pas ensemble”.
“Tu es toujours avec moi, bĂ©bĂ©â€
“Je veux te sentir”, dit-elle doucement. “Je pourrais te rendre visite. Alors je n’aurais pas à attendre si longtemps pour te revoir.”
“Ce n’est que trois jours, je serai de retour vendredi”
“Je ne veux pas attendre trois jours. Je te veux maintenant”.
Je ne m’y suis pas trop opposĂ©, elle me manquait plus que je ne voudrais l’admettre. On Ă©tait d’accord pour qu’elle vienne me voir mercredi et reste jusqu’à vendredi. On avait deux jours entiers pour nous tout seuls et on rentrait chez nous ensemble. Ce n’était pas inhabituel pour Audrey de me rendre visite, mais j’espĂ©rais que nos parents Ă©taient trop occupĂ©s pour rĂ©aliser que nous passions beaucoup de temps ensemble ces derniers temps. La perspective de me voir demain lui a un peu calmĂ© les nerfs. AprĂšs quelques mots plus doux, nous avons mis fin Ă  l’appel.
J’ai de nouveau fermĂ© les yeux et, bien que fatiguĂ©, je n’ai pas pu dormir. Soudain, mon tĂ©lĂ©phone a encore sonnĂ©. C’était un message d’Audrey.
“La vie continue. J’ai hĂąte de te voir. XXX” disait-il. Un fichier image y Ă©tait joint. Ma curiositĂ© a Ă©tĂ© chatouillĂ©e et j’ai ouvert la piĂšce jointe. C’était une photo d’une des pages du journal. Je suppose qu’elle voulait que je le lise.
“Nous avions tous le cƓur brisĂ©. L’homme qui m’a appris Ă  aimer Ă  nouveau Ă©tait parti, laissant un Ă©norme trou dans mon cƓur.
‘Donna et Annie Ă©taient inconsolables. Les filles ont pleurĂ© toute la journĂ©e. Bien sĂ»r, ils avaient perdu leur pĂšre, comme j’avais perdu mon mari, mais nous avions toutes perdu notre amant. Elles sont restĂ©es avec moi et nous avons tous couchĂ© ensemble dans mon lit. C’était bien d’avoir les filles avec moi, pour que je ne sois pas toute seule dans le grand lit double.
Je n’ai pas dormi du tout, je suis restĂ©e allongĂ©e lĂ , revivant tous les moments heureux et tristes que j’ai partagĂ©s avec mon mari pendant les 22 annĂ©es que nous avons passĂ©es ensemble.
‘La lumiĂšre entrait par la fenĂȘtre, annonçant le nouveau jour. Mon premier jour sans Charles. Les filles dormaient encore paisiblement. J’ai rĂ©alisĂ© que je ne serais pas seule aprĂšs tout. C’était son hĂ©ritage et il y survivrait.
Annie s’est rĂ©veillĂ©e la premiĂšre. Elle a ouvert les yeux et m’a regardĂ©. Elle s’est rendu compte qu’il n’y avait que nous trois et elle s’est souvenue pourquoi. Une larme lui a coulĂ© dans les yeux et elle a posĂ© son bras sur ma poitrine, cherchant du rĂ©confort dans mes bras. Le mouvement a Ă©galement rĂ©veillĂ© sa sƓur et bientĂŽt, nous nous sommes embrassĂ©s et nous nous sommes cĂąlinĂ©s ensemble.
Je ne sais pas qui en est l’instigateur, mais nous nous embrassions et un peu plus tard, une des filles me lĂ©chait et l’autre embrassait mes seins. À chaque baiser, notre tristesse semblait un peu moins insupportable.’
Une partie de moi Ă©tait contente qu’il n’y ait pas eu de rĂ©pĂ©tition de la pĂ©riode de sĂ©cheresse que nous avons connue aprĂšs la premiĂšre grossesse de mamie. Ma petite amie me manquait plus que je ne le pensais, et pas seulement sur le plan Ă©motionnel. Dans un jour de plus, nous serions de nouveau ensemble.
 
Mercredi
Toute la journĂ©e, je me suis senti comme une enfant Ă  NoĂ«l. Ma sƓur, la fille de mes rĂȘves venait me rendre visite. Je comptais les heures avant son arrivĂ©e. Elle m’a dit qu’elle serait Ă  la gare Ă  16 h et c’est lĂ  que j’étais en train d’attendre de la rĂ©cupĂ©rer. Le train est arrivĂ© exactement Ă  l’heure et quand le flot de gens a commencĂ© Ă  se disperser, elle Ă©tait lĂ . Je lui ai fait signe et dĂšs qu’elle m’a vu, elle a couru. Elle m’a sautĂ© dans les bras et m’a couvert le visage de baisers tout en me murmurant Ă  quel point je lui manquais.
J’ai pris son sac de voyage et je l’ai portĂ© pour elle pendant que nous marchions main dans la main vers ma voiture. Comme un vrai chauffeur, je lui ai ouvert la porte et l’ai fermĂ©e quand elle Ă©tait assise. Puis j’ai jetĂ© ses bagages Ă  l’arriĂšre et je me suis assis derriĂšre le volant.
‘OĂč voulez-vous aller, madame ?’ J’ai demandĂ©, en retirant une casquette de conducteur imaginaire.
‘Tu peux me ramener chez moi, Charles’
‘Dois-je prendre la route panoramique ?’
‘Non, tu prendras le plus court, dit-elle sĂ©vĂšrement, mais avec un scintillement dans l’Ɠil, avant qu’elle n’éclate de rire.
‘Comme vous voulez, madame’
J’ai tournĂ© la clĂ© du contact et j’ai conduit de la gare au campus universitaire. J’ai garĂ© la voiture et je l’ai conduite chez moi. DĂšs que nous avons Ă©tĂ© seuls, elle est revenue dans mes bras et a serrĂ© ses jambes autour de ma taille. Je l’ai portĂ©e Ă  la maison et j’ai dĂ©foncĂ© la porte. Pendant que je naviguais dans la maison, elle m’embrassait fĂ©rocement et dĂ©boutonnait ma chemise. Quand nous sommes arrivĂ©s dans ma chambre, ma chemise Ă©tait quelque part sur le sol et elle tĂątonnait avec ma ceinture. Je l’ai jetĂ©e sur mon lit et bientĂŽt elle Ă©tait aussi nue que moi.
Une demi-heure plus tard, elle s’est couchĂ©e dans mes bras, la tĂȘte sur ma poitrine. Nous Ă©tions Ă  la fois en sueur et fatiguĂ©s, mais satisfaits.
La suite de la sage demain mĂȘme heure  !

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