«âMĂȘme aprĂšs son deuxiĂšme orgasme, Charles nâarrĂȘtait pas de pousser sa bite dans la chatte de Donna, forçant des ruisseaux de sperme Ă chaque poussĂ©e, jusquâĂ ce que son Ă©rection finisse par se flĂ©trir et quâil commence inĂ©vitablement Ă sortir. Donna aussi continuait Ă pousser ses hanches vers le bas, son corps essayant de garder autant de lui que possible Ă lâintĂ©rieur dâelle. Elle espĂ©rait peut-ĂȘtre un troisiĂšme tour, mais Charles Ă©tait vraiment Ă©puisĂ© pour le moment.
«âElle a embrassĂ© et cĂąlinĂ© son pĂšre pendant un certain temps, puis elle a roulĂ© de son corps et sur son dos. Sa bite et son ventre Ă©taient mouillĂ©s avec son sperme et le jus de Donna. Je lâai nettoyĂ© avec ma langue, et jâai lĂ©chĂ© chaque goutte de la concoction capiteuse de la tige et des couilles, puis jâai pris sa bite flasque entre mes lĂšvres et aspirĂ© les derniĂšres gouttes de sperme dans ma bouche. Donna lâavait bien drainĂ© et mĂȘme mes meilleurs efforts nâont pas eu pour rĂ©sultat une coulĂ©e de sperme ou la moindre Ă©rection.
«âAlors que jâarrivais, toujours affamĂ©e de sperme, mes yeux Ă©taient attirĂ©s par Donna, qui Ă©tait allongĂ©e sur son dos, les jambes Ă©cartĂ©es. Elle jouait paresseusement avec elle-mĂȘme en me regardant. Je pouvais voir le dĂ©sir dans ses yeux et jâai dĂ©cidĂ© dây aller.
Jâai bougĂ© entre ses jambes et jâai mis mon visage sur sa chatte. Elle nâa pas fait un seul geste pour mâarrĂȘter quand jâai plongĂ© et a lentement traĂźnĂ© ma langue de son trou rempli de sperme Ă son petit clito.
«âJe nâavais pas Ă©tĂ© aussi prĂšs de la chatte nue et excitĂ©e dâune autre femme depuis plus de vingt ans, mais ma langue nâavait pas oubliĂ©. Elle a facilement trouvĂ© tous les bons endroits et jâai fait gĂ©mir Donna en quelques secondes. Jâai utilisĂ© toutes les techniques que jâavais perfectionnĂ©es sur Liv et jâai aussi essayĂ© certaines des choses que jâaimais que Charles me faisait. Je savais que je le faisais bien quand les mains de Donna me griffaient les cheveux et me tiraient la bouche contre son sexe surchauffĂ©. Elle nâa pas mis longtemps Ă atteindre son apogĂ©e.â»
«âCe qui me rappelle que tu ne mâas toujours pas montrĂ© la partie oĂč Nan et Livvy se disputentâ» jâai dit.
«âChut. Tu pourras te branler plus tard. Maintenant, tais-toi et nâarrĂȘte pas de bouger.â»
Jâai saisi ses hanches et je lâai poussĂ©e dans les profondeurs Ă quelques reprises avant de reprendre mes lentes et rĂ©guliĂšres poussĂ©es.
«âOn sâest embrassĂ©s et ses doigts ont jouĂ© avec ma chatte. Pendant ce baiser, Donna sâest roulĂ©e sur moi, et aprĂšs avoir embrassĂ© mes lĂšvres, elle est passĂ©e Ă embrasser mes mamelons, Ă embrasser mon bas ventre et mes cuisses. Ses lĂšvres et sa langue bougeaient lentement vers ma chatte, et quand elle mâa finalement embrassĂ©e sur les lĂšvres et mâa lĂ©chĂ© le clitoris, je suis venue presque sur place.
Elle Ă©tait inexpĂ©rimentĂ©e, mais elle apprenait vite. Comme elle me lĂ©chait, je lâai tirĂ©e sur moi avec sa chatte qui coulait sur mon visage. Je me suis immĂ©diatement accrochĂ© Ă ses lĂšvres humides et je lâai lĂ©chĂ©e pendant quâelle me lĂ©chait. On se roulait sur le lit comme ça, Ă sucer, lĂ©cher et embrasser le sexe de lâautre.
«âSoudain, alors que je tournoyais la langue autour du petit clito de Donna, jâai senti une paire de mains sur mon cul et puis ma chatte a Ă©tĂ© pĂ©nĂ©trĂ©e par quelque chose de grandâ; lâĂ©rection revigorĂ©e de Charles. Regarder sa femme et sa fille en 69 lâavait tellement excitĂ© que sa bite Ă©tait revenue Ă la vie. Il me baisait comme sâil avait Ă nouveau une vingtaine dâannĂ©esâ; infatigable, sauvage et Ă©nergique.
Parfois Charles se retirait de moi et offrait sa bite Ă Donna, qui la suçait un peu, puis la repoussait dans ma chatte. AprĂšs quelques autres rĂ©pĂ©titions, il a dit Ă Donna de se mettre Ă genoux Ă cĂŽtĂ© de moi et de la baiser pendant un moment. Donna et moi, on sâembrassait pendant que Charles se relayait pour nous baiser, jusquâĂ ce quâil vienne en moi.
âAprĂšs cela, nous Ă©tions tous Ă©puisĂ©s et satisfaits. Donna nous a embrassĂ©s et nous a remerciĂ©s pour tout. Nous nous sommes blottis dans le grand lit et nous nous sommes endormis tous les trois, Charles au milieu et ses deux femmes de chaque cĂŽtĂ©. Deux fois plus cette nuit-lĂ , jâai Ă©tĂ© rĂ©veillĂ© par des mouvements dans le lit alors que Donna chevauchait la bite de son pĂšre ou se faisait baiser par derriĂšre. Au total, il lui avait farci la chatte affamĂ©e cinq fois avant le petit-dĂ©jeuner et une fois de plus avant que Annie rentre Ă la maison Ă midi.â
lundi
Je me suis rĂ©veillĂ© seul dans mon lit. Le temps sâĂ©tait Ă©coulĂ©. Le week-end Ă©tait terminĂ© et jâĂ©tais de retour dans ma chambre, Ă deux cents Kms de chez moi et dâAudrey. Câest Ă©tonnant comme on sâhabitue rapidement Ă dormir Ă cĂŽtĂ© dâun corps chaud et souple et Ă se rĂ©veiller avec la fille quâon aime. La vie semblait sombre sans elle et tout semblait sâĂ©terniser. Mes journĂ©es Ă©taient remplies dâheures de confĂ©rences interminables et dâĂ©tudes.
Alors que je rentrais chez moi Ă pied Ă la fin de la journĂ©e, jâai reçu un message dâAudrey. CâĂ©tait une photo dâune paire de culottes, son gousset est sombre et humide. Tout ce quâelle a dit, câest quâelle aurait aimĂ© que je sois avec elle maintenant. DĂšs que jâĂ©tais seul dans ma chambre, je lâai appelĂ©e, impatient dâapprendre ce qui la rendait toute chaude et excitĂ©e.
Elle mâa dit quâelle nâavait pas le temps de me le dire maintenant, mais elle me rappellerait ce soir.
Jâai jetĂ© une pizza dans le four et je me suis effondrĂ© sur le canapĂ©. Les minutes me semblaient des heures pendant que jâattendais quâAudrey mâappelle. Finalement, mon tĂ©lĂ©phone a commencĂ© Ă bourdonner sur la table. Jâai rĂ©pondu en moins dâune seconde. CâĂ©tait super dâentendre Ă nouveau sa voix. Je me suis tout de suite senti beaucoup plus heureux. Je lui ai dit combien elle me manquait, combien je dĂ©testais me rĂ©veiller sans elle.
Quand je lui ai demandĂ© ce qui lâavait poussĂ©e Ă salir sa culotte comme ça, ce nâĂ©tait pas surprenant quâelle ait recommencĂ© Ă parler du journal. Comme prĂ©vu, les semaines qui ont suivi la dĂ©floraison de Donna ont Ă©tĂ© remplies de rapports sexuels entre les trois. Le dernier dĂ©veloppement majeur est que la sĆur de Donna, Annie, a dĂ©couvert quâil se passait quelque chose.
Toute la famille sâassit ensemble et eut une conversation honnĂȘte et gĂ©niale au cours de laquelle Annie exprima une curiositĂ© envers les filles. Elle avait expĂ©rimentĂ© un peu avec quelques copines, mais elle Ă©tait impatiente dâapprendre ce que câĂ©tait quâĂȘtre avec un homme. Ce qui a suivi a Ă©tĂ© un quatuor fumant pendant lequel Annie a appris quâelle nâĂ©tait pas gay, mais quâelle aimait la bite tout autant que la chatte.
Peu importe Ă quel point lâhistoire Ă©tait chaude, ce nâĂ©tait pas ce que je voulais le plus entendre. La voix dâAudrey lâĂ©tait. Elle mâa peut-ĂȘtre lu des extraits du dictionnaire et mâa quand mĂȘme captivĂ©. Une heure sâest Ă©coulĂ©e en lâĂ©coutant, et pour lâinstant, je me sentais presque proche dâelle. Cependant, il Ă©tait tard et maman avait dĂ©jĂ dit Ă Audrey de raccrocher le tĂ©lĂ©phone et dâaller au lit. Je lui ai souhaitĂ© bonne nuit et lui ai dit une fois de plus que je lâaimais. En pensant Ă elle, jâai fermĂ© les yeux et jâai attendu que le sommeil arrive.
Mardi
Quelques heures plus tard, jâai Ă©tĂ© Ă nouveau rĂ©veillĂ© par le bourdonnement de mon tĂ©lĂ©phone portable sur la table de nuit. Il Ă©tait 23 h 30 et câĂ©tait Audrey qui appelait. Craignant que quelque chose ne se soit passĂ©, jâai rĂ©pondu Ă lâappel aussi vite que mon cerveau encore endormi le permettait.
âChuck?â Audrey a demandĂ©. Jâai entendu les larmes dans sa voix.
âJe suis lĂ bĂ©bé⊠Quâest-ce quâil y aâ?â
âCharles est mort.â Elle a pleurĂ©.
âOw merdeâŠ. Je suis dĂ©solĂ© bĂ©bé⊠Que sâest-il passĂ©â?â
âIl sâest fait renverser par un camion qui roulait Ă toute vitesse. Il lâa tuĂ© sur le coup.â
âMerde⊠JeâŠâ
âPourquoi devait-il le faireâ? Pourquoi luiâ?â
âQui sait⊠certaines choses arrivent comme ça. Tu savais quâil allait mourir, nâest-ce pasâ? Je veux direâŠâ
âOui, mais pas comme ça. Câest si⊠soudainâ
âEh bien, câĂ©tait un accident, aprĂšs toutâ
âJe sais, mais la veille, elle Ă©crivait sur le sexe merveilleux quâils avaient ensemble, et maintenant il est parti.â
Je ne savais pas quoi dire.
âEt si⊠je⊠je ne veux pas te perdreâ elle a pleurĂ©.
âNe dis pas ça, bĂ©bĂ©. Rien ne nous arrivera Ă aucun dâentre nousâ.
âTu ne peux pas savoir çaâ
âTu as raison, mais ne tâinquiĂšte pas. Ce qui compte, câest le temps que nous avons ensemble.â
âMais nous sommes Ă 200kms. Nous ne sommes pas ensembleâ.
âTu es toujours avec moi, bĂ©bĂ©â
âJe veux te sentirâ, dit-elle doucement. âJe pourrais te rendre visite. Alors je nâaurais pas Ă attendre si longtemps pour te revoir.â
âCe nâest que trois jours, je serai de retour vendrediâ
âJe ne veux pas attendre trois jours. Je te veux maintenantâ.
Je ne mây suis pas trop opposĂ©, elle me manquait plus que je ne voudrais lâadmettre. On Ă©tait dâaccord pour quâelle vienne me voir mercredi et reste jusquâĂ vendredi. On avait deux jours entiers pour nous tout seuls et on rentrait chez nous ensemble. Ce nâĂ©tait pas inhabituel pour Audrey de me rendre visite, mais jâespĂ©rais que nos parents Ă©taient trop occupĂ©s pour rĂ©aliser que nous passions beaucoup de temps ensemble ces derniers temps. La perspective de me voir demain lui a un peu calmĂ© les nerfs. AprĂšs quelques mots plus doux, nous avons mis fin Ă lâappel.
Jâai de nouveau fermĂ© les yeux et, bien que fatiguĂ©, je nâai pas pu dormir. Soudain, mon tĂ©lĂ©phone a encore sonnĂ©. CâĂ©tait un message dâAudrey.
âLa vie continue. Jâai hĂąte de te voir. XXXâ disait-il. Un fichier image y Ă©tait joint. Ma curiositĂ© a Ă©tĂ© chatouillĂ©e et jâai ouvert la piĂšce jointe. CâĂ©tait une photo dâune des pages du journal. Je suppose quâelle voulait que je le lise.
âNous avions tous le cĆur brisĂ©. Lâhomme qui mâa appris Ă aimer Ă nouveau Ă©tait parti, laissant un Ă©norme trou dans mon cĆur.
âDonna et Annie Ă©taient inconsolables. Les filles ont pleurĂ© toute la journĂ©e. Bien sĂ»r, ils avaient perdu leur pĂšre, comme jâavais perdu mon mari, mais nous avions toutes perdu notre amant. Elles sont restĂ©es avec moi et nous avons tous couchĂ© ensemble dans mon lit. CâĂ©tait bien dâavoir les filles avec moi, pour que je ne sois pas toute seule dans le grand lit double.
Je nâai pas dormi du tout, je suis restĂ©e allongĂ©e lĂ , revivant tous les moments heureux et tristes que jâai partagĂ©s avec mon mari pendant les 22 annĂ©es que nous avons passĂ©es ensemble.
âLa lumiĂšre entrait par la fenĂȘtre, annonçant le nouveau jour. Mon premier jour sans Charles. Les filles dormaient encore paisiblement. Jâai rĂ©alisĂ© que je ne serais pas seule aprĂšs tout. CâĂ©tait son hĂ©ritage et il y survivrait.
Annie sâest rĂ©veillĂ©e la premiĂšre. Elle a ouvert les yeux et mâa regardĂ©. Elle sâest rendu compte quâil nây avait que nous trois et elle sâest souvenue pourquoi. Une larme lui a coulĂ© dans les yeux et elle a posĂ© son bras sur ma poitrine, cherchant du rĂ©confort dans mes bras. Le mouvement a Ă©galement rĂ©veillĂ© sa sĆur et bientĂŽt, nous nous sommes embrassĂ©s et nous nous sommes cĂąlinĂ©s ensemble.
Je ne sais pas qui en est lâinstigateur, mais nous nous embrassions et un peu plus tard, une des filles me lĂ©chait et lâautre embrassait mes seins. Ă chaque baiser, notre tristesse semblait un peu moins insupportable.â
Une partie de moi Ă©tait contente quâil nây ait pas eu de rĂ©pĂ©tition de la pĂ©riode de sĂ©cheresse que nous avons connue aprĂšs la premiĂšre grossesse de mamie. Ma petite amie me manquait plus que je ne le pensais, et pas seulement sur le plan Ă©motionnel. Dans un jour de plus, nous serions de nouveau ensemble.
Â
Mercredi
Toute la journĂ©e, je me suis senti comme une enfant Ă NoĂ«l. Ma sĆur, la fille de mes rĂȘves venait me rendre visite. Je comptais les heures avant son arrivĂ©e. Elle mâa dit quâelle serait Ă la gare Ă 16 h et câest lĂ que jâĂ©tais en train dâattendre de la rĂ©cupĂ©rer. Le train est arrivĂ© exactement Ă lâheure et quand le flot de gens a commencĂ© Ă se disperser, elle Ă©tait lĂ . Je lui ai fait signe et dĂšs quâelle mâa vu, elle a couru. Elle mâa sautĂ© dans les bras et mâa couvert le visage de baisers tout en me murmurant Ă quel point je lui manquais.
Jâai pris son sac de voyage et je lâai portĂ© pour elle pendant que nous marchions main dans la main vers ma voiture. Comme un vrai chauffeur, je lui ai ouvert la porte et lâai fermĂ©e quand elle Ă©tait assise. Puis jâai jetĂ© ses bagages Ă lâarriĂšre et je me suis assis derriĂšre le volant.
âOĂč voulez-vous aller, madameâ?â Jâai demandĂ©, en retirant une casquette de conducteur imaginaire.
âTu peux me ramener chez moi, Charlesâ
âDois-je prendre la route panoramiqueâ?â
âNon, tu prendras le plus court, dit-elle sĂ©vĂšrement, mais avec un scintillement dans lâĆil, avant quâelle nâĂ©clate de rire.
âComme vous voulez, madameâ
Jâai tournĂ© la clĂ© du contact et jâai conduit de la gare au campus universitaire. Jâai garĂ© la voiture et je lâai conduite chez moi. DĂšs que nous avons Ă©tĂ© seuls, elle est revenue dans mes bras et a serrĂ© ses jambes autour de ma taille. Je lâai portĂ©e Ă la maison et jâai dĂ©foncĂ© la porte. Pendant que je naviguais dans la maison, elle mâembrassait fĂ©rocement et dĂ©boutonnait ma chemise. Quand nous sommes arrivĂ©s dans ma chambre, ma chemise Ă©tait quelque part sur le sol et elle tĂątonnait avec ma ceinture. Je lâai jetĂ©e sur mon lit et bientĂŽt elle Ă©tait aussi nue que moi.
Une demi-heure plus tard, elle sâest couchĂ©e dans mes bras, la tĂȘte sur ma poitrine. Nous Ă©tions Ă la fois en sueur et fatiguĂ©s, mais satisfaits.
La suite de la sage demain mĂȘme heure !