Alors que jâavais tout rangĂ©, la voiture de tante Annie a roulĂ© sur notre route. Il me semblait quâĂ chaque fois que je voyais cette voiture, elle avait accumulĂ© plus de bosses. JâespĂ©rais vraiment que maman conduisait, et pas Annie. Malheureusement, maman est sortie du cĂŽtĂ© passager et mâa fait signe dâentrer. Jâai discrĂštement embrassĂ© ma sĆur pour lui dire au revoir et jâai marchĂ© sur le chemin. Jâai pris une grande respiration et je suis montĂ© Ă lâarriĂšre.
Vingt minutes terrifiantes plus tard, nous sommes arrivĂ©s chez Mamie. Maman mâa fait du cafĂ© et mâa parlĂ© de la rĂ©union quâils ont eue ce matin, et quâils avaient dĂ©cidĂ© quâil serait mieux de rĂ©nover la maison avant quâelle ne soit mise en vente. Puis elle mâa donnĂ© une liste des choses Ă faire dans la maison. Elle avait dĂ©jĂ un entrepreneur qui venait Ă la maison cet aprĂšs-midi et elle voulait que je sois lĂ quand il viendrait.
Tout compte fait, le temps passait vite et avant que je mâen rende compte, il Ă©tait six heures et il Ă©tait temps de rentrer chez moi. Le dĂźner Ă©tait de la pizza, et pendant que nous attendions que la nourriture soit livrĂ©e, je suis montĂ© voir Audrey. Elle ne mâentendait pas venir, alors je lâai surprise en enroulant mes bras autour de sa taille souple et en tirant son corps contre le mien.
«âSalut bĂ©bĂ©â»
«âSalutâ», elle a gloussĂ© en se retournant, alors elle Ă©tait face Ă moi. «âTu mâas manquĂ©â»
«âTu mâas manquĂ© aussiâ», lui dis-je en lâembrassant sur ses lĂšvres douces.
Elle mâa poussĂ© sur sa chaise et sâest assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou.
«âEt quâas-tu fait pendant que je te manquaisâ?â» Jâai demandĂ©.
«âLectureâ»
«âLaisse-moi deviner⊠encore ces journaux intimesâ?â»
«âOuais. Jâai presque fini le troisiĂšme volumeâ».
«âEt as-tu dĂ©couvert quelque chose sur les annĂ©es manquantesâ?â»
«âNon, rien du toutâ»
«âQuelque chose sur le bĂ©bĂ©â? Ou SĂ©bastienâ?â»
«âPas grand-chose sur eux non plus. Juste çaâ», dit-elle.
Elle a ouvert le livre Ă lâun des signets et a partagĂ© le peu quâelle avait appris.
«âJâai pensĂ© essayer de contacter SĂ©bastien pour lui demander sâil voulait venir voir ma nouvelle maison. Je ne sais pas ce que je veux. Je ne sais mĂȘme pas oĂč il habite en ce moment.
Il a probablement aussi dĂ» passer Ă autre chose. Et sâil ne veut plus me connaĂźtre, moi ou notre filsâ? Peut-ĂȘtre vaut-il mieux laisser le passĂ© derriĂšre soi et se concentrer sur ma nouvelle vie ici. Je ne veux pas compliquer les choses plus quâelles ne le sont dĂ©jĂ . En plus, je ne saurais pas comment le joindre de toute façon.â»
«âCâest tout ce quâelle a dit, câest la seule fois oĂč elle a mentionnĂ© lâun ou lâautre.
«âPeut-ĂȘtre quâelle Ă©crira plus tardâ?â»
«âPeut-ĂȘtre. Mais pour lâinstant, tout ce quâelle Ă©crit câest sur ce nouveau mec quâelle a rencontrĂ©â».
«âQui est-ceâ?â»
«âQuelquâun quâelle a rencontrĂ© au supermarchĂ©. Elle lâa dĂ©crit comme un grand et bel Ă©tranger, et son nom est Charlesâ»
«âAttends, est-ce que grand-pĂšre ne sâappelait pas Charlesâ?â» Jâai demandĂ©.
«âOui, je suppose que câest luiâ»
«âIls sâaimaient, nonâ? Je veux dire, vraiment aimĂ© lâun lâautreâ?â»
«âCâest ce que maman disait toujours. Comme un conte de fĂ©esâ»
Elle avait raison, ce sont les mots exacts de maman.
«âBien, elle mĂ©rite un peu de chanceâ», dis-je avec joie.
«âCertainementâ»
Lâhistoire a dĂ» attendre un peu plus longtemps. Maman nous a appelĂ©s, le dĂźner Ă©tait prĂȘt. On a mangĂ© une pizza devant la tĂ©lĂ© et on a discutĂ© un peu. AprĂšs le dĂźner, Audrey a demandĂ© Ă ĂȘtre excusĂ©e et est montĂ©e. Environ une heure plus tard, jâai fait la mĂȘme chose.
«âTu veux toujours savoir ce qui sâest passĂ© aprĂšs quâils aient enlevĂ© le petit Bastienâ?â» demanda Audrey en entrant dans sa chambre.
«âBien sĂ»râ»
«âMaman et papa sont toujours en basâ?â»
«âOui, ils regardent toujours la tĂ©lĂ©â»
Elle a rĂ©cupĂ©rĂ© le journal dâoĂč elle lâavait cachĂ© et lâa ouvert Ă lâun des signets. «âTiens, Ă©coute çaâ».
«âCharles mâa interrogĂ© sur les cicatrices sur mes bras. Il mâa dit quâil savait ce que câĂ©tait et mâa demandĂ© si je voulais lui dire comment je les avais eues, mais quâil comprendrait si je ne le voulais pas. Jâai dit que je devais y rĂ©flĂ©chir. Jâaurai du mal Ă lui raconter lâhistoire que jâai essayĂ© dâoublier depuis si longtemps.
Jâai dĂ©cidĂ© quâil nây aura quâune seule personne avec qui je pourrai raconter mon histoire, et cette personne sera lâhomme avec qui je vieillirai. Charles pourrait-il ĂȘtre cet hommeâ?
JâespĂšre quâil lâest.
«âAllongĂ©e dans ses bras, jâai rĂ©alisĂ© que jâĂ©tais heureux. Je ne me sentais pas seulement joyeuse, mais vraiment heureuse, en sĂ©curitĂ© et heureuse. CâĂ©tait un sentiment agrĂ©able, presque oubliĂ©. CâĂ©tait presque comme si jâĂ©tais de nouveau couchĂ©e dans les bras de SĂ©bastien, loin de toutes les difficultĂ©s de la vie. Jâai demandĂ© Ă Charles sâil mâaimait. Il a dit plus que toute autre chose.
Je lui ai dit que je voulais lui parler de mes cicatrices. Il mâa rassurĂ©e en me disant que je nâavais pas Ă le faire si je ne le voulais pas. Jâai dit que je devais le faire, parce que je voulais ĂȘtre avec lui pour le reste de ma vie. Il a dit que ça ferait de lui lâhomme le plus heureux du monde.
«âJe lui ai racontĂ© toute lâhistoire de ma vie et il a tout Ă©coutĂ© en silence. Il ne mâa pas jugĂ©e quand je lui ai dit que jâavais dĂ©couvert le sexe avec mon frĂšre et que jâĂ©tais tombĂ©e enceinte de lui. Il mâa serrĂ©e contre sa poitrine et mâa caressĂ© les cheveux et je sentais ses larmes sur mon Ă©paule lorsque jâai racontĂ© que jâavais perdu mon frĂšre, mes amies et mon bĂ©bĂ©.
Il mâa demandĂ© si câĂ©tait quand je me suis ouvert les veines. Je lui ai dit que je nâavais aucune raison de vivre et que je voulais mettre fin Ă la douleur. Jâai pris le couteau dans la cuisine et je me suis coupĂ© dans la baignoire. Je lui ai parlĂ© de la douleur brĂ»lante et du sentiment de dĂ©livrance, et comment tout est finalement devenu silencieux et sombre.
Je lui ai parlĂ© de mon rĂ©veil Ă lâhĂŽpital et Ă quel point je me sentais complĂštement vaincue. Je lui ai dit quâils avaient doublĂ© ma dose de tranquillisants et que trois annĂ©es sâĂ©taient Ă©coulĂ©es dans la brume jusquâĂ ce que je mâĂ©loigne enfin de tante Barbara pour mâinstaller dans ma nouvelle maison en ville.
âCharles mâa dit quâil mâaimait et quâil ne laisserait plus jamais rien mâarriver de mal. En prononçant ces paroles, jâai vu la bontĂ© dans ses yeux et jâai entendu la sincĂ©ritĂ© dans sa voix. Je savais quâil Ă©tait sincĂšre et que je lâaimerais pour toujours.â
âĂa explique beaucoup de chosesâ, dit Audrey.
âOuiâ
âPeux-tu imaginer, trois annĂ©es entiĂšresâ?â
âNon, ça a dĂ» ĂȘtre horribleâ
âJâespĂšre quâil y aura des moments plus heureux pour elle maintenantâ
âOui, moi aussi. Elle le mĂ©riteâ.
Le bien-ĂȘtre de ma grand-mĂšre nâĂ©tait pas la seule raison pour laquelle jâespĂ©rais des moments plus heureux, il y avait aussi une raison un peu plus Ă©goĂŻste. Le dernier jour et demi, Audrey Ă©tait allongĂ©e dans mes bras, lisant lâhistoire. Son corps sexy si proche et si sĂ©duisant, mais aucun de nous nâĂ©tait vraiment dâhumeur Ă faire quoi que ce soit. Nous avions Ă peine fait lâamour et la pression dans mes couilles atteignait des niveaux inconfortables. Jâaimerais libĂ©rer un peu de cette pression avant de repartir pour lâuniversitĂ© demain.
âJâai dit que je lâaimais aussi et on sâest embrassĂ©s. Câest pendant ce baiser que jâai su que jâavais fait ce quâil fallait en lui disant. Il savait maintenant tout de moi. Il nây avait plus rien entre nous et je me sentais plus proche de lui que je ne lâavais jamais Ă©tĂ©. On a fait lâamour pour la premiĂšre fois.
âCâĂ©tait un peu inattendu quand câest arrivĂ©, mais je suis content quâon lâait fait. Charles est un amant fantastique. Il est doux, passionnĂ© et trĂšs attentionnĂ©, mais en mĂȘme temps il est comme un animal, fort comme un cheval et tenace comme un loup, poursuivant sans relĂąche son but, me faisant jouir encore et encore. Faire lâamour avec lui est presque mĂ©dicinal. Ă chaque poussĂ©e de sa bite, il fait paraĂźtre plus loin tous les souvenirs dĂ©sagrĂ©ables et Ă chaque baiser, je lâaime encore plusâ.
Et avec cela, les temps heureux Ă©taient revenus. Une fois de plus, le journal Ă©tait rempli de pages et de pages dâimages des aventures sexuelles de Mamie. Audrey Ă©tait tellement excitĂ©e quâelle ne pouvait mĂȘme pas attendre la sĂ©curitĂ© relative de la nuit. Seulement une demi-heure aprĂšs que jâaie quittĂ© sa chambre, et pendant que nos parents regardaient encore la tĂ©lĂ© en bas, elle est venue me voir Ă nouveau. Elle a posĂ© son doigt sur ses lĂšvres, me disant de me taire. Elle nâavait pas besoin dâexpliquer ce quâelle voulait, le regard dans ses yeux me disait tout ce que jâavais besoin de savoir, et jâaimais ça.
Elle sâest agenouillĂ©e devant moi et a dĂ©boutonnĂ© ma braguette, a attrapĂ© ma bite et lâa aspirĂ©e dans sa bouche. En quelques secondes, elle mâa mis en pleine Ă©rection.
âSâil te plaĂźt Chuck, jâai besoin de toi, tout de suiteâ chuchota-t-elle en baissant son pantalon, en se penchant et en posant ses mains sur mon bureau.
Jâai dĂ©placĂ© ma main entre ses jambes et jâai senti ses lĂšvres douces. Je nâavais pas fait lâamour depuis deux jours, et devant moi se trouvait la chatte la plus chaude et la plus humide jamais vue. MĂȘme si la menace dâĂȘtre dĂ©couvert Ă©tait importante et que les consĂ©quences seraient dĂ©sastreuses, mon dĂ©sir pour elle lâemportait sur tout appel Ă la prudence. Jâai baissĂ© mon pantalon et jâai pris position derriĂšre ma sĆur.
Je lui ai caressĂ© le cou et lâai embrassĂ©e derriĂšre lâoreille pendant que je la sĂ©chais lentement avec ma bite dure entre les joues de son cul. Elle a tournĂ© la tĂȘte et me regardait avec le dĂ©sir brĂ»lant dans les yeux, mâordonnant non verbalement dâarrĂȘter de faire lâimbĂ©cile et de la baiser fort.
Jâai attrapĂ© ma bite, je lâai penchĂ©e vers le bas et je me suis soulagĂ© entre ses lĂšvres lisses. Audrey gĂ©missait de besoin et roulait ses hanches pour me donner un meilleur accĂšs Ă sa chatte. Ma queue a trouvĂ© son ouverture et je lâai poussĂ©e. Dans un souffle de libĂ©ration, ses tissus dĂ©licats ont cĂ©dĂ© et jâai Ă©tĂ© englouti par sa chatte dĂ©licieusement serrĂ©e et chaude. Lentement jâai poussĂ© de nouveau vers lâavant jusquâĂ ce que les joues de ses fesses soient fermement appuyĂ©es contre mon bas-ventre. Audrey sâest mordu la lĂšvre et a poussĂ© un gĂ©missement tendu quand je lui ai donnĂ© ce quâelle voulait. Les mains sur la taille, je lâai baisĂ©e aussi fort que jâosais, sans faire autant de bruit, ça alerterait nos parents en bas.
En toute honnĂȘtetĂ©, la menace de se faire prendre nâa fait quâaugmenter notre excitation. Ma sĆur a joui en quelques minutes, et quelques secondes avant moi. Je lui mordais le cou en lui pompant deux jours de sperme dans sa chatte frĂ©missante. La pression dangereuse dans mes couilles avait Ă©tĂ© soulagĂ©e, et je me suis senti instantanĂ©ment beaucoup mieux.
Audrey sâest retournĂ©e et a remuĂ© son pantalon sur son cul. Elle mâa donnĂ© un petit coup de bec sur les lĂšvres et mâa jurĂ© quâelle reviendrait plus tard. Puis, aussi discrĂštement quâelle est entrĂ©e dans ma chambre, elle est repartie. Le sexe avait Ă©tĂ© prĂ©cipitĂ©, brut et calme, mais câĂ©tait fantastique.
Audrey a tenu parole. DĂšs que nos parents se sont couchĂ©s et que le silence est descendu sur la maison, elle sâest glissĂ©e dans ma chambre. Elle ne portait rien dâautre quâune courte chemise de nuit alors quâelle rampait sur mon lit et sâaccroupissait sur mon visage. Elle sâĂ©tait douchĂ©e et rasĂ©e. Sa chatte douce et parfumĂ©e avait un goĂ»t frais et sucrĂ© et je me rĂ©galais de ses jus qui fuyaient abondamment comme un homme mourant de soif. Jâai lĂ©chĂ©, embrassĂ© et sucĂ© jusquâĂ ce que ses jambes commencent Ă trembler et que ses gĂ©missements Ă©touffĂ©s atteignent des hauteurs. Elle jouissait comme une folle, mais je nâallais pas la laisser sâenfuir maintenant. Jâai enfermĂ© mes bras autour de ses jambes et je lâai dĂ©vorĂ©e jusquâĂ ce quâelle me supplie dâarrĂȘter. Je lâai lĂąchĂ©e et elle est tombĂ©e dans mes bras, haletante et murmurant doucement de douces paroles dans mon oreille.
Je nâai pas laissĂ© beaucoup de temps Ă ma sĆur pour rĂ©cupĂ©rer. Je lâai roulĂ©e et je lâai mise Ă genoux. Dâun coup, jâĂ©tais au fond de sa chatte molle. Nous devions encore nous taire si nous voulions Ă©viter de rĂ©veiller nos parents et les alerter de ce qui se passait dans ma chambre. Il y avait beaucoup moins de pression cette fois, alors jâai pris mon temps et je lâai baisĂ©e Ă un rythme plus dĂ©tendu. CâĂ©tait peut-ĂȘtre mieux comme ça, parce que ça mâa fait durer plus longtemps aussi. CâĂ©tait notre derniĂšre nuit ensemble, et jâallais en profiter autant que possible.
Quelques minutes plus tard, Audrey mĂąchait mon oreiller, essayant dâĂ©touffer les gĂ©missements qui sâĂ©chappaient inĂ©vitablement de sa bouche pendant que je la baisais par-derriĂšre. Ses mains griffaient les draps alors quâelle essayait de rĂ©sister Ă mon pompage sobre, mais vigoureux. NĂ©anmoins, Ă chaque poussĂ©e, elle sâest lentement affaissĂ©e vers lâavant jusquâĂ ce quâelle sâallonge sur le ventre et que je chevauche les jambes de ma sĆur.
MalgrĂ© la position plus difficile, jâai continuĂ© Ă mâenfoncer Ă la mĂȘme vitesse implacable. Ma bite nâa pas atteint un point aussi profond quâavant et jâai mĂȘme glissĂ© quelques fois, mais avec ses jambes fermĂ©es comme elles Ă©taient, la chatte dâAudrey se serrait plus fort que jamais. Une minute ou deux plus tard, jâai senti mes couilles se serrer comme un avertissement que jâallais jouir rapidement.
Je lâai tirĂ©e, je lâai roulĂ©e sur le dos et lui ai lĂ©chĂ© la chatte pendant une minute pendant que je laissais ma bite se refroidir. Puis je me suis assis, appuyĂ© contre la tĂȘte de lit, et je lâai tirĂ©e sur mes genoux. Audrey mâa montĂ© Ă cheval comme une cow-girl. Elle se dĂ©plaçait gracieusement et en douceur, avec un mouvement de roulis rapide de ses hanches. Sa poitrine pĂ©tillante rebondissait devant moi et je nâavais quâĂ plier un peu mon cou et jâai attrapĂ© un de ses mamelons roses entre mes lĂšvres. Elle gĂ©mit doucement pendant que je tĂ©tais et mordais doucement sur le bout sensible. Je me suis dĂ©placĂ© entre les deux mamelons et jâai Ă©galement portĂ© une attention particuliĂšre Ă la peau douce entre les mamelons. Il nâa pas manquĂ© son effet escomptĂ©, car jâai senti le corps de ma sĆur se raidir Ă nouveau. Ses gĂ©missements se sont intensifiĂ©s et jâai appuyĂ© ma bouche sur la sienne pour les Ă©touffer. Puis les premiĂšres vagues orgasmiques ont traversĂ© son corps. Sa chatte semblait flotter autour de ma bite en une sĂ©rie rapide de contractions. Je ne voulais plus me dĂ©fendre contre mon propre orgasme. Je lui ai attrapĂ© le cul et je lâai fait rebondir sur ma bite jusquâĂ ce que je lui inonde la chatte.
AprĂšs avoir fini de jouir, elle sâest penchĂ©e en arriĂšre et a laissĂ© ma bite tomber sur mon ventre. Une boule crĂ©meuse de sperme suintait de ses lĂšvres rougissantes et tombait en une longue ficelle avant de sâaccumuler sur ma cuisse. Elle a gloussĂ© dâune maniĂšre mignonne en ramassant une goutte brillante quâelle sâest lĂ©chĂ© le doigt.
âNous avons bon goĂ»t ensembleâ, dĂ©cida-t-elle.
On Ă©tait bien ensemble aussi. La voir jouer avec mon sperme qui sâest Ă©chappĂ© dâelle Ă©tait de loin la chose la plus outrageusement sexy qui soit. Ma bite est lentement revenue Ă la vie et, avec un peu dâaide dâAudrey, elle a vite Ă©tĂ© assez dure pour une autre tournĂ©e.
La suite de la sage demain mĂȘme heure !