Début septembre. Le programme informatique sur lequel je travaillais depuis 4 mois est terminé et est en cours de test chez le client. J’ai un mois de tranquillité devant moi avant de m’attaquer aux incontournables bugs qu’il faut corriger. Olivier et Sandrine sont partis en croisière sur le Nil. Hélène est injoignable et mes autres amis ont repris leur travail. Cela fait 3 ans que je ne suis pas parti en vacances. Eh oui, il faut savoir-faire des sacrifices pour payer les traites de la maison. Mais là, je sens que j’en ai vraiment besoin. Je n’avais pas prévu de voyager et puisque sur un coup de tête j’ai envie de partir rapidement, la seule façon de trouver un quelque chose qui me convient c’est par Internet. Connexion, visite des sites de voyage organisé, il n’y a rien qui me tente malgré des promotions alléchantes. Moteur de recherche, taper « vacances + célibataire » et lancer la recherche. Comme d’habitude, des milliers de réponses dont beaucoup n’ont rien à voir avec le sujet demandé. Bien, il faudra affiner et analyser tout ça. De toute façon je n’ai rien de mieux à faire aujourd’hui. Au bout d’une heure de tri, je tombe sur une annonce :« Caraïbe, Hôtel *****. Formule all inclusive. Bienvenus aux couples échangistes, célibataires acceptés période hors saison. ».Je clique sur le lien et me retrouve sur la page d’accueil de l’agence. Apparemment, il s’agit d’une petite agence, leur site est plutôt minimaliste, description succincte du voyage, le prix, les dates de départ et pour passer commande, il faut téléphoner. En 30 minutes, l’affaire est réglée, je pars pour 2 semaines dans 3 jours. Cela me laisse largement le temps de faire ma valise et d’arriver à Paris.Aéroport de Roissy, enregistrement de bagages, contrôle de passeport, embarcation. Après un vol interminable dans un charter moins confortable que le métro parisien, on arrive enfin à destination en plein milieu de la nuit. Re-contrôle du passeport, récupération des bagages, transfert à l’hôtel. Le chauffeur qui m’a accueilli à l’aéroport fait également office de réceptionniste, après quelques vérifications d’usage, il m’attribue une chambre, m’attache un bracelet en plastique au poignet et m’explique qu’avec ça, je peux prendre toutes les boissons à volonté. J’entends en sourdine, de la musique salsa et des éclats de rire qui proviennent de l’arrière de l’hôtel, mais trop fatigué, je récupère la clef de la chambre et file dare-dare me coucher. J’ai dormi 8 heures et après une bonne douche, je vais enfin pouvoir découvrir mon nouvel environnement. La chambre est très spacieuse. Il y a deux grands lits et un mini bar, mais la chose la plus intéressante, c’est la boite de préservatifs dans la salle de bain. À cause du choix de mes partenaires, je ne suis pas un habitué des capotes. Il faut dire que je suis resté très longtemps avec la même jeune femme et tous les deux nous avions fait des analyses de dépistage des MST. Machinalement j’en prends un, et le fait d’avoir dans la main cet objet destiné uniquement pour les plaisirs sexuels, je commence à avoir des pensées lubriques. Je ne sais pas si c’est dû au décalage horaire ou si c’est l’atmosphère des caraïbes mais rapidement, je suis en érection. Je me suis donc assis sur le bord de la baignoire et automatiquement, comme à chaque fois que je me donne du plaisir en solitaire, je revois le joli visage de ma prof d’anglais de terminal, Melle FitzPatrick, une Irlandaise, l’archétype des Irlandaises, rousse avec tâches de rousseur. Je reprends le préservatif, déchire l’enveloppe et l’enfile en déroulant délicatement. Sautant du coq à l’âne, je revis les scènes de mon dernier rapport avec Sandrine, celle qui m’a libéré de 2 ans d’abstinence.Elle était venue passer le week-end avec son mari Olivier. Après une baise fantastique, qui m’a fait oublier la rupture avec sa sœur Hélène, on avait enchaîné dans une séance à trois dans la piscine où j’avais remarqué que son petit trou était resté inviolé. Je revois parfaitement la scène de ce dimanche matin où elle était venue dans ma chambre. Il devait être 6h. Elle s’était allongée sur moi et m’avait embrassé les paupières, le nez et enfin les lèvres. En retour, je la serrais dans mes bras avant d’ouvrir les yeux et constatais dans la pénombre de la chambre qu’elle était entièrement nue.— Bonjour. Qu’est-ce que tu fais ici ? Ou est Olivier ?— Olivier dort encore. Je crois que je l’ai épuisé hier soir, suite à tes conseils d’ailleurs. Rappelle-toi.C’était vrai que pour éviter de briser notre amitié, je lui ai demandé de prouver son amour à son mari, après que celui ci nous avait surpris en train de faire l’amour. Même si c’est un ami d’enfance et malgré qu’il nous ait affirmé que nous avions son accord, ce n’était pas agréable de découvrir sa femme dans les bras d’un autre.— Raconte un peu. Comment l’as-tu « épuisé » ?— Ne parle plus d’Olivier, c’est mon mari et je l’aime vraiment, mais c’est avec toi que j’ai envie de faire l’amour maintenant. Tu sais, le « souffle du dragon » c’était vraiment sublime. As-tu autre chose du même genre à me faire découvrir ?— Non, rien d’aussi exotique. As-tu déjà essayé la sodomie ?— Jamais ! Mes copines m’ont dit que ça fait très mal.— Ça ne fait mal que quand c’est mal fait et dans la précipitation. Je peux te montrer comment le faire correctement si tu es d’accord.— Est-ce que tu l’as fait avec Hélène ?— Oui je l’ai fait avec Hélène. Mais tout comme pour Olivier, ne parle plus d’Hélène et comme tu le disais si bien, c’est avec toi que j’ai envie de faire l’amour maintenant.— Puisque Hélène l’a fait, je suis d’accord pour un essai. Et si ça ne me plait pas, on arrête.Je ne pensais pas réussir à la convaincre aussi rapidement. Allons-y ma belle avant que tu ne changes d’avis— Pousse-toi. Laisse moi me lever, je vais « préparer » ton petit cul.Elle avait juste le temps de se rouler sur le côté que j’étais déjà debout.— Mets-toi sur le dos, les jambes écartées et genoux relevé.Elle s’exécutait. Je me plaçais promptement à genoux sur le lit entre ses cuisses. Avec un doigt mouillé de ma salive, je faisais un massage circulaire autours de son clitoris puis en me penchant en avant, je lui lapais sa féminité. Elle sentait fort. Certainement les conséquences d’hier soir et vu l’heure matinale, elle n’avait pas dû prendre le temps de faire sa toilette intime. Quelques coups de langue supplémentaires avaient suffit à provoquer une coulée de mouille odorante. C’est maintenant que les choses sérieuses commencent. J’introduisais un, puis deux doigts pour recueillir ce précieux nectar. Mes doigts bien lubrifiés, je lui faisais signe de soulever d’avantage son bassin afin de me donner accès à son cul. Un oreiller calé sous ses fesses lui facilitait la tâche et me donnait une vue imprenable sur son petit trou tout fripé.— Prête ?— Oui, mais sois doux avec moi.— OK. Ne te contracte pas. Détends-toi. Si tu te contractes trop, je ne pourrais pas passer et cela fera mal.J’avais commencé par étaler généreusement sa mouille autour de la rondelle. De l’index, j’entamais un mouvement circulaire autour de l’anus qui avait pour but de détendre les muscles de facilité l’introduction. Le premier doigt rentrait sans problème. Après un petit instant de pause pour lui laisser le temps de s’habituer à cette présence, je faisais doucement tournoyer le doigt pour agrandir l’orifice. La deuxième phalange avait plus de mal à rentrer. Elle s’était contractée. Si je forçais le passage, elle aurait mal et ne voudrait plus renouveler l’expérience. C’était l’instant décisif. Il fallait la détendre et je le faisais en suçant son clitoris avec le doigt toujours dans son cul et le deuxième prêt à s’introduire. Peu à peu, elle se détendait, millimètre par millimètre le deuxième doigt progressait et finissait par rentrer entièrement.— Alors ? Qu’est-ce que tu ressens ?— Euh …j’ai envie de faire caca.— Bien. Très bien. Est-ce que tu as eu mal ?— Non, mais j’ai drôlement envie d’aller aux toilettes.— C’est tout à fait normal la première fois. Tu iras aux toilettes tout à l’heure. En attendant, je vais laisser mes doigts immobiles dans ton cul et te faire jouir en te léchant. Tu verras qu’à cause ou plutôt grâce à leur présence, le plaisir est différent.A chaque coup de langue entre les lèvres de son sexe, son anus se contractait merveilleusement autour de mes doigts. Quand ce sera au tour de mon sexe de prendre leur place, ce sera un massage des plus stimulant. Rapidement un orgasme la terrassait. Dans un spasme de plaisir, mes doigts s’étaient trouvés enserrés dans un étau.— Aller décontractes toi et lâches mes doigts. Tu pourras aller aux toilettes.A peine mes doigts ressortis, elle se levait d’un bond et se dirigeait un peu en canard vers la salle de bain.— Quand tu auras fini, rejoins-moi sous l’olivier, on passera à la deuxième étape.Environ 20 minutes plus tard, vêtue de mon vieux peignoir, pieds nus, elle me rejoignait au bord de la piscine. Elle avait un tube de vaseline dans la main.— J’ai trouvé ça dans l’armoire à pharmacie et je me suis permis de l’utiliser. J’ai bien fait ?J’ai toujours trouvé adorable sa façon de jouer la fausse ingénue. Pour rentrer dans son jeu je lui demande d’un air totalement surpris :— Tu l’as utilisé ? J’espère que tu sais que ça ne se mange pas ?— Mais non gros bêta. J’en ai mis autour et un peu dedans…Elle terminait sa phrase en se donnant une petite tape sur les fesses. Ah la coquine, elle apprenait vite. Posant le tube sur la table, elle s’asseyait sur mes genoux et me mordillait le lobe d’une oreille.— Maintenant que tu t’es soulagée, dis moi ce que tu as ressenti tout à l’heure.— C’est une drôle de sensation. Je ne sais pas encore si c’est bon ou si c’est douloureux. Il y a en même temps comme une irritation et un vide qu’il faut combler.— On le fait ici, ou dans l’eau ?— Plutôt ici. Sur les matelas du transat ce sera parfait.Nous avions donc pris deux matelas que nous avions étalé côte à côte. Sandrine s’était débarrassée du peignoir et s’allongeait sur le dos. Je restais debout, à la contempler tandis qu’elle me tend une main dans un geste d’invitation. Je m’installais donc à côté d’elle et nous nous embrassions longuement. Puis d’un air mi-solennelle mi-rieuse, elle déclarait en me regardant dans les yeux :— Moi Sandrine, majeure et vaccinée, saine de corps et d’esprit, je vous offre sans condition, la virginité de mon anus. Je suis prête.Assis sur mes talons, je me plaçais entre ses cuisses, soulevant son bassin pour amener sa rondelle au niveau de mon dard turgescent. Puis tout doucement, je poussais tout en scrutant l’expression de son visage. Elle avait la bouche ouverte mais retenait sa respiration. La vaseline aidant, le gland était rentré sans difficulté. Toujours en douceur, je continuais de pousser et quand enfin mes bourses touchaient ses fesses, je m’immobilisais, entièrement planté en elle.Flap, flap, flap ….Retour à la réalité.Encore quelques coups de poignet et j’explose dans la capote.Bon sang. Dès que je serai rentré, il faudra absolument que j’aille voir Sandrine pour remettre ça. Après une petite toilette post-branlette, je farfouille rapidement dans la valise, trouve les vêtements adéquats, m’habille et sors de la chambre pour visiter les lieux. Il est 10h30, heure locale. Je pars à la recherche d’un petit déjeuner. Malheureusement, on ne sert plus le petit déjeuner. Les serveurs sont déjà en train de préparer la salle pour le repas de midi. Dans un très espagnol très approximatif, j’essaie de négocier un café et on m’explique – en anglais- qu’il faut aller au bar du 1er étage. Je m’y rends. Une grosse serveuse, tout en sourire, tout de blanc vêtue me sert une tasse et me propose un cigare. Je décline poliment l’offre, prends ma tasse et m’installe à la table la plus proche. La salle, immense, est joliment décorée. Il n’y a pas beaucoup de monde. Deux couples d’Américains jouent aux cartes en parlant très fort et riant bruyamment. Plus loin, deux hommes discutent en se tenant par la main. Mon regard s’arrête sur un autre couple, plus loin sur ma gauche. Elle est assise sur les cuisses de son homme et sans erreur possible, elle a une main dans son short. Lui, il a une main sur sa poitrine. Je regarde les autres clients, tout le monde les ignore totalement. Je reviens sur mes tourtereaux le temps de la voir lui tourner le dos, soulever sa mini jupe et s’empaler sur le pénis parfaitement érigé de son amant. J’ai failli me brûler avec le café, tellement ce spectacle m’a surpris. Sans aucun gène apparente, les deux amoureux continuent leur coït dans les règles de l’art. Elle est maintenant debout penchée sur la table tandis qu’il la prenait vigoureusement en levrette. Il n’y a pas de doute, je suis tombé sur un nid de débauchés et je sens que je vais adorer ça. Les deux gays se lèvent et quittent la salle en se tenant amoureusement par la hanche. Un instant plus tard, arrivent trois personnes, deux hommes et une femme. Ils sont en maillot de bain et ont les cheveux mouillés. Au bar, ils commandent des jus de fruit et viennent s’asseoir en face de ma table. 25 ans, peut-être un peu plus. Ils parlent allemand, du moins cela a une consonance germanique. La femme rit beaucoup ce qui a pour effet de faire trembloter sa poitrine très généreuse. Elle a de longs cheveux châtains noués en queue de cheval, un peu forte mais pas grosse, bref le genre de physique qui correspond au 100D de son tour de poitrine. Elle a vraiment des seins magnifiques et le haut de son maillot deux pièces a bien du mal à cacher ces globes bien bronzés. Il n’y a rien à faire, je ne peux pas détacher mon regard, je suis hypnotisé par cette poitrine.Un des hommes se penche vers la femme, lui murmure quelque chose à l’oreille puis se lève et quitte la salle avec son compagnon. Abandonnée, elle se tourne vers moi et demande –en anglais- si je suis nouveau à l’hôtel.— Oui, répondis-je avant de réaliser qu’il fallait le faire en anglais.— Ah parfait. Vous êtes français ou Québécois ?— Français. Je m’appelle Cyril et vous ?— Claire. Je suis belge. Maintenant que les présentations sont faites, je préfère le tutoiement si ça ne vous gène pas.— Ça me va très bien. Tu veux une autre boisson ?— Non pas pour l’instant. Viens t’asseoir avec moi, ce sera plus facile pour discuter.Bla, bla, bla …etc.Environ une heure plus tard, j’ai retenu de la conversation qu’elle vit à Bruxelles, qu’elle a 27 ans, secrétaire médicale, célibataire, sans enfants e qu’elle me trouve à son goût. Ces compagnons sont son frère et un ami de ce dernier. Tous deux sont également célibataires et ils sont venus ici parce que c’est le paradis des rencontres. Nous sommes allés, main dans la main vers le restaurant de l’hôtel où nous avons dégusté des spécialités locales accompagnées de boissons à base de rhum. À table, nous parlons librement de sexe. Chacun à notre tour, on doit raconter à l’autre ce qu’on aime ou n’aime pas faire, et nous nous sommes mis d’accord que tout ce qui sera dit sera à appliquer tout à l’heure. On joue à pile ou face et c’est elle qui commence. Dans l’ordre, elle n’aime pas la sodomie, le sadomaso (sauf une fessée de temps en temps), l’urologie et les éjaculations faciales pas par dégoût du sperme mais parce qu’elle trouve ça dégradant. Elle adore le cunnilingus mais comprend que certains hommes refusent de le faire. Elle pratique volontiers la fellation et avale parfois le sperme si elle connaît bien son partenaire. Pendant le coït, elle préfère les positions où la femme domine et adore qu’on joue avec ses seins.Tout ça est assez classique et même un peu contradictoire mais je respecte ses désirs et ne cherche pas à la contrarier. De toute façon, le programme me convient parfaitement, je suis déjà bien chanceux d’être avec elle dès le premier jour. Quand vient mon tour, j’abonde entièrement dans son sens et lui confirme que j’adore faire des cunnilingus. Après le repas, nous sommes allés à la piscine pour nous rafraîchir (il fait 34°C) et surtout pour digérer, en ce qui me concerne. Nous avons barboté pendant environ deux heures, quelques baisers et attouchements furtifs quand enfin nous sommes allés dans ma chambre pour éteindre ce brasier que nous avons allumé par nos jeux aquatiques. Dès que nous sommes rentrés dans la fraîcheur de la chambre climatisée, je me suis mis dos contre la porte et l’attire brusquement vers moi pour m’emparer de sa bouche comme un assoiffé. Ma main droite glisse dans son slip à la recherche du clitoris tandis que la gauche tente de libérer son opulente poitrine. Elle plonge également une main dans mon slip de bain, s’empare de mon sexe qu’elle commence à branler. Je trouve son petit bouton, le frotte avec mon pouce et insère mon majeur dans sa cavité. Ma main gauche est trop maladroite. Je n’arrive pas à dégrafer son haut alors perdant patience, je le tire simplement vers le bas. Enfin les voilà, les fabuleux globes dorés qui m’ont tant fait craquer. Ils sont vraiment magnifiques. J’ai besoin de mes deux mains pour les honorer pleinement. J’abandonne son clitoris et m’empare des nichons. Un dans chaque main, je les soupèse, les malaxe, ils sont doux et chauds, ma bouche se saisit d’un mamelon, je mordille légèrement puis me jette sur le deuxième que je tète goulûment. Si la fontaine de jouvence existe, elle a la forme des seins de Claire. Je n’en peux plus, il faut que je la saute tout de suite. Toujours collés l’un contre l’autre, nous avançons, moi en avant elle en arrière, vers le lit. Nous basculons simultanément sur le matelas dans un éclat de rire. Je roule sur le côté, enlève mon slip de bain et dans un mouvement de reptation sur le dos, je me place au centre du lit. Agenouillée sur le bord du lit, elle tire sur la ficelle de son maillot, fait tomber son slip et se prépare à s’empaler.— Zut ! J’ai oublié les préservatifs.D’un bond je me précipite vers la salle de bain, prends la boite et reviens sur le lit.— Donne, je vais te la mettre, j’adore faire ça.Je me mets debout sur le lit, le sexe tendu au niveau de son visage. Elle prend une capote, s’apprête à déchirer l’emballage mais suspends son geste. Cette bite animée de soubresauts qui palpite sous son nez est une tentation trop grande. Elle ouvre la bouche et l’avale. Je suis tellement excité que j’ai failli éjaculer immédiatement. Des deux mains, je m’agrippe à ses cheveux pour maintenir sa tête immobile.— Arrête. Ne suce plus. Laisse moi me reprendre un instant STP, sinon j’explose.Nous sommes restés dans cette position une dizaine de secondes. Je sens la tension qui diminue petit à petit. Quand, à nouveau, je me sens en état de continuer, j’entame alors un mouvement de va-et-vient dans sa bouche tout en maintenant fermement sa tête. Au bout de cinq à six aller-retours, elle finit par se dégager et me dit vicieusement :— Tu aimes te faire sucer, tu vas adorer ce que je vais te faire.Elle me reprend en bouche, une main me masse les couilles, l’autre fait des mouvements rotatoires autour de la hampe. C’est divin. Cette fille suce comme une déesse. Je dois souvent lui demander d’arrêter pour ne pas jouir trop tôt. Quand une nouvelle fois, je sens que je ne vais plus pouvoir me retenir, je me retire précipitamment en serrant fortement la bite dans une main pour empêcher la monter de la sève.— Aller on change de rôle. Allonge toi c’est à mon tour de te faire du bien.Je commence par sucer longuement ses mamelons, puis je pose ma tête sur son ventre, le nez à côté de sa toison, les mains continuant à malaxer sa poitrine. Sans lâcher ses seins que je pince de temps en temps, je promène ma bouche vers l’intérieure de s ses cuisses, en déposant des baisers tout le long du parcours. Au passage, un coup de langue sur le nombril – elle a un percing – l’a fait rire. Je la regarde puis enfonce délibérément ma langue dans ce petit trou qui semble très sensible chez elle. Effet immédiat. Dans un grand éclat de rire, elle se tortille dans tous les sens pour échapper au supplice des chatouilles. Mais ayant lâché ses seins, je la maintiens fermement par les hanches et continue sans pitié à titiller de la langue son nombril comme on titille le clitoris. En riant de plus en plus fort, elle me supplie d’arrêter. Mais je n’écoute pas et continue de plus belle. Elle s’arc-boute pour s’échapper, je suis le mouvement, seuls sa tête et ses talons touchent encore le lit. Dans un cri rauque, elle lance une dernière supplication :— Aaarrrrête !!! Je vais te pisser dessus.Tiens ! Elle qui n’aime pas l’uro, je me demande quel effet cela aurait sur son comportement sexuel si elle se met à uriner maintenant. Mais je me raisonne, je ne suis pas là pour lui forcer la main. Je décide d’arrêter pour lui laisser le temps de se reprendre. Elle retombe lourdement sur le matelas et reste immobile. Je la regarde, elle a des larmes aux yeux pour avoir trop rit. Ses doigts, comme des griffes, sont profondément enfoncés dans la couverture, mais son sourire est radieux. Elle finit par se redresser, m’embrasse et me murmure :— Donne-moi le préservatif. Je te veux en moi maintenant.— Et le cunnilingus ? Je ne t’ai pas encore montrer ce que je sais faire.— Ce n’est pas grave. On se le réserve pour plus tard.Elle reprend la capote, déchire l’emballage et avant de me l’enfiler, dépose un petit baiser sur le gland. Me souvenant qu’elle préfère les positions dominantes, je me suis allongé sur le dos et l’attire vers moi. À genoux, elle positionne mon sexe à l’entrée du sien, en le frottant lascivement avec ses petites lèvres humides, produisant des petits bruits très obscènes.. Je ne pousse pas. Je veux qu’elle prenne l’initiative. Enfin, elle s’immobilise, puis en se laissant tomber, elle s’empare entièrement de moi. C’est une pénétration totale et profonde. Je goutte avec délectation la chaleur de sa grotte qui semble se propager à partir de ma bite vers l’ensemble de mon corps. Avec un long soupire de contentement, Claire, telle une danseuse africaine qui maîtrise parfaitement le mouvement de son bassin, entame une chevauchée infernale. Ses mains posées à plat sur mon torse, elle ondule à un rythme effréné. Ses seins volumineux, entrent également dans la danse. Ils exécutent une chorégraphie quasi hypnotique à quelques centimètres de mon visage. Je lève les bras et tends mes mains vers ces deux astres bondissants mais leur maîtresse me les refuse. D’un geste ferme, elle plaque mes bras contre le matelas et les maintient en pesant dessus de tout son poids. Elle s’est entièrement emparée de moi et suis pétrifié d’adoration. Elle me possède, elle me viole et j’en veux encore. Couverte de sueur, le souffle court, elle s’arrête un instant et se penche à la recherche d’un baiser. Je me redresse et cueille ses lèvres avec les miens. Elle me donne son souffle, je lui donne le mien dans une bouche à bouche passionné. Elle est maintenant étendue sur moi, nous faisons torse commun. Mes mains enfin libres, j’en profite pour saisir ses fesses, mon membre toujours inséré en elle. Maladroitement, je quitte le lit en la portant et m’écroule sur le fauteuil. Me faisant face, les jambes écartées, posées sur les accoudoirs, elle me donne le sein. Je tète comme un nouveau né tandis que mon pieux fait des aller-retours dans sa moiteur. Bientôt je sens monter le plaisir. Je sais avec certitudes qu’elle a déjà eu plusieurs orgasmes. Je n’ai plus besoin de me retenir. Dans un dernier coups de rein, je me laisse aller à cette habituelle sensation de chaleur précurseur de gerbe blanche. Enfin je libère ma semence dans un cri de béatitude.Nous avons dîné ensemble ce soir-là. Nous avons beaucoup rit, beaucoup bu et c’est avec l’esprit embrumé et le pas incertain que nous nous sommes quittés pour rejoindre nos chambres respectives.A suivre ….AU_ZENITHEmail : au_zenith@yahoo.fr