Ma grande et belle cousine, que tu étais fière ce jour là , fière et hautaine, quand tu t’es dépoitraillée devant moi, si grande, si brune. Je ne t’aurais jamais imaginée dans mes rêves les plus fous aussi folle, aussi salope, prenant tes nichons à pleines mains devant mes yeux effarés, ces seins énormes sur lesquels je fantasmais depuis des mois.Combien de fois je me suis masturbé en pensant à eux, depuis que je t’avais retrouvée, que je t’avais croisée au mariage ? Je ne sais plus. Plusieurs fois par nuit en tout cas. Mais je ne les imaginais pas si gros, même dans mes rêves les plus fous ! Tu dois faire au moins du 120, peut-être même plus, deux gros nichons arrogants. Plus rien à voir avec la petite brunette qui venait faire de la balançoire avec moi quand nous étions gamins.J’ai eu un choc, c’est certain, j’ai été transporté sur une autre planète, je ne t’ai plus quitté des yeux de toute la soirée… Je bandais sous la table, j’avais une trique d’enfer en voyant tes tétasses.Tu étais installée sur la table d’à côté, de trois quart, enchevêtrée dans une conversation sans issue avec ta voisine et moi j’avais les yeux rivés sur ton poitrail. Ma cousine que je n’avais peut-être pas vue depuis 10 ans était devenue une femme splendide, grande, brune et opulente.Un peu plus tard dans la soirée, je t’ai invitée à danser. Mon dieu, tu es plus grande que moi. Tricheuse, tu avais des talons, avoue, ce n’est pas possible autrement, tu avoisines le mètre quatre-vingt cinq. Au moins tu es à la hauteur. Je voyais ta petite chaîne en argent plonger dans ton décolleté et ta petite croix fort religieuse balancer entre tes gros globes. J’avais l’impression d’être obscène à mater tes forts beaux attributs mais j’aurais eu beaucoup de mal à faire autrement.Je te serrais de très près, de trop près sans doute. Tu regardais aux alentours. Je crois que ce qui te gênait c’est que tu avais l’impression que tout le monde nous observait. Et moi, avec mes yeux lubriques à détailler tes lolos, tu ne pouvais pas ne pas le remarquer. D’ailleurs tu avais le visage empourpré.Lorsque la musique s’est arrêtée, lorsqu’il a fallu nous séparer, tu m’as regardé et tu as éclaté de rire. C’était la première fois que je te voyais rire de toute la soirée, un rire nerveux et incontrôlé. Tu n’avais même pas sans doute auparavant esquissé un sourire, tu semblais froide et distante et là , tout d’un coup, tu avais explosé.Tu as rejoint ta table mais tu n’arrêtais plus de me regarder et je dois dire que ce petit jeu m’amusait. Interrogative ! « Mon cousin, un petit vicieux lubrique ? Non, ce n’est pas possible ! Mais comment il me mate, vraiment il n’est pas gêné, il me déshabille sans vergogne, petit salopiot, il n’a pas honte ! »Ca ne m’a pas empêché de continuer à te mater, de plus en plus sans gêne. Et pourtant, je te le jure, ce n’est pas là mon habitude. D’habitude je suis fort présentable. Mais là , tout en sablant le champagne avec mes compagnons de table, je ne pensais plus qu’à tes nichons. « Il me les faut, je me suis dit, je veux les voir, coûte que coûte et à tout prix, ce sera ma destination finale ».On a dansé à nouveau, plusieurs fois au cours de la soirée. J’avais les mains très baladeuses, tu ne savais plus où donner de la tête, je t’affolais… Et pourtant je restais malgré tout très correct. Certes, plusieurs fois de suite mes doigts se sont attardés négligemment sur tes globes. Tu me grondais (ou tu faisais semblant) et pourtant tu ne semblais attendre qu’une chose à la fin, c’est que je te propose la danse suivante. Nous avons dansé tous les deux plus que raisonnable, certaines personnes dans l’assemblée l’on remarqué. C’est ce qui a rompu le charme, tu as fini par t’écarter après un slow un peu trop appuyé…Et puis tu es partie, et puis je suis parti… triste ! Attendre de nouveau dix ans pour te retrouver, toi qui habite entre Nice et Monaco et moi à l’autre bout de la terre. Et peut-être as-tu un copain, un mari, un amant fidèle ? J’y ai pensé toute la nuit et ça me grignotait, lancinante maladie qui transforme parfois cette terre en enfer !Putain, ces seins, ces tétasses, ces obus, ces mamelles, ces tétins juteux et biberonnesques et tout ça portés par ma chère et tendre cousine devenue femme épanouie.Quand tu as sonné à ma porte, je te jure, je n’y croyais pas. Je me suis dit : « C’est une blague, je dois être en train de rêver ! ». C’était au petit matin. Tu n’as pas dit un mot, tu es rentrée, fière et sure de ton coup. Pas une parole n’a été échangée.Tu es rentrée dans le salon, prenant à peine le temps de regarder le décor, tu as été droit au but. Tu m’as poussé dans le fauteuil en me conviant au spectacle. Et l’instant d’après tu t’es dépoitraillée. Pas de strip-tease inutile, pas de chichi, pas de volutes. Tu as tout ôté, dévoilant tout de suite tout ton corps.Tu avais bien préparé ton coup : Aucun sous-vêtement en dessous, entièrement nue et offerte avec ta chatte luxurieuse de vraie brune non épilée. Et puis trônant au milieu de la pièce, les pointes en avant, tes énormes nichons de toute beauté, comme un défi au raisonnable.Et tu me regardais sans un sourire, le regard noir sous tes sourcils épais, des poils pointant sous tes aisselles. Je bandais comme un forcené définitivement conquis par ta beauté sauvage.Pas un geste, les mains sur les hanches, tu me regardais droit dans les yeux et sans ciller, ne réclamant aucun commentaire particulier. L’offrande de ton corps qui appelait l’émerveillement, jusqu’à ce que je sois rassasié.Je n’ai trouvé alors qu’une parade, celle de me jeter à tes pieds pour d’idolâtrer, ma langue parcourant bientôt tout ton corps et en explorant les moindres recoins.Grande, brune et assise au coin de la table tu te faisais lécher sans sourciller.. Sauf que bientôt mes caresses ont commencé à faire de l’effet. Je t’ai sentie mouiller, abondamment, ton jus rendant luisante ta forêt luxuriante…Mais ce n’est qu’après avoir baisé dans l’urgence que j’ai pu enfin te téter !