Résumé des épisodes précédents : La sympathie mutuelle qu’éprouvent Rosa et sa nouvelle collègue Brigitte les amène toutes les deux à s’interroger sur leurs désirs. À l’issue d’un jeu où chacune s’amuse à titiller l’autre, elles osent franchir le pas et s’entendent sur leur future rencontre, le lendemain.Brigitte est comblée !Il y a longtemps qu’elle a perçu que l’intérêt que lui portait sa collègue dépassait l’amabilité, la camaraderie, l’affection même, et qu’elle était bien plus de l’ordre du désir, de la sensualité, du besoin même ! En fait, depuis que Rosa lui a dévoilé ses dessous, les fantasmes et les jeux masturbatoires de Brigitte sont principalement tournés vers la belle Castillane, de plus en plus précis, de plus en plus audacieux, et ses quelques aventures d’un soir n’ont fait que renforcer son désir…Enfin !Car se donner du plaisir sous les draps en rêvant d’elle – et compenser avec d’autres – ne suffisait pas, ne suffisait plus : la porte est désormais ouverte à tous les possibles…Il lui faut mettre un peu d’ordre dans son appartement et préparer l’après-midi de demain. Elle enfile une tenue informelle, un vieux pyjama gris à la limite du survêtement.Il est neuf heures du soir quand elle a fini – en tout cas pour ce soir – et chaque instant a exacerbé son désir et elle est tellement trempée qu’une tache imbibe son entrejambe ! Pour ce soir, c’est donc terminé : elle changera ses draps demain matin… En se voyant dans le miroir, elle se trouve bien peu sexy et, paradoxalement, terriblement excitante ! Elle a rangé ses « jouets » dans le tiroir de sa table de nuit, elle compte bien les faire découvrir à Rosa ! Il y a bien sûr son « masseur de joue », mais aussi le gros godemiché rose – elle l’a surnommé Pinky – dont elle se sert quasi quotidiennement, et un autre, à ceinture, qu’elle a étrenné il y a quinze jours !Elle feuillette son carnet d’esquisses, elle a maintenant « en portefeuille » huit dessins mettant en scène Rosa et elle constate que la façon dont elle imaginait ses seins est très proche de la réalité ! Elle en choisit un au hasard : Rosa en ballerine au justaucorps lacéré… Les seins de Rosa la fascinent, l’obsèdent, et la manière dont elle a joué avec eux tout à l’heure lui offre des perspectives hautement réjouissantes !Elle s’allonge sur le lit, se débarrasse du pantalon et installe deux de ses oreillers… le premier, bien ferme, cylindrique et houssé de velours côtelé, et le second, large et rectangulaire, enserré dans une taie de soie.— Rosa ! Rosa, lance-t-elle à voix haute ! Je te veux !Elle enfourche le coussin cylindrique qu’elle presse furieusement entre ses jambes.Sa chatte est déjà tellement mouillée ! Elle frotte son clitoris en mouvements circulaires. Encore et encore et encore ! Toutes les trente secondes, elle interrompt sa caresse, pour se toucher, se pincer à travers sa culotte, et puis elle reprend son frotti-frotta.De plus en plus vigoureusement. De plus en plus vite.De plus en plus passionnément.Fébrilement, elle se débarrasse de son T-shirt, enlève prestement sa culotte et enlace l’autre presque amoureusement. Totalement nue maintenant, elle laisse libre cours à la plus obscène exubérance, et au-delà du coussin sur lequel elle se donne du plaisir, c’est Rosa qu’elle va maintenant chevaucher, à qui elle va faire l’amour, dans une nouvelle fantasmagorie !Elle imagine…Elle imagine leurs seins qui se frôlent, qui se pressent, qui s’écrasent… Leurs cuisses contre lesquelles elles frottent leurs vulves trempées, leurs clitoris gonflés… Leurs corps nus emmêlés, luisants de sueur, de salive, de cyprine…C’est si bon ! Elle ne contrôle plus aucun désir, plus aucune émotion. Elle se frotte contre le coussin toujours plus vigoureusement, gémissante de plaisir et criant le nom de Rosa. Elle n’arrête pas, c’est tellement extraordinaire ! Mais il lui en faut encore plus ! Et une nouvelle foucade vient exacerber ses sens…Se redressant, elle avance sur le deuxième coussin qu’elle tourne de telle façon que l’arête se glisse dans les plis de sa chatte.Elle imagine.Elle imagine qu’elle enserre le beau visage de Rosa avec ses cuisses, la maintenant fermement pour un nouveau défi, les genoux de part et d’autre de sa tête. Elle avance encore un peu et son entrejambe est pratiquement à hauteur de son menton.— Eh bien, Rosa, fait-elle à haute voix, qu’en penses-tu ? Tu veux goûter ma chatte maintenant ?La position, plus qu’incongrue, est, pour le coup, totalement inédite pour Rosa ! Mais puisqu’elle a suggéré, plus qu’elle n’a avoué, régulièrement sucer la queue de son homme, alors pourquoi ne voudrait-elle pas pas lécher sa chatte ? Coincée dans une posture plus embarrassante qu’inconfortable, Rosa n’ose pas bouger, et, fascinée, contemple sa maîtresse triomphante.— S’il te plaît Brigitte, proteste-t-elle, pour la forme, s’il te plaît ! Je ne saurai pas !— Mais si, bien sûr, mon adorable petite gouine !Brigitte glisse encore plus loin sur l’oreiller.Elle imagine.Maintenant, sa toison pubienne est à hauteur de la bouche de Rosa.— Je ne vais pas te forcer, chérie, mais je sais que tu meurs d’envie de goûter ma mouille…Rosa est immobilisée et totalement soumise. Elle ferme les yeux, ouvre légèrement la bouche et parvient enfin à la toucher du bout de la langue.Brigitte se soulève légèrement du coussin et, fermant les yeux, elle s’adresse à son amante virtuelle tandis que l’oreiller frotte délicieusement son clitoris.— C’est ça ! encourage-t-elle. Continue ma chérie, n’arrête surtout pas maintenant !Rosa acquiesce en clignant des yeux et redouble d’efforts ! Brigitte s’enflamme du zèle de sa maîtresse.— Mets ta langue en moi, maintenant, ma petite gouine chérie !Rosa, docile, obéit et sa langue, virtuose, joue sur son clitoris.— Tu aimes ma chatte, petite gouine, n’est-ce pas ? Tu aimes le goût de ma mouille ?Bientôt, elle se démène comme une diablesse en chevauchant l’oreiller. Elle saisit ses seins à pleines mains et malmène ses tétons turgescents avec une telle fureur qu’elle étouffe un cri de douleur ! Remuant le bassin sans aucune retenue, elle écrase sa chatte contre le coussin – contre la bouche, les lèvres, la langue de Rosa…Ses gémissements deviennent de plus en plus forts jusqu’à ce qu’elle crie finalement, stoppant net ses mouvements frénétiques. Quelques spasmes encore… ses cuisses se referment sur le coussin.Rosa et elle, ensembles, nues, au lit… Elle râle de plaisir.— Rosa ! Oh Rosa ! Ma chatte, Rosa ! Lèche ma chatte, chérie ! Elle est pour toi ! Elle est à toi…Fantasmagorie ?Avant-goût !******La fin de journée de Rosa s’est déroulée comme si de rien n’était et le temps a filé comme à l’accoutumée. Elle a commencé à regarder la télévision avec son mari, un film qu’elle a déjà vu et revu et qu’elle aurait probablement vu une nouvelle fois si son esprit n’avait pas été occupé à autre chose. Elle prétexte une journée chargée et la nécessité de se lever plus tôt le lendemain pour le laisser seul devant le petit écran.— Je vais prendre un bain pour me détendre. Je me couche après : tu essayeras de ne pas faire trop de bruit ?Il hausse les épaules en grommelant un « D’accord » indifférent, mais lorsqu’elle se penche pour l’embrasser machinalement, il est saisi par la sensualité frémissante qu’elle dégage à son insu…— Tu sais que tu es bandante ?— Chut ! Les enfants pourraient entendre !— Promis, je ne te réveillerai pas ! Mais si tu ne dors pas, je ne réponds de rien !Elle l’embrasse et masse son sexe à travers son pantalon.— Si je ne dors pas, c’est moi qui vais te sauter dessus !Elle est émoustillée et, d’une certaine manière, elle est sincère : son homme est bon amant et il est plutôt bien monté, même si en ce moment, c’est à d’autres jeux qu’elle a envie de jouer ! Elle le laisse en riant et file à la salle de bain.Enfin !C’est en fait la première fois que, vraiment, Rosa est à la commande, à la manœuvre, et, d’une certaine façon, elle manipule son amie. Aujourd’hui, non seulement elle a anticipé les événements, mais elle les a provoqués ! Bien sûr, elle s’est déjà mise en situation de séduire une autre femme, mais à chaque fois, elle a joué la gêne, la pudeur, ou l’incompréhension quand bien même elle savait, voulait ce qui allait se passer, et n’attendait que cela !Elle ouvre le robinet de la baignoire et verse un bouchon de bain moussant dans l’eau tiède ; la mousse ne tarde pas à se former… Elle enlève rapidement son maquillage léger et se déshabille. Quand elle juge que la cuve est suffisamment remplie, elle s’y glisse voluptueusement pour se prélasser de tout son long. Ses idées vagabondent.Brigitte lui a confié avoir étrenné un nouvel accessoire et lui a fait comprendre qu’il s’agissait d’un godemichet à ceinture : voilà qu’elle l’imagine équipée, harnachée, montée… et bien montée ! Sa chatte recommence à palpiter.Elle lave doucement son corps avec de l’eau chaude savonneuse, ses jambes, son ventre, ses seins… Ses seins ! Elle saisit son sein gauche avec la main gauche, et de son autre main, une petite spatule à cire avec laquelle elle titille son mamelon, puis, passant à son sein droit, lui fait subir le même traitement.Elle imagine…Elle imagine que c’est la langue de Brigitte qui joue avec ses tétons.Pendant plusieurs minutes, elle alterne et joue avec les deux, faisant durcir et gonfler ses mamelons, puis elle masse lentement ses seins, les frottant avec les deux mains et prenant plaisir à voir à quel point ils sont amples, lisses et doux dans l’eau savonneuse. Elle a toujours aimé sentir ses propres seins, et elle aime particulièrement lorsqu’ils sont ainsi mouillés et glissants !La baignoire n’est pas totalement remplie, loin de là, mais le moindre geste un peu vif risque de provoquer des débordements… Elle actionne la tige d’évacuation et retire la bonde pour accélérer le vidage.De toute évidence, sa chatte devient très impatiente maintenant, impatiente d’être prise en charge. Il est temps de faire ce dont elle a vraiment envie, ce qu’elle veut, ce pour quoi elle a voulu prendre son bain sans être dérangée… Lorsqu’elle sent que ses cuisses sont suffisamment émergées et que la mousse commence à se défaire en petites bulles qui éclatent les unes après les autres, elle remet le bouchon et rallume le robinet. Elle trouve rapidement la température parfaite, agréable et chaleureuse.L’eau jaillit du robinet avec beaucoup de pression. Elle appréhende toujours la force du jet au début. Elle fait glisser ses fesses vers l’avant et, allongée sur le dos, avance avec précaution son bassin et positionne sa chatte juste sous le jet du robinet. Ne pouvant réprimer un petit cri, elle saisit le gant de toilette, le roule en boule et le fourre-tout entier dans sa bouche grande ouverte, puis, écartant plus largement les jambes, elle se cale confortablement en plaçant ses pieds sur le carrelage de part et d’autre du robinet. Elle lance la tête en arrière, ferme les yeux.Le plaisir physique qu’elle ressent lors de cet exercice lui semble à chaque fois plus intense, plus beau, plus voluptueux.— Brigitte, murmure-t-elle ! Je suis ta salope, ta gouine ! Fais-moi jouir ! Fais-moi jouir !Et les cuisses de Brigitte glissent entre ses jambes pour un cisaillement irrésistible. Leurs clitoris s’apparient, se frottent, s’écrasent !L’eau chaude martèle sa chatte, frappe son clitoris de mille façons différentes, la faisant frissonner encore et encore. Elle se cambre, elle se cabre et secoue la tête d’un côté et de l’autre, sa muselière improvisée étouffe ses gémissements qu’elle n’a nul besoin de retenir !Nirvana.Ses mains retournent à ses seins, augmentant encore son plaisir de plus en plus intense, si intense qu’elle doit fréquemment écarter sa chatte du jet d’eau pour la reposer et reprendre son souffle, puis, s’offrant de nouveau au flot indiscret, s’en retourne au paradis ! Il lui faut une minute à peine pour qu’elle atteigne son premier orgasme : un spasme voluptueux secoue son corps tendu comme une corde et elle crie sa jouissance que le bâillon absorbe avec une parfaite efficacité.Elle se met à distance du jet d’eau et reprend son souffle, mais son esprit est encore embrumé et elle a encore envie !Alors elle s’installe pour une autre séance… L’image de la poitrine de son amie, sa maladroite tentative dans les toilettes, leur excitation lorsqu’elles regardaient ensemble les catalogues, leurs confidences intimes où chaque information était une invitation implicite… et l’eau qui joue si bien sur elle, avec elle. Elle ne se doigte pas toujours mais aujourd’hui, elle n’hésite pas. D’abord lentement, doucement. Et puis elle accélère.Ses muscles se resserrent autour de son doigt tandis que le jet d’eau vient inlassablement frapper, masser son clitoris, envoyant des vagues de plaisir à travers son corps.Elle jouit une nouvelle fois, et encore plus fort, à ce qu’il lui semble ! Mais le bâillon improvisé et le bruit de la douche couvrent ses gémissements.Des spasmes encore et encore… Elle ne se souvient pas de la dernière fois où cela a duré si longtemps ! Elle coupe l’eau brusquement, et il lui faut quelques minutes pour récupérer, se calmer, retourner à la réalité…Elle sort de la baignoire pour s’éponger : elle se regarde dans le miroir et voit une femme qui vient de faire l’amour avec une fille invisible… Sans prendre la peine de mettre une chemise de nuit, elle file au lit et, entièrement nue, se glisse entre les draps.Fatiguée de sa journée et de sa gymnastique aquatique, elle n’a pas de mal à se détendre, s’alanguir… Ses yeux se ferment mais son imagination fait de nouveau accourir Brigitte !Dans sa tête, un scénario, un récit se précise et prend forme : les images se créent d’elles-mêmes, naturellement, spontanément, évidemment.Chez Brigitte, pour cette fois. Pour leur première fois.Elle imagine.Brigitte lui ouvre. Elle est vêtue d’un déshabillé transparent noir… non, plutôt de ce peignoir de satin vert qu’elle avait choisi pour elle lors d’une visite au rayon lingerie des galeries Lafayette ! Sans un mot, elle la déshabille, ne lui laissant que son porte-jarretelles et ses bas. À son tour, Brigitte se dépouille. Elle retire le peignoir. Elle est nue à part…L’image qui s’impose à son imagination l’excite terriblement… Brigitte porte un gode-ceinture : il y a plus de dix ans que Rosa n’a pas été baisée par un tel instrument !Rosa s’allonge d’abord sur le lit. Il fait chaud, il fait si chaud… Une autre idée traverse alors son esprit : il faudrait que ce soit Brigitte qui s’allonge, et qu’elle… Mais les mains de Brigitte trouvent ses cuisses et les écartent peu délicatement pour se donner plus de facilité ! Et le visage de Brigitte s’écrase contre son sexe, forçant son menton, son nez et ses pommettes dans sa toison… Elle sent ses lèvres… sa langue… ses doigts… Elle est moins tendre qu’elle ne l’imaginait et elle attaque son clitoris sauvagement, le mordillant et le léchant sans s’attarder sur ses lèvres gonflées… Elle lèche un peu comme…— Michel, s’exclame-t-elle ?Elle ouvre les yeux. La lampe de chevet est allumée.Son mari interrompt sa caresse buccale et relève promptement la tête. Rosa en profite pour se dégager. Pas son homme… pas d’hommes ! Mais le gode de Brigitte, pourquoi pas ? Et elle prend la direction des opérations !— Éteins la lumière ! Allonge-toi sur le dos et laisse-moi faire… Mmm, ta queue est déjà bien raide…Avec un sourire gourmand, il obtempère et s’allonge confortablement de son côté du lit en passant les mains sous sa tête. À peine est-il installé que Rosa l’enfourche sans hésitation, sans fausse pudeur… Elle est tellement mouillée ! Elle prend la queue dans ses mains et l’introduit dans sa chatte… Elle est grosse et épaisse et dure… Elle ferme les yeux et laisse de nouveau son imagination aller. De nouveau l’image de Brigitte ! Elle se laisse envahir par ce désir qui s’impose de lui-même, spontané, évident, impératif : c’est Brigitte qui la pénètre avec son gode et qui la baise !Dedans et dehors, dedans et dehors, dedans et dehors…C’est ça ! Oui, c’est ça ! Brigitte la baise ! Lentement, méthodiquement… et elle sent ses coups de hanches ! Elle est en elle. Rosa remue en rythme, elle ondule, elle se contracte. Brigitte sait tout d’elle, de son corps, de ses désirs ! Elle connaît d’instinct ses points sensibles ; elle entend ses gémissements, ses ahanements, de plus en plus forts, de plus en plus rauques ! Et c’est le long du godemichet que Rosa se sent ruisseler !Dedans et dehors, dedans et dehors, dedans et dehors… Elle danse sur la queue infatigable !— Plus vite, plus fort ! encourage-t-elle. Ne t’arrête pas, mets-moi ta grosse queue ! Mets-la-moi tout au fond ! Serre mes hanches et mon cul… Plus fort, plus vite, baise-moi ! Vamos ! Cógeme !Elle écarquille les yeux, les ferme, les rouvre – son regard papillote, vacille. Elle s’abandonne enfin et jouit en criant.C’est fini. Elle retombe sur son mari, épuisée, comblée. Elle soulève son bassin et la queue toujours raide, quitte sa chatte en glissant.Sa respiration se calme. Elle roule à sa place, là où il l’a cueillie, comme il l’a cueillie, allongée, sur le dos…— Hé, proteste-t-il ! Et moi ?Reprenant pied dans la réalité, elle comprend tout de suite la frustration de son partenaire et hésite un bref instant, si impatiente qu’elle est de retourner dans son fantasme ! Mais elle ne répugne pas à ce genre de caresse… et elle n’est pas égoïste !— Viens sur moi… Je vais te faire un câlin comme tu les aimes.— Con tetas ?— Con tetas !— Tu es confortable, l’interroge-t-il en s’installant sur sa poitrine ?Pour toute réponse, elle saisit la queue dressée et toute mouillée de leur plaisir commun et s’en barbouille le torse. Elle joue avec ses seins pour bien lubrifier son décolleté qui va accueillir le membre gonflé de son homme.— Vas-y ! Je suis prête !Elle presse doucement ses seins autour de la queue bien raide qu’elle commence à masser lentement avec les globes fermes, pleins, gonflés et terriblement sensibles ! Elle leur imprime avec les mains un mouvement d’avant en arrière, les relâche légèrement, puis recommence avec beaucoup d’adresse et de savoir-faire… Il soupire bruyamment. Le rythme, d’abord lent et régulier, s’accélère soudain, durcissant un peu plus son membre, et voici que ressurgit l’image de Brigitte qui la houspille tendrement…— Finis-en avec lui et rejoins-moi vite !Rosa penche la tête en avant et, d’un coup, gobe le bout du sexe ! Sa langue tourbillonne autour du gland, qu’elle racle légèrement avec ses dents. Il grogne. Elle est bien décidée à conclure la séance… elle sent l’imminence de son orgasme. Avec un bruit exagéré de succion, elle relâche soudain la pointe, puis reprend sa caresse à la vitesse supérieure. Le membre traverse son décolleté encore et encore, atteignant presque son cou à chaque poussée. Il maintient ce rythme pendant quelques secondes.La respiration de Michel s’accélère : il ne pourra pas tenir longtemps… Rosa maintient la cadence. Il est sur le point de jouir. Il gémit.— Oh oui, ma petite pute, tu aimes la queue, hein !— Allez mon étalon. Balance ta purée ! Jouis sur mes seins. Je veux sentir ton sperme chaud partout sur eux.Il jouit. Fort. Sur son visage. Elle ouvre grand la bouche pour accueillir la première giclée de foutre blanc. Elle ferme la bouche et commence à glousser. Les giclées suivantes touchent son front, son nez, ses lèvres. Elle coince la queue entre ses seins, étouffant le geyser dont le flot finit par baver sur son cou. Il se dégage et s’écroule à côté d’elle.Comblée, elle étale le sperme sur tout son buste jusqu’au menton et lèche goulûment ses doigts.— J’adore le goût de ton sperme, fait-elle amoureusement.— J’adore quand tu me branles comme ça, souffle-t-il, épuisé, déjà presque endormi…Rosa sourit comme ses yeux se ferment et que sa conscience s’alanguit : il est temps pour elle de rejoindre sa maîtresse virtuelle…Brigitte est de nouveau là, encore harnachée de son godemiché, impatiente.— Tu vas t’occuper de moi maintenant ?— Nettoie-moi d’abord…Brigitte lèche son cou, descend sur sa poitrine, aspirant les coulures de sperme avec entrain et gourmandise. Ses lèvres chaudes se referment sur le mamelon dressé, que sa langue vient titiller pour le faire gonfler, durcir, et qu’elle mordille avec une pointe de perversion… Rosa gémit.— Tu aimes ça, hein, petite gouine ! interpelle Brigitte, interrompant d’un coup le délicieux supplice !— Oh oui, j’aime ça, chérie !— Dis-moi que tu es ma gouine, ma salope !— Oui, Brigitte, je suis ta gouine, ta salope !— On change ! Enlève-moi le gode et baise-moi maintenant !Brigitte ordonne et Rosa obéit. Rosa s’agenouille entre ses jambes et défait la sangle du gode. Brigitte lui prend le visage entre ses mains et la regarde droit dans les yeux, sensuelle, impatiente et gourmande ! Rosa ne va pas la décevoir ! Elle enfile le gode-ceinture…— Oui Brigitte, je vais te baiser ! Mais d’abord…D’abord, elle veut goûter sa chatte ! Elle s’allonge entre ses jambes. Sa langue touche à peine son clitoris, ses doigts s’insinuent dans la chatte détrempée, poisseuse, palpitante. Le souffle de Brigitte devient plus court, haletant ; ses hanches se soulèvent, elle râle, elle gémit.Rosa arrête tout. Son visage tout barbouillé de sa mouille, elle écarte les cuisses de Brigitte, s’avance à genoux, tire ses hanches et la pénètre d’un coup, comme par revanche. Elle pousse un petit cri de surprise.— À ton tour maintenant, lui lance Rosa !Dedans et dehors, dedans et dehors, dedans et dehors…Sous les coups de la fausse queue, elle est comme une jument farouche, totalement offerte, obscène, sauvage. Elle pétrit les fesses de Rosa, elle les malaxe sans ménagement, elle les frappe avec de grandes claques sonores !Dedans et dehors, dedans et dehors, dedans et dehors…Brigitte explose enfin, haletante, tremblante, gémissante ! Et de la sentir jouir, Rosa jouit avec elle ! Elles jouissent ensemble – elles crient ensemble !******Elle se réveille brusquement et regarde la pendule : minuit moins dix. A-t-elle vraiment crié ? Ou bien cela ne s’est-il passé que dans son rêve ? Son mari n’a pas bougé et il est toujours endormi à côté d’elle.Elle sourit.Elles se retrouveront demain.À suivre…