Depuis le dĂ©but des vacances, je n’ai eu que deux soirĂ©es torrides avec ma mère. Ca ne me suffit plus. Rien qu’Ă regarder son cul quand elle marche ou Ă voir ses tĂŞtons qui pointent Ă travers sa chemise de nuit le soir, ça me rend dingue. Mon attirance pour son corps tourne Ă l’obsession. Je ne peux quand mĂŞme pas lui sauter dessus tout le temps. Surtout que nous arrivons encore Ă ĂŞtre rĂ©servĂ©s malgrĂ© tout ce qui c’est dèjĂ passĂ©. Deux doubles personnalitĂ©s, je le rĂ©pète encore! voilĂ qui nous sommes. Plus on avance, et plus j’ai l’impression que ma mère change, elle est plus souriante, elle rigole de mes blagues sans arrĂŞt, elle laisse la porte de la salle de bain ouverte quand elle se douche, bref que de bonnes choses. Quant Ă moi, comme ma mère travaille, je ne la vois principalement que le soir et les weekends. Pendant la journĂ©e, je profite des vacances, et surtout j’attends impatiemment son retour. La voilĂ , elle rentre Ă©puisĂ©e de sa journĂ©e et de sa semaine, ma mère travaille d’arrache pied dans un cabinet d’assurances, elle gagne très bien sa vie. Bref. La voilĂ , je lui sert un verre d’eau et nous discutons un peu, de son travail, de ce que j’ai fait de la journĂ©e. Elle est fatiguĂ©e, ce n’est pas la soirĂ©e idĂ©ale pour tenter quelque chose avec elle, zut. Après sa douche, elle se couche au premier dans sa chambre. Quant Ă moi, je regarde la tĂ©lĂ© en bas. J’avais tellement envie d’elle ce soir, je ne vais quand mĂŞme pas la forcer, c’est pas mon genre ni celui de ma mère. Il fallait quand mĂŞme faire passer mon envie. Je dĂ©cide donc de me masturber, je monte Ă pas feutrĂ©s chercher une revue d’histoires Ă©rotiques avec pleins de bon rĂ©cits mĂŞme d’inceste, je jete un coup d’oeil dans la chambre de ma mère, elle a l’air de dormir, je redescend donc, direction le canapĂ© pour une bonne masturbation. Je trouve mon bonheur avec un bon rĂ©cit d’inceste qui met en scène un fils, sa mère et sa tante. Ils font des parties Ă trois, l’histoire est assez cochonne. J’agite donc ma main autour de mon membre quand j’entend ma mère me parler: « Tu n’en a jamais assez, tu es un vrai cochon ». Je suis honteux, ma mère est en face de moi, elle a l’air si fâchĂ©e. Elle reste lĂ , Ă me regarder, le visage tirĂ©. Tout d’un coup elle se met Ă rire et me dit : »Tu lis quoi, c’est quoi ce magazine? ».Elle plaisantait donc. Alors, dĂ©bandant, je lui montre, elle vient s’assoir près de moi. « Tu lisait quelle histoire? ». Je lui montre, elle se met Ă la lire. « Ca te plairait ces choses? » je lui rĂ©pond que oui. Puis elle me dit: « Je ferais tout pour toi, tu le sais bien mais dĂ©solĂ© je n’ai pas de soeur pour rĂ©aliser ton scĂ©nario » Je lui dit alors: « Pourquoi, tu serais d’accord pour faire des choses avec une femme et tous les trois on ferait des trucs? ». « Pourquoi pas » me rĂ©pondit-elle, sa rĂ©ponse me fit un nouveau choc. Ma mère deviendrait-elle une obsĂ©dĂ©e? « Sur cette bonne parole, je vais me coucher, je suis crevĂ©e, bonne nuit » Une fois ma mère repartie, j’achevais enfin cette masturbation. Le lendemain, c’Ă©tait samedi. Il fallait que je sache jusqu’oĂą ma mère Ă©tait prĂŞte Ă aller. « Dis maman, tu sais pour hier soir, tu es toujours d’accord? » « Oui, pourquoi? » « Je me demandais juste avec qui, Ă qui demander? » « Personne autour de nous en tous cas, ça serait trop osĂ© et en plus comment la convaincre ». Et puis vint l’idĂ©e gĂ©niale de ma mère, le journal Ă©tait rempli de petites annonces de dames dans la rubrique « masseuses ». Ma mère voulait choisir une prostituĂ©e! Fallait en choisir une dans ces deux pages remplies. Il y en avait pour tous les goĂ»ts, les textes en disaient long… age, propositions indĂ©centes, tour de poitrine, tĂ©lĂ©phone… Après une première sĂ©lection de ma mère, je me suis mis Ă tĂ©lĂ©phoner, une dizaine de femmes ne faisaient que les hommes, c’est Ă la deuxième page que j’ai eu une rĂ©ponse positive. Cette annonce plaisait assez Ă ma mère, il Ă©tait Ă©crit Charlène, la quarantaine TP95 reçoit ou se dĂ©place… Au tĂ©lĂ©phone, cette charmante dame m’a mĂŞme donnĂ© ses tarifs. Je lui ai donnĂ© notre adresse, lui demandant expressement de ne pas garer sa voiture en face de chez nous et de ne pas ĂŞtre habillĂ©e « tapageuse » pour ne pas Ă©veillĂ© les soupçons des voisins. Alors elle me dit que c’Ă©tait plus cher pour tout ça. Nous Ă©tions d’accord pour le prix, elle venait ce soir Ă 20 heures. La seul chose que je ne lui ai pas dite, c’est que nous Ă©tions mère et fils. Tout au long de la journĂ©e, ma mère n’arrĂŞtait pas de me dire: « Je sais pas si on a bien fait… » La soirĂ©e approchait. Toute la journĂ©e, je n’ai pensĂ© qu’à ça. Je pense que ma mère aussi. 19h30, Nous sommes tous les deux au salon, l’attente est interminable! 20h00. Toujours personne 20h15. On sonne Ă la porte, je vais ouvrir. Charlène est assez grande, elle porte un tailleur qui met ses formes en valeur, elle est brune, cheveux courts, de larges hanches un peu comme ma mère. Je la fait entrĂ© au salon. Elle s’assied sur le canapĂ©. EmbarassĂ©e, ma mère lui dit: « ExcusĂ©-nous, c’est la première fois que nous faisons appel Ă quelqu’un, vous faites souvent ce genre de choses ? » Charlène nous rĂ©pond : »Pas souvent Ă trois mais ça arrive, je peux vous expliquer comment je travaille ». Je sert un verre ensuite elle commence son discours sur le prĂ©servatif obligatoire. J’accepte, je n’ai pas trop le choix! Et puis arrive la grosse question histoire de faire connaissance: « Vous ĂŞtes ensemble dans la vie? ». Ma mère rĂ©pond : « Nous sommes amants depuis quelques temps mais il y a quelque chose que vous ne savez peut-ĂŞtre pas, c’est mon fils et ce n’est pas facile de trouver quelqu’un qui n’en parlerait Ă personne ». Charlène: « A vrai dire, je m’en doutais, vous vous ressemblez, vous pouvez compter sur ma discretion, c’est compris dans le prix ». Ouf, elle acceptait donc!. Une fois au premier, les choses sĂ©rieuses ont commencĂ©es. Encore habillĂ©s, nous l’Ă©coutions attentivement. Nous devions d’abord tous passer Ă la salle de bain se laver les parties intimes. Charlène nous demanda oĂą se trouvait la salle de bain, elle y alla d’abord seule. Nous attendions et puis elle appela ma mère. Ma mère alla la rejoindre, Charlène Ă©tait dĂ©jĂ nue, ma mère se dĂ©shabilla et c’est Charlène qui lava le sexe de ma mère avec un gant puis l’essuya dĂ©licatement. Puis est venu mon tour, mĂŞme scĂ©nario, elle me lava le sexe. Je pensais que j’allais dĂ©faillir tellement ses seins Ă©taient gros et pendaient. Ses aurĂ©oles Ă©taient plus larges que ceux de ma mère et ses tetons plus petits. Sa chatte Ă©tait bien rasĂ©e, je ne voyait qu’une fine ligne de poils. Nous voilĂ tous les trois debout Ă cĂ´tĂ© du lit dans la chambre de ma mère. Charlène: « Bon, mon grand, voilĂ comment ça va se passer, je vais commencer par m’occuper de ta maman, regarde-nous pour te mettre en forme » Maman: »Ecoutez, c’est la première fois que je fais ça, alors … », Charlène: « Ne vous en faites pas », elle avait l’air cool, c’Ă©tait rassurant. Ma mère se couche et Charlène vient la rejoindre et commence par l’embrasser, je n’en crois pas mes yeux. Elles se lèchent et se sucent les langues, puis Charlène descend lui sucer les gros bouts, c’est excitant Ă mort! Ensuite elle descend doucement lui lĂŞcher sa grosse touffe. « Ta maman a très envie on dirait, elle est toute mouillĂ©e, viens me donner un coup de main mon grand ». J’arrive donc, Charlène Ă©tait remontĂ©e aux seins de maman. j’entrepris donc seul cette minette. Je lĂŞchais ma mère et je regardais le spectacle en mĂŞme temps. Elle suçait les seins de ma mère. Ma mère gĂ©missait Ă mort!. Puis Charlène me dit: « Regarde ta maman mon grand, je crois qu’elle a très envie que tu lui fasses l’amour ». Alors, elle me mit un prĂ©servatif et me suça un peu le sexe, je trouvais que ma mère suçait mieux qu’elle. C’est Charlène qui a guidĂ© ma bite dans la fente de maman. Je commençais donc Ă lui faire l’amour. Pendant ce temps, Charlène mettait ses gros seins au-dessus de la bouche de ma mère. Ma mère suçait les tetons d’une femme, quel bonheur! Puis elle mit sa chatte sur le visage de maman. Juste en face de moi, je voyais clairement la langue de ma mère qui donnait des coups de langue sur le clito de Charlène. J’ai du me retirer tout de suite sinon j’allais jouir tellement le spectacle Ă©tait intense. Je suis mĂŞme sorti de la pièce, je n’osais plus les regarder tellement je pensais jouir rien qu’en les voyant toutes les deux. J’Ă©tais maintenant dans ma chambre, j’entendais encore ma mère gĂ©mir. J’ai rĂ©alisĂ© Ă ce moment-lĂ que nous avions Ă©tĂ© beaucoup trop loin et que ma gentille maman Ă©tait prĂŞte Ă tout pour rĂ©aliser mes fantasmes. Quelques minutes passèrent, mon Ă©rection s’Ă©tait calmĂ©e un peu et j’avais toujours cette foutue capote sur mon sexe. Bon, j’y retourne. ArrivĂ© dans la chambre, il y a avait une forte odeur de mouille. Charlène Ă©tait couchĂ©e jambes Ă©cartĂ©es et ma mère lui broutait le minou. « Ah, te voilĂ enfin » me dit Charlène. « Viens près de nous, on va s’occuper de toi mon grand ». Je me couche Ă cĂ´tĂ© d’elles, mon sexe est hyper tendu. VoilĂ Charlène qui me change de capote. Les voilĂ toutes les deux en train de me sucer la bite Ă tour de rĂ´le. J’essayais de penser Ă autre chose pour faire durer le plaisir mais en vain, j’ai du leur demander d’arrĂŞter sinon j’allais jouir. Elles se sont donc remises l’une sur l’autre Ă cĂ´tĂ© de moi. Ma mère Ă©tait sur Charlène, elle lui lechait, lui suçait les seins. Je ne participais plus, j’Ă©tait devenu spectateur de cette scène de gouines. Voir ma mère comme ça, c’Ă©tait gĂ©ant! Je les ai regardĂ© se manger pendant au moins 5 minutes avant de revenir Ă l’action. Ma mère Ă©tait couchĂ©e, Charlène Ă©tait sur elle et me dit : « Tu sais ce qui serait bien mon grand, c’est que tu fasses l’amour Ă ta maman et que tu jouisses en elle ». Maman m’enleva ma capote et se mit Ă quatres pattes au dessus de Charlène. Elle suçait les gros bouts de maman pendant que je la pĂ©nĂ©trais, c’Ă©tait torride! J’ai joui comme un fou dans sa chatte. CrevĂ©s, nous avons fini par une embrassade Ă trois langues. Maman a payĂ© Charlène puis s’en est allĂ©e Ă minuit avec notre secret. Je me demande maintenant ce qu’elle est devenue et si elle fait encore ce mĂ©tier.