Nous étions au mois de juillet. Le temps était splendide. Il était presque quatre heures ( de l’aprem évidemment ). Je venais de dépasser Chambéry ( 73-Savoie pour les ignares). J’me rendais à Belley ( 01-Ain) en empruntant le col du Chat qui comme tout le monde le sait (ou devrait le savoir) surplombe le lac du Bourgey. À un kilomètre se trouvait une aire sur laquelle j’allais m’arrêter pour pisser un bock.Maintenant faut que je vous explique: j’avais travaillé toute la matinée avec mon grand frère dans un bled de Maurienne ( non j’vous donn’rai pas l’adresse) à faire de la maçonnerie dans sa jolie maison. Nous avions mangé ensemble dans un petit resto et, durant le repas, il m’avait parlé de cette aire ( pour les ethnologues en puissance, elle se trouve à la sortie de Chambé, sur la route qui va au Bourget du Lac), rendez-vous, d’après lui, de tous les » P.D. » ( désolé c’est son terme, mon frérot est hétéro pur et dur, marié depuis quinze ans, fidèle et heureux) du coin. Il s’y passait des trucs pas possibles.Contrairement à mon frangin, je n’ai aucun à priori, suis célibataire, plutôt obsédé et curieux de tout ce qui concerne le sexe. Donc sur l’autoroute, encore excité par ce qu’il m’avait dit, je décidai de vérifier par moi-même. Pour corser un peu la chose, je m’arrêtai à une aire avant Chambé et, aux toilettes, je retirai mon slip. Je me retrouvai en short ( un de ces flottants courts qu’on utilisait en athlétisme) et t-shirt, ma queue ballottant librement entre mes cuisses.Lorsque je ralentis pour entrer dans le parking, je constatai qu’il y avait plusieurs voitures garées un peu en retrait des places habituelles mais elles étaient vides. Je rangeai ma voiture à l’ombre des arbres. Le coin semblait effectivement propice, le parking proprement dit était encadré par deux espaces boisés ( Ca a bien changé, les honnêtes gens ont essayé de rendre le lieu politiquement correct et nombre d’arbres y ont laissé leur vie) qui devaient permettre une certaine intimité.Je descendis de ma caisse. Je sentais l’air frais sur ma queue légèrement bandée. Elle gonflait mon short de manière sympa. J’étais sûr que mes couilles dépassaient du short et cela m’émoustillait encore un peu plus de savoir qu’on pouvait les voir. Nonchalamment, je jetai un œil autour de moi. Personne. Je repérai une sente sur ma droite qui s’enfonçait dans le sous-bois. Je m’y dirigeai. À peine avais-je fait quelques pas dans cette allée que je croisais un quinquagénaire, moustache et cheveux blancs, tonsure de moine, légèrement bedonnant, portant également un bermuda. Quand il me dépassa, ses yeux étaient fixés sur la partie intéressante de mon individu. Je continuai d’avancer comme si de rien était mais j’avais le pressentiment qu’il allait me suivre. Bingo ! J’entendais derrière moi les craquements provoqués par ses pas sur les brindilles. Discrètement, je jetai un regard: il était à dix mètres. Il ne cherchait pas vraiment à se cacher. J’étais venu pour pisser ! Donc acte ! Je sortis ma bite de mon short, me plaçai de telle sorte qu’elle soit dans sa ligne de vision et tentai de pisser. Je n’avais pas réellement envie et ma bandaison n’arrangeait rien. Je restai là un temps qui me parut assez long à secouer ma queue pour la faire uriner. Je savais qu’il me zieutait et popaul au lieu de faire son pipi comme un gentil petit garçon, flatté de ce qu’on le contemplait, enflait encore. Je n’avais plus besoin de le tenir.Soudain sans que je l’aie entendu s’approcher, je perçus simultanément sa bite tendue contre mes fesses, sa main droite saisissant ma bite, sa main gauche enveloppant mes couilles. Wouaps! Les fantasmes c’est une chose! La réalité c’en est une autre! Rêver de… ben oui ! Mais quand tout à coup t’es dans le concret ! Pendant un instant je restai éberlué avec une envie formidable de me tirer ( je n’ai jamais été d’une grande témérité) mais j’étais comme pétrifié. La débandade se produisit: ma vantarde de queue baissa de plusieurs crans. Mon dragueur n’en tint pas compte, il poursuivit ses manœuvres exploratoires. Sa main se faisait douce sur mes couilles, les massant d’arrière en avant ( ou d’avant en arrière, c’est très subjectif), l’autre branlait lentement ma queue qui, la première surprise dépassée, retrouva sa vigueur. Sa queue se frottait contre ma raie( il avait je ne sais comment écarté mon flottant et était parvenu à la glisser entre mes fesses). Il m’embrassait dans le cou: les picotements engendrés par ses poils de barbe me faisaient frissonner. Ses mains, sa bouche, sa queue étaient autant d’instruments qu’il utilisait pour faire vibrer mon corps et le salaud savait s’y prendre. Ses divers mouvements étaient synchronisés et soumis à un tel pilonnage, je ne tardai pas à atteindre un état où plus rien ne compte sinon une bonne giclée. Mon amant d’un jour s’en rendit compte, il précisa alors ses caresses. Il plaça sa queue entre mes cuisses : à chacun de ses va-et-vient, elle venait taper dans mes couilles. C’est aussi à ce moment que je m’aperçus que notre représentation avait un public: un mec avait surgi du bois et se masturbait gaiement ( oui gaiement : la masturbation n’a rien de triste, sauf pour les fâcheux !).Là, j’eus vraiment un recul. Un mec d’accord mais me retrouver avec deux, ça non! Pourquoi pas une dizaine pendant qu’on y était ! Les gang-bang très peu pour moi. Je me crispai.— Ne t’en fais pas ! me glissa-t-il au creux de l’oreille, ce n’est que le paluch’man, Philippe. Il dit qu’il en a mais on ne l’a jamais vu faire autre chose que se branler en critiquant les autres. Un vrai disciple d’Onan. Donne-lui en pour son argent !Ces propos me galvanisèrent. Enfin ces propos ! C’était surtout ce qu’il continuait de me raconter avec son vit et ses pognes qui me faisaient grimper au rideau. Sa queue entre mes fesses devenait de plus en plus dur, elle s’incrustait d’autant dans ma raie. À la dernière descente de mon mat, il tendit ma peau autant qu’il put, compressant dans le même temps mes roustons. Bonjour l’explosion. Mon foutre n’alla pas arroser la dive nature : à peine la première goutte atteignait l’air libre que, déjà, il était à mes genoux, sa bouche vorace engloutissait mon membre. Il se délecta de ma semence, me garda en bouche jusque, littéralement, à l’assèchement complet de mon gland. Notre voyeur/palucheur voyant que le baisser de rideau était proche, s’astiquait ferme. Maintenant que mon excitation était retombée je pouvais l’observer. C’est vrai qu’il ne payait pas de mine: il me fit penser à un de ces vieux ratés, aigris. Sa bite lui ressemblait: elle n’était guère pimpante. Il bandochait et lorsqu’il éjacula, quelques pauvres gouttes s’échappèrent de son membre déjà rabougri. Sa petite affaire faite, il s’enfuit rapidement.Quand mon suceur se releva, il se léchait encore les babines. Pour la première fois, il m’adressa réellement la parole.— Ton foutre est de première qualité! Légèrement sucré sans aucune amertume ! ( si je vous jure, il m’a dit ça avec le ton pénétré d’un mec qui viendrait de tester un grand cru) On en reste là ou tu veux qu’on passe un moment ensemble dans un endroit plus tranquille ?— Je suis partant mais je ne suis pas du coin !— On peut aller chez moi ! J’habite à quelques kilomètres. À l’époque je vivais seul, donc personne ne s’inquièterait de mon retard.— Ok !— Ma voiture est sur le parking, tu n’as qu’à me suivre.Ce que je fis. Il possédait un coupé Mercedes immatriculée en 74. J’avais l’air un peu con avec ma 205. Il habitait une » petite propriété » sur les hauteurs de Chambéry. Nous nous installâmes dans un salon très classe : les meubles étaient d’époque mais alors laquelle ? Il me fit installer sur/dans un canapé moelleux. En me vouvoyant, il me demanda si je voulais boire quelque chose de frais. Je ne refusai pas car nos jeux m’avaient asséché la gorge. Là, il me scia. Comme dans les films, il prit une clochette posée sur un guéridon à l’entrée et il la secoua. Au bruit, une servante d’une bonne quarantaine d’années en noir et blanc apparut :— Maria ! Une bière pour Monsieur et servez mon thé. Maria se retira sans même me regarder. Faut dire que je ne l’avais pas détaillé non plus. J’étais très mal à l’aise.— N’ayez aucune crainte ! Maria est à mon service depuis suffisamment longtemps pour connaître mes petits travers, déclara-t-il en s’asseyant à ma droite. Sans attendre, il posa sa dextre sur ma cuisse et remonta insidieusement. J’étais affreusement gêné, la bonniche allait revenir et l’autre qui me passait des pognes. Ben oui ! Je n’assume pas totalement cette facette de mon personnage. Et puis j’avais l’impression d’être un micheton que monsieur avait levé. Lui, très naturel, me questionna tout en atteignant la lisière de mon flottant.— C’est la première fois que vous vous arrêtiez dans ce lieu, n’est-ce pas ? Je ne vous y avais jamais vu ?Je lui expliquai le pourquoi du comment de la chose.— Quel âge avez-vous ?— 42 ans— Je fais figure de vieillard avec mes 49 ans. D’autant que vous ne les faites pas. Lorsque Maria arriva avec son plateau, mon inconnu s’était déjà insinué à l’intérieur de mon short, en avait extrait ma bite qu’il caressait adroitement. Je me tenais totalement immobile, figé mais popaul sans souci de la situation reprenait du volume. Elle servit bière et thé sur une table basse. Elle ne put s’empêcher de regarder l’objet du délit.— N’est-ce pas qu’elle a un air avenant, lui lança son patron en la flattant ; ce qui la fit se redresser encore un peu.— Oh oui monsieur ! J’espère qu’elle vous donnera toute satisfaction. Où étais-je tombé ? Il parlait de ma queue comme d’un produit de consommation. Il la congédia d’un geste, de la main gauche évidemment, la droite ne lâchant pas sa proie.— Demeurez en cuisine Maria. Je peux avoir besoin de vous.— Bien monsieur. Exit Maria— Nous devrions nous déshabiller nous serions plus à l’aise. Aussitôt dit, aussitôt fait : il n’avait pas fini de parler que déjà son bermuda et sa chemisette avaient volé dans un coin de la pièce. Tout à l’heure dans le bois, quelque chose m’avait gêné dans son apparence, mais je n’avais pas identifié ce que c’était. Mais là, devant sa nudité, cela devint évident: à l’exception de sa moustache, il était entièrement rasé/épilé. Ma deuxième surprise fut la découverte de son sexe : je considérai que la taille du mien était fort correcte mais il me rendait plusieurs centimètres tant en longueur qu’en circonférence. Tout à mes observations, j’en oubliai de me déshabiller. Devant mes atermoiements, il m’ôta lui-même mon t-shirt. Je me soulevai et il fit glisser mon short le long de mes jambes. Mes fringues suivirent le même chemin que les siennes. Il ne perdit pas de temps et je me retrouvai collé au coussin tandis que sa bouche se collait à la mienne. Ce n’était pas la première fois que j’embrassais un mec mais c’était mon premier baiser avec moustache. Il embrassait comme il caressait, très habilement. J’oubliai la bonne bien décidé à prendre du bon temps. Ma main entra en contact avec sa queue, j’effectuai une première reconnaissance tactile du bout des doigts. Il avait délaissé mon bas-ventre pour réjouir mes seins. Il faisait saillir les mamelons entre ses ongles, les étirer au maximum puis les repousser doucement jusqu’à ce qu’ils disparaissent. C’était délicieux. Sa langue fouillait ma bouche avec ardeur. Avec ce baiser, je comprenais qui serait l’homme dans cette joute. Il dirigeait la manœuvre de main plutôt de bouche ( si j’ose dire ) de maître. Je me passionnai toujours pour sa bite qui avait encore grossi : j’encapuchonnai et décapuchonnai son gland jouant avec son prépuce.Soudainement, il s’arracha à notre étreinte. Avec délicatesse, il me fit allonger sur le dos, lui-même se plaçant par terre à genoux.— Laisse-moi te caresser. Il reprenait le tutoiement. Sais-tu que tu as un corps très féminin. On m’avait déjà dit des tas de trucs mais ça jamais. Il continua :— Tu as une peau très douce. Tu n’as quasiment pas de poils. Ta poitrine est souple avec des bouts très réactifs. Il accompagnait du geste ou de la bouche chacun de ses commentaires. Ainsi, il affola mes tétons, les agaçant de sa langue, les mordillant, les aspirant alors que ses mains massaient subtilement mes mamelons. Relevant la tête, il reprit :— Un ventre plat à la peau si douce qu’on en mangerait. Il passa aussitôt à l’acte, sa bouche dégusta mon ventre nettoyant au passage mon nombril.— Même ton pénis me semble féminin avec cette peau si lisse. Il n’est pas ridé comme le mien. Bien entendu, il s’empara de ma queue, il la parcourut de sa langue, introduisant l’extrémité de celle-ci dans mon méat qu’il tenait ouvert. Il titilla celui-ci quelques instants puis reprit son inventaire. Je me demandai ce qu’il allait pouvoir trouver de féminin à mes couilles. Astucieusement, il évita le dilemme en me tournant sur le ventre d’un geste négligent. Il s’intéressa directement à mon cul.— Deux petites fesses charnues mais très fermes comme beaucoup de femmes rêveraient d’en avoir. Et pas trace de cellulites. Tout en parlant, il palpait mes globes jumeaux. Je sentis un doigt s’insinuer entre mes fesses, parcourir ma raie du bas du dos jusqu’à la base de mes couilles. Ce même doigt, inquisiteur, s’immobilisa sur ma rosette. Il poussa un peu et s’enfonça gracieusement sans aucune difficulté dans mes entrailles.— Tu as le postérieur accueillant ! Ben oui. Je ne m’étais pas fait sodomiser depuis des années mais comme j’adorais me fourrer ou me faire fourrer divers objets dans le cul, l’ouverture était bien assez grande pour un doigt, aussi aristocratique soit-il. Il fit quelques allers et retours, rajouta un deuxième doigt puis un troisième les écartant bien pour élargir le passage.— Tes sphincters sont vraiment souples ! Tant mieux ! Je déteste que mon pénis soit étranglé. Comme j’étais placé, je ne voyais rien de ce qu’il faisait, mais sa voix rauque, très sensuelle (enfin je trouvais), ses caresses m’excitaient au plus haut point et je dus me soulever pour laisser respirer ma bite qui étouffait dans les coussins.— Tu es mal installé. Nous allons arranger ça. Je me rassis. Nous échangeâmes de nouveau un vrai baiser avec la langue ; enfin surtout la sienne. Quand je m’enhardis à prendre sa queue en main, il s’éloigna immédiatement. Comme j’eus l’air étonné, il m’expliqua qu’il était très réactif. Si je le masturbais, il allait se vider et ce n’était pas du tout ce qu’il désirait. Selon ses désirs, je me retrouvai à genoux, jambes écartées, la tête dans mes bras qui étaient posés sur le canapé. Il entreprit à nouveau ma rosette cette fois avec sa langue pendant que de ses doigts experts, il réjouissait mes tétons et toute ma poitrine.— Tout à l’heure, lorsque je me serai répandu en toi, je boirai à ton robinet. J’aurai bien aimé qu’il s’y intéresse sans plus attendre. Popaul bandait à mort et une main compatissante eût été la bienvenue. Mais ne boudons pas notre plaisir car le bougre s’y entendait pour me souffler dans le tuyau. Mon cul se tendait vers cette fouisseuse. Il retira sa langue et quelque chose de bien plus considérable se présenta à l’entrée de service. Il avait beau dire que j’étais accueillant mais la bête était énorme et mon anus refusa tout net cette intrusion. Il dut sentir cette réticence car il m’empoigna aux hanches et m’attira fermement à lui. La grosseur du bélier n’avait d’égal que sa tension aussi ma résistance fut de courte durée et je lui ouvris la porte. Dès que son gland eut franchi l’obstacle, le reste suivit sans difficulté. Son pubis heurta mes fesses. Complètement en moi, il ne bougea plus. Il recommença de jouer avec mes seins, tandis qu’il couvrait mon dos de baisers.— Es-tu bien comme cela ?— Oui ! Je sens ton gros chibre contre ma prostate ! je suis sûr que tu me défoncesl’estomac !— Es-tu confortable ? Sinon je peux demander à Maria de t’amener un coussin. Ben voyons ! Elle pourrait aussi me tenir la main ou la bite ! Je plaisante mais quand il m’a dit ça, j’ai eu une sacré contraction de tout mon être, en particulier du cul, ce qui m’avoua-t-il après lui avait beaucoup plu et qui enclencha chez lui ce qui suivit. Sur-le-champ, sa grosse queue entra en action. Il ne faisait pas dans la dentelle, c’était l’artillerie lourde : ses mains fichées sur mes hanches, sa bite allait et venait, sortait presque entièrement pour mieux me défoncer au retour. Il me labourait les entrailles, martyrisant ma prostate. Il respirait si fort que j’avais l’impression d’être baisé par une locomotive à vapeur ce qui était confirmé par le bruit de succion qui se produisait chaque fois qu’il venait cogner mes fesses. À ce rythme-là, il ne pourrait pas tenir longtemps, ni moi non plus. Je n’allais pas tarder d’asperger le canapé, les premiers soubresauts prémices de ma jouissance s’annonçaient. Il allait peut-être pas tarder de » se répandre en moi » mais il ne perdait pas le nord, se rendant compte de ce qui allait se passer, il tordit violemment mes testicules. Douleur garantie. Effet immédiat: net recul dans mon envie de jouir. Chez lui, le geste eut un effet contraire, son foutre se déversa dans mes intestins. Après quelques va-et-vient, il s’immobilisa toujours cramponnés à mes hanches et je ne pouvais bouger.— Maria ! Maria ! C’est pas vrai ! Il appelait sa bonniche ! Peut-être qu’il allait me la prêter en récompense. Ça n’aurait pas été du luxe parce que franchement, il avait sans doute prit son pied mais après son coup tordu( !!!), je n’avais pas vraiment participé la fête.— Monsieur désire ? N’eut-ce été ma situation plutôt humiliante, j’aurais éclaté de rire: Monsieur désire, je vous dis comme dans un film.— Allez chercher de quoi me faire une toilette sommaire et mon ami aura besoin d’une serviette. Bon c’était râpé pour faire le fou avec la bonne.— Bien monsieur !Je nageai en plein surréalisme, j’en oubliai ma position. D’ailleurs la servante ne me prêta aucune attention. Son absence fut très courte preuve que le matériel était déjà prêt. Autre manifestation d’habitude, elle étendit la serviette sur le canapé à ma gauche. Monsieur décula et me pria de m’asseoir sur la serviette, jambes relevées. Il s’agenouilla entre mes cuisses tandis que Maria, ayant posé une cuvette sous les joyeuses de son patron, lui lavait la queue avec un gant de toilette. Dès qu’il fut en place, il plongea littéralement la tête entre mes fesses pour nettoyer mon cul et se gaver de son propre foutre. Bon d’accord, il n’y avait pas que son sperme. Tout cela ne me réjouissait guère. Je débandais à vue d’œil. Lorsqu’il estima qu’il n’y avait plus rien à tirer de mon cul, son visage remonta à la hauteur de mon chibre qui n’était pas vraiment fiérot. Tous ces épisodes où il avait été plus spectateur qu’acteur, l’avait tout ramolli.— Votre sexe me paraît bien en peine ! Nous allons lui rendre son sourire ! Sa bouche absorba mon mollusque. Il le mâchouilla. J’sais ça peut sembler bizarre mais je ne vois pas d’autres mots pour qualifier ce qu’accomplissait sa bouche. En tout état de cause, Popaul parut apprécier le traitement. Il cessa de bouder et se redressa fièrement. L’autre se mit alors à le pomper avidement. Je voyais ses joues se creuser, se gonfler en cadence. Les signes annonciateurs dont j’ai parlé plus haut se manifestèrent de nouveau mais cette fois il ne me tordit pas les couilles. Bien au contraire sa main se fit douce pour frotter me boules l’une contre l’autre, ce qui précipita la montée du plaisir. La jouissance vint rapidement, brutalement à jets tendus. Mais je n’aperçus pas une seule goutte de mon sperme, il l’avala tout en continuant sa succion. Il s’arrêta seulement quand popaul se fut recroquevillé dans sa bouche.Il se releva et s’adressant à la servante ( je l’avais complètement occultée mais elle était là debout à deux mètres nous lorgnant sans vergogne) :— Je sais que vous n’aimez pas le sperme Maria mais celui de mon ami est vraiment excellent. J’en ai rarement un d’une telle qualité. Cela doit venir de votre alimentation. Il faudra que vous me l’expliquiez. Complètement barge ce type ! Sympa mais barge !Nous nous rhabillâmes. Maria nous servit des rafraîchissements. Pour lui faire plaisir, je lui inventai un régime alimentaire particulier moi qui à cette époque mangeais de tout et n’importe quoi au gré des occasions. Nous nous séparâmes en nous promettant de nous revoir. Vaine promesse évidemment.J’attends vos commentaires