Iris 2
Iris ma proposĂ© de rester vivre chez elle un temps et en guise de cadeau de bienvenue, elle m’a offert tout un tas de jouet pour m’amuser seule. Ce soir, elle n’Ă©tait pas seule, et m’offra le spectacle de ma vie. Elle et une autre femme sur le canapĂ© du salon Ă faire ce que j’aurais rĂŞvĂ© qu’on fasse
Proposée le 4/11/2022 par Lolita Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passionPersonnages: FFLieu: A la maison, intimeType: Fantasme
Je n’osais pas regarder Iris en face au petit dĂ©jeuner.
J’avais soigneusement nettoyĂ©e sa brosse Ă dent et sa brosse a cheveux, aucune trace du crime. Mais j’avais jouie si fort qu’elle m’avait forcĂ©ment entendue.
— Fais pas cette tĂŞte, c’est naturel.
— De quoi ? Dis-je innocemment.
— Se faire du bien. Tu aurais du me demander, j’aurais pu te prĂŞter tout un tas de mes jouets.
Je rougis instantanément.
— Allez, pas de ça entre nous, lança Iris en prenant ma main.
Je changeais de sujet, et parlais du fait que je devais faire mes valises. Mon ex et moi vivions ensemble et je n’avais plus d’appartement.
— Tu peux rester ici si tu veux, le temps qu’il te faudra.
— Vraiment ?
— Biensure. Je déteste être seule.
Je remercie Iris et la serra dans mes bras.
— J’irais chercher mes vĂŞtements dans la journĂ©e, l’informais-je. Quand je reviens de chez mon ex, la nuit Ă©tait tombĂ©e. Et Iris n’Ă©tait pas lĂ . Je vis un mot sur la table  » je suis sortie. Ne m’attends pas pour manger, va voir ta surprise dans ta chambre  » je fourrais le papier dans ma poche et alla voir de quoi elle parlait. Sur le lit Ă©tait posĂ© : Un gode transparent large et veneux, un aspirateur Ă clitoris, un petit vibro de la taille de mon index et un Ĺ“uf vibrant. Ils Ă©taient tous sous emballage avec un papier  » CĂ©libat ne veut pas dire vie sexuelle ennuyeuse, amuse toi! » Il Ă©tait tard quand j’entendis la porte d’entrĂ©e s’ouvrir. J’Ă©tais au lit depuis une bonne heure mais je voulais aller remercier Iris pour ses cadeaux. Je me levais lentement du lit et entra dans le couloir. Deux voix distinctent se firent entendre. Iris n’Ă©tait pas seule. Je mapprochais et vit deux silhouette de femmes en train se s’embrasser. Iris avait les mains sur les fesses d’une belle brune qui lui bouffait la bouche. Les deux femmes allèrent jusqu’au canapĂ© ou elle continuerent Ă s’embrasser. La brune libera la poitrine d’iris et se mit Ă lui sucer les tĂ©tons. La blonde balança sa tĂŞte en arrière.
— Retire tes fringues, ordonna Iris.
La brune se leva et retira ses vĂŞtements, Iris l’imitat. Et elles se mirent Ă se câliner, nues, l’une contre l’autre.
— J’espère que tu as faim, lança Iris en se mettant debout.
La brune resta assise sur le canapĂ© et Iris colla sa chatte Ă son visage. La brune se mis Ă la dĂ©vorer et je sentis tous mon corps frissonner. Sa langue s’enfouie entre les lèvres parfaitement epilĂ©e de mon hĂ´te qui gemissait sans se cacher. Peut ĂŞtre avait-elle oublier que j’Ă©tais lĂ , ou peut ĂŞtre s’en fichait-elle.
Iris pressa le visage de la brune un peu plus fort contre son entrejambe.
— T’arrĂŞte pas.
La brune tenait les fesses d’iris entre ses mains et la lâchait comme un animal affamĂ©. Iris lui disait d’aller plus vite en gemissant. Son orgasme monta et elle appuya une dernière fois la tĂŞte de le brune contre elle en jurant.
J’aurais pu partir, mais je ne l’ai pas fait. Ma mouille avait ruinĂ©e ma culotte propre, alors, tant qu’Ă faire…
Iris mis la brune à quatre patte sur le canapé et se plaça derrière elle dans la même position. Elle glissa ses doigts sur la fente mouillées de son amante.
— C’est ça que tu veux ?
La brune supplia mais Iris retira sa main et plongea son visage sur la chatte de son invitĂ©e. La brune gĂ©mis de surprise. Iris n’y allait pas de main morte, elle l’a mangeait vigoureusement, elle n’en laissait pas une miette. La brune aimait ça, des cris incontrĂ´lables sortaient de sa bouche. Iris semblait ĂŞtre douĂ©e, le genre de coup d’une nuit qu’on n’oublie jamais. La brune appuyait la tĂŞte d’iris contre elle.
— C’est trop bon, c’est trop bon.
Iris lâchait, sucait, aspirait à une vitesse incroyable et la brune ne savait plus où donner de la tête. Les doigts de la blonde glissement entre les fesses de la brune qui émit un refus.
— Je ne fais pas ça, dit elle en se retenant de gemir.
— Fais moi confiance, souffla Iris en titillant l’anus de la brune.
Elle se remit Ă la manger alegrement en glissant majeur entre ses fesses, la brune se tendit mais repris vite ses spasmes de plaisir. Je la jalousais, ça semblait si bon. Et le doigt entrant et sortant de ses fesses me fit mouiller davantage. Mon ex n’aimait pas l’anal, nous ne l’avions fait qu’une fois, j’avais jouit si fort que j’ai pensĂ© que les voisins allaient appeler la police. Mais il n’avait pas aimĂ©. Alors nous n’avions jamais recommencĂ©. Iris dĂ©vorait la brune en lui doigtant le cul, et j’en mouillais. La brune levait les yeux Ă tel point que ses pupilles devinrent blanches, elle rĂ©pĂ©tait Ă iris Ă quel point c’Ă©tait bon. Quand l’orgasme vint, la brune hurlait en bougeant d’avant en arrière et je ne faisais que serrer les jambes, de peur que ma caprine ne tâche dĂ©sormais mon pyjama. Le visage d’iris Ă©tait recouvert de mouille luisante et la brune reprenait sa respiration.
— T’as 2 minutes pour te reprendre, je vais chercher mon gode ceinture et tu vas me prendre jusqu’Ă que ma chatte soit engourdis, ordonna iris.
Je disparue jusqu’Ă ma chambre rapidement, et me dĂ©fit de mes vĂŞtements mouillĂ©s. Je me j’Ă©tais sur mes jouets et magenouillais sur le lit. Les cris reprirent très vite dans le salon. Et maintenant je participais, Ă ma façon. Iris gemissait et c’Ă©tait doux Ă entendre. J’ouvris la porte pour mieux l’entendre et posa l’aspirateur Ă clito sur moi. Il ne me fallut que très peu de temps pour jouir. Mais j’en voulais encore. M’imaginant au milieu d’elles, Ă les toucher, les lecher, les pĂ©nĂ©trer. C’Ă©tait tellement bon. Il me fallait de l’endurance. Si mon ex finissait en 5 minutes. Iris semblait ĂŞtre du genre Ă ne pas s’arrĂŞter de la nuit. Alors je les suivie. Une heure, deux heures… en faisais quelques poses. Mes mains me faisaient mal de me pĂ©nĂ©trer, toucher, appuyer et Ă©teindre les jouets. Mais c’Ă©tait bon.
Le soleil se leva quand la porte d’entrĂ©e claqua. Je mapprochais de la porte pour la fermer et vue Iris, nue, marcher en boitant jusqu’Ă sa porte, les cheveux Ă©bouriffĂ©, le maquillage coulant, des marques rouges sur les seins. Elle m’apperçut et souris. Sans penser Ă s’excuser pour le bruit, je crois au contraire qu’elle avait aimĂ© que je l’entende, que je sache de quoi elle Ă©tait capable.© Copyright : Ce rĂ©cit comme tous les autres sont protĂ©gĂ©s par le Code de PropriĂ©tĂ© Intellectuelle.
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