Homme modèle pour peintre puis esclave soumis.Cela fait plusieurs mois que je veux écrire ce récit, pour immortaliser ce qui s’est passé ce mois de mars 2003. Mais j’ai toujours hésité. Je me décide enfin, car ce n’est pas banal, ni pour un homme, ni pour une femme.J’ai 30 ans, je suis célibataire, et j’ai parfois quelques aventures, au gré des occasions.J’ai été scotché, un jour, à la lecture d’une petite annonce parue dans un journal régional gratuit : « Femme peintre cherche modèle masculin, bénévole. Photo indispensable ».J’ai répondu, par courrier, pensant qu’il s’agissait d’une blague, mais j’étais intrigué. J’ai joint une photo de moi, en maillot de bain, et j’ai laissé mon numéro de téléphone. 3 jours après, je fus contacté par téléphone, une voix de femme, qui me proposait un rendez-vous. J’aurais voulu avoir plus de détails, mais elle me dit simplement qu’elle avait eu plusieurs réponses à son annonce, et qu’elle voulait me voir, chez elle. Rendez-vous fut prit pour le lendemain après-midi.Après une douche, un rasage intégral, puis encore une douche, je m’habillai légèrement, il faisait assez doux, et je me rendis chez la dame.Je fus surpris, quand la porte s’ouvrit, par l’ambiance qui se dégageait, à la fois de l’appartement, et aussi de la personne. Une odeur d’encens, envoûtante, et une femme très élégante, environ 40 ans, brune aux cheveux courts, mince, vêtue d’une robe en cuir, noire, un peu au-dessus du genou, de bas ou de collants, d’un chemisier rose très léger. Elle portait des bottes hautes à talons. Son regard, très perçant, laissait entrevoir un caractère autoritaire.Elle me fit entrer, et visiter son atelier d’artiste peintre. Il y avait des toiles, principalement représentant des personnages, souvent nus, partiellement, ou totalement.Elle me montra aussi des albums de photos, qu’elle a prises elle-même, représentant pour la plupart des hommes nus. J’étais presque gêné.Elle s’en rendit compte, et m’expliqua qu’elle se consacrait, depuis trois ans, à la représentation du corps masculin, depuis qu’elle était veuve. »Mais, venons-en au fait », me dit-elle… »Commencez par vous déshabiller… Avez-vous déjà posé ? »Je lui répondis que c’était la première fois, ce qui était vrai.Elle s’était assise dans un fauteuil, et m’avait indiqué l’endroit, très éclairé par des projecteurs, où je devais me déshabiller. J’essayais de me dénuder lentement, car ça fait plus professionnel, et pourtant, j’avais envie d’être très vite nu devant elle. Quand je fus en caleçon, (je portais un shorty moulant), elle m’ordonna de m’arrêter, et de lui tourner le dos. À ce moment, la sonnette retentit. »Zut », je me dis, « c’est un autre mec qui vient en avance, il va tout gâcher ».Mais je n’osais pas bouger.J’entendis alors des voix féminines, et, d’après les dialogues, je compris que la dame avait invité deux copines. En effet, il y avait maintenant 3 femmes dans la pièce. »Retournez-vous, jeune homme », dit-elle. »Je vous présente deux amies, venues pour m’aider dans mon choix. Cela ne vous dérange pas ? » »Non, madame », répondis-je, en regardant les deux femmes, l’une ayant environ 35 ans, de type légèrement asiatique, et l’autre, beaucoup plus jeune, une vingtaine d’années, blonde aux cheveux longs. La première portait une jupe noire, en cuir, assez mini, et fendue sur le côté, un chemisier en satin noir qui lui moulait les seins, des bas, et des chaussures à talons. La plus jeune portait un manteau long, mais elle l’enleva, et ce fut la bonne surprise. Elle était en minijupe trapèze gris clair, et son pull très court moulait ses petits seins. Elle portait des bas autofixants fumés et brillants, j’en était sûr, car la jupe était assez courte, et je pouvais voir la dentelle du haut de ses Dimup, quand elle marchait.J’étais là, devant ces 3 femmes, et je craignais de bander, surtout à cause de la petite, mais aussi des 2 autres femmes, qui étaient désormais assises dans des fauteuils, et qui montraient leurs jambes sans complexes. Elles n’avaient d’ailleurs pas à en avoir, elles étaient bien faites.Annie (la propriétaire des lieus) expliqua à Karine (celle en tailleur) et à Marina (la jeune blonde) que je venais d’arriver, et que j’allais poser pour elles.Une bosse devait commencer à se voir sous mon caleçon, mais je n’osais pas regarder. Malgré tout, je sentais bien mon sexe durcir, surtout quand Marina se baissa pour saisir son sac dans lequel elle fouilla pour y trouver un appareil photo numérique. Elle s’assit négligemment sur une chaise haute, ce qui révélait le haut de ses cuisses. Annie se leva et s’approcha de moi, en déclarant que la séance commençait.D’une façon très sensuelle, elle passa ses mains sur mon torse, puis entre mes cuisses, pour remonter effleurer mon sexe, à travers le tissus. Elle passa derrière moi, et glissa ses mains sous mon slip, depuis la taille. Elle fit de même en remontant le long de mes cuisses, et glissa ses mains sur mes fesses, sous le slip. Puis, passant une main entre mes jambes, elle me caressa l’entre-jambe, jusqu’à atteindre mes testicules et les malaxer, tandis que son autre main, par-devant, caressait mon sexe, mon gland. Je bandais franchement. Elle fit remonter mon pénis contre mon ventre, le gland dépassant de la ceinture du slip, qui ne touchait plus mon ventre. Les 2 spectatrices observaient, Marina prenait des photos.Toujours postée derrière moi, elle prit la ceinture de mon caleçon, qu’elle fit descendre lentement le long de mes cuisses, dévoilant totalement mon sexe tendu et pointé. J’étais désormais tout nu, et même totalement rasé, devant ces 3 femmes. C’était une entrée en matières assez originale, qui me faisait clairement comprendre que l’ambiance serait chaude. »Hé bien, on dirait que cela vous fait de l’effet, mon cher ? » »Oui, madame ». »Nous allons te tutoyer… Tu as peur ? Tu as honte ? Ou tu aimes ? » »Je ne sais pas, madame, comme vous le voyez, je suis excité, et j’espère que je vais correspondre au modèle que vous désirez. Dans le cas contraire, j’aurai honte. Mais pourquoi aurais-je peur ? ». »Parce que tu vas passer des tests », dit Annie, « et on verra si tu conviens ».Et elle reprit, tout en me décalottant le gland : « Tu vas marcher devant nous, dans un sens, puis dans l’autre. Allez, commence ! ».Je m’exécutai, mon sexe toujours en érection. J’avais conscience d’être un peu humilié. Elle me fit marcher ainsi plusieurs minutes. »Vous avez vu, les filles ? Il bande au quart de tour ! Recule un peu, juste sous les projecteurs, je vais faire un dessin de toi, debout, la queue bien raide ».Je bandais fièrement. Les filles me regardaient, Marina prit des photos, Karine s’était approchée, assise sur une chaise, sa jupe bien remontée. Elle portait effectivement des bas autofixants. Marina vint s’asseoir à côté de Karine, et la vue que j’avais sur ses jolies cuisses gainées de bas, tout comme celles de Karine et d’Annie, tout cela me faisait bander, et entretenait mon érection.Elle installa son matériel, et, assise sur un tabouret, son chevalet près d’elle, elle commença à me dessiner. Elle avait les jambes un peu écartées, Marina continuait à prendre des photos, et cela m’excitait.Le dessin terminé, Annie le montra à ses deux copines, puis elle me fit venir debout près d’elle, qui était restée assise. Je la complimentais.Annie déclara : « Maintenant, je veux faire un autre dessin, mais tu seras allongé sur le canapé, et le sexe au repos. »Je répondis : »Mais Madame, je ne peux pas stopper mon érection sur commande… Surtout devant de si jolies personnes, si désirables, et en plus, je suis tout nu… ». »Alors, caresse-toi, et si tu le fais bien, je t’aiderai à calmer ton érection ».Voyant ma réticence, elle prit dans sa main un gros pinceau brosse, sec et neuf, et elle s’approcha de moi. Elle s’amusa à me passer la brosse sur le sexe, les testicules, le gland. Elle m’ordonna de me masturber. J’obéis, et elle regagna sa place, à côté de Karine et Marina.Je me branlais devant ces 3 créatures, c’était assez imprévu…Cela dura peut-être deux minutes, je n’ai pas compté… Annie revint vers moi, me fit allonger sur le tapis, sur le dos, et commença à me masser le sexe, lentement, en passant son doigt sur mon gland. Elle était à genoux près de moi, Karine et Marina étaient à côté d’elle, debout, et j’admirais leurs jambes, car j’avais une belle vue, du dessous. Annie me fit jouir rapidement, et mon sperme coula entre ses mains. Elle me quitta pour revenir avec une serviette, et m’essuya avec soin, tout en continuant à me branler légèrement, jusqu’à ce que les spasmes du plaisir aient disparu. Mon sexe était au repos, il avait repris sa taille normale, et n’était plus décalotté. »Voilà, tu as un zizi de bébé, désormais, petit et bien rasé ! Maintenant, vas t’allonger sur le canapé, et tourne ton corps vers nous ».Ce que je fis. »Voilà comment je voulais te voir, tout simplement nu, sans image sexuelle. Je vais pouvoir faire un second dessin, au crayon, tel que tu es en ce moment. ».Annie exécuta son dessin en quelques minutes, et, quand elle montra son œuvre aux copines, ce fut la fête.Mon érection reprenait. Elle me demanda de venir près d’elle.Elle dit : »Tu vois, il était temps que je termine mon dessin, tu bandes encore ! », et elle se mit à passer une main entre mes cuisses, pour remonter et venir soupeser mes testicules, et, de l’autre main, décalotter et branler doucement mon sexe entre ses doigts. »Bon, maintenant, épreuve suivante ! Tu vas passer l’aspirateur, et nous servir le café, tout nu. »Annie alla chercher l’aspirateur, et un petit foulard en soie rouge, qu’elle noua autour de mon sexe et mes testicules, elle serra assez fort, et fit un double nœud.Cela me comprimait la verge, mais ce n’était pas désagréable.Elles s’installèrent dans le canapé, pendant que je passais l’aspirateur dans le salon. Je n’avais jamais fait cela tout nu !Il y avait du café chaud et des tasses dans la cuisine, et je dû servir mes 3 reines, puis attendre, debout près d’elles, qu’elles me donnent un autre ordre. J’étais sous le charme, et, en plus, j’avais très envie d’elles. J’avais une vue splendide sur leurs jambes.Elles discutaient à mon sujet, et parlaient aussi d’autres hommes qui étaient venus auparavant, et qu’elles avaient testés. Mais les deux copines d’Annie n’avaient pas pour mission de rester, et elles prirent congé après le café. J’étais déçu.Je suis resté seul avec Annie, qui, après avoir dénoué le foulard autour de mon sexe, me fit allonger sur une serviette de bain épaisse, à même le sol, sur le ventre. Elle s’agenouilla près de moi, et je sentis le contact frais d’un liquide, très odorant, c’était de l’huile parfumée. Elle la faisait couler entre mes fesses et sur mon dos. Elle commença un délicieux massage, des jambes aux épaules, en passant par les fesses, le périnée, les testicules, le pénis. J’avais tourné ma tête du côté de ma masseuse, ce qui me permettait de voir, de temps à autre, ses jolies jambes gainées de bas, et le haut de ses cuisses. Je découvris ainsi qu’elle ne portait pas de sous-vêtements, et qu’elle était totalement épilée. Hum, quel délice si elle me permettait de venir la butiner !Mais pour l’instant, je savourais ce massage si sensuel. Elle me fit me retourner, et, sur le dos, je lui offrais la vision d’un homme en érection totale. Elle me huila le corps de nouveau, et quand ses mains se mirent à pétrir mon sexe, je sentis une délicieuse sensation de volupté, mes cuisses et mes fesses se soulevaient, comme pour inviter à d’autres caresses. Cela ne se fit pas attendre, car un doigt vint tourner autour de mon anus, puis la caresse se fit plus appuyée, et, comme je gémissait de plaisir, Annie enfonça son doigt dans mon anus, au plus profond qu’elle pouvait, puis je sentis deux doigts. Ma main glissa sur son genou, le doux contact de ses bas m’excitait encore plus, ma main remonta lentement le long de ses cuisses, elle ne protestait pas, et je fus bientôt arrivé plus haut que ses bas, sa peau était douce, je lui caressait les fesses et son minou doux comme un pétale de fleur.Elle avait remplacé ses doigts par un gode, qu’elle avait près d’elle. Il était gros, mais bien huilé, en métal, il me donnait du plaisir, elle le faisait aller et venir, et parfois, elle me l’enfonçait à fond, tout en me titillant le gland avec sa langue. Une experte…Tout en me sodomisant, elle vint m’enfourcher pour se placer à genoux, à califourchon au-dessus de mon visage. J’avais une vue magnifique sur ses cuisses, ses bas, ses fesses, son sexe. Je saisis vite ses cuisses pour la rapprocher de mon visage, et pour qu’elle pose son minou sur ma bouche. Je l’ai sucée, caressée, dévorée, jusqu’à la faire jouir très fort.Ensuite, elle me libéra du gode, me fit mette debout, et elle, à genoux devant moi, elle me fit une fellation fantastique, et me fit éjaculer sur son visage.Tout cela finit sous la douche…Cela valait vraiment le coup d’être esclave soumis pendant quelques temps, la récompense avait été délicieuse.Je revis cette femme plusieurs fois, pour faire l’amour, ainsi que ses deux copines, mais chacune séparément; mais là, c’est une autre histoire…