Je venais juste de sortir de la douche et de m’éponger quand la sonnette se mit à retentir. Mon premier étonnement passé, la raison de cette visite ne m’interpella pas plus longtemps quand me revint le souvenir du rendez-vous pris la veille pour la révision de la chaudière à gaz et de son ramonage annuel. Celle-ci n’avait pu être faite lors de leur premier passage dans la résidence au motif de notre absence ce jour-là , ma copine et moi. Je profitai de mon jour de repos pour m’acquitter de cette tâche, Sophie étant elle à son travail.L’empressement me fit oublier d’enfiler mon peignoir de bain et, ne trouvant pas mes chaussons, je dus me rabattre sur la première paire de chaussures qui se présenta à moi, à savoir, les sandalettes à talons hauts que mon amie prend l’habitude de porter depuis le retour des beaux jours dans notre région. Devant l’incongruité de ma tenue, j’eus un moment d’hésitation à me présenter ainsi auprès d’un parfait inconnu qui ne s’attendrait sûrement pas à me trouver nu pour le recevoir. Mais puisque le temps pressait et qu’il s’agissait très vraisemblablement d’un homme debout derrière cette porte, je ne devais pas m’inquiéter plus avant de son ressentiment devant ce qui devait lui rappeler à tout le moins, les douches collectives de ses années-foot. Il est vrai que le port de ces sandalettes devait me rendre légèrement plus effilé qu’à l’accoutumé, mais il était toujours temps de se confondre en excuses si cette personne venait à être surprise de ma nudité. C’est donc un peu fébrile que j’entrepris d’ouvrir ma porte. Et je fus cette fois-ci tout à fait décontenancé quand m’apparut sur le pallier, un type de stature imposante et nettement plus baraqué que moi. Lui-même un peu surpris, finit par me sourire en vérifiant sur la sonnette s’il s’agissait bien de la bonne adresse. Un peu confus et l’ayant reconnu comme le technicien attendu, je me mis vivement à présenter mes excuses pour m’être présenté à lui dans le plus simple appareil, et c’est non moins prestement que je lui donnai les quelques explications nécessaires afin d’achever de me dédouaner totalement.— Il est vrai qu’il m’arrive plus souvent de tomber sur des femmes en tenue légère que sur des hommes ! Me rétorqua-t-il.— Et pourtant, j’en ai les chaussures ! Lui répondis-je dans l’espoir de détendre l’atmosphère.Ne faisant plus cas semble-t-il de l’incident, il me demanda le chemin de la cuisine afin d’inspecter la chaudière. Je l’y conduisis en le devançant ce qui m’obligea une nouvelle fois à lui montrer l’autre facette de ma nudité. Mon embarras n’en finissait pas de s’accroître, et ce n’était pas mon déhanchement de plus en plus lascif (mon expérience des talons hauts était quand même très récente !), qui devait calmer mon émotion. Une fois arrivés, le mec me demanda force détails sur ma consommation, sur les éventuelles pannes et autres remarques significatives à propos de l’installation. Pendant que je les lui donnai, je remarquai ses yeux bleus et l’ensemble de son visage dont l’examen m’avait échappé jusqu’à présent, gêné que j’avais été dans ma posture grotesque. Il était donc de taille corpulente et me dépassait de 10 bons centimètres environ avec le teint d’un homme plus habitué des travaux de plein air que d’intérieur. Une certaine force athlétique émanait de sa physionomie ce qui n’était pas sans rappeler quelques-uns de mes profs de sport au bahut. Il devait avoir dans les 35- 37 ans et parlait d’une voix dynamique ponctuée de grands silences aphones. Ses cheveux bruns coupés plutôt courts encadraient une figure anguleuse dont les traits trahissaient certaines de ses origines méditerranéennes. Cette revue de détail me surprenait un peu de ma part, et je fus surpris qu’il arriva à me bercer malgré un discours quasi-hypnotique. Il détruisait une à une toutes mes velléités de fuite et je finis par me sentir complètement à l’aise en sa présence malgré ma posture indécente. Lui, de son côté, tout en me parlant, ne pouvait réprimer quelques coups d’œil en direction de mon pubis sombre qui, il faut le dire, tranchait violemment avec la pâleur de ma peau. Mais curieusement cela ne me dérangeait plus le moins du monde, et pour tout dire, j’y pris rapidement un certain plaisir malicieux qui n’en finissait pas de me surprendre moi-même. Il m’arriva même de décroiser les jambes afin certes, de me tenir plus à l’aise, mais ce fut surtout dans le but de laisser pendre complètement mes organes génitaux, les mettant bien en vue. Mon trouble grandissaitEtait-ce possible que cet homme me séduisait ?Je n’avais jamais eu auparavant le moindre sentiment pour le gente masculine et me définissais comme un hétéro convaincu. Mes conquêtes étaient exclusivement féminines et j’en retirais une entière satisfaction.Bientôt, je ne pus cacher plus longtemps mon état, car le frétillement de mon sexe devenait incontrôlable. Prétextant qu’il fallait vraiment que je me change, je m’en fus dans la chambre et le laissai vaquer à ses occupations. Une fois devant la glace, je contemplai mon corps et le carmin de mon visage, ne trompait pas quant à ma fébrilité croissante. Et là , à ma grande surprise, je me trouvai désirable. Le port de ces chaussures de femme me cambrait outrageusement les reins et rehaussait la finesse de mes jambes. Ma taille était presque féminine, et mes fesses avantageusement rebondies offraient un galbe provocant. Je me trouvai une sensualité jusqu’alors insoupçonnée, si ce n’est les remarques déjà flatteuses de ma copine à propos de mon « p’tit cul » qui pouvait même plaire à un mec. Me sentant hors de moi, et décidant de tout faire pour séduire cet homme, plutôt que de reprendre mes vêtements habituels, je laçai nerveusement les boucles de mes sandalettes ; rectifiai ma coiffure pour lui donner plus de volume, comme aurait pu faire une femme, et m’aspergeai du parfum de Sophie sous les aisselles et dans la raie des fesses. Je m’arrêtai quelques instants prenant conscience de la gravité de mes actes ; mais le mal était fait ! Je voulais à tout prix me faire ce mec. Il m’avait tourné les sens et avait révélé chez moi, des phantasmes refoulés.Prenant mon courage à deux mains, je retournai dans la cuisine toujours totalement nu, et sûr de l’effet que cela allait produire sur lui, j’adoptai une démarche définitivement chaloupée et m’évertuai à faire le plus de bruit possible avec mes talons. En me voyant arriver ainsi, le technicien eut un mouvement de surprise et ne sut pas sur le moment comment réagir. C’est moi qui pris les devants :— Il fait vraiment chaud, vous ne trouvez pas ?’— Encore plus à travailler ! Répondit-il.Mais il ne pouvait être dupe, car mon sexe était complètement tendu et frémissait au moindre mouvement de mes hanches, ce qui ne lui échappa pas du reste. Désormais, son regard avait tout le loisir de s’attarder sur mon pénis avec mon total assentiment, et ne s’en privait pas. Voyant qu’il se prenait au jeu, et faisant mine de devoir chercher quelque chose dans le tiroir le plus bas, j’offris à sa vue ma croupe exagérément bombée tout en gardant mes jambes le plus droit possible afin de ne lui cacher aucune zone de mon entre-fesse. Ce faisant, je l’imaginai me reluquant de haut en bas, rassuré de la relative impunité que lui conférait sa position excentrée actuelle. Evidemment, je parus dépité de n’avoir pu trouver ce que je voulais et lui en fis la remarque, meublant ainsi les inévitables temps morts qu’une situation comme celle-ci devait tout naturellement produire.— Finalement, ces talons vous vont à merveille ! Me lança-t-il à la dérobade.— Qui l’aurait cru ?Il me draguait, c’était évident ! Ne voyant plus aucune échappatoire, je me lançai sans retenue dans ses bras. Il m’accueillit avec fougue et se jeta langoureusement sur mes lèvres déjà entrouvertes et désireuses d’en découdre avec sa langue. Il me serrait fort et pour la première fois de ma vie je peux dire que je me suis senti femme, quand il m’enserra la taille de ses larges mains et qu’il fouailla le fond de ma gorge cherchant par-là à goûter mes sucs les plus intimes, et m’offrant le plaisir de divers jeux de langue tout en circonvolutions. Je jouais l’amoureux transit plein des odeurs de son amant, et devenait presque languissant quand celui-ci venait à me laisser ne serait-ce que quelques instants la bouche vide de tout baiser. Ses mains baladeuses échouèrent pour y rester presque définitivement, sur mes fesses, et n’en finirent pas de me les malaxer, de me les pétrir sans ménagement, me les claquant parfois comme si j’étais devenu son objet sexuel. Ces sensations nouvelles pour moi achevaient de me livrer complètement aux assauts de ce type dont les manières brutales me comblaient de bonheur. Au bout d’un moment, j’entrepris de lui défaire sa chemise et commençai à dégrafer son pantalon pour enfin le toucher là où je sentais darder depuis un moment son phallus en pleine érection. Son torse athlétique et luisant de sueur, ainsi que son slip moulant à merveille ses attributs virils me firent le plus grand effet. Je devenais sensible aux odeurs de rut, avec une acuité sans précédent chez moi, et je pus me rendre compte sur « pièce » de l’intérêt que me portait également mon amant. Son sexe avait prit des proportions que je ne soupçonnais pas sous l’étoffe de son pantalon. Il me plaqua de nouveau contre lui et je pus sentir le contact de son membre contre le mien. Délaissant ma bouche, il prit l’initiative de me sucer les mamelons pour me les rendre durs et douloureux comme j’avais pu le voir faire par certains acteurs pornos à propos de femmes très peu farouches. Sa langue passait et repassait sans discontinuer autour de mes aréoles me les rendant presque douloureuses à force d’insistance.Mais mon désir était ailleurs pour l’instant, car il me tardait de goûter au plaisir défendu de la fellation. Je voulais le prendre entièrement dans ma bouche connaissant le plaisir infini d’une « pipe », et tenant absolument à combler mon homme de toutes les attentions qu’une femme est en droit de lui fournir. Frénétiquement, je me mis à la hauteur de son sexe et descendis son slip sur ses genoux. Le spectacle de sa verge me laissa pantois. Libérée de toute contrainte, cette dernière me mit dans un état second ; Elle était de taille impressionnante, large, et touchait le nombril dans sa partie inférieure. Je me décidai à le « gober » tout en lui branlant la hampe de ma main entière pour lui procurer un maximum de sensations à la fois. Ma langue lui caressait le pourtour du gland et d’inévitables bruits de succion accompagnaient les divers léchages que je lui administrais. Par un phénomène de projection cher à nos psychanalystes, je pressentais ce que ressentait le type pendant que je le suçais, rendant ainsi plus efficace ma technique.Ses râles succédaient aux gémissements. L’intensité de mes mouvements de bouche lui faisait fermer plusieurs fois les yeux tout en m’accompagnant du bassin quand il cherchait à se rapprocher du fond de ma gorge. Mes doigts lui caressaient les bourses et s’attardaient le long du périnée pour lui titiller la rosette pleine de ses senteurs. Je mettais ensuite mes doigts à la bouche pour mieux goûter ces saveurs intimes comme s’il s’agissait d’un fruit défendu et dont le secret m’avait été longtemps caché. Des filets de bave serpentaient le long de son chibre et son méat était également recouvert d’une salive que mon désir ardent avait rendue visqueuse.Sentant qu’il n’allait pas tarder à décharger, il se recula vivement en me demandant de patienter car il avait d’autres intentions pour moi. Joignant le geste à la parole, il m’enserra le bassin et me fit pivoter, dos à lui. Je sentis tout-à -coup sa main ferme glisser lentement dans la raie puis insister doucement sur l’entrée de mon anus qui à chaque mouvement circulaire s’ouvrait de manière inattendue. Ce contact bien qu’inconnu, me fit chavirer et me cambrant encore davantage, je lui permis de me pénétrer plus avant dans mon fondement laissant le plaisir me ravager. Cette fois-ci, c’était à moi de geindre et de me tortiller. Quand sa bouche prit enfin le relais dans mon sillon, celle-ci se fit plus méthodique et s’attarda tout le long de mon entre-fesses pour finir par me masser le trou avec la pointe et afin d’y laisser quelques grammes de salive pour bien humecter l’orifice. Avec sa main, mon amant ne manquait pas d’introduire un doigt puis deux dans mon conduit ce qui lui fut facile après quelques minutes de ce traitement. Il continuait de claquer mes fesses et les caressait avec toujours le même empressement.Soudain, le contact fut tout autre et sa bite vint maladroitement cogner contre le galbe de mon cul, puis arriva à se positionner dans ma raie avec beaucoup de précaution aidée en cela par les manœuvres expertes du technicien. Il voulait me prendre en levrette, mes mains posées sur le rebord de l’évier dans une position très sexy qui lui laissait l’initiative dans la sodomie. Je le désirais au plus profond de moi et c’est tout naturellement que j’acceptai tacitement qu’il me déflora l’anus après l’avoir fait avec ma bouche. Son gland força le passage de ma rosette, qui ne se laissa pas violer aisément, toute étroite d’une première fois, et céda d’un coup quand l’anneau ne fut plus en mesure de soutenir la pression. J’eus peur de m’être fait mal et c’est tout sanguinolent que je m’imaginai à ce moment là de nos ébats. Une délicieuse sensation me rassura vite et une chaleur m’emplit le ventre dans ses moindres recoins jusqu’à balayer mes dernières réticences. Il entama son mouvement de va-et-vient, d’abord doucement puis de plus en plus rapidement, et j’accordai mon balancement avec le sien pour que l’harmonie de nos deux corps fut parfaite. Sa queue était chaude et me remplissait entièrement le conduit anal. Je fus surpris du peu de résistance qu’offrait mon rectum au coulissement de cet intrus qui n’aurait jamais du s’y trouver en temps normal. Son vit me déchirait la muqueuse et ses façons cavalières faisaient qu’il touchait presque systématiquement le fond de ma grotte intestinale. Je fondais littéralement sous ses coups de boutoir répétés. Je crois que j’aurais pu jouir sans autre intervention que son sexe me ramonant le cul. Ma verge bandée mais mole, naviguait de gauche à droite entre mes jambes ; Je sentais ses testicules venir rebondir contre mes fesses à chacun de ses mouvements et ses mains m’agripper plus fort encore, la chute des reins. Pour achever de me rendre fou, il se retirait de temps en temps pour aussitôt m’enculer derechef, et ainsi plusieurs fois d’affilé, ne me laissant aucun répit entre chaque vague.La fin était proche car ses mouvements se firent plus brutaux et son langage devint ordurier alors que toute courtoisie avait jusqu’à présent présidé à nos ébats :C’était des : « tu aimes ma grosse queue, hein ! »-« J’adore ton cul ! Il me rend dingue sale pute ! ».Moi-même, perdant toute retenue également j’en vins à lui rétorquer que j’étais sa « salope », que je ne désirais être que sa chose et qu’il pouvait faire ce que bon lui semblait de mon corps. À ces mots, il ne pus plus se retenir et éjacula dans mon anus éteignant du même coup le feu qu’il avait su si bien allumer. En se retirant, des jets continuèrent à jaillir de sa verge et s’écrasèrent contre les flans de mes fesses. Je me mis à les y étaler avec avidité déposant ainsi un peu de sperme sur l’orifice béant de mon trou du cul et finis par me lécher goulûment, bien en vue du type, chacun des doigts qui avaient trempé dans ce nectar.En partant, j’embrassai le mec à pleine bouche signifiant ainsi que notre prochaine rencontre restait à définir et que de nombreux problèmes de chaudière devaient naître de cette première visite.