Je m’appelle Sexyelfes voici l’histoire de ma vie 10
Enfin le week-end j’adore sortir me changer les idĂ©es voyager rencontrer de nouveaux hommes j’aime ma vie .
Depuis que j’ai mis le site en place je n’aie plus un moment Ă moi entre les sorties en boite et les visites coquines je suis loin de me lasser
Proposée le 13/01/2021 par sexyelfes Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Nympho, vicieusePersonnages: FHLieu: InclassableType: Histoire vraie
La semaine qui suivit fut relativement calme, la routine. RĂ©pondre aux courriers du site me prenait trois bonnes heures par jour. Parfois il fallait user de psychologie vu les rĂ©ponses… Je reçois le courrier d’un fan du site me proposant de sortir vendredi dans une boĂ®te de nuit de Montauban. Je suis immĂ©diatement sĂ©duite par cette idĂ©e.? Nous sommes vendredi en fin d’après-midi, suite Ă un apĂ©ro très agrĂ©able offert par des clients du bar. Je suis toute Ă©moustillĂ©e Ă force de sentir le frĂ´lement des mains sur mon corps. Ils essayent d’être discrets mais ça ne m’empĂŞche pas de ressentir leur dĂ©sir. Tout cela me rend d’humeur coquine. Je m’habille d’une mini robe noire très dĂ©colletĂ©e, fendue sur le cĂ´tĂ© d’une cuisse, dĂ©voilant mes bas et dĂ©gageant gĂ©nĂ©reusement la jambe jusqu’à l’aine. Une paire de bottes Ă talons hauts complète ma tenue. J’ai jetĂ© un manteau sur mes Ă©paules. En arrivant dans l’établissement qui nous accueille, je le dĂ©pose au vestiaire. De nombreuses personnes me suivent du regard lors de ma descente vers la salle principale. Après avoir bu quelques verres au bar, une musique envoĂ»tante me pousse vers la piste. Il y a plus de spectateurs que de danseurs. Plusieurs jeunes hommes se rapprochent de moi. J’aime cet instant-lĂ . Je laisse le bas de ma robe remontĂ©. Leurs regards me font couler de dĂ©sir. L’un d’eux s’enhardit. Je le laisse faire. Il se colle Ă mon corps en dansant. Ses mains ne tardent pas Ă courir sur mes hanches. Devant mon muet consentement, il s’aventure Ă passer une main dans la profonde encolure de la robe. Ses doigts courent sur mes seins qui se tendent sous la caresse. La main baladeuse descend le long de mon dos nu et cajole mes fesses. Je suis liquĂ©fiĂ©e, sans rĂ©actions. Je me laisse aller totalement au divin plaisir d’être pelotĂ©e. Des doigts glissent sous mon vĂŞtement que l’on relève jusqu’au bas de mon ventre. Ils s’insinuent entre les lèvres humides et grandes ouvertes de mon sexe. C’est merveilleux ! J’adore !? La danse terminĂ©e, il m’entraĂ®ne dans un coin du bar et me prĂ©sente plusieurs de ses copains. GĂ©nĂ©reux, ils m’offrent Ă boire Ă plusieurs reprises. L’alcool et les attouchements me font perdre la tĂŞte. Je ne sais plus oĂą j’en suis. Ma robe est remontĂ©e sur mes hanches. Ils abaissent les bretelles : j’ai les seins et le sexe Ă l’air. Je trouve très agrĂ©able toutes ces mains qui caressent mon corps. Ils me branlent Ă toute vitesse. Je jouis entre leurs bras. Mon extase est telle que je suis complètement vidĂ©e, sans rĂ©action. Au moment de partir, mon mari me demande d’aller dans les toilettes retirer ma robe pour partir dĂ©nudĂ©e sous le manteau. Je m’exĂ©cute avec joie et lui jette mon vĂŞtement superflu dans les bras. Une fois Ă l’extĂ©rieur, j’ouvre en grand mon manteau. De nombreux spectateurs prĂ©sents m’applaudissent en riant ! Rien que du bonheur ! La semaine suivante je suis contactĂ©e par plusieurs hommes dĂ©sirant organiser une soirĂ©e Ă Cahors, situĂ©e Ă cent cinquante kilomètres environ de la maison. Le jour venu je m’habille selon leurs souhaits et prends la route, vĂŞtue d’un long manteau en voile blanc intĂ©gralement ouvert sur ma poitrine dĂ©nudĂ©e. Je remonte mon vĂŞtement sur mes hanches avant de m’asseoir dans la voiture conduite par mon cher mari. Mon sexe coule sur le cuir du siège passager, partagĂ©e entre le plaisir et un peu d’apprĂ©hension.. J’ignore pratiquement tout du dĂ©roulement de la soirĂ©e. Seul mon mari en connaĂ®t le programme. Il sait que j’aime parfois avoir la surprise des Ă©vĂ©nements Ă venir. Je lui laisse le soin d’affiner ces rencontres. Sur l’aire de repos, après le pĂ©age, j’effectue brièvement quelques pas pour me dĂ©gourdir. Le vent et l’absence de fermeture de mon manteau exhibent ma nuditĂ© aux regards de camionneurs et d’automobilistes. Le spectacle que je leur offre gĂ©nère de nombreux coups de klaxons. La nuit tombe quand je pĂ©nètre dans le hall d’exposition d’une enseigne nationale. Un jeune homme prĂ©venant me guide et me demande d’Ă©carter largement les pans de mon manteau. Il m’introduit dans une salle de rĂ©union oĂą un apĂ©ritif dĂ®natoire est servi. Plusieurs hommes me dĂ©taillent lors de mon entrĂ©e. Je sens ma mouille couler le long des cuisses ! Quelques verres plus tard, les prĂ©sentations faites, ils dĂ©cident de me prendre en photo dans un garage, auprès d’un vĂ©hicule sympa. Je m’exĂ©cute avec plaisir. Je prends toutes les poses demandĂ©es. Nue, allongĂ©e Ă mĂŞme le sol, je rampe, couverte de poussière, d’un sexe Ă l’autre. Je sens leurs mains courir sur mon corps. De belles queues me pĂ©nètrent les unes après les autres. Je me sens chienne. J’aime ĂŞtre prise bestialement. J’adore et je jouis. Une fois de retour dans la salle de rĂ©union, nous prenons un rafraĂ®chissement. En riant, ils dĂ©cident de me faire visiter leur ville. Elle est, soi-disant, si belle la nuit… Il est plus de deux heures du matin. Nous voilĂ partis dans la nuit. Je suis nue sur le siège arrière de la voiture. Mes jambes largement Ă©cartĂ©es reposent sur les genoux de mes voisins. Une main appuie rapidement sur ma tĂŞte pour m’attirer. J’ouvre la bouche. Un superbe sexe s’insinue entre mes lèvres. Des mains agrippent mes cheveux pour m’imposer un rythme rapide de fellation. La queue se raidit et explose. Elle dĂ©verse abondamment dans ma bouche des giclĂ©es d’un jus Ă©pais et dĂ©licieux. Quelle est belle cette ville ! La voiture s’arrĂŞte Ă proximitĂ© d’un grand pont situĂ© en plein centre, dĂ©sert Ă cette heure-lĂ . Ils dĂ©cident de me le faire traverser Ă pied. C’est donc toute nue que je fais l’aller et le retour. CoincĂ©e dans un renfoncement du parapet, je les suce tous, les uns après les autres. Tous Ă©jaculent dans ma bouche et sur mon visage. Un rĂ©gal ! La sonnerie d’un tĂ©lĂ©phone portable retentit. Suite Ă cet appel reçu, ils dĂ©cident de finir la soirĂ©e chez un de leurs amis qui tient un pub, normalement fermĂ© Ă cette heure-ci.? Le vĂ©hicule garĂ©, totalement nue et la figure pleine de sperme, je descends une partie de l’avenue sous les regards Ă©bahis de plusieurs personnes sortant de boĂ®te. Le patron du pub nous accueille chaleureusement. Pour l’occasion, il dĂ©bouche quelques bouteilles de champagne. Les esprits s’Ă©chauffent Ă nouveau. Je me laisse aller Ă leurs dĂ©lires. Ils disposent une bouteille sur le sol et m’empalent sur celle-ci. J’y prends un Ă©norme plaisir…? Toutes les parties de mon anatomie sont fouillĂ©es et dĂ©foncĂ©es. Ils me couvrent le corps de chantilly et me massent avec cette crème. Je ressens une Ă©norme jouissance quand tout en me branlant, ils introduisent la canule de la bombe glacĂ©e dans mon anus et la vident. Quelle pression ! Ils finissent la soirĂ©e en vidant une bouteille de champagne sur mon corps souillĂ© ! Le retour Ă la routine de la semaine n’est pas toujours facile après les week-ends de dĂ©bauche. La vie reprend ses droits. Me concernant, la routine est parfois agrĂ©mentĂ©e de surprises. J’étais en train de faire des courses dans un supermarchĂ©, vĂŞtue uniquement d’un long manteau accompagnĂ© de cuissardes. Je remarquai Ă plusieurs reprises un petit groupe d’ado que je croisais un peu trop frĂ©quemment dans des rayons oĂą ils n’auraient jamais dĂ» se trouver. Ayant entendue quelques bribes de conversation me concernant je me rapprochai du groupe. L’un d’eux s’avança vers moi en me demandant si c’était bien moi Sexyelfes. Je rĂ©pondis par l’affirmative. Ils en Ă©taient tout heureux et me fĂ©licitaient Ă plusieurs reprises de ces superbes photos qui les faisaient tous rĂŞver. Ils me demandèrent alors si j’étais habillĂ©e comme je le marquais sur le site. Je regardais avec un petit sourire ces coquins en herbe. Puis j’ouvris en grand mon manteau, m’exhibant nue devant eux. Ils n’en revenaient pas et prirent de nombreuses photos avec leurs tĂ©lĂ©phones. Parfois il en faut de peu pour rendre les gens heureux © Copyright : Ce rĂ©cit comme tous les autres sont protĂ©gĂ©s par le Code de PropriĂ©tĂ© Intellectuelle.
Laisser une note/commentaire (ou bien faire un signalement)Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protĂ©ger les oeuvres littĂ©raires de nos auteurs.Cette page est destinĂ©e Ă ĂŞtre consultĂ©e en ligne et ne peut pas ĂŞtre imprimĂ©e ou copiĂ©e.© Copyright : Ce rĂ©cit comme tous les autres sont protĂ©gĂ©s par le Code de PropriĂ©tĂ© Intellectuelle. Un nombre important d’auteurs nous ont donnĂ© l’exclusivitĂ© totale de leurs textes.
Fermer définitivement
L’activation des cookies et de javascript est nĂ©cessaire Ă son bon fonctionnement.
Suite à des abus avec les notes, nous avons apporté quelques modifications à celui-ci pour plus de partialité envers les auteurs qui sont très sensibles à ce que vous pensez de leurs histoires érotiques.
La nouvelle version a pour but d’Ă©viter au maximum les abus inhĂ©rents Ă la notation des rĂ©cits coquins, et donc des auteurs (les votes multiples par exemple).
Il sera maintenant impossible de noter plus d’une fois la mĂŞme histoire Ă©rotique.
Les notes attribuĂ©es Ă la volĂ©e pour un mĂŞme auteur (qu’elles soient bonnes ou mauvaises) seront modĂ©rĂ©es.
Commentaires de l’histoire :
Voir les autres récits érotiques de cet auteur ou bien pour le contacter par email
Histoires Ă©rotiques choisies :
Je m’appelle Sexyelfes voici l’histoire de ma vie 7
Je m’appelle Sexyelfes voici l’histoire de ma vie 8
Je m’appelle Sexyelfes voici l’histoire de ma vie 3
Je m’appelle Sexyelfes voici l’histoire de ma vie 9
Je m’appelle Sexyelfes voici l’histoire de ma vie 6