Bonjour,
J’ai toujours été fascinée par les expériences urologiques. Pendant le premier confinement, je me suis mise à lire des histoires de femmes pisseuses. Je suis tombée sur ce blog et j’ai découvert que Lucie était fan également de cette pratique. Même si elle m’a dit avoir sacrément ralenti l’activité suite au confinement et la proximité avec sa famille, je sais que c’est quelque chose qui lui tient à cœur. Je me suis permis de la contacter et on a beaucoup discuté toutes les deux par mail, puis par téléphone et visio. C’est une femme adorable et je la remercie vraiment d’avoir pris ce temps pour me conseiller sur la pratique du pissing.
Je suis célibataire. Alors j’ai commencé à m’entraîner toute seule. C’est très excitant ! Lorsque quelque chose est nouveau en matière de sexe, ça devient tout de suite grisant. Personnellement, j’ai l’habitude de faire pipi aux toilettes ou alors dans la nature. Là, je me suis mise nue sur le lit les cuisses écartées avec une petite serviette. Je me suis concentrée et j’essayais d’uriner. Et bien ce n’est pas si facile que ça ! Parce que ce n’est pas naturel. Alors j’ai fermé les yeux, j’ai commencé à me caresser les seins et le clitoris. J’ai écarté mes lèvres pour libérer mon urètre et j’ai poussé. J’ai senti ma vessie se relâcher et les premières gouttes de pluie dorée venir. Mon cœur s’est emballé j’ai beaucoup apprécié.
La fois suivante, je me suis installée dans la baignoire. J’ai une baignoire d’angle ce qui m’a permis de me mettre avec les fesses en l’air et les jambes repliées sur moi. Je vous laisse imaginer comment ç’a été facile de faire comprendre à mon cerveau que j’avais envie de faire pipi ! Mais j’ai réussi à y parvenir. Et là, j’ai relâché beaucoup d’urine et j’ai eu une très grosse sensation qui m’a obligée à me masturber ensuite pour jouir. Je me faisais pipi dessus et je sentais toute cette chaleur recouvrir mon corps. C’était très excitant. Il y en a un peu qui a atterri dans ma bouche et sur mon visage ce qui m’a transcendée !
Aujourd’hui, j’arrive à contrôler ma vessie. J’arrive à faire des jets et les arrêter. J’arrive à viser aussi ! Alors je me suis mise en quête de partenaires de jeux humides. On dit que quand on cherche on trouve, mais ce n’est pas si facile que ça. Je me suis pris beaucoup de râteaux sur les réseaux sociaux et sur les sites de rencontres traditionnelles. Et puis Lucie m’a fait passer une liste d’e-mails de personnes à contacter pour ce genre de choses. Je ne me suis pas posé la question, j’ai fait un envoi de masse. Le problème, c’est que tous les mecs étaient intéressés, mais qu’il y en avait seulement peu qui se trouvait à proximité de chez moi dans le centre.
J’ai réussi à organiser un plan sexe uro avec un mec qui comme moi venait d’être testé négatif à la covid19. On en a profité et finalement, on a plus passé de temps à jouer avec le « champagne » comme les habitués appellent ça, qu’à faire du sexe à proprement parler. Mais qu’est-ce que c’était bon ! Je lui ai pissé sur le visage et dans la bouche, il m’a nettoyée après hummm. Puis je lui ai uriné sur la bite pendant qu’il se branlait. Il a également uriné sur moi, on s’est éclatés tous les deux et on est restés en contact pour recommencer régulièrement.
Aujourd’hui, je ne conçois plus de rapports sexuels sans vider ma vessie sur mon partenaire. Lorsque je regarde quelques scènes X sur Internet, j’attends toujours le moment où la fille va pisser sur le gars. Et comme ça n’arrive pas sauf dans les vidéos du genre, je suis frustrée et déçue.
Il y a des amateurs d’Uro sur le blog ? On peut en discuter si ça vous intéresse.
Gros bisous
Natacha
