Bonjour les collègues virtuels,
Je me suis dit que depuis que je lis les histoires taboues sur le blog, je me devais bien en retour de vous parler de la folle aventure que je vis avec un groupe de mamies ultras chaudes. J’ai conscience d’être un privilégié et je vais essayer de vous retranscrire au mieux la façon dont je ressens les choses avec elles.
Je vous fais le raccourci sur les rencontres préliminaires qui nous ont menés à créer ce groupe intergénérationnel. Je suis technicien informatique, j’ai 28 ans et je vis dans la région de St-Etienne. J’ai ma propre entreprise de dépannage et je me déplace selon les besoins des clients. Ce jour-là, je me rends chez une mamie pour un problème de webcam. Une fois sur place, j’ai été surpris de voir que la maie en question, 65 ans, était une belle femme très sexy qui semblait bien coquine par sa tenue. Elle m’explique que son problème et très important, car elle fait des liveshows avec des jeunots sur internet. Au début, je crois à une blague, mais pas du tout. Mamie me fait du rentre-dedans et me colle la main au paquet. C’est pour la dédommager du préjudice de sa visio ratée de la veille.
Elle m’explique tout. Elle me dit qu’elle a cerné mon personnage et qu’elle a tout de suite vu mon « potentiel ». Elles sont plusieurs copines à avoir une libido exacerbée. Elles se sont rencontrées sur un salon privé et sont devenues de bonnes copines. Moyenne d’âge… 65 ans. Elle m’a demandé de revenir ce soir chez elle à 21 h. Je suis reparti tellement abasourdi par la situation, que j’ai oublié de facturer la mamie ! célibataire et curieux de nature, je décide de revenir et de voir de quoi il retourne.
21 h, je sonne. Mamie m’ouvre. Elle est dans une tenue très sexy qui est en fait de la lingerie. Elle me fait entrer dans le salon et là… je découvre quatre femmes plus que mûres en sous-vêtements en train de boire un verre devant un film porno son coupé. Les mains sont baladeuses et les regards coquins. Mamie me présente aux copines et toutes se lèvent pour venir me tourner autour. Sans que je comprenne comment, je me retrouve en caleçon au milieu des vieilles qui me font asseoir sur le canapé entre elles avec un verre d’alcool dans la main. Les femmes discutent entre elles et mamie vient s’asseoir à côté de moi. Pour avoir toute mon attention, elle pose sa main sur ma jambe et glisse sa main sou mon caleçon. Elle me malaxe le paquet et me dit que j’ai fait l’unanimité auprès des autres femmes et qu’elles ont quelque chose à me proposer. Être leur toyboy une fois par semaine.
Un truc de dingue ! j’ai osé demander en quoi cela consistait et elles sont toutes venue autour de moi, derrière moi et sur moi ! ce sont des femmes vieilles, grasses et aux seins en dépôt de bilan. Mais j’ai une putain de trique ! Mamie me retire mon caleçon et déballe ma queue aux yeux de toutes ces femmes. Les mains se baladent sur mon corps, ma tête, mon sexe et mes couilles. Au moment où je tourne la tête pour regarder une femme aux gros seins, je sens de la chaleur sur ma bite. Mamie me taille une pipe. Une autre vieille me mange un téton, l’autre téton est mordillé par une autre bouche. Une touffe velue vient se coller debout devant moi et se frotte sur mon visage. Ça sent pas la rose ! Mais je bande comme un porc et je deviens cochon comme jamais. J’ai des pensées lubriques très sales et inavouables.
Ma queue est libérée de ces bouches et dentiers gourmands pour être engloutie par une première vulve de 70 ans. Cette femme me tourne le dos et se ramone la chatte sur ma queue tendue à fond et qui me fait mal. Les copines lui écartent bien les fesses pour que je voie son anus qui bâille. J’aurais pu y mettre trois doigts sans forcer. « Gladys aime le sexe anal et les gros calibres dans son cul. Tu veux enculer la doyenne ? »
Je ne répondais pas. Mamie dégagea la queue du fourreau moite de Gladys pour prendre ma bite en bouche et lécher les traces blanchâtres et coulantes. Non ce n’est pas mon sperme, mais les sécrétions antiques de Gladys. Deux autres vieilles se caressent et se lèchent face à moi en me mangeant du regard. « On veut que tu nous prennes aussi mon chou ».
J’étais parti pour faire court et je vois que je revis ce moment. Je vais devoir m’arrêter là. Si ça vous plait, je vous ferai la suite, mais je dois d’abord me branler pour me soulager parce que là, j’en peux plus !