Jeux de l’après-midiArrivé au bas de l’immeuble, j’ai sonné. J’ai prononcé le mot de passe. Comme indiqué dans son mail, j’ai pris l’ascenseur sur ma gauche, quatrième étage, la porte de droite sur le palier. Elle est entrouverte, je pousse, je referme. Un petit couloir, une nouvelle porte.Elle est debout au milieu de son salon. En robe, les bras le long du corps. Elle a un foulard sur les yeux, ce qui n’était pas prévu. Peut-être veut-elle se protéger, échapper à mon regard.Je m’approche, tourne autour d’elle, la regarde. Elle est brune, les cheveux plus courts que sur la photo du site, mesure à peu près 1 m65/70. Elle porte les vêtements décrits lors de nos échanges. Des chaussures noires à talons. Des bas, je pense ; mais sa robe s’arrête au-dessus du genou. Ses bras sont nus, une longue étole est posée sur ses épaules.Elle paraît mieux foutue qu’elle ne me l’a écrit, sa robe, sans être près du corps, met en valeur ses fesses et ses seins.Je pose ma main sur son avant-bras, elle a un frisson. Je m’éloigne d’elle, déplace trois lampes et dirige les faisceaux sur elle. Il y a un halogène dans un coin, je l’approche et mets le variateur sur la position la plus forte. Elle est seule, au milieu de son salon, des projecteurs braqués sur elle.Je la regarde, m’approche, viens sentir ses cheveux. Je passe une main sur ses reins, elle se cambre. Je lui prends la taille. Je la sens tendue, elle aimerait que je la touche. Son bassin donne de petits coups, presque imperceptibles.Elle a des boucles d’oreille, je les lui retire. Je retarde le moment où mes attouchements seront vraiment sexuels, pour l’instant je veux juste la faire languir.Son appareil photo est sur la table basse. Je le prends, le démarre. Il y a quelques photos sur la carte. Comme promis, durant la journée, elle s’est photographiée, à chaque fois que la perspective de notre soirée l’a émoustillée.Il y a une série dans la salle de bain, cadrée sur son sexe, on la voit se toucher, se caresser puis se raser. Elle ne laisse qu’un ticket de métro, mais de ses lèvres à son cul, tout est lisse.Dans une autre, elle se met un plug dans le cul, il n’y a que deux photos. Sur la première, elle appuie le petit bout sur son anus. Sur la seconde, il est bien enfoncé dans son cul, ses doigts sont sur sa chatte. Plusieurs la montrent nue, dans la journée. Sur certaines, elle montre ses fesses, le plug toujours en place.Comme je le lui ai demandé, elle photographie deux beaux concombres. D’abord, sur la table puis dans sa chatte et son cul. Le plus gros était d’abord dans sa chatte puis sur les dernières, il a migré vers ses fesses. La dernière est impressionnante. Elle se tient accroupie, un concombre dans chaque trou. Ses cuisses semblent trempées de sa mouille.Je la photographie, seule, debout au milieu du salon. J’enlève le châle de ses épaules, lui attache les mains dans le dos. Nouvelle série de photos. J’attache le châle aux barreaux de l’escalier, elle a les bras levés. Offerte…Je lui caresse le ventre, les fesses. Je lui embrasse les aisselles, elles sentent encore la mousse à raser… Je lui mords doucement l’intérieur du bras, je laisse plusieurs marques de dents.Sa robe est attachée dans le dos par une fermeture éclair, je la descends. Puis la photographie à nouveau, les mains en l’air, la robe ouverte, le soutien-gorge lui barrant le dos. Je le défais lui aussi, puis finalement le rattache. Je défais le nœud d’une de ses mains, fais glisser sa robe, la rattache, puis l’autre épaule.Sa robe glisse jusqu’à la taille, je reste derrière elle. Et la mords. Elle se colle à moi. J’enlève mon tee-shirt pour mieux la sentir. Ma bouche est dans son cou, mon torse contre son dos. Je prends ses seins dans les mains. Ils sont gros. J’en sors un du bonnet, il est compressé par le vêtement. Je me glisse en face d’elle, veillant à toujours rester en contact avec son corps. J’embouche son téton.Dans ses mails, plusieurs fois, elle m’a dit qu’elle aimait avoir les seins « brutalisés », ce n’est pas trop mon truc… Mais je m’applique à lui faire mal… Pour son plaisir. Elle gémit, parfois elle a un mouvement de recul, mais immédiatement elle se tend vers moi.Je la photographie à nouveau, la robe à la taille, un sein hors de son soutien-gorge. Je le lui enlève, ses seins jaillissent, je les empaume et les malaxe. Parfois je la pince, j’aime sa manière de se plaindre tout en me donnant à nouveau son sein pour que je lui fasse mal.À nouveau des photos…De fines gouttes de sueur coulent entre ses seins, je les lèche, je lui lèche aussi les aisselles. Je lui enlève sa robe, elle m’aide à la faire glisser. Elle lève les pieds, je jette le vêtement sur le canapé.Elle est debout, en dim-up et en talons, un foulard sur les yeux, dans son salon.D’un geste un peu brusque, j’écarte ses cuisses, de la mouille coule de sa chatte. Elle ressert les jambes, d’un léger coup de genou, je les lui ouvre et la force à se cambrer. Par-derrière, j’empoigne ses fesses et l’oblige à les écarter. Nouvelle série de photos…Sans bruit, je m’approche et regarde son sexe ouvert, son trou du cul. Dès qu’elle resserre un peu, je lui mets une tape sur les fesses. Alors elle s’ouvre, je continue les photos, sa chatte est trempée.J’enfonce d’un coup deux doigts dans son con et tire vers l’arrière. Je crois qu’elle a joui. Je la force un peu à marcher, mes doigts en elle, si elle referme les cuisses, je les ouvre d’une petite claque. Ses mains attachées, son cul offert, mes doigts en elle l’obligent à se mouvoir bizarrement. De mes doigts, je la dirige, télécommande. J’essaye de la prendre en photo… Attention aux cadrages.Dos à elle, je lui retire son foulard, lui montre quelques-unes des photos, la tenant par les cheveux, puis remets le tissu.Je me déshabille. Je suis nu. Elle reste en bas et talons, comme elle le voulait dans ses courriers. Je me colle, je bande à m’en faire mal. Des gouttes coulent de mon gland. Je la touche avec, sur ses cuisses, sur ses fesses, son ventre…Je me glisse entre ses cuisses. Embrasse son pubis. Elle avance le bassin, pour que je la bouffe. Je prends ses lèvres entre les miennes, je tire, elle est trempée, je suis obligé de les maintenir fortement. Je les suce. Mon nez glisse sur son clito. Elle fait un bond en arrière et revient aussi vite me le coller dans la bouche.Je la détache, pour lui maintenir les mains dans le dos. Elle s’agenouille. Je passe ma bite sur ses joues, dans son cou. Lui tape sur les lèvres, elle essaye de me lécher le gland. Je lui prends la tête dans les mains. Elle me lèche la bite, sa langue passe de mon gland aux couilles. Elle me prend en bouche. Sa salive glisse le long de ma bite. Elle semble y prendre du plaisir, elle suce bien. Je lui enfonce ma bite au fond de la gorge. Elle hoquette, mais accepte de me prendre à fond.Je la baise par la bouche. Comme si c’était sa chatte ou son cul. Je lui maintiens la tête, ses lèvres sont serrées, sa langue glisse sur le gland. Je la baise dans les joues, dans la gorge. Ma bite déforme ses joues, ne pas voir son regard est très excitant, elle perd son rang de personne, elle n’est plus que mon sex-toy.Je m’installe dans le canapé, elle est à genoux devant moi. Elle pose ses mains sur mes cuisses, elle remonte vers ma bite en m’embrassant. Elle me lèche, de mes couilles à mon gland, elle alterne les mouvements, elle me pompe, me suce. Elle monte à tâtons sur le canapé, se place à genoux à ma droite. Recommence à me sucer. Ses seins pendent, ils sont gros, ils suivent le mouvement de sa pipe. Je lui caresse les cheveux. Elle s’attarde sur mon gland, je sens que je vais jouir, je me retiens encore. Puis finalement lui « jute » dans la bouche, l’obligeant à tout avaler. Quand j’ai fini d’éjaculer, elle lèche les coulées jusque sur mes couilles.Je l’embrasse, j’aime le goût et l’odeur de mon sperme dans sa bouche. Nos langues se mêlent.Je la force à s’asseoir et m’installe entre ses cuisses, ma langue la fouille, je lui mange la chatte, avec mes doigts, je tire sur ses lèvres, je plante à nouveau mes doigts dans son con et cherche son point G. J’ai de la mouille jusqu’aux sourcils. J’adore le goût de sa chatte. Elle est presque sucrée. Je pousse mes doigts le plus loin possible, elle sursaute, bouge essaye de me faire rentrer profondément. Je sens qu’elle va bientôt venir…Je me retire et regarde sa chatte, grande ouverte et baveuse. Elle a de petits mouvements du bassin, pour que je continue à la fouiller. J’attrape dans mon sac des capotes et du gel. Je la photographie, nue sur son canapé, offerte à mon regard et mes envies. Je lui demande de se prendre les seins, de s’ouvrir la chatte. Je la force à s’exhiber devant moi. Je lui demande de se mettre à genoux sur le canapé ; les seins écrasés sur le dossier. Les cuisses ouvertes. Le dos cambré. Le sexe et le cul offerts. Je continue mes photos, sous tous les angles. Je lui demande d’ouvrir ses fesses avec ses mains. Son visage est comprimé sur le dossier.Je commence à lui lécher le trou du cul, ma langue s’enfonce dans son trou. Il s’ouvre à ma caresse. Quand je m’éloigne, il reste ouvert quelques secondes. Je m’écarte et lui donne une tape sur la chatte. Discrètement, je dépose une grosse dose de gel sur ma main gauche et retourne lui bouffer le cul.De ma main droite, je recommence à la doigter, pose un peu de gel dans sa chatte. Si elle referme un peu trop les cuisses ou bouge trop, une petite tape sur son cul ou sur son con. Je vise le clito. Je ne tape pas fort, mais mes tapes sont sèches, cinglantes. Je ne cherche pas à lui faire mal, mais à la surprendre, à provoquer suffisamment de douleur pour l’exciter.Puis, j’approche ma main gauche de son con, elle est pleine de gel. Je n’ai presque pas à appuyer pour qu’elle s’enfonce jusqu’aux phalanges, je la retire, recommence, remets du gel. Si bien qu’au bout d’un moment, sa chatte m’avale, ma main est dans son sexe jusqu’au poignet. Je bouge, essaye de tout toucher à l’intérieur. Elle est crispée autour de ma main.Je la retire, remets du gel et la fist à nouveau. Mon bras est un pivot, je la laisse se baiser sur mon poing, elle donne des coups de hanches, bouge, tourne. Elle se cambre, cabre, se défonce le sexe. Elle mène la danse, ce n’est plus moi qui la baise, je suis devenu son sex-toy.Quand elle jouit, je sens sur ma main les parois de son sexe qui me serrent, qui me compriment. Ses mouvements sont désordonnés, elle n’est plus maîtresse de son corps, de sa bouche sort un long feulement, presque animal. Puis elle se calme. De son sexe sort de la mouille, du gel, le mélange de sa jouissance.Je retire ma main doucement, elle semble épuisée, mais conserve sa position. J’attrape l’appareil photo et prends des clichés de son sexe grand ouvert, de son visage aux yeux cachés, de sa bouche entrouverte.Je l’allonge sur le canapé, elle se laisse faire, éteinte. Je la masse doucement, son dos, ses épaules, je l’embrasse et la caresse. J’aime les plis… Je passe mon nez dans ses aisselles, dans le creux du genou. Je l’embrasse, la caresse. Elle est belle, détendue, abandonnée. Son souffle s’est calmé. Je continue mes caresses.Elle se redresse, me cherche à tâtons, vient dans mes bras. Nous nous embrassons, nous caressons, nous ne nous connaissons pas pourtant, nous sommes tendres, nous nous trouvons pour cet intermède. Elle garde son bandeau sur les yeux, je n’ai toujours pas vu son regard, elle ne me connaît toujours que sur les photos du site. Pourtant, nous nous abandonnons l’un à l’autre.Je bande toujours, je n’ai pas débandé depuis que je suis entré dans son appartement. Tout en nous embrassant, ses mains glissent vers mon sexe. Elle me masturbe doucement. Frotte son pubis et son clito sur ma bite. Elle tente de me rentrer en elle, mais je m’éloigne et mets une capote. Je m’assieds sur le canapé, elle me chevauche et place mon sexe à l’entrée de sa chatte. Comme elle est trempée, de mouille et de gel, je m’enfonce directement en elle, tout au fond, la sensation est extraordinaire. J’ai l’impression de ne jamais être allé aussi profondément dans une femme. Elle me sort entièrement, puis s’empale à nouveau, elle change les rythmes, j’ai ma tête entre ses seins, les touche, me cache, les embrasse.Mais je préfère reprendre le dessus… Je l’allonge sur le canapé et mets ses jambes sur mes épaules, je rentre à nouveau dans son con. Je la baise, alternant les rythmes, changeant le tempo, je fouille sa chatte, cherche à toucher les parois. Parfois, je reste juste à l’entrée, ne laissant que mon gland la pénétrer, parfois au contraire, je vais au plus profond, lui donnant de grands coups de reins, la soulevant entièrement avec ma bite, la forçant. Je cherche autant à la bourrer qu’à lui faire l’amour. Plusieurs fois, je suis obligé de sortir d’elle pour ne pas éjaculer.Puis je la mets en levrette. Encore une fois, je lui demande de s’ouvrir au maximum. Je récupère un peu de mouille et lui rentre un doigt dans le cul. Je la prépare, lors de nos échanges par mail, elle m’a avoué adorer la sodomie… Ça tombe bien. J’ai très envie de l’enculer. Je place mon gland à l’entrée de son cul et ne rentre que de quelques millimètres, je veux qu’elle me sente la mettre.Je m’enfonce, ressorts, à chaque fois son cul m’avale un peu plus. Une fois que mon gland est rentré, je m’attrape la bite et la remue dans son cul. Je fais de petits cercles pour lui agrandir le fion. Je n’ai pas besoin de gel, son trou se distend tout seul, au passage de ma bite. Puis je m’enfonce en elle, sans forcer mais aussi sans m’arrêter, pour aller plus profond encore, je la couche sur le côté et continue à avancer dans son cul.Plusieurs fois, je m’enfonce et me retire à chaque fois son cul reste ouvert, je pense aux photos et en prends une série, soit avec ma bite, soit juste son cul ouvert avec sa jambe en l’air.Elle me demande soudain de la défoncer, elle enchaîne des phrases crues pour me donner envie de la sauter, elle me dit qu’elle aime se faire enculer, que ma bite est grosse, qu’elle me sent au fond. Elle m’incite à la mettre de plus en plus fort, elle veut être déchirée, parfois je décuple et sans ménagement rentre à fond. Ma main part vers sa chatte, elle se branle quelques doigts réussissent à rentrer dans son vagin, je sens ma bite de l’autre côté de la paroi. La position n’est pas agréable mais la sensation est telle que j‘essaye de mettre ma main encore plus profond.Soudain elle jouit, cette fois-ci, elle fait du bruit !!!Je n’arrive pas à rester en elle. Alors je la regarde se calmer. Mais moi aussi j’ai envie de jouir, alors j’arrache la capote et lui plante ma bite dans la bouche, elle me suce vite, elle sent qu’il faut que je crache.Quand j’éjacule la sensation est énorme, elle sort ma bite de sa bouche, la place sur son visage puis sur ses seins. Une traînée de sperme lui coule sur la joue, je m’affale dans le canapé, elle étale ma jute sur ses seins. Puis toute poisseuse vient se coller à moi.Nous restons un bon moment allongés sur le canapé, j’ai même eu l’impression de m’endormir un peu. Nous sommes collés l’un à l’autre, parfois nous nous embrassons, parfois, restons juste à nous caresser. J’ai voulu lui enlever son foulard, mais elle m’a retenu.Finalement, c’est elle qui s’est endormie, je me suis levé, je me suis habillé et suis rentré chez moi. Quelques jours plus tard, j’ai reçu un mail… Me remerciant et me proposant de revenir… Avec un copain.