33 11Recit X : jeux de rôle partie 2 Corrigé et résumé par Dialogue69 le 17/12/2017Publié le 17/12/2017Bonjour à tout le monde,Je m’appelle Enrique, et je viens vous raconter un fantasme que j’ai assouvi le mois dernier et qui est un peu particulier. Je suis en couple avec Mylène depuis de nombreuses années, et nous pratiquons bon nombre de jeux sexuels, dont la plupart sont basés sur des jeux de rôles afin de sortir d’une éventuelle routine qui sonne souvent la fin du couple. Donc, souvenez-vous, j’ai commencé à vous raconter ce que Mylène m’avait préparé, tout d’abord cette tenue, ces dessous féminins qu’elle m’a demandé de porter, afin que ce soir, je me mette dans la peau d’une jeune fille soumise, chose qu’elle a pratiqué des tas de fois en ma compagnie. Nous avons donc commencé à faire l’amour, d’une manière inédite puisqu’elle jouait l’homme, un homme viril qui avait pris mon sexe en bouche, le suçant profondément et rapidement ; avant de me retourner. Et. De me sodomiser pour la première fois. La douleur a été intense, la demoiselle avait décidé de ne prendre aucun subterfuge pour me faire découvrir le plaisir anal. Son gode ceinture s’est donc enfoncé en moi de manière brutale, dévorant mes chairs et agrandissant le trou de mon anus pour son plus grand plaisir.
Me voilà donc, sur le ventre, essayant de camoufler mes larmes de douleur, et explorant un nouveau plaisir. Il se met donc à survenir, au bout de quelques longues minutes, je sens une chaleur partir de mon cul qui se répand en moi à chaque coup de boutoir de Mylène, cette chaleur explose en moi, et je ressens ainsi un plaisir inédit qui surpasse la douleur. C’est extraordinaire et totalement inexplicable, même si je vais essayer de vous le raconter, je jouis, je jouis intensément, mais sans éjaculer. Est-ce que cela vous est déjà arrivé ? Vous avez exactement la même sensation d’explosion, de laisser aller mais sans aucun jet de sperme. Je restai tétanisé sur le ventre, implorant Mylène d’arrêter de m’enculer, tant le plaisir était fort et puissant. Les minutes passaient et je ne parvenais toujours pas à redescendre. Mylène était descendue de mon cul, avait ôté son gode et en avait profité pour se déshabiller, ne laissant que son débardeur masculin qui lui allait si bien. Je pris quelques minutes encore, que je passais à embrasser mon amour ; la remerciant pour ce qu’elle m’avait fait découvrir.
Nos langues se chevauchèrent, puis elle me repoussa jusqu’à ses cuisses, empoignant mes cheveux pour me mener jusqu’à son intimité. Je me retrouvai face à sa belle chatte, humide, trempée. Elle ne l’avait pas rasé, allant jusqu’au bout de sa masculinité et je n’avais jamais eu son sexe aussi fourni, ça me faisait bizarre, je ne le reconnaissais pas. Rapidement elle appuya ma tête vers lui et je commençai à lécher ses lèvres, caressant sa toison pour en découvrir son clitoris, que je fis jaillir d’une pincée de ma main, ce qui l’a fit gémir instantanément. Je donnai de grands coups de langues à ces lèvres, les ouvrant avec elle avant de plonger au cœur de son intimité avec mes deux doigts. J’arrivai à chaque coup à la faire jouir en la doigtant, mais j’avais envie de lui enfoncer la queue dans la chatte aussi. Une gifle sur le visage m’interdit toute pensée de ce genre, je devais lécher, et doigter, un point c’est tout. Madame ne se laisserait pas faire ce soir, c’était tellement bon. Je continuais donc à m’activer, alternant doigts et langues dans son con pendant qu’elle se caressait ses gros seins devant moi, quel beau spectacle dès que je levais les yeux. Elle commençait à tortiller son bassin, signe qu’elle allait bientôt jouir, j’activais mes doigts, les enfonçant encore plus vite et plus loin dans sa chatte, je me régalais. Et, alors qu’elle allait sans doute jouir, elle remonta mon visage en tirant mes cheveux, et m’amena vers elle. Elle ne voulait pas jouir ainsi, ouf !
Elle me tira vers le haut, puis se leva et se tourna, me présenta son cul, signe qu’elle voulait que je lui rende la monnaie de sa pièce, avec une bonne levrette. Je me mis derrière elle, et je sortis mon dard, que je présentai non pas dans son cul, mais dans sa chatte comme ses doigts me l’ordonnaient, elle écartait ses lèvres et jouait déjà avec son clito. Je m’enfonçai en elle et elle était déjà très humide, je n’eus aucun problème à la pénétrer jusqu’à la garde et la baiser ainsi. J’attrapai ses gros seins et tout en la baisant, je les malaxai durement, car elle aimait. Elle se tourna et me cracha au visage comme pour me remercier, j’étalai sa salive sur son cul avant de lui mettre une bonne fessée, et j’accélérai le mouvement de baise, je descendis mes mains jusqu’à ses hanches et je me soulevai pour la baiser de plus haut, afin de la pénétrer plus profondément encore ; ce changement de position la fit hurler et elle beugla de continuer, de la baiser comme une chienne désormais ; les rôles avaient brusquement été inversés. Je la baisai de cette hauteur, m’enfonçant pleinement dans son trou sans m’arrêter, et elle dut mordre l’oreiller devant elle pour éviter de crier davantage, elle prenait son pied. Je continuai donc, lui donnant des claques sur le cul, ou écartant ses fesses pour m’enfoncer le plus loin possible, de plus en plus brutalement. Au bout de trois minutes elle leva la tête vers moi, son maquillage coulant de toute part et me hurla qu’elle jouissait, qu’elle jouissait encore et encore, elle cria avant de s’étaler sur le lit, complètement amorphe. Je sortais alors ma queue, et me mis à la branler au dessus d’elle, sentant moi aussi mon foutre arriver vraiment cette fois ci. Et comme vengeance, je me vidai les couilles sur son cul, son dos, je mis de mon jus partout sur son corps, histoire de la salir comme une grosse pute. Je la bifflai, puis je m’écroulai sur le lit, oubliant presque ma douleur anale.Pas mal non ?
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