Jouir chez les oreillards roux
Lorsque j’Ă©tais Ă©tudiante, j’ai participĂ© Ă un projet scientifique dans des galeries souterraines concernant la situation de la chauve-souris en Belgique, mais ma propre souris y a pris part aussi, et en a bien joui…
Proposée le 7/03/2021 par Bruno Pouperque Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
ThĂšme: MasturbationPersonnages: FHLieu: ForĂȘt, campagne, natureType: Fantasme
Lorsque jâĂ©tais en avant-derniĂšre annĂ©e Ă la fac, jâai pris part Ă une recherche scientifique sur la chauve-souris. L’oreillard roux paraissait en voie de disparition en Belgique. Ainsi, jâai acceptĂ© de prendre part au comptage des exemplaires de cette espĂšce menacĂ©e.
Pour cela, jâai Ă©tĂ© logĂ©e chez un zoologue qui Ă©tait chercheur Ă l’ULg. Il sâappelait GĂ©rard Duparc et il habitait avec sa femme GisĂšle Ă VisĂ© sur la Meuse. Celle-ci appelait son mari âPapouâ, je ne sais pas pour quelle raison. Peut-ĂȘtre Ă cause de la chevelure frisĂ©e abondante de son mari?Pour le comptage des oreillards roux, nous devions nous rendre aux grottes de marnes de Zichen au Limbourg belge. Cette commune flamande est proche de VisĂ©.
Entre GĂ©rard et moi, il y a eu une Ă©tincelle. DĂ©jĂ le second jour quand nous Ă©tudiions certaines donnĂ©es sur les chauve-souris dans son bureau, il mâa dit, sans se gĂȘner, quâil aimerait tellement me baiser. Non pas que jâaie Ă©tĂ© scandalisĂ©e, pas du tout, mais Ă ce moment-lĂ , jâavais encore lâidĂ©e (stupide) que je devais rester vierge jusquâau jour de mon mariage. En plus, je ne prenais pas la pilule pour me protĂ©ger et je dĂ©testais les prĂ©servatifs, mĂȘme sans jamais en avoir eu lâexpĂ©rience.Le matin suivant, GĂ©rard mâa dit:âAprĂšs que nous aurons pris le petit dĂ©jeuner, Blanche Neige, nous allons partir pour Zichen.ââBlanche Neige? Je ne mâappelle pas comme ça.ââJe sais, mais tu sais bien pourquoi je tâappelle comme ça.ââBien sĂ»r. Je tâappellerai âPapouâ Ă partir de maintenant, comme madame.ââTu me ferais plaisir. Toi, Blanche Neige, moi, Papou. Qui sait si ça ne nous rapprochera pas?ââPour ce qui est de me baiser, ne te fais pas dâillusions. Je te lâai dĂ©jĂ dit.ââJe sais. Et si on cherchait une autre solution?ââVas-y, mais je te prĂ©viens: me prendre dans mon trou du cul, jamais!ââNe te tracasse pas, moi aussi, jâai horreur de lâanal.âNous sommes partis pour Zichen dans la voiture de Papou. Je lui ai souri en route, tout le temps. Je me sentais si heureuse dans sa compagnie. Une femme dĂ©sirĂ©e par un bel homme, me semble-t-il, est toujours heureuse… Lorsque nous Ă©tions arrivĂ©s Ă destination, Papou a dĂ» montrer son autorisation pour entrer dans les galeries souterraines Ă un reprĂ©sentant de la commune. C’Ă©tait un endroit un peu angoissant, ces galeries souterraines. Moi, dans mon esprit, je les ai appelĂ©es âLe MystĂ©rieux Jardin des Oreillardsâ un jardin Ă la fois enchanteur et menaçant. Avec des lampes de poche, nous avons pĂ©nĂ©trĂ© dans les galeries. Les plafonds en suintaient. Ainsi, Ă un moment donnĂ©, jâai glissĂ© sur le sol mouillĂ© et je suis tombĂ©e. GĂ©rard mâa ramassĂ©e du sol et il m’a embrassĂ©e passionnĂ©ment. Je me suis perdue dans son Ă©treinte et son baiser. Il a commencĂ© Ă marcher tout en me portant. âPapou, je suis si lourd,â lui ai-je dit. âJe ne me suis pas vraiment fait mal.â âTu vas te blesser en tombant encore,â m’a-t-il avertie. âEt tu n’es certainement pas trop lourde. » Jâai laissĂ© Ă©chapper comme un hoquet et jâai commencĂ© Ă rire. Nous avons atteint la partie de la galerie ou, selon les donnĂ©es que nous avions, il y aurait une trentaine dâoreillards. LĂ , GĂ©rard mâa dĂ©posĂ©e doucement. Et, en effet, au plafond, Ă la lumiĂšre de nos torches, nous avons vu de beaux oreillards roux. Il nây en avait pas trente, mais nous en avons quand mĂȘme comptĂ© vingt-quatre.Nous Ă©tions tous les deux heureux. GĂ©rard mâa pressĂ© la main alors que nous traversions la galerie. Il mâa regardĂ©e, une question sur le visage. Jâai levĂ© les yeux vers lui et jâai souri.âTu sais, Blanche Neige, un oreillard, câest beau, mais toi, tu es plus belle que n’importe quel oreillard au monde. » mâa flattĂ©e GĂ©rard.Jâai rougi et jâai dit: âMerci, Papou, pour ce magnifique compliment.â Nous nous sommes arrĂȘtĂ©s. GĂ©rard sâest penchĂ© vers moi et m’a embrassĂ©e. Sa main a errĂ© et a attrapĂ© ma poitrine. Jâai laissĂ© Ă©chapper un gĂ©missement. Il est passĂ© de mes lĂšvres Ă grignoter mon oreille. Jâen suis devenue essoufflĂ©e et jâai encore poussĂ© un gĂ©missement. âTu aimes quand je te mordille l’oreille, Blanche Neige?â m’a-t-il murmurĂ©. Il mâa embrassĂ©e de mon cou jusquâĂ mon Ă©paule. Il a doucement Ă©cartĂ© mes jambes et jâai respirĂ© son parfum excitĂ©. Jâavais dĂ©jĂ mouillĂ©, maintenant jâĂ©tais trempĂ©e. Il a mis sa main dans mon pantalon et lâa amenĂ©e vers ma chatte. Jâai laissĂ© Ă©chapper un gĂ©missement. ââJe te veux et je te veux maintenant.â a-t-il dit dâun ton autoritaire. Jâai ronronnĂ©: âPapou, s’il te plaĂźt. Tu sais bien que tu ne peux pas me sauter. Mais jâai une solution: veuille lĂ©cher mes parties de femme. S’il te plaĂźt, Papou!â âHmmm,â a-t-il grognĂ©, âĂ quelle vitesse tu as changĂ© ton air, Blanche Neige! D’abord tu avais peur que je te touche et maintenant tu es trĂšs exigeante sur ce que tu veux!ââS’il te plaĂźt, Papou. LĂšche-moi tu sais bien oĂčâŠâ âEh bien, si tu insistes, Blanche Neige, je vais commencer par un petit coup de langue.â Jâavais tellement hĂąte de baisser mon pantalon et mon slip trempĂ© de jus de chatte⊠GĂ©rard ne sâest pas fait prier. Il a mis sa tĂȘte entre mes jambes et sâest mis Ă me lĂ©cher.âMmmmm, Blanche Neige, tu as si bon goĂ»t,â dit-il en Ă©tablissant un contact visuel. âPapouâŠâ dis-je en me couvrant le visage, car jâavais un peu honte.âBlanche Neige, tu peux te couvrir le visage autant que tu veux, ce que je dis est vrai, et je veux te regarder pendant que je lĂšche tes parties de dĂ©esse. Je veux te regarder jouir pour moi.â mâa-t-il rassurĂ©e.Il a accĂ©lĂ©rĂ© le rythme en lĂ©chant mon clitoris sorti de son capuchon en guise dâune petite bite et en me doigtant la chatte. « Oh Papou. Tu me fais si bien. Ne tâarrĂȘte pas. Je vais jouir si fort pour toi, Papou. Tu veux que je jouisse fort pour toi, Papou?â ai-je insistĂ©. âBlanche Neige, j’ai besoin que tu jouisses fort pour moi. Sois une bonne fille pour Papou, jouis tant que tu peux.â GĂ©rard pouvait me sentir tendue alors que je broyais ma chatte sur son visage, le couvrant de mon humiditĂ©. Un peu essoufflĂ© par lâeffort, il sâest arrĂȘtĂ© un instant et a dit:âJouis pour moi maintenant, Blanche Neige. Fais-le maintenant! »Il a resserrĂ© son emprise sur mon cul. Pendant que je venais. J’ai Ă©touffĂ© un cri et essayĂ© de contrĂŽler mes convulsions. Quand mon orgasme Ă©tait passĂ©, jâai rĂ©alisĂ© ce que j’avais fait. Jâai rougi et je me suis couvert le visage. GĂ©rard mâa fait un clin d’Ćil et m’a embrassĂ©e. âPapou, tu as Ă©tĂ© tellement bon avec moi. » lui ai-je dit. Je me suis blottie contre lui et je lui ai dit timidement: âJâai encore pensĂ© Ă une solution.ââLaquelle?â mâa demandĂ© GĂ©rard.Je ne lui ai pas rĂ©pondu. Jâai dĂ©grafĂ© sa ceinture, abaissĂ© son pantalon et son caleçon. Puis, jâai crachĂ© sur le gland de sa bite raide et je lâai branlĂ© jusquâĂ ce quâil vienne, lui aussi, Ă la vue de vingt-quatre oreillards roux. © Copyright : Ce rĂ©cit comme tous les autres sont protĂ©gĂ©s par le Code de PropriĂ©tĂ© Intellectuelle.
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