Jour de mai… dix ans plus tardMai 1979, Claire et Michel viennent de fêter leur dixième anniversaire de mariage.Epouser l’homme qu’elle aimait n’a pas été chose facile. Ses parents, comme elle s’y attendait d’ailleurs, ont tout fait pour s’opposer à cette union, allant jusqu’à menacer de la déshériter.Marthe et Jean étaient eux tout à fait ravis mais furent bien incapables, malgré leurs tentatives pour convaincre les parents de leur nièce que Michel était vraiment un homme très convenable, de leur faire changer d’avis.Malgré l’absence de ses père et mère, Claire a vécu le jour de son mariage dans le bonheur, entourée de certains membres de la famille qui ayant pris le risque de l’approuver, s’étaient fâchés avec eux.Claire a entrepris des études de vétérinaire afin de pouvoir rester vivre à la campagne, ses parents n’ayant pas osé, sur les menaces de Jean, lui couper les vivres.Elle venait de terminer avec succès ses derniers examens lorsque Marthe et Jean trouvèrent la mort dans un accident de voiture.A leur surprise, Michel et elle héritèrent de la somptueuse propriété et Claire choisit d’y installer son cabinet.C’était il y a presque trois ans et, malgré leur chagrin, les deux époux avaient peu à peu repris le dessus.Hier, ils ont reçu quelques amis et la journée s’est déroulée merveilleusement. Ce matin, Michel vient la réveiller, lui servant le café au lit. Il ouvre les rideaux, la lumière inonde la pièce et, comme au premier jour, il ne peut s’empêcher d’admirer sa femme, allongée nue sur le dos, encore à moitié endormie. Il se penche sur elle pour l’embrasser avant de poser le plateau sur ses jambes. Elle se redresse et, le remerciant, prend la tasse de café qu’il lui tend. Ils dégustent le chaud breuvage en silence et elle songe aux dix années qui viennent de s’écouler.Les deux amants inexpérimentés de ce célèbre mois de mai 68 sont bien loin. Ensemble, ils ont tout appris de ce que pouvait faire un couple amoureux, découvert tous les plaisirs, même les plus fantasques.Très librement, ils parlent de leurs fantasmes. Elle sait ainsi que, comme de nombreux hommes, Michel aimerait la voir faire l’amour à une autre femme. Il ne serait pas non plus opposé à une expérience de triolisme et utilise quelques fois le vibromasseur, pendant qu’il la prend, comme s’il s’agissait d’un autre homme.Ils se sont également découvert une attirance pour l’exhibition et la jeune femme adore sentir les regards des passants sur elle lorsqu’il lui arrive de mettre une jupe très courte ou, elle l’a fait quelques fois, une jupe ample sans culotte dessous un jour de vent.En y songeant, sa tasse à la main, elle sent monter de son bas-ventre une chaleur caractéristique. Sa main libre se glisse sur son ventre puis entre ses lèvres qu’elle caresse lentement. Le regard de Michel fixé sur elle, elle fait aller et venir un doigt le long de sa fente. Elle sait qu’il adore la regarder se donner du plaisir ainsi et n’est jamais rassasié de ce spectacle. Elle repose la tasse et son autre main écarte son sexe, dévoilant son bouton et, plus bas, l’entrée de son puits d’amour. Elle y enfonce le majeur qu’elle fait aller et venir avant de le tendre à son mari qui s’empresse de le lécher, se régalant de son jus de femme.Elle se met sur le ventre et poursuit ses caresses, la main sous elle, cambrant les reins, lui offrant ainsi la vue de son superbe derrière.Michel reste immobile, se contentant de se repaître de la scène. Rapidement, les gémissements emplissent la pièce et son doigt va-et-vient plus rapidement. Elle tend un peu plus ses fesses vers lui et, dans un souffle, lui dit :—  »Viens ! Prends-moi ! »Sans se précipiter, il se débarrasse de ses vêtements et s’installe derrière elle. Sa verge flatte un peu la fente désormais béante, puis, lorsqu’il sent qu’elle ne tient plus, Michel s’enfonce vigoureusement en elle, la faisant instantanément jouir dans un râle.Il prend alors son temps, savourant comme chaque fois la douceur de son fourreau. Ses va-et-vient sont par moments très lents et profonds et d’autres plus rapides, où il ne la pénètre que de quelques centimètres. Une claque s’abat même parfois sur le derrière de Claire, rosissant ses fesses.Il change de position et, s’allongeant sur le flanc derrière elle, lui relève une jambe et reprend possession de sa chatte. Il aime lui faire l’amour ainsi, pouvant lui caresser les seins et le sexe pendant qu’il va-et-vient en elle.Claire gémit maintenant sans discontinuer, proche d’un second orgasme. Michel accélère un peu ses coups de reins et quelques minutes suffisent pour la faire jouir une nouvelle fois. Il en profite, sort de son vagin et appuie le bout de sa queue contre sa rondelle. Il s’enfonce avec précaution dans son derrière puis reprend ses va-et-vient qui finissent par venir à bout de sa résistance. Sortant son membre, il lui zèbre le dos de ses jets.Claire se tourne vers lui et lui tend la bouche. Un long baiser les unit puis ils se lèvent et prennent une douche.Aujourd’hui, le temps s’y prêtant, ils ont décidé de s’offrir une journée à la mer. Une centaine de kilomètres à peine les séparent de l’océan et c’est dans le bonne humeur qu’ils se mettent en route. Claire a revêtu une légère robe d’été sous laquelle elle ne porte qu’un léger string et pendant le trajet, son chéri lui caresse amoureusement la cuisse. Vers midi, ils arrivent au restaurant où il a réservé une table. Assis l’un face à l’autre, ils discutent de la veille, de la joie d’avoir revu certaines personnes, du plaisir qu’ils ont passé à danser jusqu’à tard dans la nuit.Après le dessert, ils dégustent lentement un café puis décident d’aller marcher un peu pour digérer. Ils prennent le chemin de la plage et se promènent tranquillement, main dans la main. Les dunes qui surplombent la plage offrent de nombreux coins tranquilles et, dans l’un d’eux, ils aperçoivent un couple, a peine âgé d’une vingtaine d’années, qui, se croyant seul au monde, passe un agréable et torride moment. Michel, d’un signe, invite Claire à s’installer le plus confortablement possible et, tels des voyeurs, ils se rincent l’œil. La jeune femme, allongée sur le dos, nue, les jambes écartées, se fait caresser par son partenaire pendant qu’elle le fait aller et venir dans sa bouche.Ils regardent le membre disparaître entre les lèvres et les joues de la femme déformées par sa présence. Claire remarque qu’elle n’hésite pas à glisser de temps en temps un doigt entre les fesses de son amant, cette caresse le faisant gémir. Lui-même la fouille consciencieusement, oubliant parfois la fente pour s’égarer sur l’œillet dans lequel il lui arrive de faire quelques va-et-vient, le pénétrant sans aucune difficulté.La vision de ce spectacle fait monter leur excitation et Michel passe une main sous la robe de sa femme, lui massant le pubis. Il s’aperçoit, à l’humidité du tissu, qu’elle n’est pas insensible à la scène et en profite pour la masturber plus franchement.Après de longues minutes, l’homme fait mettre sa partenaire à quatre pattes et s’apprête à la pénétrer quand, Claire ne pouvant étouffer un gémissement, il remarque leur présence. Loin de s’en offusquer, il leur lance un sourire et, saisissant sa verge, la pointe sur la fente de son amie. Il la pénètre d’une seule poussée, lui arrachant un cri, puis va-et-vient en elle vigoureusement, se tournant parfois vers eux.Les doigts de Michel vont et viennent dans le sexe de Claire au même rythme que les coups de boutoir du jeune homme. Enfin, elle prend la même position que la femme et, se tournant vers son mari, l’invite à la prendre elle aussi.Michel ne se fait pas prier et, baissant pantalon et caleçon, s’installe derrière elle, lui relève la robe, baisse le léger sous-vêtement et s’enfonce avec délice dans l’intimité humide et accueillante.Claire le reçoit avec un gémissement de plaisir, les yeux toujours rivés sur l’autre couple. ? son tour, la jeune femme s’est aperçue de leur présence et les regarde de temps en temps, un léger sourire aux lèvres.Les deux hommes besognent leur partenaire respective avec ardeur, leurs ahanements rythmant les va-et-vient.La première, la jeune femme parvient à l’orgasme. La bouche grande ouverte, comme cherchant son souffle, elle tend ses fesses en arrière, s’empalant jusqu’à la racine sur le membre qui la pourfend et, dans un long cri, se laisse submerger par le plaisir. Son compagnon poursuit ses aller et retour quelques instants et, à son tour, prend son pied. Sortant du sexe de sa compagne, il éjacule en longs jets sur son dos, le maculant de traînées de sperme.? la vue de ce spectacle et sous les coups de reins de Michel, Claire succombe également et, dans un cri, laisse libre court à son orgasme.Seul Michel parvient à se retenir encore un peu, besognant sa femme sans relâche. Le jeune couple, s’enhardissant, s’approche d’eux. Claire, reprenant lentement conscience après sa jouissance, les regarde en souriant. La jeune femme tient le sexe de son ami entre ses doigts et le masturbe lentement. ? ce moment, Claire pense que si elle lui demandait de le caresser elle ne refuserait pas, tant son excitation est intense.Michel, enfin, succombe à son tour. Il donne quelques coups de reins plus intenses puis, quittant le doux écrin, il se déverse abondamment sur les fesses de Claire.Après un moment de répit, les quatre complices font connaissance. Julie et Marc vivent dans les environs. Ils viennent ici parfois mais c’est la première fois qu’ils osent ainsi faire l’amour en pleine nature.—  »Avec, c’est vrai, le secret espoir de vivre ce qu’on vient de vivre, renchérit Marc.— Et vous ? Vous avez déjà eu beaucoup d’expériences de ce genre ? demande Julie.— En fait, non, c’est aussi notre première fois… totalement improvisée d’ailleurs…— Vous avez pratiqué l’échangisme ?— Pas du tout… il ne s’agit que d’un fantasme. Et vous ?— On a essayé une fois… pour l’instant… et on a beaucoup aimé, pas vrai chérie ?— Hum… tout à fait ! ça vous dirait ?— Je ne sais pas… j’ai un peu peur… répond Claire.— Voici nos coordonnées ! Si vous le désirez, on serait enchanté de vous initier…— Merci, répond Michel en prenant la carte de visite. »Ils se saluent et se séparent. Restés seuls, Claire regarde son mari en souriant et lui dit :—  »Je suis certaine que tu aimerais essayer avec eux…— Pas toi ?— Comme je leur ai dit, j’en ai à la fois peur et envie… mais je dois reconnaître que tout à l’heure, j’étais sacrément excitée, alors… on ne sait jamais… l’envie pourrait prendre le pas sur la peur… »L’après-midi touche à sa fin et ils s’apprêtent à retourner chez eux. Marchant derrière sa femme, Michel découvre, à la faveur d’un coup de vent, qu’elle n’a pas pris la peine de remettre son slip et c’est avec ravissement qu’il la suit, admirant ses fesses. Galamment, il lui ouvre la portière et elle lui offre, en s’installant, la vision de son intimité nue, vision dont jamais il ne se lasse.De retour, Claire file prendre une douche, demandant à son mari de préparer le barbecue. Elle redescend alors qu’il est en train de l’allumer et lui propose de surveiller pendant qu’il fait sa toilette.Une demi-heure plus tard, ils dégustent tranquillement un verre de rosé bien frais, surveillant la cuisson des brochettes.—  »Tu es sûr que tu aimerais me voir faire l’amour avec un autre homme ?— On dirait que ça te tracasse… oui, j’en suis certain… mais toi, que dirais-tu en me voyant prendre une autre ?— Je pense que cela m’exciterait…— Si tu veux, on peut les revoir, en discuter; si cela doit se faire, ça se fera tout naturellement…— D’accord ! »Deux semaines plus tard, en rentrant d’une série de visites dans les fermes voisines, Claire découvre, garée dans l’allée, une voiture inconnue. N’attendant aucune visite, sa présence l’intrigue et elle pénètre dans la maison se demandant bien de qui il s’agit.A son arrivée, elle découvre, surprise, son mari buvant un café avec le couple rencontré dans les dunes.—  »Ah, te voilà  ! Marc et Julie passaient dans le coin, je leur ai proposé de faire un détour.— Tu as bien fait, répond Claire avec quelques secondes d’hésitation. Enchantée de vous revoir. »Le couple se lève et l’embrasse puis Michel lui sert un café. Ils discutent tranquillement, faisant par la même occasion. Ils apprennent ainsi que le jeune couple habite une belle propriété, héritée des parents de Marc, que celui-ci travaille dans l’import-export et que Julie est informaticienne. L’après-midi se termine quand Marc demande :—  »Vous pourriez nous rendre une petite visite samedi prochain. On se fera des grillades, à la bonne franquette…— Pourquoi pas ? Tu es d’accord, chérie ?— Euh… oui… c’est une bonne idée.— Parfait ! On va devoir vous laisser. Voici un plan pour arriver chez nous. À samedi, alors ! »Restés seuls, Claire lance un regard interrogateur à son mari, devinant qu’ils ne sont pas passés par hasard.—  »Tu as raison, je les ai appelés mais ce sont eux qui ont proposé de venir aujourd’hui. Tu m’en veux ?— Non… bien que je ne sois pas tout à fait sûre d’être à la hauteur…— Avant ton arrivée, on en a parlé. Ils connaissent parfaitement la situation et je pense qu’on peut leur faire confiance pour ne pas brusquer les choses… ni insister trop si tu refuses. »Rassurée, Claire file dans la cuisine afin de préparer le repas pendant que Michel débarrasse le salon. Quand le plat est au four, elle lui demande d’y jeter un œil de temps en temps, pendant qu’elle prend une douche.Sous le jet d’eau tiède, ses pensées s’évadent vers le prochain week-end : la rencontre du couple et surtout les circonstances de celle-ci lui ont donné, bien qu’elle s’en défende, envie de concrétiser leur fantasme. Malgré cela, elle appréhende ce moment, ne sachant qui, de la jalousie ou de l’excitation, prendra le dessus.Après le repas, ils profitent de la douceur de l’air et prennent un café sur la terrasse. Comme tous les jours après sa douche, Claire n’est vêtue que d’un tee-shirt sous lequel elle n’a pas pris la peine de même quoi que ce soit. Assis face à elle, Michel ne peut s’empêcher d’admirer le galbe de ses jambes et, à la faveur de quelque mouvement, il se repaît de la vision fugace de son intimité. Bientôt, une bosse significative déforme son short.—  »C’est moi qui te mets dans cet état ?— Tu vois quelqu’un d’autre ?— Non…— Tu sais ce que j’adorerais… Je ne vais pas tarder à l’apprendre…— J’ai très envie de te regarder te caresser… »Claire sourit puis, lentement, descend une main vers son entrejambe. Ses doigts massent lentement le renflement de son Mont de Vénus puis descendent sur la fente, suivant le contour des lèvres, évitant le bouton trop sensible. Michel la regarde quelques instants avant de dire :—  »Dommage que tes poils cachent ce trésor…— Tu veux y remédier ?— Tu es d’accord pour que je te rase ?— Si tu fais attention, oui.— Je reviens ! »Quelques minutes plus tard, il réapparaît, portant le nécessaire pour la raser. Elle s’allonge sur la table, écarte les jambes et, souriant, dit à son mari :—  »Barbier, je suis à vous ! »Michel dépose une bonne quantité de gel à raser sur le sexe ainsi offert puis, doucement, le rasoir dessine une première tranchée, mettant à nu la peau.Claire, appuyée sur les coudes, regarde les mains attentionnées de son mari faire courir la lame sur son intimité, lui procurant des frissons. Peu à peu, une douce chaleur monte en elle, une moiteur envahit sa chatte et elle a un peu de mal à rester stoïque.Il faut un bon moment pour qu’enfin Claire expose une fente totalement glâbre. Michel, qui a pensé à tout, place un miroir entre ses cuisses de façon à lui montrer le résultat.—  »On dirait une fente de fillette !— En tout cas, c’est vraiment très doux, répond-il en la flattant de la paume. »A son tour, elle caresse brièvement sa fente, constatant que l’absence de toute pilosité semble la rendre plus sensible.—  »Ne bouge pas ! Je vais te passer un peu de pommade. »Lentement, il la masse, les mains enduites d’un baume. Sous ses caresses, Claire ne peut retenir quelques gémissements et écarte plus franchement les cuisses. Michel poursuit son massage, puis se penche et dépose de légers baisers sur la motte. Sous sa langue, la peau est d’une douceur infinie et il lèche la fente de haut en bas, la dégustant.Claire écarte elle-même ses lèvres et fait saillir son bouton, quémandant pour lui aussi son lot de caresses. Les lèvres de son mari se referment sur lui et le titillent agréablement. Les soupirs de la jeune femme résonnent dans le calme de la soirée, encourageant, s’il en était besoin, son mari qui s’applique à lui procurer le maximum de plaisir.Elle jouit soudain, les mains crispées sur la tête de Michel, le corps tendu, elle pousse un cri et l’abreuve de son jus intime dont il se régale.Se relevant, il la regarde savourer son orgasme, les yeux, le visage épanoui. Il dépose un léger baiser à la commissure de ses lèvres et lui dit doucement :—  »Tu es belle dans le plaisir. Je t’aime. »Quelques instants plus tard, elle fait allonger son mari sur un transat :—  »A mon tour de te donner du plaisir ! »Elle le débarrasse de ses vêtements et sa bouche parcourt son corps, embrassant le torse, s’attardant sur les mamelons qu’elle titille de la pointe de la langue avant de poursuivre sa descente vers le sexe déjà tendu. Là , elle marque une pause et s’empare du membre qu’elle caresse entre ses doigts, les yeux rivés à ceux de Michel. Se penchant lentement, elle embrasse la hampe, descend sur les bourses, s’aventure même jusqu’à l’anneau sombre niché entre ses fesses. Ses doigts continuent leurs caresses sur la tige dont ils tirent la peau, découvrant le gland qu’elle s’amuse à griffer gentiment. Enfin sa bouche s’entrouvre et elle l’avale lentement, le serrant bien entre ses lèvres. Elle le fait aller et venir doucement, ses doigts massant les bourses qu’elle sait pleines de sève. Parfois, elle le fait entièrement sortir, ne gardant que le gland sur lequel sa langue s’active, titillant le méat. D’autre fois, c’est presque toute la queue qu’elle avale goulûment, les joues déformées.Sa position permet à Michel de lui caresser la poitrine, chose qu’il adore faire et dont il ne se prive pas.Sa fellation et les doigts de son mari qui agacent ses seins font renaître le désir en elle et, après de longues minutes, elle lâche la verge tendue à l’extrême :—  »J’ai envie de te sentir en moi… prends-moi ! »Elle reprend sa position allongée sur la table, les jambes ouvertes, offerte. Michel se relève et s’installe entre les cuisses, le sexe à quelques millimètres de l’entrée de son puits d’amour. Il passe le gland sur la fente, appuyant sur le bouton gonflé, caresse la fente sur toute sa longueur puis, appuie un peu et s’enfonce en elle d’une lente poussée, accueilli par un « ah ».Il va-et-vient en elle, doucement, comme il sait qu’elle aime, savourant chaque seconde de cette étreinte. Ses mains retrouvent les seins qu’elles caressent avec douceur non sans, parfois, pincer un téton entre le pouce et l’index et l’étirer un peu.Ils se regardent et se sourient, heureux de prendre toujours le même plaisir que lors de leur première fois.Michel sent qu’il ne tiendra pas très longtemps, l’excitation de la séance de rasage, le cunnilingus et enfin la fellation de Claire maintiennent depuis un bon moment son érection et son désir et il sent que l’orgasme et proche. Il accélère ses coups de reins, encouragé par Claire qui ne retient ni ses petits cris ni ses « Oui », « C’est bon », et soudain, dans un dernier coup de boutoir, il sent ses jets fuser dans le ventre de sa femme.Il reste quelques instants immobile puis, toujours raide, reprend ses va-et-vient, bien décidé à emmener une nouvelle fois Claire au septième ciel.Elle sent à son tour une vague de plaisir monter du plus profond d’elle et la submerger. Dans un feulement, elle jouit longuement.Après quelques minutes, elle reprend conscience. Michel est immobile, toujours fiché en elle, son érection intacte. Un sourire aux lèvres, elle lui dit :—  »Je veux te faire jouir avec ma bouche… »Elle le fait s’allonger par terre et, se penchant sur lui, engloutit son membre qu’elle fait aller et venir dans sa bouche.Michel se laisse ainsi pomper, savourant l’art de sa femme. Il sent soudain un doigt au centre de ses fesses, appuyant contre son œillet. Surpris, Claire ne lui a jamais offert ce genre de caresse, il la laisse faire, écartant même un peu plus les jambes. Peu à peu, il sent son muscle céder sous la pression du doigt qui, lentement, prend possession de son fondement. Il se surprend à aimer sentir l’intrus le fouiller et ne peut retenir un soupir d’aise.Rassurée, Claire va-et-vient en lui, de plus en plus loin, de plus en plus rapidement. Sous sa langue, il lui semble même que la verge grossit un peu plus.Subitement, elle le lâche, ôte son doigt, se relève et dit :—  »Ne bouge pas ! Je reviens ! »à son retour, Michel découvre qu’elle tient un vibro à la main. Elle reprend position au-dessus de lui, l’avale à nouveau et il sent bientôt l’engin le pénétrer lentement, remplaçant avantageusement les doigts de Claire. Les vibrations et les petits va-et-vient du vibro dans son cul lui procurent des sensations qui, si elles sont inédites, n’en sont pas moins terriblement excitantes.Claire s’installe sur lui, en 69, lui offrant à son tour la vision de son sexe et de son anneau brun sur lequel il pose la langue, le léchant consciencieusement.Puis, comme elle quelques minutes auparavant, il enfonce un doigt qu’il fait aller et venir tout en s’occupant de sa fente que sa bouche dévore.Sous les coups de langue de sa femme et la sodomie qu’elle lui fait subir, Michel sent un nouvel orgasme monter en lui. Décidée à le faire jouir dans sa bouche, Claire, qui s’aperçoit de l’imminence de son plaisir, resserre un peu plus les lèvres sur sa verge et le fait aller et venir plus rapidement entre ses lèvres.Dans un sursaut, il se laisse aller et abreuve sa femme de son sperme épais. Elle le boit jusqu’à la dernière goutte avant de la relâcher, ôtant également l’olisbos de ses fesses.Il lui faut quelques minutes pour se remettre de ce violent plaisir et, lorsqu’il rouvre les yeux, il voit sa femme le regarder avec passion. Un baiser les unit et ils décident de regagner la maison.Enfin samedi est arrivé. Claire et Michel sont à la fois excités et fébriles. Levés tôt, ils ont pris une douche et se sont préparés. Claire, voyant quelques poils déjà repousser, s’est appliqué une crème dépilatoire et sa chatte est parfaitement lisse et douce au toucher.Ils arrivent chez Marc et Julie, une bouteille de champagne et un énorme bouquet de fleurs en remerciement.L’ambiance est particulièrement agréable, les plaisanteries faciles et aucun signe de nervosité ne ternit le repas, pris à l’ombre d’une tonnelle, non loin d’une superbe piscine. Julie est habillée d’une légère robe d’été qui permet, à contre jour, de distinguer le galbe de ses jambes. Marc a lui choisi un short et un débardeur mettant en valeur une musculature visiblement parfaitement entretenue.Après le café, leurs hôtes proposent de s’offrir une petite séance de bronzage pour digérer. Donnant l’exemple, Julie se débarrasse rapidement de ses vêtements et s’allonge dans un transat, suivie par son marie.Après une légère hésitation, Claire et Michel se retrouvent à leur tour dans le plus simple appareil et s’installent à leurs côtés.(A suivre…)