Les pensées, les aventures et les fantasmes d’un voyeur qui souhaite partager sa passion pour les femmes et leur intimité. Au travers d’histoires vécues, cet homme nous fait découvrir un monde méconnu : celui du voyeurisme assumé. Ce premier texte est l’occasion de découvrir les premières expériences et sensations d’un voyeur à l’adolescence.Si vous n’aimez pas les filles qui ne portent pas de culotte sous leur jupe, les femmes qui prennent leur douche dans les vestiaires des gymnases où elles font du sport et les dames qui oublient de tirer leurs rideaux quand elles sont nues dans leur appartement, n’allez pas plus loin : les histoires que je vais vous conter ne vous intéresseront pas. Pour les autres, je me présente… Épisode 1Je me prénomme Thomas, j’ai 32 ans et je vis à Paris. Il se trouve que, à 21 ans, j’ai été l’heureux inventeur d’un gadget permettant à tout-un-chacun de suivre à la trace l’itinéraire d’un téléphone portable et donc, de son propriétaire.Que voulez-vous, les gens sont comme ça. Les femmes trompées et les maris cocus se sont rués sur mon invention et je vis aujourd’hui confortablement des royalties de ce produit. J’ai donc tout le loisir d’inventer et d’améliorer des systèmes liés à ma passion : voir. Je ne fais que ça de mes journées.Quand j’étais petit, je voulais être espion. Je me suis mis rapidement à imaginer des gadgets à la 007 pour voir sans être vu, regarder sans être reconnu. Une montre photographique, un écran d’ordinateur espion, jusqu’à ce système de suivi qui s’adapte sur n’importe quel téléphone cellulaire.C’est après l’adolescence que j’ai compris ce que je pouvais tirer de mon ingéniosité pour assouvir le fantasme de n’importe quel étudiant : voir ce qui se passe dans le vestiaire des filles en salle de sport. J’ai ainsi miniaturisé à l’extrême une caméra dont les prises de vues se déclenchaient à partir d’un détecteur de mouvement. La caméra habilement placée au-dessus de la porte : à moi seins, culs et chattes, que je pouvais reluquer à volonté sur mon ordinateur. Je n’ai jamais été pris. Et c’est sans doute pour cette raison que cette passion ne m’a jamais quitté. Aujourd’hui, ce sont six caméras placées dans des vestiaires de salles de sport qui alimentent mes désirs de nudité volée.Tiens ! Je pourrais vous raconter quelques-unes des plus belles scènes auxquelles il m’a été donné d’assister grâce à ce dispositif. Je dois d’abord vous dire que beaucoup de gens sont comme moi : le fantasme des vestiaires est très répandu et nombre de coquins et coquines profitent de la première occasion pour baiser dans ces lieux érogènes.C’était l’une de mes premières expériences depuis que j’avais touché le pactole grâce à mon brevet. Je m’étais inscrit à un complexe sportif, en grande banlieue. Le genre select. On y croise une majorité de femmes désœuvrées et un peu délaissées, pour tout dire, par des maris trop occupés par leurs affaires. J’avais placé l’une de mes mini-caméras dans le vestiaire de ces dames. Mon ordinateur portable m’enverrait des images dès que quelqu’un allait pénétrer les lieux. J’avais donc tout loisir de déambuler dans les allées du complexe pour me rincer l’œil : piscine, bien sûr, mais aussi salle de gym, salle de musculation, et court de tennis.Il y avait là quatre femmes de la quarantaine qui disputaient un double féminin, pour le plus grand plaisir des employés du centre qui, comme moi, zyeutaient les huit gambettes offertes à nos regards. Quand je pense que certains veulent supprimer la jupette de l’uniforme officiel du tennis féminin…Nous étions trois ou quatre à en profiter : une cuisse dévoilée par ci, une culotte exhibée par là, c’était un véritable festival de cannes, un jeu de jambes pour mateur amateur de sous-vêtements de sport, un vrai délice pour moi.Pendant tout le match, mon ordinateur se tint à carreau, lui qui devait me signaler tout mouvement dans le vestiaire des femmes. Voilà qui tombait bien, car je me régalais à contempler les quatre bourgeoises, qui ne se faisaient aucun cadeau sur le terrain. Leurs peaux ruisselaient de sueur, c’était un spectacle érotique intense.Quand la partie fut finie, il ne me restait que l’espoir de les voir débarquer à portée de ma caméra, et une érection qu’il me fallait soigner dans les toilettes des hommes. J’étais donc installé pour me branler tranquillement, la tête pleine d’images de jupettes et de gambettes quand, enfin, mon PC sonna.—ooOoo—Épisode 2Notre voyeur va-t-il enfin pouvoir assouvir son fantasme et mater, en secret, les joueuses de tennis qui le font tant rêver ? Tout est prêt : ordinateur, caméra cachée ; il ne manque plus que les belles innocentes… Comme prévu, c’était mes quatre tenniswomen qui venaient de faire leur apparition dans les vestiaires des femmes. Mon plan voyeur fonctionnait parfaitement : elles commençaient à se déshabiller, pile dans l’axe de la caméra. Il faut vous dire qu’à l’époque je n’avais pas encore ajouté à mon gadget un système de rotation sur axe pour balayer le champ de vision.Mais pour l’instant, tout se déroulait à merveille. Je me tirais sur le nœud tout en reluquant les quatre femmes, en sous-vêtements de sport, qui semblaient rigoler à gorge déployée. J’imaginais qu’elles étaient fières d’avoir ainsi assuré le show sur le court de tennis. Matées par tout le personnel masculin à proximité, elles avaient sans doute aimé se sentir ainsi désirées.Cette idée me faisait bander encore un peu plus. L’une d’elle retira son soutien-gorge, laissant apparaître une jolie poitrine toute menue, visiblement très ferme. Elle fut imitée par la plus gironde des quatre, une fausse blonde aux seins tombants et lourds qui se retrouva nue devant ses copines, ainsi que devant mes yeux d’obsédé.J’étais au paradis d’Onan, d’autant que les deux autres ne furent pas longues à se dessaper entièrement. J’avais sous les yeux quatre créatures dans le plus simple appareil, quatre très belles femmes aux physiques aussi différents qu’il était possible. J’ai déjà parlé de la brune aux petits nichons, de la fausse blonde dodue, mais je pouvais aussi me rincer l’œil sur le corps d’une athlétique métisse et d’une rousse fine et presque maigre.Que demander de plus, me direz-vous… Sans doute pas que ces quatre là se donnent en spectacle comme elles le firent pourtant. La belle métisse s’approcha de la bimbo rondelette et commença à lui masser les épaules. Je croyais devenir fou en voyant que la rouquine faisait de même avec la brune. Un fantasme vivant, comme si mes rêves de voyeur étaient devenus réalité. Voilà que la blonde embrassait à pleine bouche la nana créole.Là, sur mon ordinateur, se jouait une scène lesbienne à quatre, dans le genre de lieux le plus fantasmatique pour moi. Que pouvais-je encore espérer ? Je me retenais de jouir pour profiter au maximum du spectacle. Mais déjà les quatre nanas se levaient et partaient en direction des douches, loin du champ d’action de ma caméra. Réagir. Vite.Je me rhabillai et fermai mon ordinateur pour me diriger vers les vestiaires. C’était ma chance. Tout le monde était parti déjeuner, les couloirs étaient déserts. Arrivé devant la porte d’où l’on entendait couler l’eau des douches, je jetai un coup d’œil à gauche, un coup d’œil à droite. Personne. Il fallait pousser discrètement la porte et rentrer dans le vestiaire.J’étais dans la place. Des douches, on ne percevait que le bruit de l’eau. Comme si elles avaient été vides. Furtivement, je tentai de regarder. Les quatre femmes étaient bien là, et elles se gouinaient comme des coquines en chaleur. La métisse était à genoux et léchait doucement la jolie rousse ; la brune était, elle, perdue dans les grosses mamelles de la blonde.Je pouvais mater, mais je risquais d’être surpris à tout moment. Peu importait, après tout. Si elles m’avaient surpris, les quatre bourgeoises infidèles auraient sans doute eu du mal à me dénoncer, moi qui savais tout des plaisirs saphiques auxquels elles s’adonnaient dans les vestiaires du complexe sportif.Je restai donc là, la main plongée dans mon futal et tentant de me branler, tandis que les quatre gouines se rejoignaient dans une étreinte orgiaque qui était, à mes yeux de voyeur, une sorte d’accomplissement. Les nanas se pelotaient, s’embrassaient, se léchaient, et moi je me masturbais en profitant au mieux de la scène érotique. De toute façon, je ne garde jamais les enregistrements de mes intrusions voyeuses dans l’intimité des gens. Je profite du moment présent. Et là, j’en profitais à plein. Ces quatre lesbiennes étaient superbes. Pourtant, ce n’est même pas le spectacle le plus incroyable qu’il m’ait été donné de contempler grâce à mes mini-caméras dans des vestiaires sportifs.—ooOoo—Épisode 3Dans cet épisode, il s’agit de réussir à espionner une chanteuse connue, toujours dans un vestiaire, toujours avec des caméras espion. Mais cette fois, il va y avoir une surprise… L’un des avantages de pouvoir me payer l’abonnement dans des salles de sport très connues et courues de la capitale, c’est que je peux y rencontrer des personnalités plus ou moins célèbres. Celle-ci, je l’avais reconnue immédiatement ; c’était une chanteuse qu’on avait pu découvrir lors d’un des innombrables télé-crochets de la téléréalité.Elle était plus jolie encore dans la vie qu’à l’écran. De longs cheveux bruns qui couraient sur ses épaules, une peau mate, luisante de transpiration, et un corps entretenu de sportive. Je savais que ses clips étaient toujours un peu chauds, et j’imaginais sans peine à quel point, tant elle était bien gaulée.En voyeur accompli, je n’eus pas de peine pour me poster à la meilleure place pour la reluquer sans risquer de me faire prendre. Elle était face à moi, penchée sur le guidon d’un vélo d’appartement, transpirant à grosses gouttes tandis que son tee-shirt bâillait suffisamment pour que je puisse contempler à l’envi son imposante poitrine. Pour un peu, j’aurais pu voir ses tétons. Je me mis sans peine à la place des milliers de fans transis d’amour pour cette magnifique brune de vingt ans à peine, qui auraient sans doute tué pour être à ma place.J’étais à quelques mètres d’elle, le nez dans son décolleté sans soutien-gorge et elle ne pouvait même pas imaginer que je ne faisais que la mater. Elle resta une bonne demi-heure sur l’appareil et déjà, les grains de beauté de ses seins n’avaient plus de secret pour moi. Mais, vous savez ce que c’est, le voyeurisme est une drogue à accoutumance. J’avais envie d’en voir davantage.L’occasion se présenta quand la belle starlette changea d’appareil de musculation. Il était encore temps pour moi d’aller placer l’une de mes caméras dans le vestiaire occupé par la jolie brune. Il était tôt ce matin-là, et la direction n’avait ouvert que deux vestiaires, l’un pour les dames, l’autre pour les messieurs. Au pire, si j’avais été pris, il m’aurait été facile de prétendre m’être trompé de porte.Je filai donc vers le lieu de mon prochain forfait. Il fallait tout de même faire vite. Je sortis deux de mes caméras et en plaçai une en direction des vestiaires, l’autre en direction des douches. Il fallait être sûr de ne rien rater quand la chanteuse se déshabillerait.J’eus à peine le temps d’évacuer les lieux que deux femmes, dont la belle convoitée, arrivaient déjà dans ma direction. Il était l’heure de prendre place tranquillement chez les hommes, d’ouvrir mon PC portable et de me rincer l’œil. Ce fut l’autre femme, une vieille bique bourgeoise de la soixantaine, qui se déshabilla la première. Aucun intérêt. La jolie brune prenait son temps, fouillait dans son sac pour en sortir une serviette, un flacon de gel douche, de l’après-shampooing…Elle ne semblait pas pressée de se dévêtir, contrairement à moi, tout impatient de voir dans toute leur lumière les appâts que j’avais pu deviner chez la jeune femme. Pire, elle donnait l’impression de gagner du temps, comme si elle attendait que le vieille rombière ait fini de se préparer et quitte la place pour passer à son tour à la douche.Une pudique, pensai-je, ce qui renforça encore mon excitation, tout heureux de la gravité de mon délit. Voilà, la vieille en avait fini et, effectivement, la chanteuse pour midinettes commença à se dénuder. Son corps était encore plus parfait que je ne l’avais imaginé. Elle fila, nue, sous la douche, sous laquelle elle se massa le corps, les mains enduites d’une huile essentielle ou d’un onguent quelconque.La scène était d’un érotisme très charnel : la belle starlette semblait se laisser aller à une sorte de volupté de l’eau sur sa peau, de ses mains sur ses seins… À dire vrai, je transpirais maintenant bien plus que dans la salle de musculation. Du coin de l’œil, je vis une ombre qui venait de passer dans le champ de la première caméra, celle des vestiaires, sans que je puisse l’identifier. Je la récupérai sur l’autre fenêtre de mon ordinateur, celle qui correspondait à la caméra des douches. C’était le prof de gym du club. « En voilà un qui ne se gêne pas : il est là, tranquille, face à sa cliente entièrement nue… » Je suis parfois long à la détente. Évidemment, le bellâtre était son amant et il était là pour la baiser.—ooOoo—Épisode 4Comment un voyeur tenace finit toujours par obtenir ce qu’il veut et pouvoir regarder un couple illégitime en train de s’envoyer en l’air dans un vestiaire. Un coup à nous faire tous devenir voyeurs ! Le prof de gym ne fut pas long à tomber haut de corps et short. Je pus constater que, outre ses muscles saillants de sportif professionnel, le gars avait d’autres atouts physiques à faire valoir. Il était déjà bandé au maximum, tout comme moi d’ailleurs ; il s’approcha de la jeune starlette, la saisit par la nuque et lui donna un baiser langoureux.La jeune femme lui rendit et son baiser et sa fougue. Elle devait s’impatienter de voir son bel étalon la rejoindre dans ce vestiaire. L’eau cessa de couler et je pus voir les deux tourtereaux se chauffer comme deux bêtes en rut. Mon système d’espionnage s’était nettement amélioré, et je pouvais désormais zoomer pour voir de plus près l’étreinte des deux amants.J’avais cru, à force de fréquenter ce club, que le jeune prof de culture physique était homosexuel. Je constatai qu’il n’en était rien, même si je ne pouvais m’empêcher de penser qu’une telle bombe sexuelle que la belle chanteuse pouvait tourner la tête à n’importe quel homme.D’un geste puissant, l’homme agrippa la brune par les hanches, la soulevant de terre pour mettre ses deux beaux globes à portée de sa bouche. Elle l’enserra de ses cuisses et se pendit à son cou tandis qu’il titillait du bout de la langue ses tétons dressés. Je fis un zoom sur la pointe des seins de la belle, que le mec dévorait avec ardeur. Elle s’était empalée sur la queue droite et veinée du jeune gaillard, qui imprimait de ses cuisses un va-et-vient tonique et puissant à l’intérieur de la jolie chatte. Quant à moi, j’étais resté estomaqué devant la puissance érotique de la scène qui se jouait dans le vestiaire à côté du mien.Au bout d’un moment, l’idée me vint de laisser là mon ordinateur et de tenter d’approcher les deux baiseurs en réel. Seulement, une fois devant la porte, je constatai que celle-ci était verrouillée. Il ne me restait plus qu’à retourner à mon voyeurisme numérique et à profiter pleinement du dispositif de caméras que j’avais installé.À ma grande surprise, je trouvai quelqu’un dans le vestiaire que j’étais alors seul à occuper. Un jeune type, un minet à la mine un peu niaise, se préparait à son tour pour rejoindre les équipements sportifs. Un bonjour fut échangé, et le jeunot me regarda suffisamment pour que je comprenne qu’il s’agissait en fait du petit ami officiel de la jeune chanteuse : je les avais vus à la une d’un magazine people.Mon sang ne fit qu’un tour : pourvu qu’il n’ait pas jeté un coup d’œil à mon écran et vu sa fiancée dans les bras du prof de gym. Si tel avait été le cas, il ne serait sans doute pas là à lacer ses baskets comme si de rien n’était. Je me rassis donc sur le banc, le PC sur les genoux, à contempler la séance de baise que j’espionnais.La nana était revenue par terre. Elle s’appuyait maintenant contre le mur de la douche, les fesses cambrées en direction du bas-ventre du mâle, qui lui donnait de violents coups de reins. La tête de la fille partait en arrière et ses yeux restaient clos tandis que sa bouche, elle, était grande ouverte. On pouvait supposer qu’elle râlait de plaisir.Le jeune cocu n’avait toujours pas fini de se préparer et j’étais là, à mater la starlette en train de baiser, mon érection coincée dans le mini short que je mettais pour la gym. Le fiancé s’adressa alors à moi :— Vous venez souvent ici ? Je ne vous ai jamais vu.— De temps à autre ; je suis membre depuis un moment.À l’écran, le prof de sport avait agrippé les longs cheveux noirs de la fille et la niquait de plus en plus brutalement.— Moi, c’est mon club préféré, poursuivit le jeune gars. C’est là que viennent les plus belles filles de Paris. Il y a de quoi mater, rigola-t-il, avant de sortir de la pièce.—ooOoo—Épisode 5Après les séances de voyeurisme via la technologie, notre voyeur nous explique que les méthodes « à l’ancienne » lui procurent aussi beaucoup de plaisir. Une longue-vue ou une paire de jumelles restent les outils essentiels et indispensables de tout voyeur sérieux ! Voilà pour les anecdotes de mes matages technologiques de vestiaires sportifs. Mais les lieux pour jouer les voyeurs à Paris sont nombreux. Les marches d’escalier qui dévoilent un petit cul sous une jupe ou les fenêtres un peu trop en vue d’où l’on voit des corps de femmes nues.S’il est un espace qui ravit toujours le voleur d’images érotiques à Paris, ce sont bien les toits de la ville. Je ne suis pas qu’un geek féru de nouvelles technologies. Je suis aussi un sportif accompli, et je peux vous dire que le crapahutage sur les sommets de la capitale n’a plus de secrets pour moi. Mes excursions aériennes m’offrent toujours l’occasion de me rincer l’œil agréablement.Rien que dans l’entourage immédiat de mon actuel appartement, j’ai pu repérer une jeunette étudiante qui vit quasiment nue dans sa chambre de bonne, un couple de trentenaires qui baisent comme des lapins tous les soirs près de leur fenêtre et un adepte du SM qui reçoit des jeunes femmes fétichistes dans un grenier, sans se douter que je regarde par le vasistas. C’est ainsi que, armé d’une paire de jumelles légères et performantes, j’accède au toit de mon immeuble et saute d’immeuble en immeuble – dans un quartier où ce petit jeu est possible – pour dénicher des angles de vue intéressants.Récemment, j’ai trouvé un axe qui me permet de mater à la jumelle une femme d’une quarantaine d’années qui se masturbe devant son ordinateur quasiment tous les soirs. Je suis situé de l’autre côté de la rue mais, grâce aux jumelles, je peux la reluquer comme si j’étais dans la même pièce qu’elle.La dernière fois que je l’ai surprise en pleine séance de branlette numérique, la coquine était en train de surfer sur un site porno dédié aux éjaculations faciales. La belle avait ouvert son chemisier, ses seins étaient nus et sa main avait glissé sous son pantalon. Elle était avachie sur sa chaise et se faisait du bien en regardant des stars du porno se faire gicler au visage par des membres énormes.J’aurais presque pu entendre les râles de plaisir de ma belle branleuse à chaque nouvelle salve de foutre qui maculait la figure des jeunes femmes. Elle ouvrait la bouche comme si elle mimait l’envie de boire tout ce jus. Une de ses mains avait pris possession de ses nichons, qu’elle pinçait avec beaucoup de force, autant que je pouvais en juger en tout cas.D’habitude, la femme – que je savais célibataire – prenait plutôt son plaisir sur du porno plus soft. Elle se branlait assez rapidement, prenait son pied et filait à la salle d’eau pour se rafraîchir. Mais là, la séance masturbatoire durait et se prolongeait. Elle semblait fascinée par le sperme qui dégoulinait sur les porno-stars.Moi, j’étais confortablement installé tout en haut du toit de l’immeuble d’en face et je prenais du plaisir à la voir ainsi abandonnée à ses fantasmes les plus salaces. Je voyais bien qu’elle tordait de plus en plus fort ses mamelons, qu’elle se mordait les lèvres, sans doute pour réprimer son envie de crier de plaisir. Et puis elle se leva. Je crus qu’elle avait fini et m’attendis à la voir réapparaître dans sa salle de bain. Seulement, elle n’avait pas terminé, puisque la vidéo pornographique tournait encore sur l’écran de son ordinateur.Et c’est entièrement nue qu’elle revint s’asseoir devant le site X. Elle avait un très beau corps pour son âge, une peau qui semblait souple et ferme. La blancheur de ses seins ressortait vivement par contraste avec son teint bronzé. Elle planta de nouveau sa main droite entre ses cuisses et porta la gauche à nouveau vers ses tétons dressés. Et je la vis poser une pince à linge sur le bout de son sein, ce qui lui arracha une grimace de douleur. Je la vis respirer profondément et reprendre sa masturbation, la pince toujours fichée sur son nibard endolori. Elle s’agitait maintenant en tous sens, proche de l’orgasme, qui ne fut pas long à venir.—ooOoo—Épisode 6Matant sous les jupes des touristes de la Butte-Montmartre, notre voyeur surprend un couple en train de se donner du plaisir sur les marches du Sacré-Cœur. Il parvient même à voir le pubis de la jeune femme tandis que son homme la pelote.Il est des lieux dans Paris où se retrouvent tous les voyeurs de la capitale, car ils sont propices à se rincer l’œil en direct et en live, à l’insu des jolies touristes ou des parisiennes un peu trop innocentes. Ainsi, d’une bouche de métro qui souffle les jupes façon Marylin, ou de la cabine d’essayage d’un grand magasin, dont tous les mateurs de la ville savent qu’elle présente un défaut d’isolation opportun.Mais le paradis des voyeurs de la capitale se trouve, sans nul doute, aux pieds d’un endroit pourtant peu propice, paraît-il, au vice et à l’érotisme. Il s’agit des marches montant au Sacré-Cœur où s’ébrouent, les jours d’été, des centaines de touristes, toutes court vêtues, qui offrent candidement la vue de leurs cuisses et de leurs culottes à une cohorte de reluqueurs expérimentés et organisés. Ce jour-là, j’en ai pris plein les mirettes. Il faut vous préciser que je ne connais pas les codes de l’armée d’obsédés sexuels qui investit les lieux dès les premiers beaux jours. Mais j’arrive tout de même à repérer les situations favorables.Là, voici un groupe de Japonaises en mini-jupes qui dévalent les escaliers pour trouver un coin pour pique-niquer. Déjà, un groupe de voyeurs s’approche, et je fais partie de la bande. Les hommes japonais se placent heureusement derrière nos victimes, et nous pouvons regarder à loisir les cuisses des jeunes Nippones qui sont en contrebas. Certains mateurs comptent, comme on le ferait pour les buts d’une partie de babyfoot, le nombre de culottes et de strings qu’ils peuvent apercevoir. Et là, avec ces Japonaises, c’est un festival. Une culotte blanche par ici, un string rouge par là. Je regarde discrètement les belles Asiatiques qui nous offrent la vue de leur intimité sans même le savoir. Certaines sont si impudiques dans leur façon de se tenir qu’on pourrait même se demander si elles ne le font pas exprès.Puis c’est au tour d’un groupe italien de faire son apparition, détournant l’attention des mateurs de Nippones. Hautes en couleurs et en voix, ce sont des étudiantes romaines qui font leur petit pèlerinage touristique sur la Butte Montmartre. Toutes en jeans, ou presque, elles arborent des tee-shirts trop larges qui bâillent sur des poitrines fermes et opulentes.J’entends un sifflement. C’est un des voyeurs, qui a sans doute repéré une scène coquine. En bas d’une volée de marches, il se déboîte la mâchoire à regarder un couple de jeunes tourtereaux qui se roulent des pelles en public, au beau milieu des escaliers du lieu saint. Le jeune gars a la main sur la poitrine de sa belle qui, de façon indécente, laisse voir ses cuisses pleines et fermes à qui veut.Et que ça se bécote, et que ça se pelote. D’un coup d’œil, je repère une dizaine d’hommes disséminés ici et là qui regardent les jeunes amants en pleine exhibition involontaire. Un autre coup de sifflet, et ce sont tous mes « confrères » qui déguerpissent vers un autre point de vue. Mais moi, j’en veux plus. Je sens que ces deux-là sont chauds comme la braise et, croyez-moi, j’ai de l’instinct pour ces choses-là. Et c’est vrai que la main du mec a filé sous le tee-shirt de la fille, dont je devine au premier regard qu’elle a le soutif dégrafé. Pour peu, je verrais bientôt ses nichons jaillir du tissu légèrement transparent de son haut. Elle a les doigts qui glissent au niveau de la braguette du mec alors que la foule continue à descendre et monter les escaliers qui mènent au Sacré-Cœur. Quelques vieilles bigotes râlent un peu devant l’impudeur des amoureux ; mais moi, je me régale.Les mains du jeune gars se baladent sur tout le corps de sa fiancée, découvrant son ventre, puis ses cuisses. Il remonte le long de sa jambe, soulevant un peu plus la jupe sous l’œil irrité d’un ecclésiastique qui passe par là. Pour le voyeur que je suis, c’est le pied, surtout que… oui, je ne me trompe pas : la jolie nana n’a pas de culotte.Je peux voir une charmante touffe velue, tandis que le petit ami agace du bout des doigts le clito de la jeune fille. Elle n’en peut plus. Gênée par la situation, elle se relève, tend la main à son homme et lui fait signe de la suivre. Il est temps pour moi de les prendre en filature…—ooOoo—Épisode 7Après une petite filature, notre voyeur est assis à portée de vue des deux amants du Sacré-Cœur. Sous la table du restaurant se joue un drôle de spectacle érotique, avant que le couple ne parte baiser sous une porte cochère. Ses longs cheveux noirs et ondulés sont tout ébouriffés, après la séance de câlins collés-serrés que les deux amants se sont offerts sur les marches du Sacré-Cœur. Je les suis à distance tandis qu’ils prennent le chemin de la place des Tertres. Je peux voir son petit cul qui se dandine à chaque pas. Cette nana est une bombe et j’ai encore les images de son pubis velu qui défilent dans mon imaginaire.Il se fait tard, et l’heure du dîner a sonné pour ces deux-là. Ils choisissent un restaurant, un de ces attrape-touristes où l’on mange peu et mal pour très cher. Pas de chance pour moi. J’aurais préféré un bon petit restau de l’autre côté de la Butte… Mais je m’engouffre dans la salle peu après eux. Je dois la jouer fine, et me faire placer à une table suffisamment loin mais suffisamment proche des deux tourtereaux, histoire de pouvoir mater sans être repéré.Parfait. On me place à quelques mètres du couple, légèrement en biais par rapport à leur table ; j’ai une vue parfaite sur les genoux de la belle. C’est une belle plante, au physique très élancé, avec toutefois de jolies formes volumineuses mais discrètes.Je remarque qu’elle a retiré son soutien-gorge, que son homme avait dégrafé quand ils se pelotaient au Sacré-Cœur. Je constate aussi que ses tétons pointent, donnant une forme indécente et coquine au tissu de son tee-shirt, qui laisse entrevoir par transparence la beauté de sa poitrine.La jeune femme est chaude. Toute excitée par leurs caresses de l’après-midi, elle a entrepris de faire du pied sous la table à son amant. Soulevant l’un puis l’autre, elle dévoile à mon regard le haut de ses cuisses, parfois même son entrejambe. Le mec sort le grand jeu : apéritif, entrée, plat, dessert ; il veut vraiment être sûr de la mettre dans son lit.Le spectacle qui se joue sous la table est d’un érotisme torride, à l’abri des autres clients du restaurant. Il s’est rapproché d’elle et parvient à soulever sa jupette avec le bout du pied. Je vois parfaitement sa chatte qu’elle découvre en ouvrant les jambes. Le mec a le pied, maintenant, au niveau du sexe de sa belle. II a tombé la chaussure et lui caresse le minou.Au-dessus du niveau de la table, la belle brune ne laisse rien paraître. Alors que j’ai maintenant une vue dégagée sur les poils frisés de son minou et que son homme travaille à la faire mouiller, elle poursuit la discussion sans aucun complexe. À un moment, je me demande si je ne suis pas repéré. En effet, un serveur est venu me trouver pour me demander si je souhaite prendre un dessert et, tout absorbé par le spectacle érotique qui m’est offert, je ne l’ai pas remarqué. Depuis, la jeune femme jette des coups d’œil furtifs dans ma direction, comme pour s’assurer que je reluque bien son petit jeu sous la table.Le mec a plus de mal à garder une certaine contenance. Quand le pied nu de sa chérie se pose sur son entrejambe, son visage est pris de petites grimaces qui trahissent son émotion. Dans la salle, personne ne remarque rien ; mais je peux, moi, imaginer quel est son état d’excitation.Je demande l’addition et règle, tout en sifflant un café. Je veux être prêt à décamper à la suite des deux amants, et être sûr de ne pas perdre leur trace. La nana dégage une telle sensualité, une telle volupté que je m’en voudrais de rater la suite des événements.Les voilà qui s’en vont. Manquant à toutes les règles que je me suis fixées pour mes filatures, je leur emboîte immédiatement le pas. Dans la rue, je fais semblant de resserrer mes lacets pour leur donner un peu de champ. Le couple se promène dans les rues désertes de Paris. Il doit être tard, le repas fut long et arrosé.Ils marchent bras dessus, bras dessous, la main de l’un collée au cul de l’autre. Ils sont sans doute encore plus excités que moi. Tout à coup, la jeune femme pousse son amant en direction d’une porte cochère, assez profonde, loin de tout réverbère qui compromettrait leur invisibilité. Je m’approche en rasant les murs. Il l’a tournée contre la porte, a troussé sa jupe et sorti sa queue.Je suis derrière le pilier de la porte maintenant et je peux entendre les deux coquins baiser comme ça, debout, en plein milieu de Paris. Je ne les vois plus, mais je peux entendre chacun de leurs souffles : je ne suis qu’à quelques décimètres d’eux. Il la bourre et elle couine de plaisir. Je sors ma queue et tente d’adapter ma branlette au rythme des coups de reins du jeune homme.—ooOoo—Épisode 8Notre héros poursuit son matage du jeune couple. Après les avoir entendus baiser sous une porte cochère, il parvient à trouver un angle pour reluquer ce qui se passe dans leur chambre d’hôtel. Et c’est très chaud. Ce soir-là, je n’ai pas joui en même temps que les baiseurs de la porte cochère. Et je les ai suivis dès que les deux coquins ont réajusté leurs fringues après cette séance de sexe au beau milieu d’une rue parisienne. Et nous nous retrouvons en plein Pigalle, avec ses lumières, ses rabatteurs de bars à hôtesses et autres spectacles de strip-tease, le jeune couple marchant quelques mètres devant moi. Ils ne m’ont toujours pas remarqué et filent vers leur hôtel, un de ces établissements que l’on trouve à la chaîne dans toute la France. Parfait. Je connais très bien le quartier ; et si la chance me sourit, je peux trouver un point de vue depuis les toits qui donnera sur leur chambre. J’ai mes habitudes et mes combines, comme tout voyeur qui se respecte.Je file dans l’immeuble de l’autre côté de l’avenue, gravis une à une les marches de l’escalier en colimaçon et débouche sur un toit à couvert où j’ai mes repères. De là, j’ai une vue parfaite sur toutes le chambres donnant sur l’artère principale. Bien content d’avoir pris mes jumelles, je scrute l’hôtel, espérant voir une lumière s’allumer.Bingo. Les voici qui débarquent dans leur chambre. Ils sont enlacés et se roulent des pelles sans parvenir à se décrocher l’un de l’autre. Ils tombent de concert sur leur lit et commencent à se déshabiller. Ma vue est parfaite et mes super jumelles captent le moindre de leurs faits et gestes.La fille a un corps superbe : elle est très fine, très longiligne, si ce n’est une magnifique paire de nichons fermes et solides et un cul à vous damner un saint. Il se met à quatre pattes face à elle, me bloquant un peu la vue, et se lance dans un cunnilingus passionné. Je zoome sur le visage de la jeune femme, dont les yeux se révulsent sous les coups de langue de son partenaire. Elle se met à jouir tandis que je sors mon chibre de sa cachette.Tenant les jumelles d’une main, je peux voir qu’il la replace sur lit, dans la même position, pour qu’elle puisse lui sucer la bite. Je ne rate pas un seul des va-et-vient que la belle imprime à sa fellation, pompant le dard avec application et gourmandise. Il a une queue raide, épaisse et courte, qu’elle engouffre sans se ménager entre ses lèvres.Puis, l’amant attire sa compagne vers lui. Un long baiser s’ensuit et elle se place en levrette. Je peux admirer ses fesses cambrées qui réclament du sexe. Il s’approche et glisse son membre entre les deux jolies pommes. Je rêve ! Il va l’enculer !Ça fait des semaines que je n’ai pas eu l’occasion de mater une vraie sodomie, et celle-ci s’annonce particulièrement pornographique. La nana s’est saisie de ses deux fesses qu’elle écarte avec impudeur devant le gland de son amant pour lui offrir un angle parfait.Il s’enfonce en elle. Je dirige mes jumelles vers son visage. Elle ferme les yeux et ouvre grand la bouche. Je peux presque l’entendre crier tellement je suis dans la scène. Je reviens au joli cul défoncé. Le mec lime sans complaisance l’anus offert de sa dulcinée.Il repose son torse sur son dos et saisit ses deux mamelles qui frôlent les draps du lit, tout en continuant à la besogner comme un rustre. Hélas pour moi, le spectacle ne va pas être long. Après avoir bourré son cul sans ménagement, le jeune homme se retire et jouit à grands flots sur la peau de sa belle, sur les draps, et sur la moquette de l’hôtel.Les femmes de ménage de Paris n’ont pas la vie facile, croyez-moi ! Quant à moi, il est temps de redescendre de mon perchoir en essayant de ne pas tomber, mes jambes flageolant après avoir pris mon pied à mater cette scène de sexe anal.—ooOoo—Épisode 9Notre voyeur rend visite à l’un de ses comparses adepte d’espionnage érotique dans un sex-shop où celui-ci travaille. Contre toute attente, il tombe de nouveau sur le jeune couple déluré qu’il matait sur les marches du Sacré-Cœur. Il m’arrive parfois de me rendre dans les sex-shops de Pigalle, non pas pour acheter des films pornographiques – j’ai tout ce qu’il faut avec mes matages personnels – mais pour discuter avec un ami qui y travaille régulièrement. Un passionné de voyeurisme comme moi. Il se fait embaucher par-ci par-là, et parvient parfois à revendre un ou deux enregistrements de ses exploits.On s’échange des trucs de voyeurs : des bons angles dans Paris, des astuces technologiques, des anecdotes croustillantes… Il a la chance d’avoir pour voisine une rouquine flamboyante totalement nymphomane qui reçoit chez elle des hommes, des femmes et des couples, sans jamais, évidemment, penser à tirer les rideaux.Cette fois, mon comparse a trouvé un CDD dans l’un des plus grands sex-shops de Paris, un immense complexe que les habitués reconnaîtront. Il a là un point de vue unique sur la vie érotique de la capitale et déniche des bons plans pour mater en observant et en écoutant les clients et clientes du magasin.Entre deux encaissements pour des plugs ou des vibro-masseurs, il me raconte les exploits de sa sulfureuse voisine, qui a reçu la veille un couple de vieux dont elle s’est occupée à tour de rôle : elle a sucé monsieur pendant que madame se masturbait, puis ce fut au tour de la dame de se faire lécher. « Une vraie cochonne cette rousse, c’est à peine croyable ! » me dit-il. Et comme pour prouver ses dires, il sort de son sac une série de clichés des aventures de la voisine.Pour arrondir ses fins de mois, Luc, c’est son nom, « anonymise » les photos et les revend sous la veste aux clients des sex-shops où il bosse. Et là, je peux vous dire qu’il a du bon matériel. Sa voisine est un vrai canon, et le fait que les photos soient prises depuis la rue d’en face renforce l’aspect pervers de la scène.Il est minuit passé ; la boutique ne désemplit pas. Luc est en train de me raconter comment il a réussi à surprendre une partouze lesbienne dans un appartement de sa rue, mais je ne l’écoute que d’une oreille. Du petit couple BCBG venu s’encanailler dans l’antre du diable, la clientèle est passée au couple libertin venu chercher son nécessaire de baise. Les jupes se sont raccourcies, les décolletés plongent comme les chutes du Niagara, les tenues se font chaudes.Je me décroche à moitié la mâchoire en voyant une cliente présenter à la caisse ses emplettes du jour : une robe « plus nue avec que sans », un gode-ceinture, un martinet rose et une boite de capotes nervurées. La femme est blonde, la quarantaine épanouie, et on peut sans problème distinguer ses seins sous le haut en résille qu’elle dissimule – très peu – sous un imperméable.Luc, quant à lui, est blasé par ce genre de rencontres. Depuis qu’il travaille dans les quartiers chauds, il n’a cure de ce type d’exhibition volontaire. Luc est un chasseur, et sa proie ne doit surtout pas être au courant de ses intentions perverses. Il est devenu un vrai pro de l’espionnage coquin.Mais moi, je suis chauffé à blanc par ce déballage de chair par des coquines toutes plus extravagantes les unes que les autres. Luc en est encore à ses récits de voyeurisme à haut risque quand débarque – je vous le donne en mille – le jeune couple du Sacré-Cœur. Après tout, pas étonnant de voir ces deux cochons dans ce genre d’endroits.Ils se dirigent vers la caisse du fond, celle qui donne accès au sauna et au cinéma porno. Sans crier gare, je fonce vers eux et m’arrête à quelques encablures de là. Je tends l’oreille. Ils ont un fort accent espagnol et demandent deux places pour le cinéma.J’attends un moment, puis repose le DVD « spécial gros seins » que j’ai saisi pour me donner une contenance. Je jette un coup d’œil à Luc, qui ne semble pas affecté par ma disparition soudaine et je file à mon tour vers le cinéma X où, déjà, je pressens que de belles aventures érotiques m’attendent.—ooOoo—Épisode 10Le voyeur a suivi le jeune couple dans le cinéma porno. Il le retrouve dans une masturbation réciproque, entouré d’hommes pervers qui n’osent pas les approcher. Mais notre héros ne va pas se dégonfler, et tenter sa chance avec les deux amants impudiques. J’arrive au sous-sol. Une étrange odeur salace envahit mes narines, mélange de renfermé et de sperme, sans doute. Voilà qui n’est vraiment pas engageant. Je m’enfonce dans une semi-obscurité. Je prends la première porte, qui conduit à une salle de projection « hétéro ». Je n’ai pas eu à les chercher longtemps. Mes deux tourtereaux sont assis sur l’une des banquettes, l’un à côté de l’autre et sont facilement repérables du fait de l’attroupement qui se forme à leur proximité. Les mecs sont là, tout étonnés et tout heureux de voir débarquer un couple. Elle est fringuée de manière sexy, sans extravagance, pour autant que j’aie pu en juger en les apercevant dans la boutique.Personne ne semble vouloir s’approcher et prendre le risque de les faire fuir en s’asseyant à leurs côtés. J’hésite un moment, puis me lance. Je prends place sur la banquette, à la droite de la fille. Elle est encore plus belle que dans mon souvenir. Ses yeux noirs dévorent la scène de sodomie qui se joue à l’écran.Elle a sorti la bite de son homme de sa braguette et la branle machinalement sans détacher son regard du film de cul. De temps à autre, elle jette négligemment un coup d’œil aux alentours, pour s’assurer que sa présence a eu l’effet escompté. Et en effet, tous les clients du cinéma, je pense, sont dans les parages.De la main, son homme remonte délicatement sa jupe, dévoilant ses jolies cuisses pleines et charnues, puis remonte encore un peu plus, jusqu’à dévoiler son pubis poilu que j’ai tant désiré. À son tour, il se met à la branler, jouant de son pouce sur son clito. Autour de nous, les autres voyeurs ont, pour la plupart, sorti leur queue et se branlent en faisant des commentaires lubriques.Je ne la toucherai pas. Elle est pourtant toute proche, toute offerte à mes caresses. Mais ce que je veux, c’est voir au maximum jusqu’où tout cela peut aller. Sans interférer. Je suis vraiment un voyeur : alors que je suis persuadé que je pourrais profiter de la situation pour peloter, peut-être même baiser cette si jolie coquine, je me contente de regarder.Mais voilà que l’homme retire le haut de sa belle et, lentement, dégage ses seins de son soutien-gorge, encore une fois dégrafé. Elle a une jolie poitrine, en tout point conforme à ce que j’avais deviné lorsque je matais les deux amants à la jumelle. À mon tour, je sors ma queue, qui est raide comme jamais. Je me branle, ne détachant pas les yeux du corps sublime qui s’offre à ma lubricité. Elle tourne la tête vers moi, regarde un instant mon membre gonflé, et me sourit. Puis repart vers l’écran, où une actrice porno subit les assauts de trois grands Noirs bodybuildés et montés comme des apollons.Son homme est proche de jouir. Il caresse fébrilement ses seins, qui pointent sous l’effet de ses attentions. Elle accélère le mouvement et, dans un spasme, son homme délivre sa semence, qui coule le long de son bras gauche. De la main droite, elle s’approche de ma queue, que je lâche une brève seconde pour lui laisser un éventuel passage.Tandis que son homme s’applique à nettoyer son autre main, la jolie Espagnole a plongé son regard de braise dans le mien et entreprend de me branler avec autant de talent qu’elle a su en montrer avec son fiancé. Je ne sais plus distinguer l’espion de la victime, tant elle plonge dans mon intimité, alors que l’orgasme pointe au bout de mon gland. Son homme a repris le massage du clito, elle entrouvre les lèvres.Je vais jouir, c’est sûr, bien avant elle. Elle veut certainement me voir jouir, tandis qu’elle scrute la moindre mimique de mon visage. Je dois soutenir son regard et jouir les yeux dans les siens. Elle plisse les paupières, mais ne me quitte pas des yeux. Elle sourit largement en me faisant jouir entre ses doigts.—ooOoo—Épisode 11Notre voyeur profite de caméras espionnes installées par un ami dans les toilettes féminines d’une université et surprend une jeune gothique en pleine séance de masturbation. Après cette aventure dans le cinéma porno, j’ai salué rapidement mon ami et suis rentré chez moi, la tête pleine de questions sur ma condition de voyeur. Étais-je vraiment un voyeur-né ? N’étais-je pas qu’un timide refoulé qui n’osait pas aborder les femmes pour du sexe en réel ?Me voici chez un autre ami mateur, un véritable obsédé du voyeurisme, peut-être encore plus déjanté que moi. Spécialiste en vidéo, et monteur de son état, il se fait embaucher contractuellement dans les universités de Paris où il pose un peu partout de toutes petites caméras qui lui envoient régulièrement un flot d’images en provenance notamment des toilettes des filles.Autant je suis adepte – j’ai eu l’occasion de vous en parler – des vestiaires sportifs, autant sa passion pour les femmes faisant pipi – ou pire – me dépasse totalement. Il est pourtant heureux de me montrer sa dernière conquête, un réseau de micro-caméras qui espionne toutes les cabines des chiottes d’une école d’art parisienne.Avec jubilation, il zappe d’une caméra à l’autre, aux heures d’intercours, et reluque ces jeunes femmes qui baissent leurs culottes avant de s’asseoir sur le trône. Il y en a des brunes, des blondes et des châtains, qui pissent devant l’œil hagard de Gilles à côté duquel je suis assis, contemplant circonspect le résultat de son travail.Qu’une jeune Asiatique s’asseye sur le siège des toilettes après nous avoir dévoilé un joli cul potelé et, je dois dire, très appétissant, et Gilles sort son membre de sa braguette et entame une branlette, sans tenir compte de ma présence. Je crois rêver. Il est là à se branler, caressant sans pudeur une énorme bite veinée qu’il travaille avec doigté tout en regardant la petite nana en train de pisser. Gêné, je lui annonce que je vais partir, que j’ai du boulot ce matin.— Attends, elle va bientôt arriver, me retient-il, toujours en faisant comme si de rien n’était.À sa voix, je comprends tout de même qu’un spectacle à ne pas rater s’annonce et je reste assis, là, tandis que mon ami accélère le mouvement de sa main sur sa queue. Des yeux, il dévore chacune des filles qui apparaît sur son écran de contrôle, jusqu’à l’arrivée d’une jeune femme très blanche, très pâle, aux cheveux noir corbeau et au visage parsemé de piercings en tout genre.La belle – car cette fille est, c’est vrai, magnifique – fait comme toutes les autres, baisse son pantalon et sa culotte en s’asseyant sur la cuvette. Pourtant, Gilles semble fasciné, encore plus qu’il ne l’était auparavant. Et alors que tout se déroule a priori comme d’habitude, le miracle se produit. L’étudiante passe une main sous son tee-shirt aux couleurs d’un groupe de métal quelconque, puis remonte vers ses seins. Bientôt, sa main a découvert sa poitrine, laissant apparaître deux pigeons blancs, encore plus pâles que le reste de sa peau, qu’elle caresse avec volupté. Gilles zoome sur l’entrejambe de la jeune femme qui se masturbe maintenant, les yeux clos, le buste penché en arrière. La belle se fait du bien, et je ne porte plus attention à la grosse queue de mon complice, absorbé que je suis par le spectacle grandiose qu’il nous est donné de contempler.Tandis que la jolie gothique se branle en entrouvrant les lèvres, je sens ma virilité se manifester et je sors ma queue puisque, après tout, il faut faire comme les Romains à Rome. S’ensuit la plus orgasmique séance de masturbation à trois qu’il m’ait jamais été donnée de vivre, la jeune gothique se caressant le clitoris avec avidité, mon ami branlant son chibre impressionnant et moi profitant à fond du spectacle de la caméra espion.La fille prend son pied et je me dis qu’elle est vraiment trop belle, ainsi abandonnée au plaisir. Il faut que je puisse la voir, en réel cette fois.—ooOoo—Épisode 12Après la petite gothique vicieuse, c’est cette fois à une scène de plaisirs saphiques que notre héros assiste dans les toilettes de l’école d’art. Mais peut-être risque-t-il d’être repéré. Depuis notre étrange séance de masturbation commune devant la jolie gothique des toilettes de la fac, du temps est passé. Partant en vacances pour se désintoxiquer de son addiction au sexe, Gilles « le voyeur » m’a confié les manettes de sa « salle de contrôle », celle qui préside aux destinées des quelques vingt-neuf caméras espionnes qu’il a disposées ça et là dans les lieux estudiantins de la capitale.J’ai connu Gilles en lui fournissant quelques webcams de mon invention qui, grâce à des systèmes de relais, permettent d’espionner à distance sans être jamais repéré. Et le vicieux en a fait bon usage, à ce que je peux voir sur ces écrans. Le seul défaut de ses installations est qu’elles sont dans des toilettes, ce qui ne correspond pas vraiment à ce que j’aime voir. Je préfère pour ma part d’autres lieux, comme des cabines d’essayage ou des douches communes.Mais, quoi qu’il en soit, je reste là, attentif à tout ce qui se déroule à l’écran, espérant revoir la magnifique gothique espionnée une semaine plus tôt en compagnie de mon impudique pote. Depuis quelques jours, je suis obsédé par l’image de cette beauté, de son corps s’abandonnant aux vagues de plaisir de la masturbation, de son visage déformé par la jouissance. C’est dire ! J’ai même pu regarder un jeune couple d’étudiants venus baiser en douce dans les chiottes d’une fac sans que cela ne me trouble plus que ça. Je veux voir ma belle gothique.Attention. Quelqu’un entre dans la cabine concernée… Raté, il s’agit de deux filles, une blonde et une blonde vénitienne, qui s’enferment toutes les deux dans les chiottes. Minute. Que font-elles ensemble ces deux-là ? Les voici qui s’embrassent à pleine bouche, à l’abri, croient-elles, des regards indiscrets. Et moi, je suis là, aux premières loges, pour les regarder se peloter l’une l’autre. La blonde claire a la main dans la culotte de la seconde. Et que ça s’embrasse, et que ça se caresse !Tant pis pour ma gothique. Il s’en passe de belles dans les toilettes de cette école d’art. Il faudra que j’aille y faire un tour un de ces jours ! Voilà que la plus grande d’entre elles – la blonde vénitienne – retire sans se gêner son tee-shirt, laissant apparaître une jolie poitrine comprimée dans un soutien-gorge noir trop petit pour elle. On voit le haut de ses mamelons qui dépasse de la dentelle. Gilles ne m’en voudra pas. Je sors ma queue et commence à me caresser doucement en contemplant la magnifique scène lesbienne. Les deux filles sont maintenant torse nu, lovées l’une contre l’autre et leurs quatre petits seins frottent délicieusement entre eux, faisant pointer leurs jolis tétons tendus.Les deux nanas ne se lâchent plus. Leurs bouches sont comme collées l’une à l’autre. La plus petite entreprend d’ouvrir la braguette de son amante et glisse le plat de sa main contre son pubis. L’autre bascule le dos au mur et se laisse aller à la caresse, la tête en arrière, la bouche grande ouverte et les yeux fermés qui montent au plafond.Cela faisait longtemps que je n’avais pas pu observer une scène d’amour saphique en direct ; j’en prends plein les mirettes. Les deux filles sont maintenant nues et peuvent s’en donner à cœur joie, seules dans la salle des toilettes, comme je peux le vérifier sur les autres caméras.La grande est sur le point de jouir quand, tout à coup, les deux filles sursautent. Elles se tournent dans un même mouvement vers moi. Je veux dire : vers la caméra. Elles ont repéré quelque chose. Elles se rhabillent toutes les deux en deux temps trois mouvements, abandonnant les lieux à la vitesse d’un cheval au galop. C’est la catastrophe. Le petit moteur hyper silencieux que j’ai installé sur ces caméras pour leur donner de la mobilité a dû se faire repérer dans cette salle vide. Je dois aller sur les lieux pour vérifier l’installation de Gilles.—ooOoo—Épisode 13De retour sur les toits de Paris, notre voyeur cherche de nouveaux postes d’observation quand il tombe par hasard sur une orgie bourgeoise, qui ne le laisse pas de marbre. Gilles m’a remercié de lui avoir sauvé la mise en retirant à temps les caméras invisibles, mais pas vraiment silencieuses, dont il avait équipé l’école d’art. Et moi, j’ai repris mes activités habituelles de voyeur. Je me rends encore régulièrement à la salle de gym où j’avais pu admirer la starlette de télé-crochet et je l’ai à nouveau surprise en train de se faire baiser par son prof de sport.Mes pulsions de mateur invétéré m’ont une fois de plus conduit sur les toits de la ville-lumière. Ce soir, c’est repérage : les novices n’ont aucune idée de ce qu’on peut observer en se promenant, sans prendre trop de risques, sur les toits de Paris.Tiens, là, une femme qui sort de son bain, se croyant protégée des regards indiscrets par la vitre à bulles de sa salle d’eau. Ici, un couple qui fait l’amour, sans imaginer une seconde que quelqu’un puisse les voir dans leur petite chambre de bonne. J’adore vraiment ces moments-là. Je suis à l’affût du bon plan qui retournera mon esprit de voyeur, mais j’en profite pour reluquer ces petites coquineries que les gens laissent s’échapper par delà leurs fenêtres.Voilà que j’arrive, après un bond un peu périlleux sur un autre toit, à l’un de mes repères préférés. Je ne sais pas quel vent souffle sur cet immeuble, mais il est rare qu’on n’y voie pas une petite scène érotique par les différentes fenêtres des différents appartements.Ici, un couple regarde paisiblement la télé. Là, un ado est scotché à son écran d’ordinateur. Une mémé lit un livre un peu plus loin… Par la vitre la plus haute, tout à droite de la façade, je peux apercevoir un apéritif entre amis. Juste quelques couples, lookés décontract’, devisent et rigolent autour d’un verre. Rien de bien palpitant.Il est temps d’aller voir plus loin, de prendre des nouvelles de la belle quadragénaire de l’autre côté du pâté de maisons, qui aime se promener nue dans son appartement. Ses lumières sont éteintes ; elle ne doit pas être là. Ça doit être le froid ; je ne sais pas ce qui se passe ce soir : rien de bien folichon à se mettre sous la dent.Je rebrousse chemin : l’ado est couché, la vieille dame ne lâche pas son livre, la femme du couple téléphage s’est endormie sur le sofa tandis que son homme descend un verre de whisky. Du côté des fêtards, on s’est mis à danser. Et à danser collé-serré. Voilà qui attire mon attention. Tiens, l’un des danseurs a glissé la main sous la jupe de sa partenaire. On semble bien se marrer, l’ambiance est peut-être chaude. Oui, le danseur embrasse sa dulcinée sur la bouche. À moins que… Il se retourne et embrasse une autre femme qui lui rend son baiser avec passion. Voyons voir, serait-ce une partouze ? Oui. Bingo ! La soirée mal engagée va finalement bien tourner pour moi, pourvu que personne ne pense à tirer le rideau.Les choses vont vite : les couples, tous dans la quarantaine flamboyante, s’embrassent et se pelotent en changeant régulièrement de partenaires. Les femmes sont de moins en moins habillées. Je vois ici un joli cul rebondi, là une poitrine lourde dans la bouche d’un monsieur. Je bande. Surprendre une orgie, c’est toujours un grand moment.Par une autre fenêtre, j’aperçois l’une des convives à genoux, en train de tailler une pipe à l’un des hommes. Je sors les jumelles, qui me dévoilent une fellation talentueuse et inspirée. La nana alterne entre des succions à pleine bouche et des caresses linguales qui semblent faire grimper le mec aux rideaux.Cela faisait bien longtemps que, à part ma gothique, je n’avais pas maté en direct ; c’est quand même bien meilleur que par l’entremise d’une caméra.—ooOoo—Épisode 14Notre voyeur est resté sur les toits pour assister à la suite de la partouze bourgeoise, qui va tourner à un jeu très spécial et très sexy qu’il n’avait jamais vu auparavant. Je me prends à rêver d’être à la place de ce mec, emplissant la bouche de cette coquine, pas très jolie certes, mais vraiment très douée sur le plan de la fellation. Il faut la voir sucer la bite de son partenaire du moment. Elle passe sa langue sur toute la longueur de la hampe, puis l’enfonce au fond de sa bouche. Je vois même ses joues se creuser. Puis elle revient à ses couilles, le branlant tout en gobant les deux testicules avec gourmandise. Maintenant, elle agace le frein du bout de la langue, tandis que l’homme lui caresse ses petits seins tendus.La suceuse est une femme menue, de 45 ans environ, fausse blonde permanentée, ni jolie ni laide ; mais à la voir sucer ainsi, on lui donnerait un rôle dans un porno sans hésiter. Pendant qu’elle suce, une autre femme entre dans la pièce, embrasse l’heureux homme puis rejoint sa complice dans sa fellation. La seconde est plus belle, brune, à la peau très mate. Elle est déjà entièrement nue, exhibée ainsi sans doute par l’un des mâles de la pièce adjacente.Notre veinard a deux bouches pour lui tout seul, qui lui dévorent la queue avec avidité. Et c’est une troisième puis une quatrième, enfin une cinquième femme qui rejoignent le trio dans la chambre. En fait, toutes les nanas sont là ; les trois autres hommes – oui ils ne sont plus que trois de l’autre côté – se sont rassis et sirotent un nouveau verre.Notre partouzeur est aux prises avec pas moins de cinq femmes, dont deux très belles, qui l’allongent de force sur le lit. De là où je suis, j’ai du mal à voir. Je n’ai accès en fait qu’au bout du lit, ce qui veut dire que je ne peux regarder qu’au niveau du sexe de notre chanceux.Et le spectacle vaut le détour. Tour à tour, ce sont cinq femmes chaudes comme la braise qui vont se relayer sur le pénis raide d’excitation du mec, le caressant de leurs mains, de leurs seins, de leurs bouches et même de leurs chattes, s’enfonçant le chibre les unes après les autres au fond de leur minou, en amazone, tortillant du cul comme des folles furieuses.Le traitement ne va pas durer beaucoup plus longtemps. Rendant les armes, je suppose que l’homme baisé se répand dans la bouche de la brune à la gorge profonde, qui sourit largement en relâchant son étreinte buccale de la bite de l’homme. Je me demande bien ce qu’attendent les trois autres hommes. Et la réponse va me venir bien vite. Reprenant ses esprits, le veinard se relève, se rhabille à peine, et rejoint ses trois comparses dans le salon. Il faut bien comprendre quelle est ma situation : je dispose de deux fenêtres, comme deux entrées sur des univers interdépendants, la chambre et le salon.Et voilà toute l’astuce : à peine le plus chanceux des trois hommes a t-il rejoint les autres que l’un de ces derniers bondit du sofa et file à toute vitesse, usé d’impatience sans doute, vers les cinq femmes qui sont restées dans la chambre. C’est à son tour de se faire pomper par la blonde permanentée, puis par la brunette, puis par chacune des autres femmes. Et, à son tour, on l’allonge. Et il subit le même sort – très enviable – que le précédent. Quand il jouit, c’est au tour du suivant, qui peut bénéficier du tempérament très chaud des cinq femmes.Ce petit jeu va durer toute la nuit, les femmes rivalisant d’endurance et d’imagination pour épuiser leurs quatre amants. Ce petit groupe semble avoir inventé un jeu qui devrait faire florès : la partouze tournante ou, si vous préférez, le gang-bang inversé à la chaîne.—ooOoo—Épisode 15Planqué à portée de vue d’un palace parisien, notre voyeur surprend un ex-mannequin de trente ans nue dans sa suite. Il la contemple longuement avant que celle-ci ne reçoive de la visite. Bien sûr, je suis souvent retourné à mon poste d’observation pour voir si une nouvelle soirée libertine, un nouveau gang-bang inversé n’avait pas été à nouveau organisé. Mais rien : juste l’un des couples, les résidents en titre, pas particulièrement chauds en-dehors de leurs réceptions très coquines.Pour moi, plus question de m’embêter avec de nouvelles caméras : l’expérience des toilettes de l’école d’art m’a refroidi. Je me contente des quelques dispositifs installés dans des vestiaires sportifs et, le reste du temps, j’arpente les toits de la ville-lumière en espérant tomber sur quelques scènes intéressantes.Hier, j’ai eu de la chance. Je pars vers 22 heures, direction un toit qui fait face à un grand hôtel aux multiples étoiles, et dont les rideaux luxueux ne sont réellement opaques que quand on en est proche. De loin, surtout armé d’une bonne paire de jumelles, on peut mater tout ce qui se passe dans les chambres.Le plus ? Parfois de très jolies femmes, ayant épousé un très bon parti. Le moins : beaucoup de personnes très âgées. Là, j’ai de la chance : je viens de repérer une magnifique trentenaire, sans doute un mannequin à la retraite, qui déambule nue dans sa chambre comme si de rien n’était, les rideaux grands ouverts. J’ai déjà repéré son mari, un bellâtre d’au moins trente ans son aîné, toujours collé à son mobile et qui fait des allées et venues de la chambre à la réception du palace.Il faut que je vous décrive la belle : grande, très fine, de tout petits seins qui pointent constamment de façon insolente, blonde aux traits slaves. Elle a tout d’une top-model, et les adeptes de rondeurs ne la trouveraient pas à leur goût. Moi, je me régale : la voilà qui se penche pour ramasser une serviette de toilette négligemment posée au sol. Deux petites fesses juste charnues comme il faut. Une peau laiteuse, pâle et sans l’ombre d’une imperfection.Maintenant, la belle Russe – je ne connais pas sa nationalité, mais je l’imagine venue de Saint-Pétersbourg – est allongée sur le lit. Elle est toujours en costume d’Ève et je peux reluquer à loisir sa toison blonde comme les blés, pas du tout entretenue, que je trouve parfaitement indécente. La belle est une tactile. Elle ne cesse de caresser son corps, sans que cela ait quoi que ce soit de masturbatoire. Non ; la voilà qui frotte son épaule, passe la main dans ses cheveux, puis son cou. Elle est très désirable. Et je la désire.Elle tient de l’autre main un magazine féminin qu’elle parcourt, sans apparemment prêter trop attention à ce qu’elle y lit. Au bout d’un moment, elle balance le magazine au pied du lit et se relève. Elle marche comme un mannequin sur un podium, faisant rouler les deux petites pommes qui lui servent de fesses sous mes yeux avides.Elle semble impatiente. Sans doute se languit-elle de son époux, qui vient de sortir de l’hôtel d’un pas pressé, toujours vissé à son téléphone. Elle entre dans la salle de bain. Je la perds un moment de vue : les vitres des salles de bain, elles, ne laissent rien voir.Quand elle réapparaît, c’est avec un téléphone portable à l’oreille : une manie dans ce couple, dirait-on. Elle est en grande discussion et semble agitée. Ses petits nichons ballottent un peu sous l’effet de l’agitation de leur propriétaire. Ils sont toujours tendus vers l’avant, comme deux petites armes menaçantes. Ses aréoles sont rose pâle ; on devine à peine l’ombre du sein sur la peau du mannequin.La conversation terminée, ma belle Russe s’allonge à nouveau sur le lit, cette fois sans magazine. De la paume de la main, elle caresse son ventre plat. Ses cuisses sont un peu plus entrouvertes que la fois précédente, et je peux en voir un peu plus que son pubis poilu et blond. À peine plus. Mais c’est beau.La voici qui sursaute. Et qui se précipite vers la porte de la suite, toujours nue comme un ver. Elle va ouvrir ainsi dévêtue : son mari qui rentre, sans doute. Non, c’est une autre jeune femme qui est là, vêtue d’une longue fourrure. Elle la fait entrer. Les deux femmes s’embrassent sur la bouche puis s’enlacent longuement, l’une couverte de la tête aux pieds, l’autre nue comme au premier jour. Le spectacle s’annonce magnifique.—ooOoo—Épisode 16Une blonde pâle, une brune bronzée : le voyeur surprend deux superbes mannequins en train de baiser entre elles dans la chambre d’un palace parisien. Les deux femmes restent longuement enlacées, sans bouger, se serrant de toutes leurs forces l’une contre l’autre. L’une est nue, l’autre vêtue d’un grand manteau de fourrure. Autant les cheveux de la première sont courts et blonds, autant ceux de la seconde sont longs et noirs. Physiquement, tout les oppose. Je remarque les lèvres charnues et sensuelles de la brune qui les pose à nouveau sur celles fines et presque invisibles de la jolie slave.Elles plongent leurs regards l’un dans l’autre, se tenant le visage doucement. Les deux femmes font sensiblement la même taille, même si la latine – appelons-la ainsi – porte encore des talons. Pas pour longtemps. Suivant son amie en direction du lit, la magnifique brune jette ses chaussures au loin puis, tandis que la blonde s’allonge à nouveau, elle retire sa fourrure.Elle était nue dessous. Je peux mater son corps à loisir. Tout l’inverse de la première. Sa peau est mate, ses seins sont lourds, ses hanches magnifiquement dessinées. Quand l’une est toute en finesse, l’autre n’est que volupté et courbes pleines. La blonde est donc allongée sur le lit, nue, les yeux clos. On pourrait la croire en train de dormir. Et même quand la latine s’allonge directement sur son corps, elle n’esquisse pas le moindre mouvement. Je suis là, les jumelles à la main, en train de jouer les voyeurs avec deux top-models entièrement nues, allongées l’une sur l’autre, qui commencent à se caresser et à s’embrasser plus langoureusement que tout à l’heure.Je dois être le plus heureux des voyeurs. La Russe est sortie de son calme inquiétant et rend maintenant des baisers fougueux à son amante. Des deux mains, elle a saisi les fesses rondes de la latine, qu’elle tripote avec vigueur. Elle ouvre littéralement le cul de son amie et insinue ses doigts dans la raie de ses fesses.Voici la brune qui se redresse, surplombant son amante de ses gros seins fermes et bruns, les tétons tendus, des mamelons presque noirs comme du charbon. C’est maintenant la blonde qui s’appuie sur ses coudes, puis parvient à s’accrocher au dos de la latine et plonge maintenant son visage entre les seins de sa maîtresse. Les deux femmes roulent sur le lit, de sorte que c’est maintenant la Russe qui est au-dessus. Elle a les yeux embués de désir. Les deux femmes se calment un moment. La blonde saisit les seins de sa partenaire. Les yeux plongés dans les siens, elle commence à pincer légèrement les tétons de la brune. Celle-ci grimace. La Russe n’en démord pas, et continue à travailler les seins de la latine.C’est du sadisme qu’on devine désormais dans ses yeux. La voilà qui tord les nichons de son amante, sans jamais quitter son regard. La brune hurle de douleur, puis se débat et parvient à se dégager de l’étreinte cruelle de son amie. Elles s’embrassent de nouveau à pleine bouche. Je peux voir jusqu’à leurs langues qui s’entremêlent. La peau diaphane de la Russe contre celle sombre et hâlée de la latine offre un contraste aussi saisissant qu’excitant.La blonde est toujours dessus. La voici qui avance son bassin vers les seins de la brune. Elle remonte encore jusqu’à offrir son sexe à la bouche de sa partenaire. Celle-ci n’hésite pas et plonge entre les cuisses de son amie, qui déjà se tord de plaisir, agitée de soubresauts de plaisir. Elle ne va pas être longue à venir. Cette fois, c’est la brune qui s’est emparée des fesses de l’autre, plantant ses ongles dans la chair pâle de sa maîtresse. Elle dévore sa chatte et obtient les cris d’extase, que j’imagine en russe. Les deux femmes sursautent à nouveau. La blonde saisit le combiné du téléphone de la chambre. Les deux femmes se rhabillent à toute vitesse. Voici certainement le mari de retour.—ooOoo—Épisode 17Notre voyeur, échaudé par l’aventure des toilettes de la fac, se décide à aller mater dans les cabines d’essayage d’un grand magasin de fringues. Aujourd’hui, j’ai passé pas mal de temps à repenser aux deux lesbiennes de la chambre du palace. Je suis passé devant et j’ai eu la malchance de voir la blonde, flanquée de son mari, toujours arrimé à son téléphone, quitter l’hôtel en taxi. Dommage, je serais bien passé ce soir pour jouer à nouveau les voyeurs.Finalement, j’ai opté pour une pratique que j’avais délaissée un moment : le voyeurisme dans les cabines d’essayage. Si je peux en profiter pour vous donner quelques conseils…Voilà, j’arrive dans le magasin. J’ai choisi des fringues « jeunes » pour trouver des clientes à l’avenant. Logique jusqu’ici. La mixité du magasin est utile également, histoire de pouvoir jouer les clients. Je choisis cinq ou six jeans à essayer, et c’est parti.J’oubliais : choisissez les heures d’affluence. Impossible de mater discrètement quand on est trois dans la boutique. Là, c’est parfait. On est samedi et le shopping bat son plein. À tel point que je suis obligé d’attendre qu’une cabine se libère. Voilà qui est idéal pour moi. Les rideaux des cabines s’ouvrent et se ferment de façon désordonnée.Tiens. Ici, je jette un œil vers une cabine où une jeune femme se retrouve en string, reluquée par son petit copain. Et par moi. Ici, une nana essaie des maillots de bain. Il s’agit de trouver un angle de vision. Voilà. Parfait. À chaque fois qu’elle se baisse, j’ai une vue magnifique sur sa paire de nibards.— C’est à votre tour, je crois, Monsieur.Une femme, qui attend en même temps que moi son tour, m’indique une cabine qui vient de se libérer. Tout au bout de la rangée, pas de chance. Difficile de refuser, toutefois, sans paraître suspect. Je m’engouffre dans la cabine avec ma pile de pantalons à essayer. Je vais être tranquille un bon moment.Il n’y a plus qu’à espérer que quelque chose d’intéressant se passe dans la seule cabine mitoyenne. Je pose mes jeans, baisse mon froc et en profite pour poser mon miroir sur le sol. J’ai une vue en contre-plongée sur ma voisine, une jeune fille dans la vingtaine, venue acheter des sous-vêtements.Elle est déjà en petite tenue, et son string m’offre une vision magnifique sur une jolie paire de fesses très appétissantes. Je peux la regarder comme si j’étais allongé sous elle. Je peux me délecter du grain de sa peau, mater tous les grains de beauté de ses cuisses, et même voir quelques poils pubiens qui dépassent de son string.Étant moi-même en slip – je suis supposé essayer des jeans – je peux me caresser en profitant du spectacle. La jeune femme a fait un choix large de sous-vêtements assortis, strings et soutiens-gorges. Magnifique : elle retire son soutif ! Encore une qui n’a pas compris que la lingerie devait s’essayer sur ses propres dessous et qui libère deux seins blancs, de taille moyenne que je peux reluquer par dessous.Et la voici qui retire maintenant le bas. Elle est nue comme un ver, prête pour l’essayage. Elle enfile puis retire une véritable panoplie d’ensembles assortis, se tournant dans tous les sens pour se voir dans le miroir sous tous les angles. Et moi, j’en profite comme un salaud.Elle n’est peut-être pas aussi belle que les deux mannequins, mais elle est là, à portée de main, presque. J’entends quasiment son souffle quand elle essaie une nouvelle tenue. Ce petit manège dure depuis déjà une demi-heure, quand la belle étudiante se décide pour un ensemble noir et sort de la cabine.Les yeux pleins des merveilles vues grâce à mon système de miroirs, j’essaie en toute hâte un pantalon, qui me va comme un gant. Je sors à mon tour de la cabine, non sans avoir vérifié si un point de vue ne s’ouvrait pas sur l’une des femmes qui essaient des vêtements. Je fonce vers la caisse, paye mon achat et m’apprête à sortir du magasin quand, face à moi, se dresse une affiche pour une marque de vêtements quelconque. Les deux femmes qui y posent ne me sont pas inconnues : ce sont les deux mannequins du palace. « Comme on se retrouve… » ai-je le temps de penser avant de rejoindre la rue où s’agitent mini-jupes ou shorts courts.—ooOoo—Épisode 18Notre voyeur s’est mis au vert pour tenter de penser à autre chose qu’à sa passion pour le sexe et l’espionnage coquin. Malheureusement pour lui, la voisine ne l’entend pas de cette oreille. Le temps est venu de me mettre au vert. Invité par ma sœur à passer la semaine dans sa maison de province, je saisis l’occasion de casser le train-train de la vie parisienne et de tenter, du même coup, de soigner un peu mon addiction au voyeurisme. La maison est un petit pavillon, sans grand charme, bourgeois, où tout semble avoir été pensé pour de vrais urbains transformés en faux campagnards. Des panneaux solaires sur les toits, une piscine dans le jardin et quelques plants de tomates : toutes les maisons de ce quartier résidentiel se ressemblent comme si elles avaient été conçues pour la même famille.Ma sœur passe son temps libre dehors, entre baignade et jardinage, activité qui consiste plus à discuter avec la voisine qui, elle aussi, s’adonne aux bienfaits de l’agriculture bio, qu’à réellement soigner les plantes potagères. De mon côté, je profite de la piscine, je me relaxe, j’essaie d’évacuer mes pulsions de mateur compulsif. Pas facile d’ailleurs, car la voisine est un beau brin de femme, une grande bringue très brune, un peu ronde, souriante et avenante.Quand ma sœur part au boulot, je m’installe au bord du bassin et lis un peu. Mais cet après-midi, le roman que j’ai entamé la veille me tombe des mains. Me reviennent en tête les images de la partouze épiée depuis les toits, des deux jeunettes se gouinant dans les toilettes de la fac, des exploits érotiques du couple de la Butte Montmartre.Dans le jardin d’à côté, la voisine tond et fait un bruit du diable. « Je vais piquer une tête ; ça va me rafraîchir. »À mon retour sur ma chaise longue, le vacarme de la tondeuse a cessé. Un silence délicieux a envahi le quartier. Un silence mystérieux, à vrai dire.Chassez le naturel, il revient au galop. Je me vois moi-même me lever, m’approcher de la haie et mater à travers les feuilles pour voir où la jolie voisine en est avec ses cultures. Elle est en fait allongée au bord de sa propre piscine, les yeux fermés, les pieds trempant dans l’eau. Elle est nue. Entièrement.Se croyant à l’abri des regards étrangers, elle se prélasse délicieusement, profitant du soleil qui cogne sur sa peau mate. Je reluque ses seins lourds où perlent quelques gouttes de sueur, sa toison noire et épaisse, comme une injure à mes bonnes résolutions de voyeur repenti.La maison de ma sœur est déserte, et personne ne peut me voir tandis que je reluque la séance de bronzage naturiste de la voisine. Alors, après tout, pourquoi ne pas en profiter ? Après tout, ce n’est pas moi qui ai cherché à la voir en tenue d’Ève ; c’est elle qui est venue me provoquer.Une heure s’est écoulée. Et rien ne bouge. Je suis toujours là à scruter le charmant corps de la femme qui bronze à quelques mètres de moi, derrière la haie. J’admire la forme pleine de ses seins, le léger frémissement de ses tétons quand elle respire. Mais attention, elle se retourne maintenant. On aurait pu la croire endormie, tant elle était immobile. Mais non, voilà qu’elle m’offre son cul à regarder, deux belles fesses joufflues et blanches, qui n’ont pas vu le soleil depuis longtemps.Une autre heure passe et la voisine se retourne à nouveau. La voici qui fouille un sac de plage qu’elle a laissé négligemment traîner à côté d’elle. Elle en sort un flacon de crème solaire dont elle se remplit la main. Comment voulez-vous que je garde mon sang-froid ? Elle se badigeonne le corps d’huile, insistant sur ses seins, sur son ventre et même sur l’intérieur de ses cuisses. On dirait qu’elle fait exprès, juste pour me faire craquer.Elle repose la lotion dans son sac et en sort un long objet blanc, que je ne distingue pas tout de suite. Pas possible… On fera vraiment tout pour m’empêcher de me sevrer de ma drogue ! C’est un vibromasseur long et épais que la belle brune tient dans sa main. J’entends d’ici le petit moteur.—ooOoo—Épisode 19Ne parvenant pas à mater correctement de l’autre côté de la haie, notre voyeur va trouver un stratagème pour pouvoir reluquer les séances de bronzage naturiste de la voisine. Comme tous les soirs, le dîner réunit toute la famille. Ma sœur, mon beau-frère et moi veillons sur le bon déroulement de mon neveu, huit ans, un gamin qui a tendance à se gaver de frites de fast-food et à qui il faut parvenir à faire ingurgiter quelques légumes, si possible du potager. Mais le môme est turbulent, et il est bien difficile de le faire rester à table trop longtemps. Quand il revient du centre aéré où l’a mis ma sœur pour les vacances, il ne pense qu’à jouer dans le jardin, manquant régulièrement, par son imprudence, de tomber dans la piscine.Nous n’en sommes même pas au fromage qu’il est déjà en train de batifoler sur la pelouse, ma sœur et mon beau-frère n’ayant pas une once d’autorité sur lui. Moi, je suis perdu dans mes pensées : je revois la belle voisine en train de frotter son vibromasseur sur la pointe tendue de ses nichons, puis descendre lentement le long de son corps nu jusqu’à son entrecuisse, où elle a posé l’engin sur son clito.Dommage pour moi, la foison de feuilles qui constitue la haie représente un vrai rempart à une bonne vue sur ce qui se trame de l’autre côté, et ce n’est qu’à la faveur des soubresauts de jouissance masturbatoire de la voisine que j’ai pu admirer pleinement son corps.Il faut que je trouve un meilleur angle de vue. J’ai bien essayé de monter à l’étage pour trouver une fenêtre d’où je pourrais reluquer la belle brune dans ses séances de bronzage naturiste et coquin, mais il n’y a rien à faire : la voisine s’est assurée de ne pouvoir être épiée de quelque point de vue que ce soit dans le quartier.J’en suis là dans mes pensées quand mon beau-frère me présente, ainsi qu’à son fils, un dessert. Le gamin, toujours avide de sucreries, laisse atterrir son hélicoptère télécommandé et se précipite vers sa chaise pour engloutir une crème au chocolat.Moi, je n’ai vraiment plus faim. Mes pensées ne sont plus tournées que vers une solution éventuelle. Il y a des jours où je m’étonne de ma propre lenteur. L’hélicoptère ! Évidemment, il suffit de partir d’un hélico pour gosse, de l’équiper d’une de mes caméras, et le tour sera joué. D’autant que le jouet de mon neveu est particulièrement silencieux.Il reste juste un problème. Dans mon envie de couper les ponts avec mes lubies voyeuristes, je n’ai évidemment pris aucun équipement. Pas de mini-caméra… À moins que… oui ! J’ai toujours offert à mon beau-frère des échantillons de mes créations technologiques. Il doit bien traîner quelque part dans la maison une caméra miniaturisée que je pourrais adapter au jouet du gosse ; et même si le jouet est repéré, je pourrai toujours prétendre que je travaillais à une amélioration.Le lendemain après-midi, ma sœur à peine repartie au bureau, je retrouve l’une de mes inventions posées en évidence dans le salon. Un bricolage rapide, et voici que l’hélico pour gamin s’est transformé en drone espion. Il n’y a plus qu’à aller voir chez la voisine si celle-ci a repris ses siestes nudistes. Le décollage est parfait, l’engin ne fait aucun bruit. L’image sur l’écran de contrôle est parfaite, juste un peu instable. L’hélico passe la limite de la haie. Je peux voir la piscine de la voisine, l’herbe tondue parfaitement, les tables de jardin.Oui, la belle brune est là, toujours nue, à prendre le soleil dans la fraîcheur du bassin. Je mets le jouet en vol stationnaire. Je suis à l’à-pic de la belle voisine, de son corps nu, de ses seins gros et fermes. Je tente un zoom vers son sac : huile solaire, livre ; je distingue aussi parfaitement le vibromasseur qui dépasse un peu du fouillis. On dirait que j’ai fait ça toute ma vie. Il ne reste plus qu’à changer d’angle. Voilà ! J’ai une vue plongeante sur le pubis fourni et épais de la naturiste. La suite des événements s’annonce bien.—ooOoo—Épisode 20Depuis les toits de Paris, notre voyeur assiste à une scène candauliste entre un couple libertin qu’il a pris l’habitude de mater et un jeune homme noir très athlétique. De retour à Paris, je ne peux pas dire que je me sois désintoxiqué du voyeurisme, vu le matage régulier opéré dans le jardin de la voisine. Au contraire, mon envie d’aller reluquer dans les appartements des coquines et des ingénues de la capitale n’avait fait que décupler. Me voici donc reparti vers d’autres aventures, toujours en quête du grand frisson voyeur. Direction l’appartement où j’avais, il y a quelque temps, pu observer les gang-bangs inversés de cette bande de libertins pleins d’imagination.Arrivé là-bas, tout semble calme. Le couple – il est 22 heures – est tranquillement installé devant sa télé. J’ai une vue parfaite sur leurs faits et gestes, mais les deux coquins sont tout à fait calmes. Ils regardent les infos du soir. Rien de bien folichon.Qu’à cela ne tienne, je n’ai pas envie d’aller trop crapahuter sur les toits. Il vient de pleuvoir. Je ne tiens pas à aller me casser une jambe, ou pire, en cherchant un autre spot de matage. Peut-être ces deux-là vont-ils se décider à baiser un peu ?Une heure se passe, et rien ne se passe. J’ai oublié l’idée de voir quelque chose d’intéressant ce soir. Le couple est toujours sagement assis devant la télé ; j’en profite pour scruter alentour pour tenter de trouver un autre spectacle. Rien !Pas mon jour de veine. Ça arrive aux meilleurs mateurs. Tiens, voilà que madame s’extirpe du canapé, sans doute pour aller se coucher. Il est bientôt minuit. Je la perds de vue un instant, tandis que le mari se lève à son tour, farfouille dans son bar et en sort une bouteille de whisky et deux verres.Je règle mes jumelles un instant et quand la mise au point revient à la normale, je vois la petite quadragénaire revenir dans la pièce, tenant par la main un grand jeune homme noir, type ailier fort d’une équipe de basket, qui serre la pogne du mari avant que celui-ci ne lui tende l’un des deux verres.Les hommes se posent dans le canapé. La télévision est éteinte. Je sens que la soirée n’est pas vraiment perdue. Leur faisant face, la femme menue se met à se déhancher sur une musique que j’imagine langoureuse. Estomaqué par le spectacle, le jeune Black ne songe même plus à porter ses lèvres au whisky que le mari a, lui, descendu d’une traite.Madame se dévêt, retirant un à un ses vêtements, dévoilant son corps sec, ses petits seins haut perchés, sa peau pâle et son petit cul qui a l’air encore bien ferme. Elle devient de plus en plus provocante, dévoilant son intimité à ces deux hommes, ignorant qu’un troisième larron profite du show. C’est qu’elle est bandante, à se trémousser comme ça, comme une allumeuse en manque.Quand elle s’agenouille devant les deux gars, je sors ma queue de mon pantalon. Je contemple cette femme nue qui se frotte à deux hommes habillés qui sirotent un whisky, tandis qu’elle s’affaire à les exciter au maximum. C’est le mari qui, le premier, lui tend sa bite raide que la quadra engouffre dans sa bouche, aussi profondément que je l’ai vue le faire lors de mon premier matage.Très vite, elle file vers la queue du Black. Il n’est pas spécialement bien monté, mais la petite bouche de la blonde est comme déformée par le gros gland qui s’insère entre ses lèvres. Je suis frappé par le contraste entre la bite noire et les joues pâles de la libertine, qui se déforment pour sucer au mieux son amant. Entretemps, le mari s’est déshabillé. Il attend maintenant son tour, calé confortablement dans le sofa, contemplant comme moi le pompier de rêve que sa femme administre à leur ami black. Elle se relève maintenant, caresse un peu le torse de son homme.Puis la quadragénaire tourne le dos aux deux hommes et vient s’asseoir sur la queue tendue de son mari. C’est qu’il l’encule, le salaud ! Je la vois fermer les yeux et ouvrir la bouche à mesure qu’elle s’empale sur lui. Le grand Black est en branle, mais parvient tout de même à se lever pour mieux contempler l’intromission du membre viril dans le cul de la femme.—ooOoo—Épisode 21Notre voyeur se retrouve sur les toits, à assister à la double pénétration frénétique de la femme candauliste quand une ombre vient perturber la quiétude de sa séance de matage… Ça y est, elle est totalement pénétrée. Le grand Black s’approche du couple, tenant à la main sa queue raide. Je sens que le spectacle va valoir le déplacement. Allant et venant sur l’érection de son homme qui s’enfonce dans son anus, la femme semble gueuler à tue-tête son plaisir. C’est bien simple : perché de l’autre côté de la rue, j’ai l’impression de l’entendre.Le jeune Noir s’approche un peu plus, lui caresse ses petits seins d’où jaillissent deux tétons menaçants comme des flèches. Je zoome sur le visage de la libertine. Elle a dans le regard un mélange d’excitation extrême et d’anxiété. Son amant plie les genoux, l’embrasse comme il peut dans le cou, malgré les va-et-vient de plus en plus violents de la femme sur la queue de son homme, puis approche à son tour sa bite.Elle a le minou offert, les cuisses écartées pour pouvoir mieux s’appuyer et s’empaler sur son époux. Ni une, ni deux, le jeune amant est en elle. Elle subit une double pénétration qui lui fait clore les yeux. Sa tête bascule en arrière, sa bouche grande ouverte. Je devine qu’elle ne crie plus. Elle apprécie chaque centimètre de son amant black s’enfonçant dans son vagin, venant rejoindre son propre mari, fiché dans son cul.Les trois amants restent un moment immobiles tandis que le zob du jeune homme est maintenant entièrement englouti par la minette de la libertine. Chacun semble profiter au maximum de cet instant de félicité. Et c’est elle qui se met alors à agiter doucement le bassin, profitant des deux engins plantés en elle.Elle semble comme habitée, comme ces femmes prises d’une transe vaudou lors de cérémonie de magie noire. Très vite, sans que je n’aie bien compris comment, les deux hommes se retrouvent debout, à côté du canapé, tenant par les hanches la libertine avide de sexe, empalée sur deux membres dont elle sait tirer le meilleur, et offrir le meilleur.Encore quelques minutes de ce régime là. Moi qui ai dû mater des centaines de femmes en train de faire l’amour, je ne crois pas avoir jamais vu une telle furie utiliser deux amants pour son propre plaisir. Elle est pendue au cou du Black, appuyant son dos sur le torse de son mari, et paraît ne pas être rassasiée par la double pénétration.Le jeune homme n’en peut plus. Il est sur le point de flancher, tout comme moi d’ailleurs. La libertine, expérimentée, comprend que son jeune baiseur va rendre les armes. Elle se dégage de la position, se retrouve à genoux devant lui. Elle retire la capote et prend la verge noire au fond de sa gorge, tout en se masturbant frénétiquement le clitoris.Aux mouvements désordonnés du bassin du jeune gars, je comprends qu’il est en train de se répandre dans sa bouche. Quand il se calme, il baisse les yeux vers sa suceuse, qui lui sourit fièrement. Puis elle se retourne et engouffre la virilité de son homme là où le Black a déjà joui. Lui non plus n’est pas long à partir. Il se répand à son tour dans la gorge de sa femme. Quand il se retire, je la vois prendre un air salace et se lécher les babines de contentement, sous le regard pervers de son époux.Tout à coup, j’entends un bruit, sous moi, comme quelque chose qui aurait glissé sur les toits de tôle de Paris. Je lâche un instant mes jumelles pour voir une forme humaine s’échapper subrepticement. L’ombre file sur les toits de Paris, avec un je-ne-sais-quoi d’un air coupable. Peut-être un autre voyeur ? Je ne pense pas avoir été moi-même repéré, mais il faudra être prudent à l’avenir.Je n’étais peut-être pas seul à mater la scène de double pénétration. En face, le jeune mec est reconduit à la porte, non sans un bisou sur la bouche de la quadragénaire, qui est restée nue. Le couple file à la salle de bain, disparaissant de ma vue. Il est temps pour moi de rentrer au bercail. Sur le chemin du retour, l’idée de cet homme qui espionnait de concert avec moi me turlupine. Il faudra que j’éclaircisse ce mystère : je n’ai donné ce plan voyeur à personne, jusqu’à présent.—ooOoo—Épisode 22Notre voyeur est de retour dans sa salle de gym préférée, qui est aujourd’hui envahie de jeunes starlettes impudiques et désireuses de se maintenir en forme. L’occasion est trop belle. Me voici de retour au club de gym où j’avais pu mater la jolie starlette de la chanson en la compagnie galante du prof de gym. Avait-elle vanté les mérites du club, de ses installations ou s’était-elle ouverte des performances sexuelles du prof ? Toujours est-il que la clientèle s’était singulièrement rajeunie depuis ma dernière visite.Que des jeunes femmes en fleur, apprenties vedettes de téléréalité, présentatrices débutantes de talk-shows, ex-mannequins de 25 ans et demi. Dans la salle de gym, je ne savais vraiment plus où donner de la tête. Je suis vraiment au paradis des voyeurs ! Ici, une jeune animatrice de téléshopping, courbée sur son agrès, donne à voir un décolleté plongeant, dévoilant pratiquement les tétons de ses deux gros seins siliconés. Là, deux étudiantes se reposent, assises sur des tapis, les cuisses écartées.J’ai repéré aussi une rouquine dans la vingtaine. À bien la regarder, je constate – avec plaisir – qu’elle ne fait aucune sorte d’effort pour dissimuler ses formes, pas plus que sa peau qui se découvre au gré de ses mouvements de gym. Je trouve son attitude spéciale, très différente des autres filles de la salle. Et puis, il y a toujours ma starlette, partie dans des exercices de yoga ou de relaxation. Elle est à quatre pattes sur un tapis d’exercice, et je peux mater en toute discrétion son joli cul moulé dans son body. Je me régale. Il n’y a plus ici que des femmes de moins de trente-cinq ans, sveltes et entretenues, et quelques hommes dans mon genre, qui transpirent plus du fait du spectacle proposé par toutes ces nymphettes que par leurs exercices de musculation.C’est décidé : il faut que je replace une caméra ou deux dans les douches de ces dames. Renseignements pris, il est possible de privatiser le club le soir, après 22 heures, pour s’adonner à quelque discipline de remise en forme en compagnie de son prof particulier. Il me faut un complice. Ce sera Gilles, qui pourra ainsi me donner un coup de main pour disposer les caméras.Gilles n’est pas très athlétique. Je lui invente une identité de professeur d’un art oriental inconnu qui, j’en suis sûr, fera florès dans les années à venir. Un lundi soir, le club est à nous. Nous avons tout le temps de placer nos espions dans les lieux stratégiques.J’en dispose un dans le sauna, un dans les vestiaires, puis c’est au tour de la douche. Je me régale à l’avance de pouvoir mater très tranquillement toutes ces superbes femmes entièrement nues se relaxant après des efforts sportifs intenses. Gilles est en train de placer ses propres caméras dans les toilettes du club : on ne se refait pas.Quant à moi, je m’imagine déjà en train de mater le prof de gym culbutant joyeusement l’une de ses élèves dans ses douches, comme je sais que c’est son habitude. Et une autre, encore une autre. Chacune des belles nanas que j’ai pu reluquer dans la salle passe à la casserole dans mon imagination.Chaque vestiaire dispose d’un système de vidéosurveillance supposé parer à d’éventuels vols. La caméra est placée à l’entrée de la salle, ne filmant que les allées et venues des membres. Mais il suffit de profiter de celle-ci pour en placer une autre, beaucoup plus petite et discrète, et la pointer vers les douches. Un jeu d’enfant pour un voyeur expérimenté.Je prends un escabeau et monte vers la caméra de sécurité. Incroyable ! L’idée que j’avais eue a déjà été prise. Quelqu’un a installé une caméra-espionne en dérivation du système initial. Cette caméra est rotative et doit pouvoir balayer à la fois le vestiaire lui-même et les douches collectives.Qu’à cela ne tienne ; il suffit de détourner le signal et à moi les images volées de tout ce que Paris compte de starlettes. Je fais mon branchement, m’assurant que le signal pourra me parvenir jusqu’au café du coin, où j’ai trouvé une petite table isolée qui me laisse tout loisir de mater à ma guise. Dès demain, je pourrai profiter tranquillement des images de cette caméra, qui me permettra de voir si le prof de sport baise effectivement toutes les jolies femmes qui fréquentent son club. Je m’en réjouis par avance.—ooOoo—Épisode 23Notre voyeur espionne, par caméra interposée, une jeune femme noire svelte et bien roulée, qui se change dans les vestiaires. Il apprécie le cul athlétique de la jeune Black. Il est tôt. Huit heures. Mais le club sportif est déjà ouvert depuis un moment pour ceux de ses membres qui viennent transpirer avant d’aller au boulot. Moi, je suis installé à la table du café, un œil sur la porte d’entrée du club – en réel – un autre sur les images diffusées par la caméra-espionne détournée la veille.Grâce à mon dispositif, elle envoie un signal codé que seul je peux décoder pour profiter au mieux de mon espionnage. J’en connais un qui ne va pas être content : le saligaud qui a placé cette caméra et qui ne recevra plus rien.Neuf heures. C’est l’heure des starlettes. La première d’entre elles à faire son entrée dans le club est une grande Black filiforme, au port de tête insolent et au cul à se damner. Je la repère dès son arrivée dans le club. Quelques dizaines de secondes plus tard, je la retrouve sur mon écran, pénétrant dans les vestiaires. Elle s’installe. Je fais pivoter la caméra jusqu’à elle. La voici qui se déshabille. Elle a un corps superbe. Des seins bien plus gros que je ne les aurais imaginés, perchés sur un buste aussi svelte qu’il est possible.C’est comme si elle me faisait un strip-tease. Une fois torse nu, elle retire lentement son pantalon, puis sa culotte. Sa chatte est épilée de près ; son mont de Vénus est parfaitement lisse. Elle se retourne et se penche un peu pour prendre sa tenue de gym dans son sac. Mamma mia ! J’ai une vue parfaite sur son cul splendide ; je peux même voir les lèvres de son sexe mises à nu par l’épilation.La Blackette s’apprête à passer sa tenue de sport quand quelqu’un fait irruption dans le vestiaire. Une nouvelle cliente, sans doute. Je me réjouis d’avance. Non : c’est ce salaud de prof de sport, venu saluer son élève. Tu parles ! La fille est entièrement nue ; elle lui dit bonjour en déposant un baiser sur ses lèvres.Le prof de sport l’enlace et lui rend son baiser. Elle a déjà la main posée sur le paquet du sportif qui, lui, caresse les superbes fesses de la jeune femme noire. Le baiser dure un long moment, laissant tout le temps aux deux protagonistes de se peloter, à la fois tranquillement et fiévreusement.Mais, sans que rien n’ait semblé marquer la fin de l’étreinte, le prof s’en repart vers la salle de sport. La Blackette passe sa tenue de gym et part le rejoindre. Un long moment se passe dans le vestiaire sans que personne n’y entre. Pas grave. La jeune Antillaise devra repasser par là pour prendre sa douche. Et je ne doute pas que, si l’occasion se présente, ce cochon de prof de sport viendra l’y baiser, pour peu qu’elle y soit seule.Voici une perspective qui me ravit. J’ai toujours adoré vivre les histoires de cul par procuration. Et j’adorerais voir cette magnifique créature se faire défoncer par un beau mâle athlétique.Ça y est. Quelqu’un vient de rentrer dans le vestiaire. C’est bien ma veine. Un type de l’entretien. Une moustache touffue au beau milieu du visage, une casquette affreuse vissée sur la tête et une clope éteinte au bec. Merde ! Le voilà qui monte sur un escabeau en direction de la caméra.J’espère de pas être déjà repéré. J’ai brouillé les pistes, au cas où ; mais tout de même… Le spectacle s’annonçait magnifique ! Le type farfouille un moment. Et il redescend. Le voilà qui griffonne quelque chose sur un bout de papier. Là, il montre à la caméra, écrit en gros caractères épais, un numéro de téléphone. C’est mon voyeur, celui auquel j’ai piqué le signal de la caméra. Il doit être furax. Il veut que je l’appelle et je comprends bien pourquoi. Il range maintenant son escabeau et repart, juste au moment où deux filles sublimes font leur entrée. Ni une, ni deux, elles se retrouvent en petite tenue et moi je mate. J’appellerai mon « co-voyeur » un peu plus tard.—ooOoo—Épisode 24Notre voyeur se souvient des instants de baise qu’il a espionnés grâce à la caméra d’un autre, entre le prof de gym et deux de ses élèves, dans les douches du club de sport. La voix semble tremblotante, peu assurée. Pas du tout la voix que j’aurais imaginée pour un agent d’entretien à la moustache épaisse comme celui qui m’avait donné son numéro de téléphone par caméra interposée.— Oui, vous m’avez laissé votre numéro de téléphone.Je ne sais pas bien comment me présenter à celui dont j’ai détourné la caméra-espionne des vestiaires du club de gym.— Oui, j’attendais votre appel, me répond-il. Vous êtes un malin, vous !— Oui, plutôt. Mais ne vous inquiétez pas, je peux vous donner les codes pour que vous puissiez vous aussi mater.— Je n’ai pas l’habitude de travailler en équipe, voyez-vous.Je vois bien. Je vois surtout les images des vestiaires du club de gym qui continuent à défiler sur mon écran. Plusieurs femmes magnifiques en sous-vêtements, ou même nues, qui se changent devant mes yeux voyeurs. S’il ne veut pas « travailler en équipe », comme il dit, j’aurai ce spectacle pour moi tout seul.Toute la journée d’hier a été une merveille. Des femmes, toutes plus belles les unes que les autres, sont venues se changer, prendre leur douche dans ces vestiaires. À certains moments, je ne savais plus quoi choisir, entre reluquer une jolie Beurette menue qui se savonnait sous la douche et une rousse longiligne qui se déshabillait dans les vestiaires.Et puis, il y avait le prof de gym. À la moindre occasion, il venait dans les vestiaires des filles, dont aucune ne songeait à protester contre la présence d’un homme dans ce lieu réservé aux dames. Mais quel homme ! Je commençais même à comprendre ce qui les attirait toutes à lui. Cette assurance, ce sans-gêne de celui à qui tout est acquis, le tout servi par une musculature d’Apollon et une autorité naturelle. Elles se pâmaient dès que le prof venait jouer les coquins dans le vestiaire. Dès que le club désemplissait, en début d’après-midi, en fin de soirée, il en avait d’ailleurs culbutées deux sous les douches.La première devait avoir trente ou trente-cinq ans. Une jolie fille auburn, qui avait dû être mannequin ou quelque chose comme ça dans sa jeunesse, au corps parfaitement dessiné, entretenu par des heures de gym hebdomadaire. Le prof était arrivé subrepticement derrière elle tandis qu’elle shampooinait sa touffe. Il l’avait prise comme ça, debout, par derrière, et elle s’était laissé faire.La seconde était la grande rousse dont je vous parlais. Elle était resté tard, le soir, dans la salle de gym, jusqu’à être seule avec le prof. Les deux amants s’étaient précipités dans les vestiaires pour s’envoyer en l’air dès qu’ils s’étaient crus seuls. Seuls, peut-être, mais ma caméra n’avait pas loupé le moindre coup de reins du prof de gym.Ces images me reviennent, alors que je ne sais pas bien quoi répondre à mon interlocuteur.— Je partage avec vous ma technique pour voir les images de la caméra. C’est à prendre ou à laisser. Où et quand pouvons-nous nous rencontrer ?— Désolé, mais je préfère que vous me fassiez parvenir tout ça par e-mail. Je dois rester discret, me répond-il.— Ok, si vous voulez. Juste une question, par simple curiosité. Vous travaillez vraiment dans le club ?L’autre voyeur se met à rire. Je comprends que la réponse est non. Il peut toujours rire. Moi, j’ai encore en mémoire toutes les positions acrobatiques de la rouquine et du prof de sport, qui s’en sont donné à cœur joie dans les vestiaires du club. Des instants que l’autre a ratés, et dont je me suis régalé. Je me rappelle avoir été stupéfait par la souplesse de la jolie rousse. Et par son tempérament de chaude baiseuse.L’homme me donne une adresse e-mail et je lui envoie tout de suite le logiciel et les codes qui permettent de reluquer les images de la caméra du vestiaire. Oups ! J’ai peut-être fait une erreur. J’espère qu’il saura se montrer discret. Mieux vaut pour lui, d’ailleurs : c’est lui qui a placé cette caméra, après tout.—ooOoo—Épisode 25Toujours nanti d’un système de caméras-espionnes dans les vestiaires d’un club de gym, notre héros surprend une jeune maghrébine en pleine masturbation. Ah ! Que d’heures passées à mater en toute impunité les bombes sexuelles de la salle de gym ! Je les vois encore en train de couvrir leur peau douce de toutes sortes de lotions et autres baumes, ou se savonnant lascivement sous la douche. J’en ai remarqué une, en particulier, une jeune franco-maghrébine qui ne doit pas avoir vingt ans. Ce genre de filles repérées pour leur physique et qui quittent les études une fois le bac en poche pour chercher gloire et fortune.La jolie Beurette avait vraiment tout d’une star du porno – et c’est pour moi seul qu’elle aura fait son show – avec ses seins ronds et fermes, ses hanches pleines et ses belles fesses bien rebondies. Quand elle est arrivée dans le vestiaire, l’activité de la salle de sport battait son plein. Elle devait être en retard pour son cours de gym, et c’est en quatrième vitesse qu’elle se déshabilla, ne me laissant que des promesses.Au retour d’une heure de transpiration, elle m’offrit en revanche un spectacle dont tout voyeur, même aussi expérimenté que moi, se serait délecté. Elle retira son body mouillé, qu’elle portait sans sous-vêtements, laissant jaillir les deux globes fermes de sa poitrine sous mes yeux. La lumière de la salle étant bonne, je pus zoomer sur les grandes aréoles brunes, appétissantes, de la belle et m’en rincer l’œil avant qu’elle ne soit totalement nue. Sa chatte n’était pas épilée et c’est une magnifique touffe frisée qu’elle dévoila alors. Se retournant, elle offrit à ma vue un cul à la peau veloutée, très pâle et, se baissant pour sortir du gel douche de son sac de sport, elle me permit de me régaler de sa petite chatte velue.Elle était si belle, si désirable, que je n’avais d’yeux que pour elle, alors même que le vestiaire était plein de beautés nues ou à demi-nues qui ne demandaient, pensai-je, qu’à être reluquées sous toutes les coutures. Mais, sans conteste, la jeune maghrébine emportait la palme de la sensualité. Puis la Beurette entra dans la douche, où une autre des caméras-espions prit le relais. Laissant couler l’eau sur ses cheveux crépus, elle semblait prendre beaucoup de plaisir à la sensation du filet qui coulait le long de son corps, créant un sillon entre ses deux belles mamelles.Ses ablutions durèrent longtemps. La jeune femme savonnait avec minutie chaque partie de son corps en insistant, à ce qui me semblait alors, sur certaines zones érogènes. Le lavage de ses seins fut, par exemple, tout un poème. Les mains pleines de mousse savonneuse, elle exerçait d’amples mouvements circulaires autour de chacun de ses nibards, les soulevant un à un, les écartant, les resserrant l’un contre l’autre.Longtemps. De sorte que, quand elle eut fini, le vestiaire s’était totalement vidé de la faune de nymphettes qui s’y préparaient quelques minutes auparavant. Ma belle Arabe sortit de la douche, toujours nue, et repassa dans le champ de la première caméra.Là, elle prit une sorte de baume dans son sac de sport, en déposa au creux de sa main et commença à s’en badigeonner le cou, les épaules puis la poitrine, et ainsi de suite jusqu’en bas de ses mollets. Elle prenait, là encore, un grand soin à ne rater aucune partie de sa peau, y compris l’intérieur des cuisses, où elle s’attarda un long moment.Ainsi frictionnée, la belle Beurette étendit une serviette sur le banc, s’y assit et, encore toute huilée de son massage, laissa retomber son dos sur le mur du bâtiment. Elle écarta très légèrement ses cuisses et une de ses mains fila au cœur de son intimité, que je ne pouvais distinguer clairement. Ça semblait trop beau pour être vrai ; mais là, devant la caméra-espionne, la splendide Beurette entamait une masturbation qui me mit, pour le moins, en émoi.—ooOoo—Épisode 26Sans cesse interrompue pour les allées et venues des vestiaires, la jeune Beurette poursuit malgré tout sa masturbation sous le regard des caméras du voyeur. Les tétons de la jeune Beurette pointaient durement, et fièrement, au-dessus de ses larges aréoles brunes. La belle gardait les yeux ouverts, et les miens restaient rivés à l’écran de mon ordinateur, qui me retransmettait en direct les images de cette séance de branlette improvisée dans les vestiaires de la salle de sport.La main droite de la jeune femme se démenait entre ses cuisses tandis que sa main allait et venait de son ventre à son pubis, puis remontait à ses seins qu’elle caressait voluptueusement, et parfois même à ses lèvres dont elle couvrait ses propres doigts de baisers humides. La beauté arabe ne semblait porter aucune attention au monde extérieur, prise dans un accès de volupté qui m’apparaissait – à moi, observateur passionné – totalement incontrôlable, et la perspective d’être surprise en pleine séance d’auto-érotisme n’avait même pas dû effleurer la jeune branleuse.À mesure que le plaisir montait en elle, ses cuisses s’écartaient, me dévoilant de plus en plus – et pour mon plus grand plaisir – sa chatte velue et frisée. J’ai bien conscience que le fait d’assister à un tel moment peut paraître totalement hasardeux aux néophytes, mais croyez-en un voyeur aguerri comme moi, ce genre de scènes n’est pas si rare pour qui sait où et comment chercher.Quoi qu’il en soit, j’étais tranquillement installé à reluquer les cuisses pleines de la jolie maghrébine pendant qu’elle s’agitait et se convulsait, comme prise de spasmes, les yeux toujours grands ouverts. De la façon dont elle s’était plantée en face de la caméra-espionne, on aurait presque pu croire qu’elle donnait son show en toute connaissance de cause.Elle me faisait face, la chatte humide plantée au beau milieu de mon écran et je balayais son corps du faisceau de la caméra avec délice. Je restais totalement ému devant la beauté de ses seins que, maintenant, la Beurette pinçait légèrement du bout des doigts.Puis elle s’arrêta net, sans que je comprenne tout de suite pourquoi. En fait, une autre personne avait poussé la porte du vestiaire. Une grande nana blonde, au physique de bimbo californienne lui faisait face, sans nullement se choquer de la nudité de la jeune maghrébine. La nouvelle venue se prépara pour rejoindre les équipements sportifs tandis que mon héroïne faisait mille et une choses inutiles, toujours en tenue d’Ève, histoire de se donner une contenance. Mais à peine la bimbo eut-elle quitté la pièce que ma belle poilue retourna à ses plaisirs en solo.Puis ce fut au tour d’une trentenaire brune aux cheveux bouclés de faire son entrée, manquant à son tour de peu de surprendre la masturbation de la Beurette vicieuse. Elle était en tenue de sport, se déshabilla juste devant ma caméra, à quelques pas de la branleuse, et se dirigea vers les douches. Dès qu’elle fut hors de portée de vue, la Beurette reprit ses jeux, se démenant – en tout cas, à ce qu’il semblait – pour jouir le plus rapidement possible. Mon écran était découpé en deux, une partie me montrant la jeunette en pleine branlette, l’autre la brune trentenaire sous la douche.J’avais presque l’impression de me faire le complice de la jeune femme, observant le comportement de la trentenaire sous sa douche, comme pour avertir la belle du retour de la gêneuse. On se demande bien comment j’aurais pu faire. Mais peu importe. Car elle touchait au but. Pour la première fois, ses yeux se fermèrent, elle pinça ses lèvres, sans doute pour étouffer le son de son orgasme.Là, ses épaules basculèrent, son bassin avança et c’était parti. Pendant une longue minute, la jolie maghrébine put déguster un plaisir durement mérité. Quand ses fesses se reposèrent enfin sur le drap de bain posé sur le banc, la brune sortit de la douche.Avait-elle compris ce qui se jouait ici ? Je l’ignore. Mais c’est en deux temps et trois mouvements que la jeune fille se rhabilla et sortit enfin du vestiaire, où elle avait tout de même passé une heure.—ooOoo—Épisode 27Notre voyeur retourne en face de l’appartement du couple libertin, qui se livre à une séance de sadomasochisme au cours de laquelle madame décide. Pour l’heure, c’est samedi soir, et je suis perché sur les toits de Paris. Après une promenade qui ne m’a pas apporté grand-chose – si ce n’est une beauté mûre qui sortait de son bain – je suis de retour en face des fenêtres du couple libertin chez qui j’ai surpris, une première fois, une partouze extraordinaire, et une seconde fois, un trio avec un jeune éphèbe black.Une soirée calme à la maison, voilà ce qu’apparaît être le programme des deux coquins. Ils dînent en tête à tête, et la conversation semble calme et détendue. Peu à parier qu’ils attendent du monde. Mais je vais planquer ici encore un moment : si rien ne se précise, il me reste la possibilité d’un nouveau terrain de jeux découvert par un ami voyeur.Quoi qu’il en soit, je reste là un moment, histoire de vérifier que rien de très pervers ne se prépare chez ce couple qui, d’après ce que j’en ai déjà vu, ne se refuse vraiment rien. Le dîner est fini. On débarrasse la table et madame allume la télé. Rien de très folichon en perspective…Un temps se passe. Puis c’est madame qui se dirige vers la chambre, laissant monsieur partir de l’autre côté, vers ce que je suppose être la salle de bain. Heureusement pour moi, ni les volets ni les rideaux ne sont jamais fermés dans cet appartement et je peux continuer à suivre les allées et venues de la dame par la fenêtre de la chambre.Elle ouvre une armoire et y cherche longuement quelque chose. Et c’est enfin que les événements prennent un tour favorable pour moi. La voici qui en sort une tenue toute en cuir qu’elle déplie sous mes yeux.Elle se déshabille, très lentement, comme si elle faisait un strip-tease à un spectateur imaginaire. Bref, j’en profite au maximum. J’ai ses deux petits seins un peu tombants dans ma ligne de mire. Rien de comparable avec la beauté beurette de la salle de sport, mais c’est tout de même très plaisant. La libertine s’asperge de talc, dont elle recouvre presque toute sa peau. Elle se baisse maintenant pour revêtir sa combinaison de cuir. Avec une aisance déconcertante, elle se retrouve vite parée d’une tenue hallucinante d’indécence.La combinaison descend du haut des épaules jusqu’au bas de ses mollets, en ne laissant que trois ajours, tout à fait impudiques. Deux trous laissent en effet passer ses seins et un autre est percé à hauteur de son mont de Vénus et jusqu’à son entrejambe, remontant de l’autre côté vers ses fesses, que je peux contempler à loisir quand elle se retourne. Ainsi vêtue, la libertine retourne à son armoire et y farfouille un long moment. La voilà qui en sort un martinet aux courtes lanières de cuir, qu’elle saisit fermement de sa main droite. Elle en claque un coup sur sa cuisse avant de reposer l’objet sur le lit.Retour à l’armoire. Nouvelle recherche. Elle dégote maintenant une cagoule de latex violet, qu’elle passe sur sa tête avant d’en refermer la fermeture Éclair. On ne voit maintenant plus que la bouche et les yeux de la libertine, qui reprend en main le martinet avant de filer de nouveau vers le salon/salle-à-manger. Elle se pose sur le canapé, en face de la télé. Elle prend la télécommande et zappe. C’est un film porno qui se joue à l’écran, où l’on voit deux starlettes – une brune et une blonde – en train de se gouiner tranquillement au bureau.Je vois ma libertine appeler maintenant en direction de la salle de bain. La soirée s’annonce perverse à souhait, car voilà qu’apparaît monsieur, entièrement nu, à quatre pattes, qui rampe littéralement jusqu’à son épouse, s’arrêtant à ses pieds, avant de recevoir une caresse sur sa tête dégarnie.—ooOoo—Épisode 28Le couple libertin poursuit ses jeux SM sous le regard de notre voyeur qui ne perd pas une miette du spectacle pervers qui lui est offert. Étrangement, la scène à laquelle j’assiste n’a rien de grotesque. Au contraire, il y a un certain érotisme qui se dégage à la fois de ce couple et de ces jeux aussi variés. Les voici qui passent de la partouze générale au trio avec un jeune Black et maintenant aux jeux de domination SM.Il est à genoux, en face de sa femme qui reste lovée dans le canapé. Il attend les ordres. Je la vois maintenant qui écarte les genoux, ouvrant ses cuisses, et appuie sur la nuque de son mari pour attirer sa bouche à elle. D’une main, elle tient une télécommande avec laquelle elle zappe d’une scène porno à l’autre sur son lecteur DVD ; de l’autre, un martinet dont elle n’a pas encore fait usage.Monsieur s’applique. Je zoome sur la chatte de sa femme, dans laquelle il est plongé aussi loin qu’il est possible. Grâce à mes jumelles, je peux voir jusqu’à sa langue qui travaille le clito gonflé. Madame, elle, est affalée sur le sofa, les jambes tendues vers le sol et profite au maximum des caresses buccales.Ça y est. Elle claque maintenant quelques légers coups de martinet sur le dos nu de son homme, juste pour le symbole, car celui-ci ne semble pas ressentir de douleur trop importante. Elle relève une jambe et, d’un geste leste, l’entortille au-dessus de la nuque de son esclave, le plaquant encore un peu plus entre ses cuisses. L’autre jambe suit et c’est dans un étau que monsieur, désormais, doit prodiguer son cunnilingus. Je peux distinguer sur les lèvres de madame que celle-ci parle à son homme, d’un ton que j’imagine sévère, mais juste. Je l’imagine l’encourageant, de mots durs et doux, à bien la lécher.Les coups de martinet se font plus précis, plus secs. Madame s’énerve sur le dos de sa pauvre victime, dont la peau rosit légèrement à chaque nouveau contact des lanières de cuir. Elle a un peu tourné la tête, de sorte que sa cagoule de latex ne me permet plus de suivre le mouvement de ses lèvres. Ça n’est plus tout à fait un jeu. Tortillant du bassin, madame redouble des coups de martinet sur la peau nue de son mari. Il se débat un peu, mais il ne peut se dégager, prisonnier des cuisses puissantes de sa dominatrice. Alors, reprenant une seconde son souffle, il replonge de plus belle entre les lèvres de la maîtresse SM.Voilà la raison de l’emportement de la libertine : elle s’apprête à jouir. La voici qui se convulse, retenant toujours son mari prisonnier du cunni qu’il lui offre. Son bassin s’agite en tous sens. Elle doit lui crier son bonheur dans tous les mots qui servent à asservir et à humilier. Il est là, docile, et il ne cesse de lécher le sexe de son épouse.Ça y est. Elle vient de jouir. L’étau des cuisses se desserre, elle se dégage lentement. Mon attention est détournée de la scène par des bruits en contrebas, sur un toit inférieur. Je me penche, mais l’obscurité ne me permet pas de distinguer quoi que ce soit.Sans doute un chat. Je retourne à mon couple libertin. Madame est maintenant à quatre pattes sur le canapé, sa croupe, laissée nue par la combinaison de cuir, tendue vers le visage de son homme. Il s’agrippe d’un geste doux et caressant aux cuisses de la domina, prenant soin de ne pas abîmer le cuir de la combinaison puis, de la même manière qu’il l’avait fait pour sa chatte, plonge la tête entre les deux belles fesses de son épouse.Je vois à nouveau la bouche de la maîtresse, laissée libre par la cagoule. Elle gueule comme une damnée son envie – que dis-je ? sa volonté – de sentir la langue de ce docile esclave au fond de son cul. Mais elle a beau hurler, monsieur est déjà appliqué à prodiguer une parfaite feuille de rose, la langue plantée dans l’arrière-train de son épouse dominatrice.—ooOoo—Épisode 29Alors que notre voyeur continue à mater le couple libertin en plein délire sado-maso, il s’aperçoit qu’il n’est peut-être pas le seul à profiter de la vue sur les fenêtres de l’appartement. Une chose que je n’ai pas remarquée, pendant toute la séance de domination de la libertine sur son mari lécheur, c’est que celui-ci n’a pas cessé de bander pendant toute la durée du cunnilingus et de la feuille de rose que sa femme lui a imposés. Or, c’est un fait important, car la maîtresse dominatrice a bien l’intention de profiter de cette érection. Elle fait s’asseoir sa victime sur le rebord du canapé puis se lève, lui faisant face, avec cette attitude autoritaire dont elle ne s’est pas départie depuis le début.Elle a reposé la télécommande du lecteur de DVD sur la table basse et c’est maintenant du bout des lanières de cuir du martinet qu’elle caresse lentement les couilles et la bite de son mari, qu’elle entend bien utiliser comme bon lui semble. Il reste là, servile, attendant fébrilement le moment où son plaisir se transformera en douleur. Mais il n’en est rien. Elle s’agenouille à son tour en face de l’intimité de son homme, se penche vers elle et prend le gland dans sa bouche. Je connais ses talents de suceuse depuis la première orgie espionnée chez ce couple déluré.Là, elle se contente du gland, qu’elle aspire entre ses lèvres, couvre de salive avec sa langue. Cette fois, elle saisit les deux petites couilles de son homme dans le creux de sa main et, tout en poursuivant la fellation, les serre entre ses doigts. Il a un léger mouvement de recul, provoqué par la douleur, que son épouse dompte sans coup férir.Elle attrape des yeux son regard, le gland turgescent toujours collé entre ses deux lèvres et commence à tourner le poignet, de sorte que les deux testicules s’en trouvent maltraités, pour ne pas dire torturés. Je vois le type beugler de douleur.Pourtant, il bande toujours aussi dur. Madame relâche un peu la pression, recrache la bite qui me semble aussi dure qu’il est possible. D’une main, elle saisit de nouveau le martinet et en assène un coup violent sur le torse de son époux. Elle se redresse maintenant. Il y a encore du bruit tout près de moi. Je cherche du regard pour voir si un autre mateur ne s’est pas invité à la fête. Dans la pénombre, je n’aperçois rien, même pas une forme qui pourrait être à l’origine de ces bruits.Entretemps, madame s’est assise sur les genoux de son époux. Elle fait glisser les lanières du martinet contre son torse. Son érection fait toujours plaisir à voir. Prenant appui au sol, elle se redresse un instant pour se laisser retomber sur la bite du mari, se l’enfilant d’une traite, écrasant de son poids les couilles maltraitées. Il n’est plus qu’un gode humain, sur lequel madame s’empale avec délice. Elle va-et-vient sur le membre, avec un mélange d’agitation et de contrôle de soi, qu’elle agrémente de plusieurs coups de martinet sur le torse de l’esclave.Je peux voir ses petits seins ballotés au rythme de la cavalcade. D’un geste, elle envoie valser le martinet au loin, se saisit des tétons de son homme et, tout en continuant à se baiser elle-même sur la bite tendue, pince et griffe son objet sexuel. Elle lui parle tout en s’empalant : j’imagine qu’elle lui ordonne de ne pas jouir de suite, tant le mec a l’air d’être au bout de son propre plaisir.Je rate le bouquet final car, à nouveau, du bruit se fait entendre à mon aplomb. Cette fois, je peux distinguer une forme humaine qui s’enfuit vers un autre toit. Pas de doute : c’est le même voyeur que la fois précédente. Il me faut en avoir le cœur net.Alors, je me lance, aussi prudemment qu’il est possible sur les toits rendus glissants par la pluie, à la poursuite de la silhouette qui se carapate dans la nuit.—oooooOOOOOooooo—Épisode 30Toujours planqué dans l’hôtel de passe, notre voyeur se remémore la partouze qu’il a pu mater pendant une partie de la nuit. Mais quand, enfin, les stores de l’appartement de son concurrent s’ouvrent, une surprise l’attend. À la première heure du jour, le lendemain matin, je suis déjà à la fenêtre à épier l’appartement de l’autre voyeur, espérant enfin démasquer mon concurrent. Ses volets se sont refermés, et il ne semble pas devoir émerger avant un moment. Il faut dire qu’il a dû mater les clients de l’hôtel pendant un bon moment.Quand le vieux salaud eut fini de tirer sa pute antillaise – ce qui fut vite fait – un jeune mec aux allures bourgeoises a débarqué à son tour dans le boui-boui et s’est installé dans la chambre à côté de la mienne. Au bout de quelques minutes, ce sont deux jeunes femmes, une Slave et une Africaine, qui l’ont rejoint dans sa chambre.Deux professionnelles, manifestement. La partouze a duré toute la nuit. Le jeune a d’abord fait déshabiller les deux jeunes femmes devant lui, allongé sur le lit. Pas une seconde ils n’ont pensé à tirer les rideaux. Les deux filles étaient roulées comme des déesses. Deux belles femmes au corps fin et bien dessiné, qui roulaient des hanches avec un savoir-faire savamment entretenu.Le jeune gars a sorti sa queue, et les deux filles ont commencé à se gouiner pendant qu’il se branlait. Du voyeurisme tarifé, en somme. La jeune Africaine frottait sa poitrine à celle de la petite Russe, et cette dernière semblait y prendre un vrai plaisir. Quand la pute noire s’est mise à genoux pour lécher sa chatte, la blondinette avait l’air d’être très proche de l’orgasme. Puis les deux jeunes femmes ont rejoint leur client sur le lit, non sans avoir éteint la grande lampe nue de la chambre. Heureusement pour moi – et pour l’autre voyeur, sans doute – elles laissèrent allumée la salle de bain, de sorte que je pus continuer à mater en ombres chinoises. J’adore ce genre de spectacles : vous voyez des formes se dessiner, des corps se rejoindre, et il faut un effort d’imagination, parfois intense, pour reconstituer la réalité des scènes qui se déroulent devant vous.Là, l’une des filles – que je ne parvenais plus à distinguer l’une de l’autre – s’était empalée en amazone sur le chibre du jeune gars tandis que l’autre lui faisait face, assise carrément sur le visage du client. Pendant que l’une chevauchait avec passion la bite du jeune homme, l’autre se faisait lécher tout en échangeant des baisers langoureux avec sa complice.Les deux professionnelles me semblaient authentiquement lesbiennes. Autant elles satisfaisaient avec dévouement les caprices de leur jeune client, autant elles prenaient plaisir à se gouiner gentiment. Pendant toute cette chevauchée fantastique, leurs deux bouches ne se décollèrent pour ainsi dire pas l’une de l’autre. Idem quand le gars les fit mettre toutes les deux à quatre pattes pour les sauter alternativement. Les deux filles semblaient très complices et s’embrassaient tout en subissant les assauts de leur pervers client.Bref, la soirée fut chaude, très chaude et se prolongea jusque tard dans la nuit. Il est déjà midi, et le voyeur d’en face n’a toujours pas ouvert ses volets. Peut-être est-il déjà parti. Non : les stores commencent à s’ouvrir. Je vais enfin voir le visage de mon concurrent. Évidemment, le dispositif est vieillot et les volets coincent un peu.Là, je ne peux vous dire ma stupeur. De l’autre côté de la vitre, c’est clairement un visage féminin qui apparaît devant moi. Une jeune femme blonde, avec de longs cheveux filasse, le teint clair, les yeux bleus. Si je m’attendais à ça ! Mon concurrent voyeur vit en couple, et sans doute sa petite amie ignore tout de ses activités nocturnes.—ooOoo—Épisode 31Notre voyeur suit sa concurrente jusqu’aux abords d’une fac de lettres où celle-ci semble avoir ses habitudes de mateuse de jeunes et jolies étudiantes en tenues de printemps. Après mûre réflexion, j’ai changé d’hypothèse. Je me suis fait à l’idée que mon voyeur est peut-être une voyeuse et que la jeune femme que j’ai vue par la vitre est peut-être mon concurrent. Après tout, et à bien y réfléchir, l’ombre que j’ai suivie dans la nuit avait quelque chose de félin – peut-être de féminin – dans sa fuite éperdue sur les toits de Paris.Il me faut en être sûr. Non pas que la présence d’un autre voyeur devant l’appartement des partouzeurs me gêne, mais je suis de plus en plus intrigué par cette présence – féminine ? – quand je me rince tranquillement l’œil. Je n’ai pas libéré ma chambre d’hôtel. Le réceptionniste est circonspect sur mes activités : il ne doit pas être habitué au fait qu’un client lui loue une chambre pour plus de quelques heures. Peu importe. Je me poste devant la fenêtre en attendant que la jeune femme veuille bien sortir de sa tanière.En fin d’après-midi, la voici qui fait son apparition dans la rue, passant la grande porte cochère qui ne ferme pas. Je me précipite à l’extérieur pour la filer un moment. Après tout, elle ne peut pas me reconnaître ; elle ne connaît peut-être même pas mon existence. Elle descend dans une bouche de métro ; je la suis à distance. Elle va vers le sud de la ville et je lui file le train jusque dans la rame de métro. Pas de chance pour moi et pour mes velléités de discrétion : le métro est presque vide. Elle s’installe sur une banquette et je me décide à m’asseoir juste en face d’elle.Planqué derrière un journal ramassé à la hâte sur le quai, je dévisage aussi discrètement que possible la jolie blonde. Car elle est plutôt jolie, et même franchement charmante, malgré ses cheveux filasse et mal entretenus. Étrange, son visage m’est familier. Mais où donc ai-je pu la voir ? Son attitude est étrange, elle semble agitée. Peut-être m’a-t-elle dans le collimateur ? Ou peut-être suis-je en pleine crise de parano ? Quoi qu’il en soit, il faut que je retrouve où j’ai déjà vu cette frimousse.Après un changement et un nouveau trajet, elle finit par sortir du métro à la station Censier-Daubenton. Là, elle fait quelques dizaines de mètres pour s’installer dans un café qui fait face à la fac. Elle s’installe à une table le long de la baie vitrée et commande un thé. Je l’ai suivie jusqu’à l’intérieur : ma curiosité est plus forte que mon envie de rester discret. Très vite, je comprends que la jeune blonde est bien ma voyeuse. Je le comprends au défilé incessant de jeunes et jolies étudiantes, en tenues légères, qui passent en tous sens dans la rue, dans le café et sur le parvis de la faculté, juste de l’autre côté de la chaussée.Et au regard inquisiteur de la voyeuse. Elle repère tout, avec une vivacité qui m’impressionne. Là, une étudiante se baisse pour ramasser un papier sur le trottoir, découvrant ses cuisses nues sous sa jupe. Je suis sur le coup, mais je m’aperçois que la blondinette n’en rate pas, elle non plus, une miette. Quel meilleur endroit que cette fac pour mater de jolies jeunes femmes ? Cette fois, plus de doute : c’est bien une voyeuse, et non un voyeur, qui partage avec moi le spectacle de l’appartement du couple échangiste.Un mystère demeure cependant. Plus je la regarde, et plus je me dis que j’ai déjà vu cette tête quelque part. Il va être 18 heures ; l’activité de la fac ralentit petit à petit. Ma voyeuse règle son addition. Moi aussi. Je lui laisse quelques mètres d’avance et lui emboîte le pas. Avec un peu de chance, la voyeuse va me faire profiter – même involontairement – de quelques bons plans.—ooOoo—Épisode 32Toujours accaparé par l’idée d’être concurrencé par une femme voyeuse, notre mateur s’offre un moment de détente en regardant les enregistrements espions du club de gym, où le prof s’en donne à cœur joie. Finalement, la voyeuse est rentrée directement chez elle. J’en ai profité pour récupérer mes affaires, régler la note de l’hôtel et faire de même. À chaque jour suffit sa peine : j’ai commandé une pizza et me voici devant mon ordinateur, à visionner les images enregistrées par mes caméras dans le vestiaire du club de gym. Pas de panique, mesdames : je me contente d’enregistrer ce que je ne peux pas voir en direct, mais je détruis consciencieusement les fichiers ensuite.J’ai donc scruté l’enregistrement en avance rapide, en quête des moments croustillants. Outre les habillages et déshabillages de ces demoiselles – toujours des moments très intéressants – il y avait ce sacré prof de gym, qui niquait à tout va. Des brunes, des blondes et des rousses, des Blanches et des Noires : c’est dingue le nombre de nanas que, en trois jours, le mec s’était tapées. Tout avait commencé l’avant-veille au matin, avec une grande bringue aux cheveux auburn, à la carrure de nageuse est-allemande et aux seins d’héroïne de comics américains.La fille, la vingtaine, s’était déshabillée l’air de rien, avant sans doute d’enfiler une combinaison de gym. Elle fut interrompue : le prof. Il s’approcha d’elle, échangea quelques amabilités et lui fit la bise. Puis il la bascula en arrière, dévorant les larges aréoles de ses seins, trop gros pour sa bouche. La fille eut à peine le temps de s’accrocher à la poutre apparente de son entraîneur, qui lui rendit les plus beaux hommages pendant cinq courtes, mais intenses, minutes. Puis ce fut le tour d’une brunette à la peau mate, plus tard dans la matinée. Toujours la même technique :— Tiens, salut, comment tu vas ? Prête à transpirer ?Et pan ! En deux temps, trois mouvements, l’affaire était dans le sac.À croire qu’aucune des plus jeunes et jolies adhérentes du complexe sportif ne résistait au charme – et à la musculature – de ce Casanova des tapis de sol, de ce Don Juan du stepping. Jusqu’à des femmes plus mûres, et qui auraient été sans doute moins désirables si elles ne s’étaient révélées de vrais volcans.À la fin de l’enregistrement de la veille, j’ai repéré une femme blonde comme les blés, la quarantaine – peut-être même la cinquantaine – qui revenait, encore toute humide de transpiration, de la salle de gym. Elle se déshabilla prestement, révélant un corps d’une minceur incroyable, une poitrine à peine naissante et un cul presque plat mais ferme.Elle a filé sous la douche, vite rejointe par une autre dame qui, visiblement, était une amie proche. Sensiblement le même âge, mais pas du tout le même physique : elle était brune, un corps rond, une paire de seins énorme. L’exact inverse de sa copine de sport.Elles étaient nues ; la douche se mit à couler. Puis elles se mirent à se savonner l’une l’autre, langoureusement. Chouette ! J’allais assister à une séance de baise lesbienne. J’adore !Mais c’était sans compter avec le prof et son besoin compulsif de niquer tout ce qui bouge. L’homme a fait son entrée dans le champ de mes caméras et s’est déshabillé à son tour, bandant ses muscles autant que sa queue. Il a rejoint les deux gouines sous la douche et ce fut à son tour d’être savonné et massé avec délicatesse. Ce petit jeu de badigeonnage à quatre mains dura un long moment avant que le prof ne se décide à culbuter, chacune à son tour, les deux femmes mûres sur le carrelage des douches du club.Un moment après qu’ils eurent fini, alors que je m’apprêtais à passer à l’enregistrement du jour même, une silhouette fit son apparition. Le type de l’entretien ! Il est monté à un escabeau, armé d’une boîte à outils, en direction des caméras-espionnes. Je pus alors voir son visage : aucun doute, il m’était familier. Cet homme n’en était pas un : c’était la fille blonde, la voyeuse qui me concurrençait, décidément partout où j’allais mater.Et puis, plus rien : elle avait débranché le dispositif.—ooOoo—Épisode 33Notre voyeur entreprend une filature de la perverse blonde qui, déguisée en homme, se rend tout droit vers un cinéma porno du quartier où elle va pouvoir mater un jeune homme black en branle. Ma découverte m’avait choqué. Le type de l’entretien qui dépose des caméras-espionnes un peu partout dans Paris n’est autre que la voyeuse des toits de Paris. Dès le lendemain, je me retrouve de nouveau dans la chambre d’hôtel qui fait face à l’immeuble de la petite perverse. J’espère pouvoir la voir sortir et la suivre à nouveau dans ses pérégrinations à travers la capitale. En reprenant cette même chambre, j’ai éveillé la curiosité du réceptionniste qui, décidément, ne comprend pas bien ce que je suis venu faire là. Il m’a proposé de la compagnie en précisant « garçon ou fille : ici, on ne juge pas ». Très bien, le gars est aussi maquereau à ses heures.Me voilà donc scotché à la fenêtre, partiellement dissimulé par la paire de rideaux brinquebalante, attendant la sortie de la jeune blonde. Or, ce n’est pas elle que je vois passer la lourde porte cochère de l’immeuble, mais bien l’agent d’entretien, dans son bleu de travail, avec sa casquette vissée sur la tête. Elle s’est de nouveau travestie, ce qui suggère qu’elle part en « mission » pour planquer quelque caméra-espionne je ne sais où dans Paris. Il me faut à nouveau la suivre. Je descends donc les escaliers, repasse devant le réceptionniste, de plus en plus intrigué par mon manège. La filature ne dure pas longtemps. La jolie blonde – ou l’agent d’entretien, devrais-je dire – se dirige tout droit vers un cinéma porno du quartier, en fait l’un des derniers de Paris. L’homme – ou la femme – y a manifestement ses habitudes, puisque la guichetière le salue comme on salue un vieux pote.Il entre dans le cinéma. Je lui emboîte le pas, m’acquittant du prix d’entrée. Une fois dans la salle plongée dans une semi-pénombre, je découvre un film qui ne semble pas avoir été tourné la veille : ici, on projette du cinéma X des années 70. À cette heure de l’après-midi, la salle de projection est déjà bien fréquentée. Des dizaines d’hommes, disséminés dans tous les coins, reluquent le film avec un air faussement détaché. Certains se cachent sous leurs manteaux pour se branler, d’autres le font plus ostensiblement.C’est à quelques fauteuils de l’un d’entre eux que s’assied ma jolie blonde. Elle est à quatre rangées de ce grand et jeune Black, qui astique un manche épais et long au vu et au su de tout le monde. L’air de rien, elle mate le gros chibre autant que le film. De mon côté, je choisis de m’installer juste derrière elle, de sorte qu’elle ne peut me voir qu’en se tordant totalement le cou. De toute façon, l’agent d’entretien travesti ne s’intéresse pas du tout à ma présence, plus occupée à se lécher les babines devant l’énorme engin du jeune Black. À un moment, repérant l’homme assis à quelques mètres de lui, le jeune gars se tourne vers notre voyeuse, ignorant bien sûr qu’il s’agit d’une femme, et lui lance :Piquant un fard, la coquine décline l’invitation d’un mouvement de tête. Pas plus gêné que ça, le Black continue de se branler. Il doit être là depuis un moment, car il est tout près de jouir. Profitant de ce que le mec a basculé sa tête sur le dossier de son siège, les yeux mi-clos, la jeune femme ne se gêne plus pour reluquer, jusqu’à ce que le type se mette à se convulser, un flot gigantesque de foutre jaillissant de sa bite qui semble dure comme la pierre.Ma voyeuse est venue dans ce ciné pour mater des hommes se branler : quoi de plus logique, finalement ? Mais un mouvement de foule, vers l’entrée de la salle, vient me contredire. Les mecs s’affolent en voyant un couple dans la cinquantaine faire son apparition dans le cinéma. Certains y voient une occasion, d’autres une menace, remballant leurs attributs précipitamment dans leur pantalon.—ooOoo—Épisode 34En filature, tentant de percer le secret de la voyeuse déguisée en homme, notre héros se retrouve dans un cinéma porno de Paris, quand un couple libertin dans la cinquantaine fait son apparition dans la salle obscure. Le couple mûr est installé dans la même rangée que moi, à quelques encablures. Le monsieur est assis à deux fauteuils de moi, sa femme directement à sa gauche. Les plus téméraires des spectateurs du cinéma porno s’approchent : certains par la rangée de derrière, pendant que d’autres viennent s’agglutiner vers moi.C’est un coup à se faire repérer par ma voyeuse. D’autant que celle-ci, plus ingénieuse que les autres, a sorti un petit miroir avec lequel elle reluque, dans la meilleure position possible, le couple que chacun suppose exhibitionniste.Le monsieur est un homme athlétique, un vieux beau qui porte fièrement une calvitie prononcée. Il n’a pas de bide et semble plutôt costaud. La dame, elle, à ce que je peux en voir, caché derrière ma main pour éviter le regard de ma voyeuse, a plutôt fière allure. Fausse blonde, maquillée avec goût, elle exhibe dans une tenue sexy un décolleté vertigineux qui fait loucher tous les gars venus la mater depuis la rangée de devant.Elle a beau avoir du kilométrage, comme on dit, la libertine sait faire bander son homme. À sa façon de regarder le film à l’écran, sans se préoccuper de la masse conséquente de types dont plusieurs ont la bite à la main, qui la regardent et tentent de s’approcher d’elle, on voit tout de suite qu’elle n’en est pas à sa première sortie du genre.J’arrive à voir la main gauche de son mari posée sur sa cuisse gauche et qui remonte sa jupe d’un geste à la fois cavalier et naturel. Ça y est, elle a elle aussi posé la main sur la braguette de son époux et, à ce que je peux en deviner, sur celle du chanceux qui a pu s’installer à sa gauche. Soudain, elle se tourne vers moi. Pour mieux embrasser langoureusement son mari. Celui-ci sort sa queue de sa cachette et pousse la tête de sa femme vers le bas. Voici la mûre libertine en train de réaliser un pompier magistral à son légitime époux, alors que les spectateurs tentent, les uns bousculant les autres, de profiter de l’occasion pour peloter un peu la formidable poitrine.Je jette un coup d’œil en direction de ma voyeuse. Elle n’en perd pas une miette. Peu de risque que je sois repéré : la salle est tout de même obscure ; on y distingue mal les visages et, de toute façon, elle semble, toujours bien cachée sous son déguisement d’homme, trop absorbée par la scène qu’elle reluque dans le petit miroir. Saut de puce : je prends place sur le fauteuil à ma gauche. Je suis maintenant directement à côté du monsieur ; les longs cheveux de la libertine, concentrée sur sa pipe, me frôlent presque. Je dois tout de même faire attention car je peux à tout moment entrer dans le champ de vision de la voyeuse.Je lance de temps à autre un regard dans sa direction, histoire de vérifier qu’elle ne m’a pas vu. Aucun risque : la jeune femme a carrément plongé sa main dans son pantalon et se masturbe, les yeux toujours rivés sur la petite glace qui lui permet de mater le couple. Impossible de deviner chez cette fille, même en pleine branlette, qu’elle n’est pas un homme. Bien sûr, de mon côté, je la vois bien en train de masturber sa chatte sous son pantalon ; mais le commun des spectateurs de ce ciné porno n’a aucune chance de ne pas la prendre pour un voyeur un peu trop pudique. À mon tour de me faire du bien. Tandis que des mains de plus en plus nombreuses s’abattent sur les seins et la croupe de la suceuse, j’ouvre ma braguette et sors ma queue : ce n’est pas tous les jours qu’on peut jouer les mateurs à un souffle de sa victime.À peine ai-je extrait ma bite dans l’intention de me branler en regardant la superbe fellation administrée par la vieille libertine à son homme, que cette dernière lance sa main dans ma direction et, d’un geste assuré et vif, prend possession de mon érection.Madame est une gourmande ; on va bien s’amuser…—ooOoo—Épisode 35Dans la salle de ciné X, l’ambiance devient de plus en plus chaude. La voyeuse, travestie en homme, se masturbe sous son pantalon tandis que notre voyeur se fait tranquillement sucer par une vieille libertine exhib’. Ma voyeuse n’en finit pas de se masturber tout en regardant la libertine mûre sucer son mari et branler toutes les queues qui passent à portée de ses mains, dont la mienne. Elle semble se régaler de la scène orgiaque à laquelle elle assiste, tranquillement installée dans un fauteuil de ce cinéma. Elle est du genre à tout prévoir – c’est bon à savoir – armée de cette petite glace qui lui révèle tout de ce qui se passe dans son dos sans qu’elle ne se trouve dans le besoin de se retourner. La libertine exhibitionniste me branle incroyablement bien. Sa peau est douce, son geste est tout ce qu’il y a de plus ferme, sans être violent.Je me suis moi aussi laissé tenter, et je pelote maintenant l’un de ses seins, qu’elle a encore fort jolis pour son âge. Déjà, un jeune Black un peu bouboule, assis derrière elle, a remonté sa jupe et lèche par derrière une chatte que j’imagine trempée d’excitation. Le mari, lui, regarde tranquillement le porno pendant que sa femme le suce. Il doit bien être le seul. Car désormais, même les plus timides et les plus paranoïaques des spectateurs du cinéma X n’ont d’yeux que pour sa femme, qui démontre des facultés assez incroyables pour la gorge profonde. Ils ne se doutent pas qu’une autre femme est présente, déguisée en homme, la main plongée dans son pantalon.Un instant, les yeux du mari quittent l’écran sur lequel on peut voir une jeune bimbo brune se faire défoncer en levrette par un gros braquemart noir. Sans doute que cela lui a donné des idées. Il fouille un instant dans sa poche, de mon côté. Je le vois ressortir l’étui d’une capote, qu’il tend ostensiblement au jeune Black qui, quant à lui, n’en croit pas ses yeux.Fébrilement, il enfile le latex le long de sa bite courte et dodue et approche sa queue du cul de la libertine. Celle-ci déglutit un instant la bite de son mari, juste le temps d’apprécier la fermeté de la pénétration. Elle me lance alors un regard salace, toute fière d’être ainsi libérée et d’assumer ses penchants pour le sexe avec des inconnus.La couguar libertine s’appuie sur les cuisses de son mari pour avancer la tête vers moi. Son homme l’y encourage, et la pression des doigts de la dame se relâche sur ma queue, pour y être remplacée par sa bouche humide et douce.Me voici délicieusement pompé par cette femme exhibitionniste qui râle sur mon érection des coups de bite que lui administre le jeune Africain. Je suis tout à mon plaisir. Cette femme est une suceuse de talent : elle fait tournoyer sa langue sur mon gland puis pompe, les joues creusées, jusqu’à descendre à la limite de mes couilles. Le mari a maintenant la bite entre les seins de sa femme et se branle tout en la regardant se faire défoncer par un inconnu, la bouche occupée par le sexe d’un parfait étranger. Il semble prendre son pied. Mais il y a un problème. En se précipitant sur moi, la libertine a, du coup, déplacé le centre des attentions de ma voyeuse vers ma queue.Tout heureux de profiter de ce moment chaud, je ne me suis pas méfié. Je n’ai plus qu’à espérer qu’elle ne s’est rendu compte de rien. Je jette un œil de son côté. La jeune femme a étendu ses jambes loin devant elle. Elle semble avoir de plus en plus de difficultés à orienter convenablement son miroir pour assister à cette partie de baise.La voilà qui jouit maintenant. J’ai l’impression que ses soupirs, plutôt aigus, vont la trahir aux yeux de tout le monde. Mais il n’en est rien. Elle se lève tranquillement et prend la direction de la sortie. Au diable ma filature : la vieille libertine me suce trop bien, et j’ai très envie d’assister à la suite des opérations.—ooOoo—Épisode 36La partouze se poursuit dans la salle de ciné porno où a atterri notre voyeur. Celui-ci profite au maximum de la dépravation du vieux couple libertin et de la magnifique poitrine lourde de la couguar exhibitionniste. Les hommes sont de plus en plus nombreux et de plus en plus proches de la libertine qui me suce dans ce cinéma porno, tout en se faisant tringler en levrette. Le petit Black rondouillard a fini depuis longtemps, mais il a été remplacé par un autre jeune gars, blanc, un rouquin assez maigre à la longue queue fine, qui s’en donne à cœur joie à baiser une femme qui a l’âge d’être sa mère. Il bourrine le cul de la dame comme un sauvage, ce grand roux ! Sous les à-coups, elle a de plus en plus de mal à me garder en bouche… Tant pis pour moi, je peux tout de même peloter se poitrine lourde tandis qu’elle fait de son mieux pour me sucer. Voilà, le jeune gars vient de sortir sa queue. Il n’a pas le temps de retirer sa capote avant de jouir, ce qui provoque l’hilarité générale. Avant de retourner à sa pipe, la libertine me regarde dans les yeux :— Tu peux jouir dans ma bouche si tu veux : j’ai envie de boire du sperme.C’est vrai que ça fait un bon moment que je me retiens, mais davantage pour profiter le plus longtemps possible du spectacle que par considération pour la dame.Car il faut bien reconnaître qu’elle suce magnifiquement, cette cochonne. Mais, à force de me retenir, ça ne vient plus du tout. Le mari, voyant que la situation n’est pas près de se débloquer, ordonne à son exhibitionniste d’épouse de changer de position. Il l’installe sur son fauteuil, la tête de l’autre côté du montant du siège, en direction de la foule de gars qui attendent leur tour dans la rangée de derrière.Alors que sa femme fait de son mieux pour offrir ses lèvres à un maximum de mecs, je vois le libertin appuyer son gland sur l’anus de la dame, qu’il a préalablement enduit de salive. D’une traite, son dard disparaît dans le cul miraculeusement ouvert. Loin d’être emportée par la douleur, la couguar libertine suce toutes les bites qu’on lui présente, allant de l’une à l’autre comme une morte de faim. Elle en pompe des courtes, des longues, des épaisses et des fines, elle en dévore des blanches et des noires ; elle fait plaisir à voir, à se régaler de la sorte.De mon côté, je n’ai plus accès à sa bouche. Alors je me branle d’une main, l’autre malaxant avec délice ses gros seins lourds qui pendent de mon côté du fauteuil. De temps à autre, j’arrive à frotter mon gland contre son téton, ce qui me vaut les sourires complices du mari enculeur. J’ai l’expérience de ce genre de plan. Je sais que, en général, quand monsieur rend les armes en jouissant, la partie est sur le point de finir. Alors, quand je vois les yeux du mari se révulser et ses coups de reins se faire de plus en plus secs dans le cul de madame, je sais que je dois prendre les devants. Frottant ma queue contre l’opulente poitrine, je me masturbe comme un damné, cherchant à éjaculer vite et bien. Et je finis par me répandre en grands jets de foutre, dont certains viennent maculer les seins de la libertine. J’avais raison car, dans l’instant qui suit, c’est au tour du mari de prendre son pied.Il se déverse directement dans le cul de sa femme, qui se retourne vers lui, un large sourire aux lèvres. Le couple réajuste ses fringues et sort comme il était venu de la salle de cinéma. Je leur emboîte le pas. Il fait presque nuit dehors ; j’ai totalement perdu la notion du temps dans cette salle obscure. Il faut que je retrouve ma voyeuse, ou plutôt l’agent d’entretien en lequel elle s’est grimée. Pas la peine : le faux moustachu attend à l’entrée du cinéma, une clope au bec. Me laissant passer devant elle, la voyeuse m’agrippe par le bras.— Toi, il faut qu’on cause.Mon sang ne fait qu’un tour. Je suis repéré. Je décide de suivre sagement l’agent d’entretien dans le café le plus proche. Il trouve une table libre, commande deux demis et me fixe directement dans les yeux. J’ai perdu la main, mais il me reste peut-être un atout dans la manche.—ooOoo—Épisode 37Découvert, notre héros révèle à sa voyeuse qu’il n’ignore rien de ses activités, qu’il sait parfaitement qui elle est. Celle-ci l’entraîne chez elle, et notre voyeur finit par succomber aux charmes de son alter ego féminin. Ma voyeuse – ou plutôt l’agent d’entretien en lequel elle s’est déguisée – se lance :— Écoute, je sais très bien qui tu es. Je sais que c’est toi qui mates le couple échangiste depuis les toits. Je sais que c’est toi qui as piraté mes caméras dans la salle de gym. Je ne t’en veux pas, c’est de bonne guerre. Je trouve qu’au contraire, entre mecs, on devrait pouvoir s’aider.Bingo ! Ma voyeuse n’a pas compris que je connaissais sa véritable identité de femme. Il me reste une carte à jouer. Je lance un rapide coup d’œil alentour, pour voir si aucun client du café où nous nous sommes attablés ne peut m’entendre. Je réponds, après un long silence :— Je ne demande pas mieux qu’une coopération.Dans ses yeux, je perçois une grande satisfaction, presque un soulagement. L’entraide entre voyeurs a toujours été une tradition à Paris. Rien que de très normal. Elle a de beaux yeux, ma voyeuse, une belle peau, une belle bouche. Bref, c’est une jolie femme.— Comment tu vois les choses ? poursuit-elle.— Comme tu voudras : je suis toujours prêt à partager mes bons plans avec une belle demoiselle.Elle tombe des nues. La voici cernée, à ma merci. La voyeuse pique un fard. Je la rassure immédiatement :— Ne t’inquiète pas : avec moi, ton secret est bien gardé. Tu ne veux pas quitter ce costume ridicule ? Ce serait plus sympa pour causer, non ?Elle vide d’un trait son demi. Je l’imite.— Viens, me fait-elle, il faut que je te montre quelque chose.Elle me prend par la main. Elle est douce. Elle m’entraîne hors du café et, toujours main dans la main, nous poursuivons en direction de son appartement. Je ne vous explique pas la tête des passants, me voyant marcher dans la rue aux côtés de cet agent d’entretien… Nous arrivons finalement vers son immeuble.— C’est chez moi, me lance-t-elle.Ça, merci, je le sais déjà. Nous montons les escaliers et entrons dans son appartement. Son QG, devrais-dire : ici, ce n’est qu’un énorme barda d’objets, tous destinés à se déguiser ou à jouer les voyeurs. Pour moi, une véritable caverne d’Ali Baba. J’y retrouve même des ustensiles dont le brevet est à mon nom.Ma voyeuse file se changer, en me proposant de nous servir un verre. Il n’y a qu’un whisky de mauvaise qualité. Je rince deux verres à pied dans l’évier et verse la boisson à ras bord. Il faudra bien ça. En attendant le retour de ma voyeuse, j’inspecte mieux son appartement. Elle doit être actuellement dans sa chambre ; mais cette pièce-ci n’est qu’un fouillis qui révèle tout de sa passion pour le voyeurisme : jumelles, appareils photo en tout genre, dispositifs incroyables de miroirs…La voyeuse refait surface, habillée d’une petite robe qui, pour le coup, met tout en valeur de sa féminité. Elle est belle. Elle me fait craquer. Nous buvons un coup avant qu’elle ne me sorte un ordinateur portable sur lequel ne se trouvent que d’innombrables vidéos réalisées par ses soins : dans la première que nous visionnons, un jeune couple baise lubriquement dans une cabine d’un grand magasin où ma voyeuse a placé non pas une, mais trois caméras. La seconde est un florilège de dessous de jupes qu’elle a filmés grâce à un faux saxophone. Et ça n’en finit pas.Un second verre. Nous parlons de nos meilleurs souvenirs de voyeurisme. Nous rigolons beaucoup, et échangeons nos bons plans. Cette fille me plaît. Elle est comme moi, en femme : vicieuse, voyeuse, sans-gêne. Elle commence à être bourrée. Moi aussi. Je me lance. J’approche mon visage du sien, mes lèvres des siennes ; et c’est elle qui, finalement, dépose un long baiser sec sur ma bouche. En deux temps trois mouvements, elle est nue, me dévoilant un corps superbe, d’une beauté insoupçonnée.— Baise-moi ; j’ai envie ! ordonne-t-elle.—ooOoo—Épisode 38C’est la fin du récit de notre voyeur. Il a trouvé son alter ego féminin dans les yeux de sa voyeuse. Ces deux-là vont s’aimer et couler des jours heureux, comme dans les contes de fées. La morale est sauve… ou presque ! Après de longs baisers et de douces caresses, Mathilde – car elle m’a dit son prénom – m’a entraîné dans sa chambre, une petite pièce douillette, une chambre de fille, où nous n’avons pas fait l’amour. Non. Quand un voyeur et une voyeuse se rencontrent, ils ne font pas comme les autres. Je me suis déshabillé, lentement, tandis qu’elle se caressait en découvrant mon corps et ma bite tendue comme jamais.Je me suis assis face à elle sur le lit et, toute la nuit, nous nous sommes matés, pas comme deux amants, mais comme deux voyeurs. Elle me regardait me branler pendant que j’admirais son corps superbe. Mathilde est incroyablement bien gaulée. De magnifiques seins ronds et fermes, des fesses lisses et potelées juste comme il faut.Toute la nuit, nous nous sommes exhibés l’un à l’autre, découvrant nos corps sans jamais nous toucher. À un moment, alors qu’elle partait dans un orgasme violent, elle m’a juste demandé de jouir en même temps qu’elle ; ce que je fis, tout en lui bredouillant des mots d’amour.Puis, nous nous sommes endormis, côté à côte, toujours sans nous toucher, jusqu’à ce que le sommeil nous emporte, nous attirant irrésistiblement l’un contre l’autre.C’est ainsi que je me réveille ce matin, lové contre ma nouvelle amante, mon alter ego féminin, ma voyeuse chérie. Ça y est : je crois que je suis amoureux. Elle ouvre les yeux à son tour et me sourit. Elle a l’air épanoui. Elle semble heureuse elle aussi.Elle me propose un café, m’indique la direction de la douche. Nous prenons le petit-déjeuner ensemble, toujours en évoquant nos meilleurs souvenirs de voyeurs. Puis la discussion vire à l’évocation de projets. Elle me dit comment elle pense pouvoir mater une soirée dans un club libertin de son quartier, toujours sans être vue. Je lui explique mon plan pour reluquer à notre aise les douches d’une cité universitaire. Je lui raconte aussi mes projets d’inventions pour voyeurs, qu’elle amende et participe à améliorer. Bref, nous faisons des projets, comme un couple.Comme un couple, nous nous embrassons, nous nous caressons, nous échangeons des mots d’amour. Elle me propose de la mater pendant qu’elle prendra sa douche à son tour, m’avouant par là-même que c’est ce qu’elle avait fait pendant que je me savonnais.Déjà, elle fait des plans d’avenir. D’avenir proche, certes, mais son idée d’aller mater ensemble le couple échangiste du haut de sa rue, le soir même – c’est leur soir de trio, précise-t-elle – m’enthousiasme au plus haut point.À n’en pas douter, nous allons bien nous amuser ensemble. Pensez ! Un couple, amoureux, dont la libido coïncide aussi parfaitement. Deux êtres dont les vices sont exactement les mêmes, dont la perversité est entièrement partagée. Déjà, j’en arrive à craindre pour la pudeur des jolies filles de la capitale. Je sais que plus aucun couple ne sera à l’abri de nos regards pendant ses parties de jambes en l’air, que nulle jupe ne saura plus nous cacher ses dessous, que les plans voyeurs vont être encore plus beaux et plus intenses.Âmes innocentes et pudiques de Paris, méfiez-vous. Fermez bien vos volets, cachez-vous au mieux, même si vous vous croyez à l’abri des regards indiscrets. Évitez de baiser sous les portes cochères si vous ne voulez pas être matés. Organisez vos partouzes dans des pièces sans fenêtres.Car les Bonnie and Clyde du voyeurisme sont désormais unis. Et nul ne sera plus à l’abri de nos regards et de notre perversité commune.