Joyeux anniversaire 2
Après ma petite escapade avec la sublime Sabrina, la soirée reprend. Les filles me proposent de participer à un jeu déshabillant. Vais-je céder aux charmes de ces nymphes nues ou saurais-je me contrôler ?
Proposée le 19/05/2018 par Korn Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Strip-teasePersonnages: FHLieu: A la maison, intimeType: Histoire vraie
Finalement, et malgrĂ© l’ennui qui me guettait, il me fallut bien me rĂ©soudre Ă rentrer rejoindre CĂ©cile. Virginie me gratifia d’un regard chargĂ© de colère, auquel je rĂ©pondis par un sourire narquois. Le groupe autour de la table basse n’avait pas vraiment bougĂ© et les sujets de conversation vraiment pas Ă©voluĂ©. Je poussai un soupir discret en m’asseyant, jetai un Ĺ“il Ă mon portable pour regarder l’heure. J’en avais encore pour deux bonnes heures avant de pouvoir dĂ©cemment prĂ©tendre aller me coucher (et profiter du corps de CĂ©cile Ă dĂ©faut de celui de Sabrina). Les garçons finirent par se lever pour que Mathieu puisse leur montrer ses livres de cours, HĂ©lène leur emboĂ®ta le pas. Je me retrouvai donc avec CĂ©cile, Sabrina, Marion, Laura, Eva et Jennifer. Laura s’assura que tout le monde Ă©tait montĂ© Ă l’Ă©tage avant de se tourner vers le reste du groupe, les yeux brillants.- Eh les filles, ça vous dit on fait un strip-dobble ?- C’est quoi ça ? demanda Eva d’un air mĂ©fiant.- Ben on fait un Dobble en mode patate-chaude et celle qui a toutes les cartes enlève un vĂŞtement. Un strip-dobble quoi.- Ça m’arrange, je suis nulle au poker, fit Marion.- Allez, on y va ? proposa Sabrina.- On se met dans la grande chambre ? On sera tranquille, renchĂ©rit Laura.Approbations, les filles se levèrent et se dirigèrent vers la seule chambre du rez-de-chaussĂ©e dans la joie et la bonne humeur. – Ben tu viens pas Ludo ? fit soudain une voix.Je levai les yeux de mon portable, Laura et Sabrina me regardaient avec des yeux brillants, CĂ©cile me fusillait du regard.- J’avais pas compris que j’Ă©tais invitĂ©, dis-je.- Normal, tu l’es pas, cracha ma copine avec une certaine aciditĂ©.Les autres se tournèrent vers elle.- Ça va CĂ©cile, c’est son anniversaire, il va pas rester tout seul sur le canapĂ©, si ? tenta Eva.- Je m’en fous, je veux pas qu’il reluque mes amies Ă poil.- Ça gĂŞne quelqu’un de se dĂ©saper devant Ludo ? contra Sabrina.Jennifer leva une main timide. – Les seins, ça va, mais le reste je suis pas d’accord.- Tu mettras un truc pour cacher, lui glissa Laura.- D’accord alors.- Bon, ben c’est parti alors, conclu la sculpturale rousse.- Non, mais vous ĂŞtes connes ou quoi ? Je vous ai dit que c’Ă©tait hors de question que Ludo vienne.Sabrina se planta devant CĂ©cile, lui chuchota quelque chose Ă l’oreille. Ma copine baissa la tĂŞte avec un rictus contrariĂ©.- Bon, ça va, j’ai compris…- Cool. Allez, viens Ludo avant que les autres ne redescendent et veuillent s’incruster.Je souris en leur emboĂ®tant le pas. CĂ©cile me rejoignit rapidement.- Je te prĂ©viens, glissa-t-elle Ă mon endroit, que si tu les reluques je te tue.- Je sais me tenir mon cĹ“ur, rĂ©pondis-je tranquillement.On s’enferma dans la chambre pour former un cercle.- Vu qu’on est pas toutes habillĂ©es pareil, je propose un truc, dit Laura. Première dĂ©faite : les seins Ă l’air. Deuxième : en culotte. Troisième : Ă poil. Ça vous va ?- Ça marche.Laura distribua les cartes, la partie commença. Comme de bien entendu, ce fut la plus saoule du groupe qui se retrouva perdante. Marion retira donc les bretelles de sa robe, qu’elle retroussa sur ses hanches. Elle avait de petits seins ronds, très adaptĂ©s Ă sa morphologie fine. Sur son ventre, de minces lignes dessinaient le contour de ses abdominaux. Bien malgrĂ© moi, je sentis un dĂ©but d’excitation poindre et je dus me forcer Ă dĂ©tourner les yeux, conscient que CĂ©cile me fixait d’un air chargĂ© de reproches. La jolie Marion secoua ses longs cheveux noirs pour les faire retomber sur ses tĂ©tons roses et les cacher un peu, puis le jeu repris. Moins d’une minute plus tard, la belle brune dĂ©posait sa robe sur le lit. Son string aurait difficilement pu ĂŞtre composĂ© de moins de tissu sans disparaĂ®tre totalement. La bande blanche plongeait entre les fesses rondes et musclĂ©es de sa propriĂ©taire. Lorsque la jeune femme se retourna, je crĂ» dĂ©faillir : le sous-vĂŞtement Ă©tait tellement serrĂ© qu’il ne pouvait masquer complètement son sexe et se prenait dans une des grandes lèvres. Je m’imaginais dĂ©jĂ Ă©carter ce ridicule voile, glisser mon membre dans ce petit chas que je devinais incroyablement serrĂ© et accueillant. Un coup de coude me sortit de ma rĂŞverie.- Je t’ai Ă l’œil, fit CĂ©cile.- DĂ©solĂ©.Des Ă©clats de rire s’Ă©levèrent dans la pièce.- Faut le comprendre, elle est bonne notre Marion, dit Sabrina. Allez partie suivante, t’as pas intĂ©rĂŞt Ă perdre Marion.- Remarque, renchĂ©rit Laura, je sais pas si ça fera une diffĂ©rence.- Mais vos gueules. Z’ĂŞtes juste jalouses que je sois aussi canon.Pour appuyer ses propos, la jolie brune commença Ă se dĂ©hancher en faisant passer ses mains le long de ses cuisses, pour remonter sur son ventre et jusqu’Ă ses seins. – ArrĂŞte ça, trancha Eva, CĂ©cile va faire une crise cardiaque.- T’es pas marrante, CĂ©cilou…- J’ai rien dit moi.- Ah, alors je continue !- Non ! rĂ©pondit l’assemblĂ©e en un unique cri.- Boh, moi j’aurais bien voulu qu’elle continue, m’entendis-je penser.Heureusement, j’Ă©tais encore suffisamment maĂ®tre de moi-mĂŞme pour que ces mots ne passent pas mes lèvres. Laura distribua une nouvelle fois les cartes, mais contre toute attente ce ne fut pas Marion qui perdit. Peut-ĂŞtre dĂ©concentrĂ©e par les jolis seins de la brune, ce fut l’ouvertement bisexuelle Sabrina qui dut faire descendre sa robe sur ses hanches sous les sifflements d’admiration de plusieurs filles. Il faut dire qu’elle avait une poitrine vĂ©ritablement magnifique et que le bref aperçu tactile que j’en avais eu ne lui rendait vraiment pas hommage. Partie suivante, les gros seins de CĂ©cile se trouvèrent Ă leur tour exposĂ©s. Puis ce qui devait arriver arriva et Marion dut retirer son string.Elle se rassit en tailleur, absolument pas pudique, me laissant une vue dĂ©gagĂ©e sur son sexe intĂ©gralement Ă©pilĂ©. Elle-mĂŞme fixait ostensiblement mon entrejambe, elle ne pouvait pas manquer la bosse que je cherchais bien vainement Ă dissimuler. Je me concentrai sur les cartes, aussi bien pour ne pas me faire capter par CĂ©cile que pour Ă©viter de me retrouver aussi dans le plus simple appareil. Les parties s’enchaĂ®nèrent, Eva, Laura et moi n’en perdions pas une. Sabrina Ă©tait Ă prĂ©sent nue, les jambes serrĂ©es pour dissimuler son ticket de mĂ©tro assorti Ă sa flamboyante chevelure, CĂ©cile ne portait plus que son string en dentelle et Jennifer un shorty sexy.Cette dernière Ă©tait peut-ĂŞtre la moins bien fichue de la bande. Elle Ă©tait très petite, probablement autour d’1m55, et large pour sa taille, avec des cuisses noueuses et une taille peu marquĂ©e. Elle compensait par un joli visage rond illuminĂ© par de grands yeux clairs, quoique grĂŞlĂ© d’acnĂ©, et encadrĂ© par un carrĂ© châtain. Mais surtout, elle avait de très belles fesses, volumineuses et rondes malgrĂ© un peu de cellulite. Quant Ă sa poitrine… Elle dĂ©passait largement la limite de ce qui est joli ou excitant tant elle Ă©tait dĂ©mesurĂ©e. Sa peau diaphane laissait voir un immense rĂ©seau de veines violacĂ©es et les 19 ans de Jennifer n’empĂŞchaient pas ses seins d’arriver presque au niveau de son nombril. Deux parties plus tard, CĂ©cile retirait son string. Encore trois parties et Jennifer cachait sa nuditĂ© derrière un coussin. – On arrĂŞte lĂ Â ? proposa Sabrina. Vous ĂŞtes trop forts tous les trois.J’aimerais pouvoir vous dire que nous n’en restâmes pas lĂ et que s’en suivit une Ă©norme partouze oĂą je pus profiter de toutes ces beautĂ©s. Ce serait un colossal mensonge, les filles se rhabillèrent gentiment.Seule Marion se pencha nettement pour rĂ©cupĂ©rer ses vĂŞtements, montrant une dernière fois son abricot avant que le tissu blanc ne le recouvre. – Vous faisiez quoi ? demanda Wilhem lorsque le groupe sortit de la chambre.- On faisait un strip-tease pour Ludo, rĂ©pondit Sabrina d’un air goguenard.Il y eut quelques rires entendus parmi les filles. – Virginie est partie se coucher ? interrogea CĂ©cile.- Elle est rentrĂ©e chez elle, confirma HĂ©lène. Apparemment elle s’est engueulĂ©e avec ton mec et elle a prĂ©fĂ©rĂ© se casser.Le ton Ă©tait chargĂ© de reproches, plusieurs paires d’yeux se tournèrent vers moi. Je haussai les Ă©paules. – Elle voulait pas que je change la musique, je l’ai envoyĂ©e chier. Fin de l’histoire.Mon ton comme mon regard signifiaient clairement que je ne voulais pas d’autres questions. Il n’y en eut pas. – Sur ce, merci pour la soirĂ©e, je vais aller me coucher.- DĂ©jĂ Â ? fit Wilhem. C’est mĂŞme pas minuit.- DĂ©jĂ , rĂ©pondis-je. J’ai une semaine dans les pattes et je me suis levĂ© Ă 6 heures, je suis crevĂ©. Bonne nuit.Je fis la bise aux filles et serrai la main aux garçons. Sabrina appuya franchement sa poitrine contre la mienne et Marion caressa discrètement mon bras. Bon sang, j’avais tellement envie de me faire ces deux coquines ! Il ne me restait qu’Ă espĂ©rer que CĂ©cile cède aux sirènes de la superbe rouquine et me laisse les coudĂ©es franches. Je grimpai les escaliers pour rejoindre la chambre que je partageai avec ma blonde, laquelle m’avait suivi et ferma la porte derrière nous. – T’es content ? commença-t-elle.- De quoi ? dis-je en dĂ©boutonnant ma chemise.- Du spectacle qu’elles t’ont offert.Je haussai les Ă©paules.- Je mentirai en disant que j’ai pas aimĂ©.- T’as eu envie de te les faire, hein ?- Qui n’aurait pas eu envie ?- T’es un vrai connard !- Non, j’aurais Ă©tĂ© un connard si j’avais insistĂ© pour que le jeu se termine pas ou si j’avais essayĂ© d’en sauter une.- Je vois pas la diffĂ©rence !- ChĂ©rie, c’est normal d’avoir envie d’une jolie nana Ă poil. La diffĂ©rence entre un mec correct et un connard, c’est que le connard cède Ă son envie, c’est tout.Elle grimaça, ouvrit la bouche pour rĂ©pliquer, ne trouva rien Ă dire. – T’as besoin d’aller voir ailleurs ? finit-elle par demander.- Besoin, je sais pas. Mais je serai pas contre si tu me le proposes.- Et si je suis pas d’accord ?- Ben je le ferai pas.J’enfilai un t-shirt et allai m’asseoir sur le lit. CĂ©cile restait debout, l’air toujours contrariĂ©e. – Pourquoi cette question ?- Je sais pas, j’ai l’impression que tu t’Ă©loignes et je me dis que t’as peut-ĂŞtre besoin de coucher avec d’autres filles.Je hochai la tĂŞte.- Tu as ta rĂ©ponse donc.- Donc si je te laisse faire, tu y vas ?- Si tu me laisses faire, c’est que tu vois pas le problème, donc qu’il n’y a pas de problème Ă ce que je le fasse. Tu me suis ?Elle acquiesça.- J’ai pas envie que t’ailles coucher avec d’autres filles.- Pourquoi ?- Parce qu’après tu vas partir avec.Je ris.- T’es bĂŞte. Ça a rien Ă voir, c’est juste du sexe. Regarde, je suis pas parti avec Laura.Elle fit la moue. – C’est vrai. Tu me promets que tu pars pas avec une autre fille, hein ?- Promis.Le genre de promesse impossible Ă faire sincèrement. Après tout, on ne sait jamais de quoi la vie est faite, on peut toujours avoir un coup de foudre au lieu d’un coup de foutre. Elle prit une grosse inspiration. Dans son regard je vis qu’elle se faisait violence pour suivre les consignes de Sabrina. – Et sinon, pour ton anniversaire, je peux faire un truc ?- Quoi donc ?Je sentis mon excitation revenir en plein. Allais-je enfin avoir droit Ă l’espagnole dont je rĂŞvais depuis la première fois que j’avais embrassĂ© CĂ©cile ?- Ben je te demande si tu veux quelque chose en particulier.- Tu veux dire Ă part me taper tes copines ?- T’es con, je suis sĂ©rieuse !Je pris une minute pour rĂ©flĂ©chir. Il y avait tellement de choses que j’aurais pu lui demander. La baiser sauvagement au lieu de nos habituels missionnaires, la sodomiser, me faire faire une branlette espagnole… Couvrir son visage, ses seins ou mĂŞme sa chatte de foutre… Mais finalement, une phrase surgit du fin fond de ma mĂ©moire et passa mes lèvres.- Qu’est-ce que tu dirais de commencer par me tailler une pipe en string et de me laisser jouir sur ton visage ?Cette mĂŞme phrase qui avait marquĂ© le dĂ©but de ma relation adultère avec Florence. Et la mĂŞme rĂ©ponse : – Ok.CĂ©cile retira rapidement sa robe tandis que j’enlevai mon jean et mon boxer. Elle vint s’agenouiller devant moi, mais je la retins.- Attends, je veux profiter un peu avant.Je l’attirai vers moi, enfoui mon faciès entre ses seins. Je les pĂ©trissais, lĂ©chais, embrassais, je mordais les tĂ©tons et malaxais les mamelles. Ma main plongea entre nous, pĂ©nĂ©tra le string, trouva une grotte trempĂ©e aux parois Ă©cartĂ©es comme si elle n’attendait que d’ĂŞtre explorĂ©e. J’enfonçai deux doigts dans l’intimitĂ© de CĂ©cile, lui arrachant un gĂ©missement satisfait.- Tu mouilles beaucoup, remarquai-je.- J’ai trop envie, souffla-t-elle.- Ça t’excite de me dire de me taper d’autres filles ?- Un peu.- Ou alors c’est de te dire que tu vas bientĂ´t avoir du sperme sur les joues ?- Ça non.J’Ă©cartai le tissu, attirai CĂ©cile davantage contre moi. Mon dard frottai contre son sexe, le pĂ©nĂ©trai lĂ©gèrement. J’appuyai sur les hanches de la blonde, qui se laissa descendre en poussant un soupir de contentement. – Tu veux plus ta fellation ?- Si si, mais je veux te prendre un peu avant.- D’accord.Elle se pencha pour souder ses lèvres aux miennes. Nos langues virevoltaient au mĂŞme rythme que nos coups de reins, CĂ©cile me gĂ©missait dans la bouche Ă chaque fois que je cognais au fond de son sexe. J’aurais pu m’en contenter, j’aurais pu me satisfaire de la baiser et de remplir son ventre de mon jus. Mais pas ce soir. Je la repoussai gentiment.- Tu me suces ?- On peut pas finir comme ça et je te suce une autre fois ?- D’accord, mais je jouis quand mĂŞme sur ton visage. Et la prochaine fois je te prends par derrière et je finis sur tes seins. CĂ©cile soupira et se releva. – Bon, d’accord, je te suce.Dommage…Je me mis debout pendant que ma copine s’agenouillait. CĂ©cile n’Ă©tait pas la fille la plus douĂ©e que je connaisse pour les fellations, mais elle n’Ă©tait pas gauche non plus. C’Ă©tait fait sans subtilitĂ©, un peu Ă la dĂ©goĂ»tĂ©e, juste une bouche et une main qui allaient et venaient le long de ma queue. Ce n’Ă©tait ni dĂ©plaisant ni fantastique. Pendant qu’elle s’activait, je repensais Ă cette première pipe dans un local glauque du sous-sol de la fac. Florence n’Ă©tait pas douĂ©e, mais elle avait mis du cĹ“ur Ă l’ouvrage ; je l’ignorais encore tandis que CĂ©cile me suçait, mais ma queue avait Ă©tĂ© la première Ă toucher les lèvres de ma maĂ®tresse.Cette première fois avait eu pour elle une certaine tendresse et une vraie envie de la part de Florence de donner du plaisir. Était-ce le cas de CĂ©cile ? J’en doutais, elle ne s’appliquait pas vraiment, elle voulait juste en finir le plus vite possible. Je commençai Ă bouger les hanches pour accentuer le coulissement de mon sexe dans sa bouche. Les doigts qui caressaient jusque lĂ les cheveux blonds se firent plus fermes. Jamais je n’avais tenu Florence comme ça, mĂŞme pour les pipes les plus sauvages.La fellation cessa, je maintenais Ă prĂ©sent des deux mains la tĂŞte de CĂ©cile, baisais littĂ©ralement sa bouche. Par deux fois, elle eut un haut-le-cĹ“ur lorsque ma queue s’enfonça trop profondĂ©ment. C’Ă©tait si bon de la possĂ©der ainsi !N’y tenant plus, je me retirai et donnai quelques coups de poignet au-dessus du visage qu’elle me tendait, les yeux fermĂ©s. Au vu de l’excitation qui m’avait suivi tout au long de la soirĂ©e, je m’attendais Ă un vĂ©ritable dĂ©luge de sperme, mais ce ne fut pas le cas. Un premier jet Ă©pais remonta le long de son nez, bouchant une narine et traversant ses lèvres. Un deuxième stria sa joue et termina dans ses cheveux. Puis de grosses gouttes de jus aussi blanc qu’Ă©pais maculèrent son menton et terminèrent de recouvrir sa bouche. – Humpf, humpf, fit-elle d’un ton suppliant en montrant son nez.J’allai rapidement chercher des mouchoirs dans mon sac pour l’aider Ă se nettoyer. Elle Ă©tait en apnĂ©e, n’osait plus respirer. – DĂ©solĂ©, dis-je en riant, je sais pas viser.- T’aurais pu faire attention !- Ça se contrĂ´le pas ma chĂ©rie. Merci, ajoutai-je en la relevant pour l’embrasser.- Ça t’a plu au moins ?- J’ai adorĂ©, faudra recommencer !Euh on verra hein.Dommage…(A suivre, la nuit est encore loin d’ĂŞtre terminĂ©e !)© Copyright : Ce rĂ©cit comme tous les autres sont protĂ©gĂ©s par le Code de PropriĂ©tĂ© Intellectuelle.
Laisser une note/commentaire (ou bien faire un signalement)Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protĂ©ger les oeuvres littĂ©raires de nos auteurs.Cette page est destinĂ©e Ă ĂŞtre consultĂ©e en ligne et ne peut pas ĂŞtre imprimĂ©e ou copiĂ©e.© Copyright : Ce rĂ©cit comme tous les autres sont protĂ©gĂ©s par le Code de PropriĂ©tĂ© Intellectuelle. Un nombre important d’auteurs nous ont donnĂ© l’exclusivitĂ© totale de leurs textes.
Fermer définitivement
L’activation des cookies et de javascript est nĂ©cessaire Ă son bon fonctionnement.
Suite à des abus avec les notes, nous avons apporté quelques modifications à celui-ci pour plus de partialité envers les auteurs qui sont très sensibles à ce que vous pensez de leurs histoires érotiques.
La nouvelle version a pour but d’Ă©viter au maximum les abus inhĂ©rents Ă la notation des rĂ©cits coquins, et donc des auteurs (les votes multiples par exemple).
Il sera maintenant impossible de noter plus d’une fois la mĂŞme histoire Ă©rotique.
Les notes attribuĂ©es Ă la volĂ©e pour un mĂŞme auteur (qu’elles soient bonnes ou mauvaises) seront modĂ©rĂ©es.
Commentaires de l’histoire :
Voir les autres récits érotiques de cet auteur ou bien pour le contacter par email
Histoires érotiques choisies :
Joyeux anniversaire 4
Joyeux anniversaire 3
Joyeux anniversaire 1
Joyeux anniversaire
Anniversaire