Julie 1 – Ma meilleure amie est une salope – A quatre, sinon rien
Benoit, Steve, Jean et Julie sont 4 étudiants en vacances. Tous fantasment sur elle, mais la belle ne leur a jamais laissé leur chance.
Un jour, elle a accepte de baiser avec eux. Mais tous ensemble.
Proposée le 10/01/2016 par Loco2016 Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Nympho, vicieusePersonnages: GroupesLieu: Vacances, voyagesType: Fantasme
Cette annĂ©e-lĂ , j’Ă©tais parti en vacance d’Ă©tĂ© avec un groupe d’amis. C’Ă©tait la première fois que je partais sans mes parents. Nous Ă©tions une petite vingtaine, tous de la mĂŞme universitĂ©, avec une moyenne d’âge d’environ vingt ans, et avions choisi une destination ensoleillĂ©e près de la mer. Nous passions nos journĂ©es Ă la plage et nos nuits Ă faire la bringue. Un soir, ou plutĂ´t un matin vu comment le soleil commençait dĂ©jĂ Ă se lever, je quittai notre groupe après une fĂŞte un peu trop arrosĂ©e pour prendre la direction de l’appart. Trois de mes amis, dans le mĂŞme Ă©tat, m’accompagnèrent. Parmi eux, il y avait Julie, mon amie d’enfance. Je devais la connaĂ®tre depuis au moins dix ans. On se connaissait très bien tous les quatre. On formait d’ailleurs gĂ©nĂ©ralement une bande Ă part. Julie Ă©tait le clichĂ© de la fille parfaite. Elle avait un beau corps avec de jolies courbes, ni trop maigre, ni trop grosse, de long cheveux auburn, et une poitrine qui faisait rĂŞver. Évidemment, tous les garçons avaient dĂ©jĂ tentĂ© leur chance avec elle, sans succès. Je ne fis pas exception. J’avais moi aussi eu un faible pour elle, mais je pense que mon cas fut pire que les autres : ce n’Ă©tait pas tant qu’elle ne voulait pas de moi, mais plutĂ´t qu’elle avait peur de perdre notre amitiĂ© si notre relation venait Ă se gâter. Classique… J’ai souvent maudit cette « friend zone » qu’elle nous imposait. Il n’Ă©tait pas facile de voir ses petits copains dĂ©filer, de savoir que tous avaient profitĂ© de son fabuleux corps, tandis que moi je n’aurais jamais cette chance juste car je l’ai connu un peu trop tĂ´t. Si seulement je l’avais rencontrĂ©e quelques annĂ©es plus tard… Parfois, cela se joue vraiment Ă peu de chose.
Cela ne l’empĂŞchait pas d’ĂŞtre joueuse et de nous enquiquiner. Elle savait qu’elle Ă©tait belle, et n’avait pas peur de s’en cacher pour nous allumer. Amicalement bien sĂ»r. Bien que je dois avouer que, maintenant qu’on Ă©tait en vacance, la voir tous les jours dans son bikini Ă©tait particulièrement difficile. Elle ne ratait jamais une occasion de se moquer quand mon maillot trahissait une Ă©rection.Pour rentrer chez nous, nous devions passer par un parc. Ă€ cette heure-lĂ , il Ă©tait dĂ©sert, mĂŞme si les premiers lève-tĂ´t n’allaient sans doute pas tarder Ă arriver.
Julie, Ă moitiĂ© bourrĂ©e, nous narguait encore. Elle Ă©tait toujours dans sa tenue de plage qui mettait ses seins et ses fesses particulièrement en valeur, et certains d’entre nous n’ont pas pu s’empĂŞcher d’avoir les yeux un peu voyeurs. Évidemment, elle l’a bien remarquĂ©.
— Rincez-vous bien les yeux les garçons, taquina-t-elle en soupesant sa propre poitrine. Ă€ la fin des vacances, ce sera fini, et vous n’aurez plus qu’eux et vos souvenirs pour pleurer.
— Tu n’es vraiment qu’une connasse de jouer avec nous ! s’offusqua Jean, un de mes amis.
— Mes pauvres chĂ©ris, vous avez l’air tellement d’ĂŞtre des chiens en manque. Ce n’est pourtant pas les jolies filles qui manquent sur la plage. Vous n’avez que l’embarra du choix pour tirer un coup.
Julie avait toujours un franc parlĂ© en ce qui s’agit de sexe. Elle n’avait aucun complexe. Cela ne la rendait que plus dĂ©sirable.
— Steve a bien essayĂ©, mais il s’est pris encore deux râteaux aujourd’hui, fis-je remarquer sur le ton de la plaisanterie.
L’intĂ©ressĂ© grommela dans son coin. Il Ă©tait rĂ©putĂ© pour ĂŞtre le plus beau mec de notre groupe. Du moins, c’Ă©tait celui qui avait gĂ©nĂ©ralement le plus de succès auprès des filles. Je crois qu’il vivait assez mal son cĂ©libat, et surtout, de devoir se serrer la ceinture pendant des vacances oĂą il est entourĂ© de jeunes filles aux corps sublimes.
— Aaah, mes pauvres chéris, je ne peux rien faire pour vous.
— Tu pourrais peut-être arrêter de nous aguicher, rétorqua Jean. Ca serait un bon début.
— Ooooh, allez, vous adorez mater mes seins, nous chauffa-t-elle en se les caressant une nouvelle fois. Vous n’allez pas vous en plaindre.
Je pense qu’elle avait eu raison un peu plus tĂ´t : nous devions tous les trois ĂŞtre très en manque. L’alcool aidant, nous avions vraiment beaucoup de mal Ă nous contenir. Nous essayâmes chacun Ă notre tour de se rapprocher un peu trop près d’elle pour essayer de la toucher et de la ploter. Elle repoussa chacune de nos avances, sans jamais se montrer vexĂ©e. Cela n’aida pas Ă nous calmer.
— Bon, les garçons, cela ne peut plus durer ! s’exclama-t-elle Ă un moment faussement exaspĂ©rĂ©e.
Au fond, j’Ă©tais sĂ»r que cela lui plaisait d’avoir l’attention de trois mecs en mĂŞme temps. La suite me donna raison :
— Il faut faire quelque chose pour vous ! Je veux bien vous aider, mais à une condition : vous ferez aussi quelque chose pour moi !
Nous Ă©changeâmes quelques regards, perplexe. Nous avions peur de mal interprĂ©ter ce qu’elle entendait par « nous aider ». Nous pensions Ă©videmment tous Ă la mĂŞme chose, mais craignons d’ĂŞtre un peu déçu.
— Je vous soulagerais si vous m’aider Ă rĂ©aliser un fantasme, poursuivit-elle. Je refuse que vous me preniez un par un. Si vous me voulez, ce sera les trois ensemble, ici, maintenant, ou rien du tout !
Nous avions du mal Ă en croire nos oreilles. Elle Ă©tait sĂ©rieuse lĂ ? Elle nous proposait de la baiser Ă trois ?! Je sais que c’est l’alcool qui parlait, mais quand-mĂŞme. Je priais pour que les autres ne refusent pas.
— Tu es complètement folle ! s’exclama Jean. On va quand-mĂŞme pas faire ça ici, et Ă quatre ! On va nous voir !
— C’est vous qui dĂ©cidez. Ou c’est ça, ou c’est soirĂ©e branlette pour tout le monde.
Steve regardait Jean de yeux presque implorant. Il Ă©tait manifestement partant tout comme moi. Jean restait tiraillĂ© entre sa tĂŞte et sa queue. Finalement, c’est la seconde qui l’emporta :
— Bon, d’accord.
Julie nous emmena dans un coin plus tranquille du parc, et nous invita Ă nous sucer en se mettant Ă genoux devant nous. Nous baissâmes rapidement nos shorts pour en sortir nos sexes, très excitĂ©s par la situation. Nous Ă©tions dĂ©jĂ tous très dur. J’ai eu le plaisir idiot de constater que j’avais la plus longue. Steve, le charmeur, la plus courte. Il y avait tout de mĂŞme une justice. Nous les prĂ©sentâmes Ă Julie qui commença par nous branler Ă tour de rĂ´le.
— Alors, c’est bon les garçons ?
— Oui, Julie. Continue, fit Steve.
— J’ai hâte que tu nous suces, enchĂ©ris-je.
— Puisque c’est comme ça, tu seras le dernier, dĂ©clara-elle, juste avant d’engloutir le sexe de Jean.Putain, j’Ă©tais Ă©cĹ“urĂ©. Moi et ma grande gueule. Je matais avec jalousie le sexe de mon ami entrer et sortir de sa bouche pendant qu’elle nous masturbait. J’avais tellement rĂŞver d’elle et de ce moment que je ne pouvais plus attendre. J’avais mĂŞme très peur d’ĂŞtre prĂ©coce et de me finir trop vite. C’Ă©tait le genre d’occasion qui n’arrivait qu’une fois dans la vie. Je n’avais pas du tout envie de la gâcher.
Elle passa sur la bite de Steve en le lĂ©chant goulument avant de se l’enfoncer dans le gosier. Steve l’aida en lui pressant la tĂŞte pour la forcer Ă faire quelques gorges profondes. Ă€ son air bĂ©at, il avait l’air d’adorer ça.
Moi aussi, j’avoue que j’aimais la regarder. Julie, ma meilleure amie. ; cette fille que j’ai connue avant mĂŞme la pubertĂ©. Je l’ai vue devenir femme ; et souvent, je me la suis imaginĂ©e en train de baiser dans de multiples positions Ă©rotiques. J’Ă©tais affreusement jaloux quand je savais qu’elle Ă©tait en train de se faire prendre par ses petits-copains. Je fantasmais parfois en m’imaginant ĂŞtre Ă leur place. Je connaissais sa facette coquine, mais j’avais envie de la voir en pleine action. J’avais envie de dĂ©couvrir son cĂ´tĂ© lubrique.
Je crus que ça allait ĂŞtre mon tour quand je la vis s’Ă©loigner de la bite de Steve, mais cette allumeuse partit repomper Jean. Elle le faisait exprès, j’en Ă©tais sĂ»r. Au bout d’un moment, je craquai :
— PitiĂ©, Julie. Suce-moi aussi, je n’en peux plus !
— Allez, ok. C’est demandĂ© si gentiment !
Elle quitta la queue de Jean pour s’approcher de moi. Je soupirai de bonheur la première fois que ses lèvres entrèrent en contact avec mon gland. Je ne pus me retenir de la forcer sur ma tige en la tirant par la nuque. Je fis du va-et-vient dans sa bouche pendant qu’elle jouait avec sa langue. Putain, elle savait comment sucer. Cela fit renaitre en moi un Ă©lan de jalousie pour ses ex, partiellement apaisĂ© par le fait que de savoir que c’Ă©tait enfin mon tour. Je la regardai faire avec dĂ©lectation. Elle Ă©tait si belle Ă me pomper le dard. J’en avais toujours rĂŞvĂ©. Ma Julie… Je me sentis particulièrement frustrĂ© quand elle me quitta pour s’occuper Ă nouveau des autres.
— Alors, ca vous plait, les pervers ? nous provoqua-t-elle en reprenant son souffle.
— Beaucoup, Julie, répondit Jean. Tu suces comme une déesse.
— Vous en aviez rêvé hein ?!
— Oh oui, m’exclamai-je. Tu n’imagines pas Ă quel point !
— Vous vous ĂŞtes dĂ©jĂ branlĂ© en pensant Ă moi ? En train de vous sucer jusqu’Ă m’Ă©jaculer au visage ?
— Oh oui ! fit Jean.
— Si vous prenez bien soin de moi, je vous laisserais faire, tous les trois ensemble.
Cette perspective nous rendit tous dur comme du marbre. J’avais vraiment envie de la souiller comme une pute et de voir notre foutre dĂ©gouliner partout sur son corps.
Steve passa une main sous son bikini pour lui masser le sein gauche pendant qu’elle le suçait. J’en profitai pour faire de mĂŞme avec le droit. Putain, les seins de Juju. J’avais trop envie de les voir. Je lui enlevai la bretelle de mon cĂ´tĂ© pour essayer de lui enlever son vĂŞtement, et Steve m’aida en faisant de mĂŞme. Les voilĂ enfin Ă l’air. Je mourrais d’envie de lui lĂ©cher les tĂ©tons. Ses dĂ©licieux petits tĂ©tons. J’espĂ©rais en avoir l’occasion.
Elle nous pompa Ă tour de rĂ´le pendant de longues minutes. Ce fut vraiment la meilleure fellation de ma vie. Nous n’arrĂŞtions pas de gĂ©mir de bonheur. Elle aimait sucer des bites, il n’y avait aucun doute lĂ -dessus vu la façon dont elle s’appliquait. Elle s’occupa très bien de nous. Elle-mĂŞme avait l’air d’ĂŞtre aux anges entourĂ©e ainsi de queues qui avait envie de son corps. Le pire c’est qu’elle savait si prendre avec plusieurs mecs.
— Bon, les garçons, dit-elle au bout d’un moment. Il y en a enfin un qui va se dĂ©cider Ă me baiser, ou quoi ? J’ai la chatte en feu depuis tout Ă l’heure, et je ne peux mĂŞme pas me caresser parce que je dois vous branler.
— Preums, déclarai-je soudain.
Je craignis que mon empressement lui donne encore la mauvaise idĂ©e de me jouer un mauvais tour, mais, Ă mon grand soulagement, il n’en fut rien. Je l’aidai Ă lui enlever le bas de son maillot puis elle se mit Ă quatre pattes pour me prĂ©senter son cul.
— Allez, dĂ©pĂŞche-toi de me prendre. Je ne tiens plus ! J’ai trop besoin de me faire bourrer.
Je me mis Ă genou derrière elle et plaçai mon gland Ă son entrĂ©e avant de me pousser en avant. Elle Ă©mit un gĂ©missement bien plus fort que le mien lorsque je la pĂ©nĂ©trai jusqu’aux couilles. C’Ă©tait un bonheur sans nom. Je la tins par ses hanches et la baisa Ă bon rythme. Enfin ! Ma Juju ! Je baisais ma Juju ! Après toutes ces annĂ©es Ă fantasmer sur elle, elle Ă©tait Ă quatre pattes, soumise Ă ma volontĂ©. Les autres restèrent lĂ Ă se branler en train de nous regarder. Ils devaient avoir hâte de prendre ma place, mais pour le moment, elle Ă©tait Ă moi, et j’avais bien l’intention d’en profiter.
Je me penchai sur elle pour jouer avec ses nichons. Putain, elle avait une de ces poitrines. Je regrettais presque qu’elle ne soit pas en missionnaire pour avoir une meilleur vue et en profiter davantage.
Elle devait vachement aimer ce que je lui faisais, car elle gĂ©missait comme une chienne Ă chacun de mes coups de reins. Elle avait prĂ©tendu faire ça pour nous aider Ă nous soulager, mais la vĂ©ritĂ© Ă©vidente Ă©tait qu’elle avait juste envie de se faire prendre comme une salope par plusieurs gars. Un fantasme secret rĂ©vĂ©lĂ© par les bienfaits de l’alcool. Elle n’avait plus aucune inhibition, et nous non plus. Tout ce qu’on voulait tous les quatre, c’Ă©tait de profiter de notre jeunesse Ă baiser comme des porcs.
Julie fixait les queues tendues qui pointaient devant elle, hypnotisée.
— Putain, vous allez enfin me donner un truc Ă sucer ? s’emporta-t-elle contre les deux autres. Ne restez pas planter-lĂ !
Jean s’approcha d’elle et lui prĂ©senta son sexe qu’elle avala goulument. Une bite dans la chatte et une autre dans la bouche, elle Ă©tait maintenant prise des deux cĂ´tĂ©s et adorait manifestement ça. Elle le branla quelques secondes d’une main tout en le suçant, avant de la reposer Ă terre de peur de perdre l’Ă©quilibre. Elle passa ensuite sur le piston de Steve qui rĂ©clamait lui aussi de l’attention. Il l’attrapa par la tĂŞte et lui baisa la gorge. Elle eut un haut-le-cĹ“ur avant qu’il ne la laisse respirer. Elle n’Ă©mit aucune plainte. Ă€ ma grande surprise, elle Ă©tait devenue une vraie pute qui ne demandait qu’Ă se faire utilisĂ©e par trois mecs. Cela m’excita encore plus de la voir ainsi. Ma Juju, ma salope. Je ne la verrais plus jamais comme avant.
Je dus Ă mon grand regret laisser ma place. Steve s’occupa de sa chatte tandis que je me joignis Ă Jean pour me faire sucer. Steve Ă©tait bien plus violent que moi. Ses coups Ă©taient rapides et brutaux. Il la traita comme une trainĂ©e, et je pus lire dans la luxure de ses yeux que c’Ă©tait exactement ce qu’elle voulait. Elle frissonna lorsqu’il lui donna une fessĂ©e.
— T’aime ça, salope ?! l’insulta-t-il.
— Putain ! J’adore ! Baisez-moi, tous les trois ! Je suis votre pute, c’est votre jour de chance ! Profitez-en ! Ramonez-moi jusqu’Ă ce que vous devez me porter pour rentrer !
Ce fut ensuite le tour de Jean de la prendre. D’habitude le plus timide de nous trois, l’initiative qu’il prit m’Ă©tonna lorsqu’il s’insĂ©ra dans le mauvais trou.
— Putain, crĂ©tin ! s’Ă©cria-t-elle. Ca, c’est mon cul !
— Et alors ? Tu veux que je stoppe ? demanda-t-il sans vraiment avoir l’intention de s’arrĂŞter de toute manière.
— Si tu stoppes, je te tue ! le menaça-t-elle. Tu as commencé, maintenant, défonce-moi le cul !
Nom de… Elle Ă©tait encore plus cochonne que je ne l’avais cru. Bien sĂ»r, j’avais dĂ©jĂ fantasmĂ© sur elle en me l’imaginant en train d’apprĂ©cier le sexe anal, mais ça restait un fantasme. Je ne pensais pas qu’elle pourrait aimer ça en vrai. Je me trompais lourdement, et ce n’Ă©tait manifestement pas sa première fois. Je regrettais presque de ne pas avoir eu l’idĂ©e en premier. J’Ă©tais si excitĂ© que j’avais envie de lui Ă©jaculer au visage sur le champ pour la salir comme la petite trainĂ©e qu’elle Ă©tait ; mais la perspective de l’enculer me tentait trop pour me finir comme ça. Fallait juste que je patiente encore un peu.
Jean lui grimpa dessus comme sur une chienne et la lima comme un animal. Il grognait Ă chacun de ses assauts. Julie Ă©tait complètement perdue dans son monde de plaisir. Elle avait atteint un tel point qu’elle avait du mal Ă nous sucer, Steve et moi. Nous dĂ»mes nous servir nous-mĂŞmes en lui baisant la bouche. Elle ne savait plus oĂą elle Ă©tait.
Au bout d’un moment, elle poussa un grand cri. J’ai cru que Jean Ă©tait en train de se vider dans sa raie lorsque je compris qu’elle jouissait.
— Aaaah ! Putain ! Mes salauds ! Ouiiiiiiiiiii !
Putain, je n’arrivais pas Ă croire que cette salope jouissait par le cul. Ca me donnait encore plus envie de la dĂ©fourailler. Jean fit quelques derniers va-et-vient, puis nous la laissâmes profiter de son orgasme. Elle s’Ă©croula un instant sur le sol, avant de se redresser :
— Qui vous a dit d’arrĂŞter, bordel ?! Allez ! Au suivant !
C’Ă©tait mon tour. J’avais vraiment trop hâte de l’enculer, mais pas dans cette position. Je la tirai vers moi et m’allongea sur le sol, la verge tendue vers le ciel. Elle comprit ce que je voulais et se positionna dos Ă moi pour me chevaucher. Je n’eus pas le temps de le lui demander qu’elle agrippa ma queue pour la pointer vers son petit trou et qu’elle s’empala dessus. Putain, ca y est ! J’Ă©tais dans le cul de Julie ! S’il y avait un paradis sur terre, je venais de le trouver ! Je posai mes mains sur ses hanches et lui donna des coups de bassins. Je n’eus aucune douceur. Je voulais lui pĂ©ter la rondelle. Elle se laissa faire comme une pute soumise en gĂ©missant bruyamment.
— Oh oui ! Putain ! Vas-y ! baise-moi le cul avec ta grosse bite ! Putaiiiiiiiiiiiiiiiiiiin !
Je la pĂ©nĂ©trai jusqu’Ă la garde. Mes couilles claquaient contre sa chatte Ă chacun de mes allers-retours. Mes couilles trop pleines de jus que j’avais de plus en plus de mal Ă retenir. Je n’arrivais plus Ă penser, sauf Ă me faire du bien dans son anus.
Je ne pus garder le rythme bien longtemps tellement ce fut intense. C’est elle qui prit le relais quand je commençais Ă faiblir en rebondissant sur ma queue toute seule. Je ne peux qu’imaginer le spectacle qu’elle devrait offrir aux autres. La superbe Julie, les seins ballottant dans tous les sens, qui me chevauchait en s’empalant frĂ©nĂ©tiquement sur mon chibre. Cela devait ĂŞtre manifestement intenable pour les autres car j’entendis peu après Steve lui commander :
— Suce-nous, salope.
En lui présentant son sexe devant la bouche.
Elle l’engloutit par reflexe sans jamais arrĂŞter de s’Ă©clater sur ma queue. Elle les suça chacun Ă leur tour. Au bout d’un moment, je la tins suffisamment pour qu’elle puisse les masturber en mĂŞme temps. Elle se rĂ©galait du gout de sa propre chatte et de son cul en leur lĂ©chant le gland et en les pompant comme une chienne en manque.
Steve devait sans aucun doute aimer autant que moi ses seins vu qu’il s’installa devant elle et mit sa bite entre ses deux nibards pour se branler avec. Ils les pressaient l’un contre l’autre pour avoir plus de sensation.
— Putain, j’en peux plus, se plaignit-il. J’ai trop besoin de te baiser, Julie. Benoit, ce n’est pas juste. Laisse-nous la place ! Chacun son tour, merde !
— Oh non, il est trop bien lĂ , objecta Julie. Tu n’as qu’Ă te servir de ma chatte, elle est libre.
Il eut un moment d’hĂ©sitation en craignant comprendre ce qu’elle voulait.
— Tu… tu veux qu’on te prenne en double ?
— Pourquoi tu crois que je vous voulais tous les trois en même temps ?! Vas-y bordel !
— Mais je voulais aussi t’enculer moi !
— Tu en auras l’occasion plus tard. Allez !
— Tu n’es vraiment qu’une salope !
— Oui ! Votre pute ! Alors souillez-moi, mes salauds ! Utilisez-moi pour vous faire du bien !
Elle s’immobilisa pour aider Steve Ă la pĂ©nĂ©trer. Elle cria quand il s’enfonça jusqu’Ă la garde dans sa chatte dĂ©goulinante de mouille.
— Julie, tout va bien ? s’inquiĂ©ta-t-il.
— Oui. Allez, baise-moi ! Qu’est ce que tu attends !
Je n’arrivais pas Ă croire qu’elle Ă©tait aussi chienne et qu’elle rĂŞvait de ce genre de truc. J’allais de surprise en surprise. Steve s’appliquait Ă lui dĂ©foncer le vagin tandis que j’Ă©tais toujours dans son cul. On la pilonnait tous les deux. Elle hurlait de plaisir.
— Oh ! Putain ! Oui ! C’est ça que je voulais ! Aaaaaaah !
— C’est ça que tu voulais depuis le dĂ©but ?! lui gueula Steve.
— Ouiiiii !
— Te faire prendre en sandwich comme une grosse pute ?
— Ouiii ! Je sens vos bites au fond de moi, c’est terriiiiiiiiiiiiiiiible !
— C’est pas ta première fois, hein salope ?!
— Siiiiiiiiii ! C’est ma première foiiiiiiiis. J’en ai toujours eu enviiiiiiiiiie. Et j’adoooooooooooooore !
Elle avait l’air si heureuse de rĂ©aliser son fantasme, et nous l’Ă©tions tout autant de l’aider. Jean n’en pouvait plus de nous regarder et la força Ă le prendre dans sa bouche. Elle Ă©tait maintenant prise par tous les trous, et je jurerais qu’elle n’arrĂŞtait pas de jouir. Si je m’Ă©tais souvent imaginĂ© Julie en salope, ce n’Ă©tait jamais Ă ce point-lĂ . Mais je dois dire que cela m’excitait beaucoup de savoir que la fille qui refusait toujours qu’on la touche aimer en rĂ©alitĂ© ĂŞtre ramonĂ©e par plusieurs mecs en mĂŞme temps.
Jean et Steve Ă©changèrent leur place. Elle avait l’air de prendre très mal le fait de se retrouver ainsi avec un orifice vide mĂŞme que pour quelques secondes :
— Merde ! Venez me remplir vite !
Elle cria de bonheur quand Jean la pénétra.
— Allez-y ! Baisez-moi tous les deux ! Prenez-moi comme votre pute ! Je suis votre sac à foutre ! Je ne veux plus être capable de marcher demain !
Je ne la reconnaissais plus, mais sur le moment, je m’en foutais. Jean lui releva les jambes pour avoir un meilleur angle de pĂ©nĂ©tration. On exĂ©cuta sa volontĂ© et la baisa sans aucune considĂ©ration pour elle. Elle Ă©tait notre objet, et elle ne pouvait rien faire. Elle semblait prendre un plaisir monstrueux de la situation, comme si ca l’excitait de faire de nous des animaux qui ne pouvait penser Ă rien d’autre qu’Ă la dĂ©foncer. J’ai toujours su qu’elle aimait qu’on ait envie d’elle vu comment elle avait l’habitude de nous allumer, mais j’ignorais Ă quel point cela cachait son envie de limite se faire violer par nous trois. Je n’ai jamais vu une fille autant aimer la bite. Ma meilleur amie Ă©tait une salope, une vraie.
Jean et Steve Ă©changèrent leur place plusieurs fois. J’Ă©tais heureux d’ĂŞtre celui qui ne devait pas bouger et de pouvoir ainsi profiter pleinement de son cul. Puis ils dĂ©cidèrent de changer de position. Jean s’allongea, et Julie le chevaucha de face pour qu’on puisse l’enculer chacun Ă notre tour. Steve fut Ă©videmment le premier, il attendait ça depuis trop longtemps. J’en profitai pour me faire sucer pendant ce temps. Elle Ă©tait Ă bout de force. Cela devait bien faire vingt minutes qu’on la baisait. Elle n’avait plus vraiment capable de faire une fellation. Je dus faire moi-mĂŞme du va-et-vient dans sa bouche comme si c’Ă©tait sa chatte pour me faire du bien. Elle joua un peu de sa langue pour amplifier mon plaisir.
Steve n’arrivait plus Ă dĂ©crocher de son cul. Il la lima Ă un rythme effrĂ©nĂ© comme s’il cherchait Ă se dĂ©charger dans son cul. J’espĂ©rais que ce ne fut pas le cas, car je n’avais pas oubliĂ© la promesse de Julie. Quand je sentis qu’il n’Ă©tait plus très loin, je le forçai Ă arrĂŞter et pris sa place.
On Ă©changea ainsi nos rĂ´les Ă plusieurs reprises en la baisant encore pendant de nombreuses minutes. On avait tous très envie d’en finir et d’Ă©jaculer. Je ne suis pas vraiment sĂ»r de ce qu’on attendait. Je crois que je m’Ă©tais jamais autant retenu de toute ma vie. Je ne m’Ă©tais pas branler depuis des jours. J’avais les bourses pleines de sperme qui me suppliait de se vider. J’avais mal Ă la bite Ă force de la prendre dans tous les sens. J’avais besoin d’une dĂ©livrance salvatrice.
Julie semblait jouir sans arrĂŞt. Les rares fois oĂą elle parlait, c’Ă©tait pour nous encourager Ă continuer. Elle Ă©tait insatiable. Puis finalement, elle nous implora tout de mĂŞme d’arrĂŞter :
— PitiĂ©, stop les garçons. Je n’en peux plus. Ca suffit.
Ses paroles Ă©taient Ă peine audible tant elle Ă©tait essoufflĂ©e. J’accueillis sa reddition avec soulagement. Enfin ! Il nous restait plus qu’Ă Ă©jaculer.
— Tu as eu ton compte, petit pute ? l’insulta-t-Steve.
— Oui. Vous m’avez dĂ©truite. Bande de salauds.
— Tu as aimé ça ?!
— Oui ! Je n’ai jamais autant joui de ma vie !
— C’est bien ! Brave pupute !
On sortit de tous ses orifices et la laissa rĂ©cupĂ©rer un peu. Elle s’Ă©croula au sol sans bouger, en train d’essayer de rĂ©cupĂ©rer son souffle. Je craignis qu’on y soit allĂ© un peu fort au dĂ©but, quand je vis son regard : elle avait l’air d’ĂŞtre aux anges. Heureuse et repue. Elle voulait une orgie avec trois mecs qui la dĂ©fonce sans vergogne, elle l’a eu. Mais ce n’Ă©tait pas encore tout Ă fait fini.
— Julie… rĂ©clama Jean.
— Oui… Oui… c’est votre tour maintenant. Vous l’avez bien mĂ©ritĂ©.
Elle se redressa à genou, les bras entre ses jambes écartés, en signe de soumission.
— Allez-y les garçons. Jouissez pour moi. Recouvrez-moi de votre foutre !
Elle avait l’air d’une chienne assoiffĂ©e de sperme. Je n’avais jamais rien vu de tel. Elle s’offrait Ă nous, attendant notre jus comme une offrande. On se masturba tous furieusement pour nous finir. C’Ă©tait merveilleux, nous n’avions plus Ă nous retenir, juste Ă nous laisser jouir. Nous Ă©tions comme des masos qui arrĂŞtaient enfin de se torturer.
— Allez, les garçons ! Je veux qu’il pleuve du sperme ! J’ai besoin d’une douche de foutre ! Me dites pas que vous n’en avez pas envie !
Ses mots nous excitèrent un max. On était tous impatient de laisser nos queues éclater comme des arrosoirs.
— Vos bourses doivent ĂŞtre gonflĂ©es Ă bloc Ă force de retenir tout ce jus pendant des jours. Mes pauvres salauds. Donnez-moi tout ! Je veux que vous vous vidiez entièrement jusqu’Ă vous racler le fond des couilles ! Je veux que mon corps entier devienne tout collant !
C’en fut trop. Je ne saurais dire lequel d’entre nous vint vraiment en premier, nous Ă©jaculâmes tous plus ou moins en mĂŞme temps. Je poussai un grognement guttural lorsque je sentis enfin mon foutre sortir de mes couilles pour grimper le long de ma tige. Ma queue explosa en copieux jets de foutre qui atterrit sur Julie. Nous lui donnâmes ce qu’elle voulait. Nous jouĂ®mes abondamment et la recouvrĂ®mes de sperme. Nous cherchâmes Ă viser pour lui en mettre le plus possible. Elle, elle avait fermĂ© les yeux et sortit la langue pour nous accueillir en bonne petite salope soumise. On lui en mit sur le visage, les cheveux, les Ă©paules et les seins. Je n’avais jamais jouis aussi fort, et surtout autant. Le flot ne s’arrĂŞtait pas, et celui des autres non plus.
— Raaah ! Salope ! Prends ! Prends !
— Aaah ! Ouiii ! Recouvrez-moi de foutre chaud ! C’est bon ! Donnez-tous Ă votre vide-couilles !
Ce que nous fîmes sans ménagement en hurlant notre plaisir.
Nos sources finirent par tarir. Nous nous efforçâmes de se vider jusqu’Ă la dernier goutte. Nous continuâmes Ă nous branler pour s’assurer qu’il ne restait rien. Je laissai mes restes lui tomber sur le front en essorant ma queue.
Elle continuait de pulser sans plus rien Ă©jaculer. Mes bourses autrefois pleines Ă©taient maintenant complètement vide. Je n’arrivais toujours pas Ă m’en remettre. C’Ă©tait la plus bonne baise de toute ma vie, et je ne devais pas ĂŞtre le seul Ă penser ça. Un regard sur Julie me fit du mal Ă dĂ©bander. Elle avait du foutre partout comme si un rĂ©giment lui Ă©tait passĂ© dessus. Quand elle comprit que la douche Ă©tait finie, elle se nettoya les yeux avec un doigt, puis les rouvrit. Elle constata avec joie le massacre que nous avions fait.
— HoulĂ , mes petits salauds, vous m’avez noyĂ©e de sperme. J’adore !
Elle porta son doigt en bouche en faisant un :
— Hmm délicieux.
Nous Ă©tions tous les trois en train de l’insulter de sale pute dans nos tĂŞtes. Une fois encore, je ne l’imaginais pas comme ça.
Alors que nous Ă©tions repus, elle continua Ă nous exciter en faisant la salope. Elle joua avec notre sperme pour se l’Ă©taler partout sur le corps. Elle en rĂ©pandit sur ses seins et le ventre comme s’il s’agissait d’une crème hydratante qui lui faisait du bien. Elle ramassa aussi ce qui trainait sur son visage pour l’avaler, en prenant soin d’ouvrir un maximum la bouche pour nous le faire voir. Putain, si j’en avais Ă©tĂ© capable, peu importe qu’elle soit gluante ou pas, je l’aurais forcĂ©e Ă se mettre Ă quatre patte et je l’aurais enculĂ©e. Elle n’avait aucune limite.
Aucun d’entre nous ne rata son petit manège. Lorsqu’elle eut fini, elle nettoya nos sexes mollissant en les suçant goulument.
C’est lĂ qu’on se rendit compte que nous n’avions absolument rien pour l’aider Ă se nettoyer un peu avant de rentrer. Elle rĂ©agit comme si ce n’Ă©tait pas grave et qu’elle n’en avait rien Ă faire. Elle remit son bikini tandis que nous nous rhabillâmes Ă©galement, et elle rentra ainsi Ă son appartement totalement couverte de sperme.
Je craignis que le réveil du lendemain soit difficile pour nous tous. Nous ne réalisions pas. Nous étions tous à moitié bourré ; et je me demandais quelle allait être notre réaction une fois dessaoulé ; surtout la sienne. © Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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