Ce récit met en scène Julie, que vous avez découvert dans « la coquine et la sensuelle » pour un moment de charme accompagné par la petite coquine Sofia.Julie est une femme brune d’environ 35 ans, soit quelques années de plus que moi. Très élégante et sensuelle, elle a une réserve naturelle qui la rend très excitante. Elle travaille depuis quelques temps dans la même société que moi et son charme ne m’a jamais laissé indifférent. Après notre première soirée, au cours de laquelle elle a démontré qu’elle savait aussi être libérée, elle a retrouvé sa réserve habituelle. Nous nous croisons régulièrement au bureau mais elle paraît encore gênée par mes regards (pervers peut être) la fixant dans les yeux ou à la découverte de sa poitrine ou de ses fesses cachées sous des tailleurs toujours élégants.Ayant particulièrement apprécié notre première rencontre, je l’invite à dîner dans un bon restaurant. Elle me répond par un sourire gêné et complice ayant bien compris mes intentions. Le lendemain soir, elle entre dans le restaurant (en retard comme toute femme, pour susciter l’envie et le désir). Elle est vêtue d’une superbe robe noire et porte des chaussures à talons qui lui donne une allure élégante. Elle s’installe face à moi, la lumière des bougies illumine son visage. Je commande du champagne et nous triquons à la soirée qui s’annonce. Elle porte sa coupe à ses lèvres délicates et sensuelles et avale la première gorgée. Curieusement, malgré notre première rencontre et l’intimité du restaurant, elle reste délicieusement réservée. Nous parlons de choses et d’autres jusqu’à ce que, sa réserve m’excitant terriblement, j’en profite pour en ajouter à sa gêne en lui demandant de me donner son slip. Ses joues rougissent et sa gêne devient évidente. Ses yeux m’interrogent pour savoir si elle a bien entendu et mon sourire le lui confirme. Elle me signifie son refus par un signe, comme si elle avait perdu la voix. Je deviens plus autoritaire et le lui demande à nouveau.Son côté « femme soumise » réapparaît et elle termine alors sa coupe et ses mains s’aventurent sous la table. Elle se trémousse lentement pour faire remonter sa robe en tachant de ne pas éveiller la curiosité des tables voisines. Mes yeux ne quittent plus les siens, ce qui la gêne plus encore. Au moment où sa robe est complètement remontée, le serveur s’approche pour prendre notre commande. Seule la nappe de la table couvre ses jambes. Elle parvient finalement à donner sa commande en balbutiant et bégayant quelques mots. Je lui sers une nouvelle coupe et lui fait signe de poursuivre. Elle attrape son string et le fait glisser le long de ses jambes. Elle se penche en lançant un regard aux tables voisines puis se relève avec le string à la main. Je pose alors mes mains sur la table et lui demande de le déposer. Après avoir à nouveau scruté toutes les tables, elle s’exécute. Je ferme la main et la porte à mon nez. Je respire ce petit bout de tissu qui laisse deviner l’excitation de Julie. Mon sexe se durcit après cette douce respiration. Ses joues sont rouges entre excitation, gêne et honte. Le serveur nous apporte les plats et devine notre petit jeu. Il jette aussitôt un regard vers la belle qui est totalement confuse. Après avoir terminé notre repas, nous partons chez moi à quelques pas de là.Me promener avec cette belle femme sans culotte et acceptant de se soumettre à mes fantasmes est très excitant. Arrivé chez moi, je la colle contre la porte d’entrée et l’embrasse fougueusement après ces quelques heures de frustrations. Je la prends par la main et l’emmène vers la chambre. Placé dans son dos, j’embrasse son cou, pose mes mains sur les siennes et les conduit à sa poitrine. Puis elle se retourne, enlève un à un les boutons de ma chemise et m’embrasse tendrement le torse. Je fais glisser les fines bretelles de sa robe qui tombe à ses pieds et dégrafe son soutien-gorge, laissant apparaître sa délicieuse poitrine. Mes mains se dirigent vers ses seins et ma bouche commence à les gober et à titiller ses tétons dressés. Je sors de la poche le string qu’elle m’a confié plus tôt et le porte à son visage pour qu’elle sente son odeur intime. Très excitée par cette sensation, elle me dit : « je suis à toi, prend moi maintenant. » Mon imagination s’envole de nouveau. Je la pousse sur le lit et lui ordonne : « caresse-toi, fais-toi plaisir toute seule. » Je m’installe sur le fauteuil face au lit et commence à admirer le spectacle de cette femme, qui se soumet à mes désirs. Elle commence à se caresser la poitrine puis timidement sa main s’aventure vers son sexe. Elle introduit un doigt dans son sexe trempé et s’active de plus en plus. Ses mains glissent de sa poitrine à son entrejambe sans se soucier de ma présence.Après quelques instants, je me lève, enlève mon caleçon et la rejoint. Elle se redresse brutalement et attrape mon sexe, y dépose un baiser sur le gland puis donne quelques délicieux coups de langue tout au long de la verge. Finalement, elle l’englouti au plus profond de sa gorge et se déchaîne comme une goulue. Sa langue se promène tout au long de mon sexe, ses mains me caressent. Je l’interromps rapidement avant qu’il ne soit trop tard. Elle me lance un regard de satisfaction, ravie de l’effet qu’elle procure sur moi.Je m’éclipse un instant et reviens avec 2 coupes et une bouteille de champagne. Après quelques gorgées désaltérantes, je prends un glaçon dans le seau à champagne et commence à parcourir son corps. Je le pose tout d’abord sur un téton qui s’électrise immédiatement. Je glisse alors le glaçon entre ses seins puis ma langue apporte la douceur après le froid. Je descends vers son nombril et y glisse ma langue baladeuse. Elle semble apprécier ce traitement et se déhanche sans retenue. Elle écarte ensuite les jambes et je glisse ma langue dans son intimité puis y fait lentement glisser le glaçon. Ma langue revient s’insinuer entre ses lèvres puis de nouveau le froid. Sa respiration se ralentie et ses gémissements trahissent son plaisir. Le glaçon a totalement fondu sous le contact de sa peau brûlante. Ma langue part à la recherche de son clitoris et commence à jouer avec. Sa main se pose sur ma tête en signe d’encouragement. Sans interrompre le mouvement de ma langue, j’entre un doigt dans son sexe trempé et commence un va-et-vient régulier jusqu’à ce que ses hanches s’activent pour prendre le contrôle. Quelques instants plus tard, son corps se raidit et ses gémissements laissent place à un cri de plaisir. Elle se redresse et son visage s’illumine d’un délicieux sourire de satisfaction. Nous nous embrassons à nouveau et reprenons une gorgée de champagne.Elle me bascule sur le dos et commence un massage de ses mains délicates. Très vite, ses cheveux glissent sur ma peau et ses baisers se multiplient. Elle s’installe sur moi et me chevauche fougueusement. Ses mains retiennent les miennes au-dessus ma tête et elle se penche pour m’embrasser. Elle se redresse et continue à se déhancher lentement laissant sa poitrine se balancer sous mes yeux. Quand elle se penche pour m’embrasser, nous basculons sur le lit et elle se retrouve sous moi. Je reprends alors le contrôle et poursuit les mouvements. Ses jambes m’emprisonnent et ses pieds se rejoignent derrière mon dos comme pour ne pas me laisser m’échapper (si l’idée m’en était venue). Ses gémissements se font plus bruyants et j’en profite pour accélérer le mouvement jusqu’au plaisir. Nous nous effondrons sur le lit l’un à côté de l’autre pour reprendre nos esprits.Après m’être assoupi quelques instants, je sens à nouveau ses cheveux qui caressent mon torse et sa langue qui les suit. Quand j’ouvre les yeux, elle prend mon sexe dans sa main et commence à vouloir lui redonner forme. Cette élégante femme se cachant sous sa réserve s’avère décidément très gourmande (pour mon plus grand bonheur). Elle s’approche de mon oreille et me susurre, un peu honteuse, « j’aimerais que tu m’encules. » Elle ajoute aussitôt qu’elle n’a jamais connu cette expérience et me demande d’être très délicat. Je n’en crois pas mes oreilles, en revanche mon sexe a bien compris, il s’est redressé brutalement.Ravi de cette proposition inattendue, Je lui embrasse tout d’abord le bas du dos puis les fesses que je pétris vigoureusement. Tous deux à genoux sur le lit, je m’installe derrière elle. Ses fesses se collent à mon sexe. Mes mains lui massent la poitrine puis l’une d’elle descend vers son sexe humide. Mes doigts commencent à jouer avec son clitoris et à fouiller son intimité. Sa respiration ralentit et son excitation grandit. Elle se met à quatre pattes sur le lit, comme une invitation et sa main remplace la mienne sur son sexe. Je pétris ses fesses délicieusement malléables. Puis, je les lui écarte brutalement pour faire apparaître son anus. Ses yeux se tournent vers moi et son regard me foudroie, entre crainte et excitation. Je m’approche de son petit trou et entreprend de lui lécher. Son corps, tout raidi à la perspective de se faire envahir à cet endroit, se détend peu à peu sous les coups de langue. Sans l’avertir, j’y introduis mon index. Elle lâche un cri de surprise mais se laisse faire. J’imprime un lent mouvement de va-et-vient avec mon doigt. Julie, d’abord craintive, semble apprécier et ne proteste pas. Sa main continue de s’activer sans retenue sur son sexe et son anus se dilate lentement. Ma langue revient vers son petit trou et j’y dépose généreusement ma salive. J’entre mon index dans sa chatte pour le lubrifier à nouveau avant de pénétrer lentement son petit trou qui se détend sous l’effet de ces stimulations. Quand je me redresse, elle doute et se retourne vers moi : « je ne suis pas sûre. » Je l’interromps en l’embrassant à pleine bouche et caresse son visage pour la rassurer.Elle sent mon gland se poser à l’entrée … Elle se retourne vers moi, ses yeux me supplient d’être délicat mais ne laissent aucun doute de son niveau d’excitation. Je fais une légère pression de mon gland contre son anus. Lentement, son cul avale l’extrémité de mon sexe. Elle pousse un petit cri, signifiant davantage l’étonnement que la douleur. Elle commence à y prendre du plaisir et porte même légèrement son bassin vers mon sexe que je garde immobile. Je la laisse manœuvrer en fonction de ses sensations pour ne pas la faire renoncer en si bon chemin. Ma queue l’empale lentement. Lorsqu’elle l’a totalement englouti, je recule alors un peu et donne un premier coup. Sous l’impact, Julie s’écroule sur l’oreiller qu’elle serre entre ses bras. Je m’arrête, craignant lui avoir fait mal mais au contraire elle me supplie de continuer. Ses gémissements ne laissent plus aucun doute de son plaisir. Son cul vierge serre ma queue à chaque mouvement. La sensation est explosive pour moi comme pour elle. Après ces gémissements, elle se transforme : « Prend moi comme une chienne… Bourre moi le cul, gros cochon… Baise-moi à fond… » Cette vulgarité dans la bouche de cette femme habituellement si élégante et réservée me transporte. J’accélère mes mouvements pour la satisfaire puis m’échappe de son étroit fourreau, la place sur le dos et éjacule sur son ventre. Je m’allonge à côté d’elle et l’embrasse furieusement en signe de remerciement. Mon index glisse vers son ventre et emporte quelques goûtes de sperme. Je lui porte à la bouche et elle n’hésite à le sucer avec gourmandise. Puis sa main suit le même chemin et elle déguste un à un ses doigts souillés pour ne rien perdre de mon jus. Cette femme me surprendra toujours…N’hésitez pas à me faire part de vos remarques (auteur75013@yahoo.fr)