Juliette la petite interim

Juliette la petite interim
Juliette, une petite intérimaire se fait ramener chez elle par son chef d’équipe.
Proposée le 14/09/2016 par Tinygirl Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.

Thème: Nympho, vicieusePersonnages: FHLieu: Bureau, travailType: Fantasme

    Juliette est une jeune fille brune de 19 ans, si petite et si fine que lorqu’on la voit, on ne pense qu’à une chose, c’est la prendre dans ses bras pour la protéger. Pourtant il ne faut pas si fier. Malgré son metre 50 et ses 40 kg tout mouillé de chaud, cette jolie brunette est très sûr d’elle et plutot dominatrice. Pour ses vacances d’été, elle a décroché un petit job dans une fonderie de la region. C’est une grosse boite qui emploie des hommes d’un certain age et particulierement barraqués car ils exercent là bas un metier extremement dur.Juliette quand à elle a pour mission de faire des inventaires. C’est un travail nettement moins physique si ce n’est qu’elle doit se frayer un chemin au milieu de tous ces vieux males viriles et ça, ce n’est pas chose facile.Cela fait déjà 2 jours qu’a débuté sa mission.
Elle s’est bien sur très bien intégrée et est devenue la petite protégée de l’atelier. Les ouvriers la surnome la puce et se battraient presque pour lui payer le café.C’est justement là que nous retrouvons notre petite puce, à la machine à café, accompagnée par le chef d’atelier, un homme d’une cinquantaine d’année à la carrure imposante qui doit bien faire dans les 120 kg et 2 têtes de plus qu’elle. Il ressemble à un vieux biker avec un barbe naissante et grisonnante, un crane chauve et des bras énormes recouverts de tatouages, qui ne laisse apparement pas la petite Juliette indifférente, vu comme elle se trémousse devant cet ours plus vieux que son père.Comme elle n’a pas encore le permis, il lui propose de la ramener chez elle après le travail. Elle accepte sans se faire prier et lui dit de l attendre à la sortie des vestiaires.À la fin du poste, comme prévu, le chef d’équipe est adossé à la porte du vestiaire, à attendre la belle interimaire. Juliette sort enfin, habillé sexy comme à son habitude.
Elle a troqué ses chaussures de sécurité contre des chaussures à talons qui laissent apparaitre ses petits pieds parfaitement manucurés et est habillé comme une écolière avec une petite jupe plissée rouge écossaise et un chemisier blanc trop court qui laisse entrevoire son nombril et ses 2 petits tétons qui pointent. Pour ne pas faire de faute de goût ou pour éxiter un peu plus son chef, elle a fait de ses longs cheveux bruns 2 couettes qui lui tombent de chaques cotés des fesses.
–  C’est bon, je suis prète.
Dit elle avec sa petite voix fluette.
Le chef marque un temps d arret, comme choqué par la vision de cette petite bombe sortit tout droit du plus pervers de ses fantasmes. Il esquisse un sourire et l’escorte jusqu’à sa voiture.
Sur le parking ils croisent un groupe d’ouvrier qui ne peuvent s’empécher de la siffler tout en la reluquant des pieds à la tête.
Elle leurs repond par un joli sourire qui a pour effet de les rendre encore plus dingues.Arrivé à la voiture son chef fait preuve d’une galanterie que sa femme n’a jamais connu et la précède pour lui ouvrir la porte de son énorme 4×4. Juliette doit limite escalader le marche pied pour monter, ce qui permet à son chef d’apercevoir sa petite culotte blanche. Il monte à son tour et les voila partis.Juliette pose son sac à main HelloKitty à ses pieds enlève ses petites chaussures et pose ses jolis pieds nus sur le tableau de bord.
Son vieux pervers de chauffeur ne peux s’empècher de les regarder ce qui à pour effet immédiat de faire gonfler sa queue et limite de le faire baver.
La petite écoliere à bien remarquer la bosse qui se forme son pantalon mais préfère la laisser murir encore un peu.
Elle décide donc de prevenir son père par sms qu’elle se fait ramener.
Elle prend son téléphone et commence à écrire en se frottant machinalement les pieds l’un contre l’autre.
Son chef à de plus en plus de mal à garder les yeux sur la route, et elle, de son coté regarde discretement du coin de l’oeil la prohiminence grossir de plus en plus.
Au vu de la taille de la bosse elle commence à penser que son supérieur est particulierement bien membré. Elle aussi est de plus en plus exitée et se mordille les lèvres en imaginant ce qui se cache sous le jean de ce gorille.
C’est alors pleine d’aplomb qu’elle se décide à lui demander en prenant une toute petite voix faussement timide :
– C’est quoi cette bosse sous votre pantalon ? Vous bander ?
Son chef n’osant pas répondre, pris de court par cette innocente insolente, elle tend son bras et commence à la palper à travers le tissus avec sa petite main fine aux ongles longs.
Effectivement c’est bien sa queue qu’elle voyais tendre le jean.
Il l’a regarde en souriant mais ne dit toujours rien. Il pose sa main sur sa cuisse puis sur sa tête en l’incitant à se rapprocher encore.
Elle se penche au dessus de sa braguette pour l’ouvrir lentement et en sort un sexe d’une taille phénomenale, si gros qu’en le voyant elle ne pus s’empécher de pousser un petit gémissement en même temps qu’un mouvement de recul. Il était énorme, aussi gros qu’une boite de pringles, très foncé et pleine de veine. Elle repris ses esprits et lui dit avec sa voix douce entrecoupée de ricanement d’adolescente :
-C’est pour moi ça ? Elle est si grosse ! C’est moi qui vous fais cet effet ?
Il lui repondit avec sa voix grave de vieux briscard :
-Elle est toute pour toi ma petite puce. Amuse toi avec.Elle ricanna et glissa une main dans son pantalon et en sorti cette fois ci  une paire de couille lourde et massive.
Sa main était bien trop petite pour contenir les 2 clementines qui lui servais de testicules.
-Tu as les mains froides ma puce, j’adore.
 Elle sourit et approche ses levres de ses bourses pour y déposer un baiser, puis remonte le long de sa queue jusqu’au bout de son énorme gland qu’elle embrasse fougueusement. Son gland était si gros qu’elle ne pouvais le prendre entier en bouche.
Au contact de ses lèvres humides sur son gland, son chef poussa un râle de plaisir et s’arreta en catastrophe sur le bas coté de la route. Une fois les mains libres il lui pris la tête d’une main et de l’autre lui malaxait les fesses par dessus sa culotte. Il avais des mains de géant, puissantes et caleuses. Ses doigts s’enfonçais dans chacuns de ses trous, emportant avec elles la petite culotte déjà bien détrempée.Juliette continua un petit moment à inonder son membre de baiser baveux tout en lui caressant les couilles puis se redressa et monta à califourchon sur son chef. Pendant qu’il l embrassait dans le cou, elle ouvrit sa chemise tout en s’activant à frotter sa petite chatte le long de sa queue. Elle fit apparaitre un torse de bodybuilder velu ainsi qu’un ventre bedonnant certainement remplit de bière. Il ressemblait à un gorille.
 Il déboutonna son chemisier et se mit à lui bouffer les seins comme si il n’avait pas manger depuis 3 jours. Ses mains etaient maintenant passer sous la culotte et il enfonca le bout de son index dans son tout petit anus tout serré, ce qui la fit gemir instantanément.
Pour le remercier de cet initiative, elle lui ouvrir la bouche et lui cracha sa salive dedans.
– t’es vraiment une petite chienne !
Dit il en avalant le précieux nectar.
– C’est toi le chien, moi je ne suis qu’une mignonne petite chatte.
Lui repondit elle d’une voix chaude et aiguë.
D’une main elle écarta sa culotte et pressa fortement l’entrée sa petite chatte contre son énorme gland. Elle s’ empalla ensuite lentement et en une seule fois sur le gourdin qui lui servait de queue en enfonçant en même temps ses ongles dans son torse, un peu plus profondement à chaque centimètre de queue que sa petite chatte voulais bien avaler.Son gorille de chef poussa un grognement animal. Elle n’eue pas le pas le temps de remonter qu’il lui deversa tout son fouttre au plus profond de ses entrailles tout en continuant de grogner comme une bête qu’on achève.Mais Juliette avait faim et ne comptait pas en finir si vite. Toujours avec sa queue en elle et un doigt dans l’anus, elle se blottie contre son torse velu, glissa ses 2 petits pieds tous froids sous ses grosses couilles chaudes et se mit à sucer son pouce comme une enfant en tortillant lassivement ses petites fesses autour de son chibre.
Exité comme jamais il n’avais connu ça, le vieux pervers repartit de plus belle. Il la ramona sauvagement tout en caressant ses pieds, son dos et fouillant son petit cul.
– Vas-y princesse, t’es trop bonne, prend ça bien au fond ma puce, je sent que ça vient.La petite princesse gémissait en continuant à sucer son pouce d’une main et griffer son chef de l’autre.
Il retira son doigt de sa petite rondelle, plaqua son gland tout contre et lui envoya tout son sperme au fond de son anus grace à de longues et puissantes gliqués.
Elle était remplie comme une huitre, le sperme lui coulait de partout le long de ses cuisses et sur ses pieds.Elle se rassise à sa place, remit sa culotte en place, reboutonna son chemisier et enfila ses chaussures à talons par dessus le foutre.
Il redémarra la voiture pour faire les derniers mètres qui leurs restait à parcourir et s’arréta devant chez ses parents.
Juliette fit un grand sourire, lui donna un baiser baveux sur la joue et lui dit:
– Vous passez me prendre demain ?© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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