Katelyn.
Il est dix
heures du matin en ce beau dimanche, quand Katelyn, jeune et belle femme de
trente huit ans, se réveille. La soirée, très arrosée, a laissé des traces. Un
terrible mal de crane. Du coup, elle a passé la nuit sur le canapé, toute nue,
aucun sous vêtement. Elle parvient malgré tout à rejoindre sa salle de bains
pour prendre une bonne douche. Dans la glace, elle admire son corps aux seins
superbes, aux galbes des hanches parfait, puis se fige stupéfaite. Ses fesses
son toutes rouge, et sa chatte est entièrement épilée.
« Mon
dieu, se dit-elle, mais que c’est-il passé…qu’ai-je fait cette nuit »
Elle se
souvient vaguement être passée chez Claire, sa voisine prendre un café, puis c’est
le flou complet. Cependant, quelques bribes de la soirée ressurgissent, pas
bonne pour son image de nouvelle directrice d’école. Elle prend une douche
rapide, et décide de rendre visite à Claire, sa voisine âgée de cinquante ans.
Les deux femmes se haïssent. Claire, prof au lycée, est souvent humiliée devant
ses élèves par Katelyn, la directrice. Elle a un sourire narquois quand elle
voit la directrice arriver.
-Entrez,
dit-elle en entendant sonner. Tiens, c’est vous, quelle surprise !
-Que
c’est-il passé cette nuit, demande sèchement Katelyn. Je veux savoir.
-Hey,
calmez-vous, justement, on m’a apporté la vidéo de la soirée, ben dis dont,
vous vous êtes amusée. Asseyez-vous, on va la visionner ensemble.
Les
premières images montrent Katelyn avec une femme d’un certain âge qui la tient
par la taille et l’entraine vers une voiture. Là , pendant que la femme
s’installe Ă l’arrière, Katelyn se dĂ©shabille. Elle s’assied sur le siège, Ă
demi couchée sur l’inconnue qui la soutient d’un bras. Lentement, la femme parcours le corps
de Katelyn, caresse les seins, les flancs, puis des hanches passe à l’entre
jambes. Là , Katelyn s’écarte d’avantage. Les doigts courent sur la fente,
ouvrent les lèvres intimes, puis pénètrent la chatte, déclenchant les premiers
gémissements. Soudain, une petit voix. Ce n’est autre que Lisa, la fille de
Katelyn.
-Elle te
fait mal maman pour que tu gémisses comme ça ? Qu’est- ce- qu’elle te
fait ?
-Oh non ma
chérie, gémit Katelyn, j’ai pas mal, au contraire. Regarde comme la dame
s’amuse avec ma petite chatte, comme elle a décalotté mon petit bouton. Tu
verras, quand tu seras grande, toi aussi tu aimeras qu’on te le doigte. Mais
éloigne toi maintenant, je ne veux pas que tu vois maman jouir…
-Non,
insiste la vieille l’inconnue, je veux qu’elle assiste à ce que je fais à sa
maman… regarde comme elle bouge son cul, tu vas entendre comme je vais la faire
crier cette salope…hein que c’est bon…vas-y, dis à ta fille que tu aimes ce que
je te fais…
-Oh oui
Madame…c’est bon…je vais jouir…regarde la chatte de maman ma chérie…elle va
cracher…
Soudain,
Katelyn se cambre sur ses pieds, envoie des coups de reins sur les doigts qui
l’a branle. Lisa assiste en direct à l’orgasme de sa mère qui hurle de
plaisir…voit la mouille s’écouler de sa fente. Elle n’aurait jamais imaginé sa
mère se soumettre à une femme, et surtout prendre autant de plaisir à se faire
gouiner. Elle s’esquive en voyant deux
copines du lycée qui s’approche sans bruit de la voiture.
-Allez-y les
filles, ordonne la vieille dame. Que sa chatte ressemble à celle d’une petite
fille.
Les deux
lycéennes sortent la panoplie du coiffeur, et entreprennent de raser la chatte
de Katelyn. Elle se retrouve les lèvres et le tour du clitoris complètement
épilés. Les filles l’entrainent dans un coin du parc.
LĂ , les deux
adolescentes la font mettre à genoux. Un se place derrière, lui enserre la
taille, lui prend les seins qu’elle caresse, fait rouler les bouts entre ses
doigts. Elle insinue même un doigt dans le petit trou. La deuxième, placée
devant, glisse une main entre les cuisses, lisse la fente encore humide, décalotte
le clitoris qu’elle excite avec deux doigts. Katelyn se déhanche sous les
vicieuses caresses. Elle se sent humiliée par se deux gamines qui ont gardés
leurs vêtements, et qui jouent avec elle. Le pire, c’est qu’elle se régale.
Elle envoie de légers coups de reins, tient le poignet de la jeune fille, de
peur qu’il ne se dérobe. Elle accompagne même les mouvements, puis jouit dans
ses petits doigts en criant de plaisir.
-Hou…hou…que
c’est bon…allez-y mes chéries…oh oui…bouge ton doigt dans mon cul…oui…chatte
moi encore…fais moi jouir…oui…
-Vous aimez
Madame, c’est bon ce qu’on vous fait…hum…ben tous les soirs, après les courts,
quand tout les élèves seront partis, on viendra dans vôtre bureau, on vous
mettra toute nue, et on jouera avec vôtre petite chatte…hein… vous voulez
bien ?
Katelyn
acquiesce de la tête. Les deux jeunes filles se font lécher les doigts,
l’embrassent et s’en vont. La scène suivante se passe chez Claire. La
directrice est jetée sans ménagement sur le lit par la prof. Les gifles
claquent sur les fesses de Katelyn, en larmes.
-Aie…aie…arrêtez,
s’il vous plait, pleure-t-elle.
-Ta gueule
connasse, je vais te faire passer un moment que tu n’es pas prête d’oublier.
Claire Ă´te
son peignoir, monte sur le lit. Elle enfonce deux doigts dans la chatte de
Katelyn, et entame de lent va et vient. Celle-ci Ă©carte ses jambes pour mieux
se faire chatter. Avec deux doigts, elle décalotte elle-même son clitoris.
-Tenez…grattez
le…j’aime quand on me le doigte…vous pouvez le faire rouler entre vos doigts
aussi…hum…
-T’es une
petite vicieuse toi…tu aime te faire gouiner…hein, salope.
En disant
ça, Claire encastre ses jambes entre celles de Katelyn, et se frotte la chatte
contre la sienne.
-Hum, gémit
Claire…ma chatte est en train de manger ton petit clitoris…sent comme mes
lèvres te le suce…te l’aspire…c’est bon hein…mais pourquoi tu cries comme ça…je
te fais mal…
-Oh non…au
contraire…vous me faites du bien…allez-y…que vôtre chatte mange mon petit
bouton…oui… oh mon dieu, que c’est bon…je peux gratter le vôtre…s’il vous
plait…
-Tu ne vois
pas qu’il attend que ça, gémit Claire. Vas-y petite pute, doigtes le…
Katelyn
saisit le clitoris de Claire, le roule entre ses doigts. Ensemble, les deux
femmes jouissent de plaisir.
Katelyn
reste sans voix, les mains devant la bouche. Elle ne se reconnait plus. Comment
en est-elle arrivée là , l’alcool sans doute. Elle se tourne vers la prof, le
regard interrogatif. La sentence tombe.
-VoilĂ ,
sourit Claire. Maintenant, quand tu me rendras visite en classe, tu me feras
voir si ta petite chatte est bien épilée. Puis tu t’assiéras sur mes genoux, je
te branlerai et te doigterai devant les élèves…d’accord.
Â
