En buvant un petit apéritif Pat lui demande pourquoi elle a quatre chiens a sa disposition.– Avant d’acheter cette grande propriété nous avions une maison de banlieue. Une nuit alors queDaniel était en déplacement, un bruit de verre cassé me réveilla en pleine nuit. C’était sûrementnotre chat. Je décidai donc de me lever à contre-cœur pour aller voir ce qu’il avait encore cassé.Après avoir allumé ma lampe de chevet à une faible luminosité pour ne pas abîmer mes yeux, jeparcouru le chemin jusqu’à la porte de ma chambre. Mais en ouvrant ma porte, quelle ne fut pas masurprise de découvrir un homme qui fouillait dans les tiroirs du salon muni d’une lampe torche. Jem’avançais donc vers lui :– Eh, qui êtes-vous ? Sortez d’ici ou j’appelle la p…Je n’eus pas le temps de finir ma phrase que je fus emprisonnée dans des bras puissants me tenantfermement, l’une des mains de cet intrus s’étant positionnée sur ma bouche. Le premier voleur quej’avais aperçu arrêta sa tâche, posa sa lampe torche et se retourna. Il était grand et bien constituémais je ne pouvais pas décrypter ses traits dans la pénombre. Le second voleur demanda :– Qu’est-ce qu’on fait avec celle-là ? Je t’avais bien dit qu’on aurait dû vérifier s’il y avaitquelqu’un !– Tiens la bien. Je vais chercher ce qu’il faut pour qu’on l’attache. On finira ce qu’on a à faire et onréfléchira à ce qu’on fait d’elle après.L’homme disparu dans la cuisine alors que j’essayais de me débattre pour me libérer de l’emprisedu deuxième voleur. Mais celui-ci était bien trop fort pour ma petite carrure.– Arrête de te débattre, tu n’arriveras à rien. Oh, mais je vois que tu avais chaud dans ton lit ! Oupeut-être qu’on t’a dérangée pendant que tu te faisais plaisir… Dit-il en profitant des lumièresémises par la lampe torche posée au sol et de celle de ma lampe de chevet qui passait parl’entrebâillement de la porte pour me détailler.Je dormais en effet habillée d’un simple débardeur, beaucoup trop large pour moi et qui laissait bienvoir que je n’avais pas de soutien-gorge. Après ces constatations, son emprise se desserra quelquepeu mais pas suffisamment pour que je puisse lui échapper. Si j’avais pu parler je lui aurais bienrépondu d’aller se faire voir. Mais au lieu de ça, il approcha sa main libre de mes fesses et mechuchota :– Et si on s’amusait un peu ?En réponse, j’émis un grognement de protestation. Je ne pouvais pas bouger plus car il avait réussi àbloquer mon corps. Il se colla contre moi et c’est là que je sentis une bosse contre mes fesses.Même si elle ne me semblait qu’en formation, elle avait l’air d’être déjà de bonne taille. Ça faisaitquelques jours que je n’avais pas goûté aux plaisirs de la chair. J’étais en manque. Même si l’idéeque ce gars me touche après m’avoir volé n’aurait pas dû me faire plaisir, mon manque se fitressentir. Je pressais donc un peu plus mes fesses contre son sexe tout en me disant que, tant qu’àme faire voler, je pourrais peut-être moi aussi profiter de la situation. Il me dit alors d’une voixrauque :– Aurions-nous découvert une petite salope ? J’ai hâte de voir ce que tu as à nous offrir ma jolie.Alors qu’il commença à frotter sa bosse contre mes fesses, sa main libre vint se positionner sur mapoitrine. Il soupesa et caressa chacun de mes seins avant de prendre un de mes tétons entre sesdoigts et de le pincer. Un gémissement de contentement vint alors remplacer mes grognements deprotestation. A cet instant, le premier voleur revint avec trois torchons entre ses mains et uncouteau :— Riri, regarde ce que j’ai trouvé ! Ça devrait faire l’affaire. Oh, mais je vois que ça a pris uneautre tournure.Son regard devint lubrique et il s’approcha vers nous. Il prend un torchon qu’il découpe en bandesavec le couteau et les donne a Riri.– Merci Gégé. Ce que tu as rapporté va nous servir. Bâillonne-la avec le torchon, je m’occupe del’attacher avec les bandes.La main de Riri quitta mon téton et il entreprit de me lier les mains avec les morceaux de torchons.Pendant ce temps, Gégé m’enfonça une partie du torchon dans la bouche et attacha les extrémitésderrière de ma tête. J’eus le temps de les détailler. Riri était grand, bien en forme. Ses cheveuxbruns sont en désordre et il portait une barbe de trois jours. Gégé était un peu plus petit et avait descheveux très courts. Ce dernier eut un moment de réflexion et s’éclipsa quelques secondes avant derevenir avec quelque chose entre ses mains :– J’ai trouvé ça tout à l’heure, je ne pensais pas qu’on pourrait en avoir besoin…Il tenait entre ses mains mon vibromasseur. Riri me regarda avec un sourire en coin :— T’es vraiment une petite cochonne. Cette nuit tu vas nous servir de vide les couilles.Sur ces mots, les deux compères m’entraînent dans ma chambre et me jettent sur le lit sansménagement. Riri me pris par les cheveux et me positionna de façon à ce que je sois assise. Il se misderrière moi, ses jambes autour de moi de façon à ce qu’il puisse recommencer à frotter son sexecontre mes fesses. Ses mains retrouvèrent leur chemin vers mes seins et il fit rouler mes tétons entreses doigts. Un gémissement de satisfaction m’échappa :– Regarde sa chatte toute lisse, on pourrait croire qu’elle s’est préparée pour nous, dit-il.– C’est une belle découverte. Mais ne va pas trop vite, je voudrais qu’elle nous supplie de la prendrepar tous les trous comme une chienne.– Ça devrait pas être compliqué, regarde comme elle est déjà trempée cette salope !Gégé passa rapidement sa main sur ma grotte afin d’appuyer ce qu’il venait de dire à son acolyte.– On dirait que t’es déjà excitée ma belle salope, me susurra Riri en pinçant un peu plus fort mestétons.Je lui répondis par un gémissement. Gégé me caressait les cuisses. Ses mains se rapprochaienttoujours plus de mon puits d’amour sans toutefois y toucher. L’excitation me faisait bouger deshanches dans l’espoir que ses mains atteignent mon bouton de plaisir.– On va se calmer grosse cochonne. C’est nous qui dirigeons, pas toi. On décidera quand tu pourrasavoir ce que tu veux, dit-il en s’asseyant sur mes jambes pour les bloquer.Il actionna alors mon vibromasseur et le mit au rythme de vibration le moins fort. Il le positionnasur mon clitoris sans trop appuyer. Je ne le sentais pas assez à mon goût. Il faisait des va et viensentre mon clitoris et l’entrée de ma grotte. Rapidement, l’embout fut mouillé. Mes gémissementsaccompagnaient le bruit des vibrations. La queue de Riri, qu’il frottait toujours entre mes fesses,était désormais toute dure. Je pouvais déjà deviner sa taille assez impressionnante. Gégé accéléra lesvibrations et accentua l’appui sur mon clitoris. Des bouffées de chaleur commençaient à m’envahir.Alors, il retira le vibromasseur. J’étais frustrée et j’émis un grognement de contestation.– Tu croyais quand même pas que tu aurais ce que tu veux aussi vite quand même ?D’un coup, Riri me pinça violemment les tétons. En même temps, Gégé m’enfonça le vibromasseurdans le vagin. La surprise et la douleur laissèrent place au plaisir. Gégé me caressait le clitoris enmême temps qu’il me pilonnait avec le vibromasseur. Mais à chaque fois que j’approchais del’orgasme, il s’arrêtait, me laissant dans une grande frustration. Après le troisième arrêt, il remplaçasa main par sa bouche et léchait puis aspirait mon clitoris comme jamais personne ne me l’avait fait.Entre temps, Riri s’était déshabillé et je sentais désormais sa grosse queue directement contre mesfesses. Avec ma mouille abondante, elle n’avait aucun mal à glisser dans ma raie.Je n’en pouvais plus, les orgasmes refoulés mettaient ma frustration à son comble.– Alors, sale chienne, tu es prête à nous supplier ? me demanda Riri.Il m’enleva mon bâillon improvisé pour que je puisse répondre.– Oui, répondis-je, haletante.– Oui quoi ?– Prenez-moi comme vous le voulez.– Tu veux être notre vide-couilles ?– Oui, je veux être votre vide-couille, votre pute.– Alors on va pouvoir remplacer le bâillon, dit Riri en regardant son compère.Ce dernier enleva son pantalon et son boxer. Une queue épaisse et de taille moyenne en sortit. Il laprésenta devant ma bouche. Je sortis timidement ma langue pour en caresser le gland. Mais il prisma tête entre ses mains et enfonça l’engin dans ma bouche. J’eus du mal à m’adapter à sonépaisseur. Il me baisait littéralement la bouche. Son gland tapait contre le fond de ma gorge. Jen’aimais pas spécialement faire des pipes mais la situation m’excitait terriblement alors j’y ai misdu mien.Pendant ce temps, Riri me mis à quatre pattes. Il se mis derrière moi et frotta longuement son glandà l’entrée de mon vagin, malgré mes mouvements de hanche qui le suppliaient d’y rentrer. Enfin, ils’enfonça en moi. Il m’emplissait entièrement. Avec la queue de l’autre dans la bouche, je nepouvais que gémir. Riri pris un rythme soutenu, en accord avec celui de Gégé. Je me faisaispilonner et j’aimais ça.– Alors sale chienne, tu aimes ça ? demanda Riri en me claquant les fesses. Je te garantis que tuauras du mal à marcher demain ma grosse salope.Ses mots me firent de l’effet. Des inconnus me traitaient comme une salope et j’adorais ça. Alorsque je gémissais de plus en plus fort, Riri appuyait son pouce contre ma rondelle. Il crachat dessuset son pouce pu enfin y rentrer. Cette entrée n’avait pas encore été beaucoup utilisée. Je savais àquoi m’attendre mais je n’étais pas en position pour protester. La sensation, douloureuse au début,n’était pas si désagréable. Il remplaça son pouce par son index et son majeur. Mes trois trous étaientpris.Mais Riri libéra ma chatte et positionna son gland face à ma rondelle. L’autre arrêta de me baiser labouche et se positionna sous moi. Ensemble, chacun entra en moi. Je poussai un cri face à ladouleur de l’entrée de Riri dans mon anus. Mais cette douleur était compensée par la bite épaisse deGégé qui me labourait la moule. La douleur fut vite remplacée par du plaisir et j’eus rapidementmon premier orgasme. Mais les deux comparses n’en avaient pas fini. Riri me donnait des fesséesqui me laissèrent des traces.– Bonne petite chienne. On a découvert un bon sac à bites, hein Gégé ?– Ça tu peux le dire, on pourrait en faire notre pute, ajouta-t-il en me donnant un gros coup de reinqui me fit crier de plaisir.Riri quitta mon cul pour se placer en face de moi. Je compris et ouvris ma bouche pour recevoir saqueue. L’autre le remplaça dans mon cul mais sa bite eut un peu plus de mal à rentrer. Il reprit levibromasseur et me l’enfonçait dans la grotte au même rythme que sa bite dans mon cul. J’eusrapidement un deuxième orgasme. Riri se stoppa et sortit sa queue de ma bouche. Je reçus des jetsde sperme en plein sur mon visage et il frotta sa bite sur ma joue. Quelques secondes plus tard, jesentis l’autre se déverser dans mon cul. J’eus alors un troisième orgasme, intense. Il se retira, pris levibromasseur et l’introduisit rapidement dans mon cul afin de le tremper dans son sperme. Il me leprésenta ensuite afin que je le lèche.J’ai également dû nettoyer sa bite avec ma bouche.– C’est une salope et en plus de ça elle est gourmande et en redemande, s’exclama Riri en meregardant lécher goulûment la queue de Gégé. Même s’il n’y avait rien d’intéressant dans tonappartement, on n’est pas venus pour rien. On t’a bien baisée, petite pute. On pourrait peut-êtremême revenir qui sait…Ils me laissèrent ainsi, allongée sur le ventre, les trous béants. Épuisée, je m’endormis dès qu’ilsfurent repartis. Le lendemain, après avoir réussi à enlever mes liens, je constatais qu’ils avaient paspris grand chose, ils n’ont pas trouvé le coffre ou Daniel renferme des papiers officiels. Il memanquait seulement un double des clés…J’ai rapidement fait changer les serrures et a son retour, Daniel fit installer une alarme et ce mitenquête d’un autre logement.
Sam Botte
La suite demain même heure