Après s’être restaurer pat lui demande de raconter ça rencontre avec Mamadou.Je t’ai déjà dit que Daniel avait sauvé la vie d’un jeune noir lors d’une ses missions diplomatiquesen Afrique. Mamadou n’a plus de famille au monde et il sera éternellement reconnaissant en versDaniel de l’avoir sauvé du massacre.Avec sa situation, Daniel n’a pas eu de mal a régulariser la situation de Mamadou, il a des papiersen toute légalité.Nous venions d’acheter cette grande propriété, les travaux étant achevés nous avons emménager.Mamadou a eu sa chambre mansardée toute équipée avec une petite cuisine et une salle de bainprivativesMamadou est devenue mon chauffeur et mon garde du corps en cas ou ???Daniel avait décréter que j’avais besoin d’un garde du corps durant les absences de mon mari. Unefemme seule n’est plus en sécurité dans ce pays.Le premier déplacement dans la voiture avec Mamadou comme chauffeur fut crucial. Nous avionsfait un tour d’une centaine de bornes pour sois disant habituer Mamadou a son nouveau poste.Assise à l’arrière de la voiture avec Daniel qui m’imposer une de ses volontés :– Soulève ta jupe ! Tu dois t’asseoir le cul à même le cuir du siège et je veux voir le haut de tescuisses !Je me rebiffe en lui lançant :– Mais le chauffeur va me voir ???Il m’interrompt sèchement :– Je m’en fou du chauffeur ! T’obéis point !Sous son autorité, soumise, j’obéis troussant ma jupe et laissant mes jambes découvertes jusqu’aucompas de mes cuisses.N’ayant pas de culotte, Mamadou doit se rincer l’œil dans le rétro. Conscient qu’il mate dans lerétro, Daniel passe ostensiblement son doigt dans ma fente humide. Je rougie de honte et me raidisen fermant les yeux de honte. Pour m’humilier un peu plus devant Mamadou, il enfonce deux doigtsdans ma grotte. Tout le long du parcours, il s’est amuser à me fouiller la moule. Malgré une honteintense, je suis au bord de l’orgasme en arrivant. Arrêté devant le perron, Mamadou avec un souriremalsain m’ouvre la porte. J’ai le rouge au joues suite au traitement subit dans la voiture et c’est lesjambes flageolantes que Daniel m’aide à monter les marches pour entrer dans la maison.Pendant quelques temps, tout ce passe bien, Mamadou est un très bon chauffeur, prévenant avecmoi, il parle le français couramment.Mais il m’a semblé plusieurs fois le voir nous espionner lors de nos séances sexuelles.Daniel doit repartir pour une de ses mission diplomatiques interminables. Le jour de son départ,avant de monter dans la voiture qui va le conduire au ministère, il s’adresse à Mamadou devant moi.– Mamadou ! Je te confie Odile……Tu est l’homme de la maison en mon absence, tu l’a protège ettu fera tout ton possible pour qu’elle soit autant comblée avec toi comme avec moi !!!!!A la fin de sa phrase il lui fait un clin d’œil avec un sourire entendu en me regardant. Il faut savoirqu’avant de sortir de la maison Daniel m’avait briffer.– Je te laisse entre les mains de mon Mamadou, tu verras il est monter comme un âne, il va te fairegrimper aux rideaux, ça fait très longtemps qu’il n’a pas baiser, je lui est donné l’autorisation, tun’as rein a craindre il est sain. Pendant mes absences il logera dans la chambre d’amis a coté de lanotre.De retour à la maison Mamadou vient ce présenter a moi.– Monsieur Daniel m’a dit dans la voiture qu’en son absence j’aurais une chambre et que je doitm’occuper de vous. OOH!! OOH!!A ses derniers mots il rigole fortement.Je lui montre sa chambre qui est en fait séparée juste par mon dressing et une salle de baincommunicante. Il me dit :– Se sera bien pratique pour m’occuper de vous cette salle de bain communicante !Je suis très gênée de la façon dont il me traite. Je dit à mon nouveau garde du corps :– Je vous laisse vous installer pendant que je vais prendre une douche !Je vais dans ma chambre et me déshabille sans me soucier de Mamadou. Je sursaute en voyant qu’ilm’a suivie et qu’il se régale de ma nudité.Je vais sous la douche. Je suis devenue une proie qui ne peut lui échapper.Radieux, il me regarde faire. Je m’efforce de l’ignorer. Mais sont regard est si intrusif que j’ai lasensation presque physique que de multiples mains se posent sur mon corps, appréciant les volumesde ma féminité, la souplesse de mes seins et de mes fesses ainsi que l’accessibilité de mes orifices.Alors que je m’apprête à me vêtir, il me dit :– Vous devez vous habiller ! Sans culotte ni soutien gorge ! Monsieur Daniel m’a dit que vous sereztoujours nue sous vos robes pour être accessible à tout moment comme on le souhaite !Sans mot dire, une boule au ventre, j’enfile une robe de soie qu’il me tend. Je lui fais remarquer :– Mais c’est très transparent et surtout en contre jour ?Il rigole et me répond :– Oui ! Et alors ? C’est comme ça que je te veux !Anéantie, je me sens comme nue lorsque je franchis la porte de ma chambre suivi de Mamadou quime pelote les fesses tout sourire, heureux de l’effet qu’il produit sur moi et affirmant ainsi sonemprise.Le soir, me voilà seule avec mon garde du corps dans cette grande demeure. Toute la journée,j’avais craint ce moment. Il m’entraîne dans ma chambre. Je reste figée au milieu de la pièce, nesachant pas trop comment me comporter. Il se met à tourner autour de moi. L’atmosphère estpesante. Je me dis à ce moment : Si Daniel pouvait être là pour m’aider dans cette déchéance !Dans mes pensée, je frissonne malgré la chaleur ambiante quand je le sens prendre le bas de marobe et me l’ôter d’un tour de main. Je suis nue devant ce black. Installé confortablement au bord dulit, il m’observe un long moment. Puis, il me fait signe de m ’approcher. Il me prend par lescheveux et me couche sur ses genoux. Je m’attend avec appréhension à ce moment à me prendreune fessée.Mais il n’en est rien.Il me caresse langoureusement mon corps. Je me détends sous ses caresses si agréables. Puis,progressivement, il s’attardent sur ma fente en remontant dans ma raie des fesses. Il revient versmon abricot, écarte mes lèvres et agace mon clito. Malgré moi je ronronne comme une chatte sousses attouchement intimes. Il sait comment enflammer mes sens. Navigant entre mon clito et marosette, ses doigts deviennent plus précis et quand il entre plusieurs doigts dans mon vagindégoulinant de cyprine, je suis prise de tremblements de plaisir.Ma respiration se fait plus forte et rapide bientôt, sous ces vagues de plaisir, un soupir rauque sortde ma gorge avouant un orgasme que je ne peux dissimuler. Soumise par ce plaisir, sans qu’il m’endonne l’ordre, j’ouvre sa braguette et sort un majestueux engin.« OUAH !! LALA !! » À Ma grande stupeur Je peut que constater que ce Daniel disait vrai, alorsqu’il n’est même pas en condition de copulation, il est déjà très très bien monté !L’engin présente des caractéristiques spectaculaires ! Plus d’une quinzaine de centimètres pour salongueur et plus de six centimètres pour son épaisseur !Je n’avais encore jamais vu un aussi beau spécimen, son sexe au repos est déjà bien plus gros etplus long que celui de mon époux en pleine érection !J’empoigne à pleine main sa verge pendante et de l’autre tire sur le prépuce pour mettre à jour unesuperbe tête écarlate, un gland aussi gros qu’un œuf de poule !il était pourtant encore dans son état de flaccidité, si bien que j’en perd la boule !Mais pas les boules !… Je tâte, caresse, compresse si bien que je sent le sang venir cogner dans lesveines et sa tige gonfle !En moins d’une minute je sens le membre se raidir pour devenir une énorme bite ! Presquemonstrueuse avec ses veines protubérantes et sa grosseur terrifiante !La bite est redressée pour venir, comme un arc bandé, frapper contre le ventre du bellâtre !Le gland est passé de l’œuf de poule à l’œuf de canne ! Et il dépasse largement le nombril, pirequ’un âne ! Cette queue à présent bien dressée laissant apparaître en dessous l’énorme paire detesticules bien gonflée !Je peux donc les soupeser et les triturer de mes doigts habiles, puis osant, la hampe prise à deuxmains, je peux, non sans mal, engloutir l’énorme gland dans ma bouche distendue, mais pas facile !J’ai du mal descendre plus bas et me contente de lécher cette massue comme un enfant aurait faitavec une grosse glace à la framboise, son gland a la même couleur !Passant du rose pâle au vermillon en moins d’un quart d’heure…Mamadou confiant et heureux de son pouvoir sur sa patronne qu’il domine à souhait me laissem’occuper de sa verge et de ses couille avec complaisance. Je remet dans ma bouche son glandvolumineux. La bouche distendue, il guide mes allées et venus dans ma gorge. Je fais de mon mieuxpour l’accueillir à fond. D’une langue habile, je me délecte des gouttes suintant de son méat. Mafellation semble efficace car aux spasmes de sa tige, je sais qu’il va bientôt jouir. Heureuse, je saisque je vais récolter le fruit de mes efforts.Lorsque dans un grognement de vainqueur sur sa femelle, ses jets glaireux jaillissent, j’avalecomme je peux le sperme épais qu’il répand en salves dans ma bouche. La quantité de sperme est siimportante que quelques filets blanchâtre suinte à la commissure de mes lèvres. En bonne femellesoumise, je lui nettoie d’une langue agile son généreux braquemart turgescent. Comme on le feraitd’une chienne, il me tapote la tête pour marquer sa satisfaction en me disant :— T’es une bonne blanche toi !Encore abasourdie par ce que je viens de faire, je sursaute quand le téléphone sonne. Je décrochemaladroitement et d’une voix enrouée par tout le sperme que je viens d’avaler, je réponds :— Oui ! Qui es-ce ?— C’est moi ma chérie ! Tu vas bien ? Je te sens bizarre ?Je me racle la gorge pour le rassurer :— Non non tout va bien mon amour !— Tu rentre quand chéri ?— Ça me gêne de te dire ça ! Mais je dois encore prolonger mon séjour sur les hauts plateaux. Toutce passe bien avec Mamadou ??Nue sur les genoux de Mamadou, avec le goût très présent de son sperme dans la bouche, jel’informe :— Bien ? OH ! Oui très bien même… Il a commencé a combler le vide de ton absence.Mamadou est aux anges en entendant mon explication, il me caresse, m’enfonce son majeur dans larosette. Je suis obligée de me mordre les lèvres pour ne pas couiner sous cette intrusion surprise.— Comme je te le disais, je pense en avoir pour une bonne quinzaine de jours. Je te tiendrai aucourant ma chérie.Là j’ai un blanc. Je ne sais quoi lui répondre. Avec se doigt qui m’astique le trou du cul, mes idéesne sont pas claires. Je ne peux réprimer un gémissement lorsque Mamadou me claque une fesse deses larges paluches.— Mais que t-arrive-t-il ma chérie ?— Heu c’est rien ! Tu sais, mes petites douleurs menstruelles. C’est tout.— OUAIS !! OK ??? Repose-toi bien ma chérie, tu en auras besoin avec Mamadou.Dès que je repose le téléphone, il me retourne et, infatigable, il me prend par les hanches, meretourne pour mettre en contact nos corps avides de sensation.Il fait coulisser son gland le long de ma fente, de bas en haut et de haut en bas avec un mouvementlent mais appuyé qui étale bien ma cyprine sécrétée abondamment !J’en pouvait plus et mon sexe étant bel et bien en feu malgré toute la mouille qu’il contient !Le pivot de la joie a bien du mal à s’y loger, malgré que j’eus bien dans le passé, de nombreusesvisites, mon entrée reste serrée !Une fois la tête bien trempée, il force de plus en plus pour loger la moitie du gland, mon sexe estdistendu à craquer, il recule donc pour mieux replonger avec un coup de rein bien plus violent.La tête est à présent bien logée, à l’étroit certes, mais rentrée tout de même !Je crie de douleur, d’un son aigu ! Pensant qu’une deuxième fois mon pucelage est perdu !Le gland passé, la hampe suit, dans un va et vient appuyé, tout entier il entre son engin ! Enfinpresque car sa longueur exorbitante reste un quart sortit !Mes cris de douleur se transforment très vite par des gloussements de plaisir !La verge coulisse maintenant dans mon fourreau bien ouvert, elle me martèle presque jusqu’au fondde mes entrailles en touchant bien le fond !Les couilles viennent battre sur mon clitoris bien gonflé ! Ce qui me met dans un état second, moiqui jamais n’aurait cru, encore le matin pouvoir me faire bourrer encore une fois !Un bon quart d’heure de défonçage plus tard, dans mon brouillard orgasmique, je sent la grossebutée gonfler encore plus dans mon puits d’amour, et soudain, tel un geyser, Mamadou se contracteet vient encore exploser tel un canon !Avec une violence inouïe, le jet de sperme vient me frapper l’utérus. Je sens la chaleur de la lave etle flot qui coule bien au fond de moi !Continuant de battre son membre dans ma moule, l’écume se forme autour de son bâton, puisretirant le doux et gros objet de mon étui, l’effluve du liquide séminal sort abondamment du monsexe ravagé !Je suis épuisée, Je me tient à son cou pour ne pas faillir ! Mamadou excité garde son gourdin enérection profite de ma posture et de ma faiblesse pour enfoncer sa lance dans mon rectum !Lubrifié par le mucus, en plein milieu de mes fesses, il se retrouve enfoncé dans mon anus !Surprise pour la seconde fois j’ hurle à nouveau comme une folle, mais ne pouvant me dégager, jesuis bien contrainte de subir les assauts de mon chauffeur !Il tient mes globes écartés pour mieux s’enfoncer, après trois va et vient, toute sa grosse tige estentrée !J’ai ainsi l’anus écartelé, mon étoile est devenue pleine lune sous la pression du forcené. Sansménagement son glaive s’enfonce jusqu’à la garde. Après la douleur de cette pénétration et ladilatation exagérée de mon anus, je prend du plaisir à cette chevauchée sauvage. Il me laboure lesreins avec une force incroyable. Je suis une poupée de chiffon entre ses mains. A force de monter etde descendre sur son mandrin, ma petite porte de derrière est grande ouverte. C’est après uninterminable quart d’heure que surgit de je ne sais ou un orgasme anal. Content de ce fait, dans unrâle, Mamadou éjacule encore abondamment !En se retirant doucement, l’énorme phallus laisse mon trou béant !A présent ramollie, la queue est retombée, gardant tout de même un volume considérable, desgouttes de sperme s’écoulent comme si elle pleurait d’avoir fait cocu mon mari !Je m’écroule sur le lit d’épuisement après cette chevauchée infernale !Nous sommes tout les deux réjouis et épuisés. Nous passons la nuit enlacée comme deux amants.Une main douce me caresse, les doigts effleurent les plis de ma grotte, le souffle chaud de l’hommeglisse sur mon épaule. C’est la limite entre le rêve et la réalité, mais j’ouvre les yeux.– Que fais-tu là ?– Tu me tutoies déjà… Ta moule est frémissante, dit-il en riant. Moi, je veux un moment d’intimitéavec toi. On a juste commencé à se connaître hier au soir.Tout en parlant, il continue à me caresser. J’aurais peut être du m’écarter, mais tant que je resteallongée et sur le lit…– Tu es belle. Tu vois, je suis doux. J’ai envie de toi. Tu vois comme je peux être doux… prévenant,amoureux…Sa main glisse de mon pubis à ma moule. Il y a inséré un doigt et j’ai déjà eu un frémissement.– Tu sais, j’aime ton mari… Et maintenant j’aime aussi sa femme…Il appuie plus fermement sa main entre mes jambes, tout en se penchant pour se coller à moi etm’envelopper un téton de la bouche. Il bande. Sa queue est droite, raide, ferme contre ma cuisse.Ses lèvres frôlent ma joue. Son index et son majeur coulissent lentement dans mon vagin.– MM !! Oui !! Dis-je si bas que je me demandai s’il pouvait m’entendre. Et puis j’ai entrouvertmes cuisses… Ou plutôt, elles s’écartent lentement malgré moi.Ses lèvres se posent sur les miennes. Du coup, mes jambes se détendent complètement et laissentlibre accès à mon sexe humide. Il me pénètre en douceur.Mes bras se referment sur son dos, mes mains parcoururent le creux de ses reins et mes onglesviennent se planter dans la chair rebondie de son cul.Il me fait l’amour et c’est comme si on m’avait fait l’amour pour la première fois. A la différence demon mari, je ne saurais expliquer comment je le ressent, j’ai l’impression qu’il me désire vraiment.Il ne me prend pas en levrette, ni dans le cul. Il ne me demanda pas de le sucer. Il reste dans monpuits d’amour, variant les angles et le rythme, se tendant parfois sur ses bras pour dégager mapoitrine et venir la manger ou m’écrase de tout son poids, se mouvant au rythme lent des coups debite.Il me fait jouir encore une fois au moment où il expulse son sperme en moi. Vient le moment où ilfait mouvement pour se retirer, mais je le retiens.– Reste ??– On peut se tutoyer alors ?Je ne répondis pas. Qui ne dit mot consent ! Alors, sa verge encore dure, il se remit au fond de moi.J’ai envie qu’il remette ça et me refasse jouir.Cependant, comme il me couvre de petits bisous et de caresses en m’enveloppant de complimentssirupeux, sa queue se ramollit. Le sperme s’écoule de ma grotte. Je réalisai alors que, je ne suisqu’une salope, me dis-je après de longues minutes pendant lesquelles je m’emplis de son parfum etde sa force.Je vais prendre un bain espérant vivement que ce bain réparateur cachera les stigmates du passagede l’ouragan venu hier soir saccager mon vagin et mon anus si violemment !Rien que de repenser à cette monstrueuse matraque qui m’a si bien fourrée, à nouveau, ma moules’humidifie !Le téléphone sonne, je n’ai pas le temps de sortir de la baignoire que Mamadou apparaît avec lecombiné. C’est mon gentil mari :– Alors ma chérie, tu as passé un bon moment en compagnie de Mamadou ?– OUUAAH !! C’était énorme ! Et bien plus que je me l’imaginais, vraiment en pleine forme cetanimal !– Le seul petit bémol, si il en faut un, c’est qu’après cette jolie chevauchée, on a un peu mal aufessier !– Mais dit moi ? Mon chéri ! Comment tu sais ça toi ? Tu aurai peux me le dire que tu avais mis descaméras aussi dans la chambre.– Tu ne te serais pas autant lâchée ma chienne adorée.Je raccroche le téléphone et Mamadou sort de la salle de bain.Enfin seule, je sort du bain. Je suis nue devant le miroir, j’examine attentivement mon corps, je suistoujours désirable, juste quelques grammes en trop sur les hanches.Ma peau est douce, ferme, seuls mes seins tombent très légèrement, je me caresse doucement, lestétons se dressent aussitôt, je les passent dans la paume de mes mains puis entre mes doigts, lespincent doucement.J’enfile mon peignoir de bain accroché au porte manteau et descend l’escalier, pour descendre à lacuisine.Mamadou, est là, il est sympathique, et souriant.Presque immédiatement, il me propose si je le désire de l’appeler par son prénom, ce qui sera moinsformel pour les semaines à venir… Étonnée, j’accepte cependant mais me sent obligée de lui dire,d’en faire autant et de m’appeler Odile.Nous discutons des travaux a faire dans le parc, je me sens vite à laize avec lui, au bout d un quartd’heure, je lui propose un café, il s’empresse d’accepter. Une tasse dans la main, nous nousasseyons et sirotons le doux breuvage.Mamadou aperçoit mes jambes entre les pans entrouvert du peignoir. Je surprend son regard, jerougis et referme brutalement les pans. J’avale mon café d’un coup, pour mettre un terme à cemoment de pseudo intimité avec lui. Je m’étouffe à moitié et se met à tousser lamentablement– Tout va bien, Odile ? Je peux faire quelque chose, s’inquiète t-ilGênée de se donner ainsi en spectacle, je tente de reprendre mon souffle alors que Mamadou, tentede me tapoter dans le dos. La petite séance a pour effet de desserrer le cordon qui ne ferme plusmon peignoir, moi qui tousse toujours ne le remarque pas tout de suite. Mamadou ne peut queconstater que je suis bien nue en dessous. Il sent qu’inconsciemment, il commence à bander.Enfin je me calme, et prend conscience de l’indécence de ma tenue, le visage rougie par la quinte detoux, je noue le vêtement hâtivement alors que lui se permet de dire.– Vous êtes une très belle femme ! Votre mari avait raison.Dans mes réflexions, je gagne sa chambre et décide de me vêtir, étrangement je cherche avec soin,des habits qui me valoriseront. J’opte pour une robe assez moulante avec un joli décolleté. Mapoitrine est mise en valeur avec le décolleté qui laisse entrevoir la naissance de mes seins.Satisfaite du résultat, qui reflète dans le miroir une silhouette attirante. Je hausse les épaules, medemandant ce qui me prend de m’extasier comme une gamine, en me regardant dans la glace.Je décide de mettre à jour mon courrier.Je tente de me concentrer sur ce que je fait, mais je n’entend que le gai sifflement de l’homme, quise trouve à quelques mètres de moi. Je pense à son regard envieux quand il me regardaiteffrontément, oui c’est bien ça, l’homme a encore envie de moi.Je m’agite sur ma chaise, mais que m’arrive t-il ? Comme un automate, je me lève et sans réfléchirje me rend dans sa salle de bain ou Mamadou doit ce laver.Les sifflements redoublent d’intensité, arrivée à la porte, je regarde l’homme qui est de dos, il esttorse nu, ses muscles saillants m’hypnotisent, il est si puissant, si magnifique.Mamadou qui a senti une présence se tourne, le silence est pesant, nos regards se croisent.Timidement j’effleure ce torse qui m’attire, la peau humide est noire de jais, je sens ses muscles.Interloqué, il me regarde, Mamadou est un homme qui aime le sexe, il sent que la femme devant luiest en manque…. Il ne réfléchit pas davantage, il s’approche de moi, son visage près du mien, sesgrosses lèvres écrasent ma bouche et nos langues s’emmêlent, sous ce baiser profond je défaille.Mes mains courent sur la peau du black, alors que lui-même, passe sous la robe pour me caresser lesfesses.Puis tout va très vite, il me veut encore, il se détache de moi et sans un mot, passe ma robe audessus de ma tête, je me retrouve à demi nue devant lui, mes seins libres éclatent indécents devantlui, il plonge la tête avec délice dans cette douce poitrine blanche, le contraste est magnifique, lenoir et le blanc.Comme en transe, je m’agenouille devant lui, j’ai envie de voir son sexe, je libère avecempressement sa queue d’ébène, son gland rose pâle. Elle est imposante, comme une statuette enbronze. Affamée, je me jette sur la verge, la lèche goulûment, il frémit sous ma langue douce,humide et chaude.J’engloutis le pieu, il est si gros, je peine à y arriver, il me dit :– Nous avons tout notre temps…….. On va sur ton lit !Sa grande main noire se place dans la mienne– Je te suis ma beauté, me dit il gentiment, j’ai tellement envie de toi ! ! !Son sourire radieux a raison de moi une fois de plus, haletante, je le conduit sur le lit conjugalIl se dévêt lentement, je regarde se superbe corps athlétique, un corps si parfait.Le sexe raide d’un noir luisant, est majestueux. Absorbée par la nudité de Mamadou, j’ai gardé monstring, il me dit gentiment de m’allonger et entreprend d’ôter le minuscule vêtement. Il le renifle, ilaime l’odeur intime d’une femme, de plus, la petite culotte est trempée. Il s’en imprègne les narines.Mon cœur bat la chamade, j’ai encore tellement envie de cet homme, de sentir son corps sur lemien, je veux être encore posséder par ce sexe, je suis prête, impatiente même.Il m’écarte les jambes, ma grotte épilée, est ruisselante. Ses lèvres épaisses s’approchent de monminou, j’ai envie de hurler, il fait durer le plaisir, le salaud, doucement il me demande :– As-tu envie que je te baise ? demande t-il en me faisant languir.Il joue avec mes nerfs, j’en devient folle, moi, si posée habituellement je l’implore :– OUIIII !! Vite, viens ! En le suppliant, je m’ouvre impudiquement.Alors sans me quitter des yeux, il m’écarte les petites lèvres trempées de cyprine, et sa bouchedélicatement va s’abreuver de mon nectar.Aussitôt je gémis de plaisir, quel délice, je m’écarte au maximum. Sa langue délicieuse sillonnechaque pli et repli, puis s’aventure sur mon bourgeon brûlant.Dans la chambre, on entend plus que mes soupirs et les bruits de succion lubriques de Mamadou,qui lèche avec délice ma moule, en manque de sexe.Mes plaintes s’intensifient quand sa langue masse mon clitoris tout gonflé, je frémit, tressaille, ils’attarde longuement.Je plaque mes mains dans la chevelure crépue de l’homme noir, je sens ma jouissance qui monte…..– OOHH !!! Continue, c’est bon, je vais jouir, AAARRHHH !!Je jouis sous la langue toute rose, je m’écoule de plaisir dans cette bouche, traversée par un orgasmeterrible qui me laisse toute retournée.Mamadou, qui bande comme un âne, me soulève les jambes pour les poser sur ses larges épaules,son membre épais et rigide s’engouffre dans mon puits d’amour béant et humide, qui n’attend queça.Son pieu disparaît au plus profond de mon intimité baveuse, je suis une nouvelle fois envahie parcette queue qui me remplit totalement. Je me pâme de délectation. Mamadou regarde mes seinsblancs, aux auréoles roses, secoués par ses assauts.– MMMM !! T’es bonne, j’en avais drôlement envie, tu vas voir comme Mamadou fait du bien a lafemme du patron.Il me lime furieusement, j’ai les yeux mi clos, la bouche entrouverte, je gémit encore– Ouvre tes jolis yeux, regarde moi te baiser, ma bite te défonce, tu aimes ???Je le regarde, de grosses gouttes lui coulent sur le visage, il halète, il retire les jambes de ses épauleset se précipite pour m’embrasser, ses lèvres épaisses baisent les miennes, j’avale sa langue, sasalive.C’est si bon, j’aime ce sexe qui me remplit.C’est avec nos langues entremêlées, que sa queue infatigable me pilonne, je jouis une nouvelle fois.Puis sans attendre, il retire son sexe et se positionne au dessus de ma tête, je comprend son envie,j’ouvre la bouche pour recevoir une quantité de sperme impressionnante, que j’avale goulûment.– OUIII !! MMOOUU !! C’est bon, avale le sperme de Mamadou, nettoie ma queue doucement…Moi du foutre plein la bouche et le menton, je nettoie avidement la bite de mon chauffeur, j’aime legoût fort et légèrement épicé, qu’il dégage.Enfin il se couche à mes cotés, il me regarde la bouche encore souillée, je m’apprête à m’essuyerpour éviter une remarque, mais Mamadou, avance doucement sa grosse bouche, s’empare de meslèvres et à nouveau il m’embrasse, nous mélangeons salive et sperme, c’est doux, chaud, enivrant.Je ferme les yeux, je me sens merveilleusement bien.Il est midi déjà, je meurs de faim. Je m’étire sur le lit puis me colle à Mamadou.– Je vais nous préparer quelque chose à manger ?Je me lève et se prépare à enfiler un peignoir– Non, reste nue, ordonne Mamadou !– Tu es belle, je veux que tu restes comme ça, me dit il en souriant.Nue, je rejoins la cuisine rapidement pour éviter son regard, c’est étrange pour moi de vaquer à lapréparation du repas, dévêtue.Mamadou me rejoint, il s’assoit devant l’assiette, je rougis alors qu’il me mate, sans vergogne. Enposant le pain sur la table, il me caresse les fesses….– Tu es ma première femme blanche, Monsieur Daniel t’as donné a moi, ça fait longtemps que j’enavais envie. Tu sais, j’adore ton cul, toi aussi tu aimes qu’on s’en occupe ?– Moi, j’aime enfoncer ma grosse verge, dans le cul des femmes noirs, tu verras, tu aimeras ça toiaussi.. !Je distingue son sexe entre ses cuisses musclées, qui même au repos conserve une belle taille, jefrémit malgré moi, en imaginant ce superbe engin s’enfoncer dans mon jardin secret.Je me presse de servir les steaks pour ne plus y penser.Mamadou lui, ne pense qu’à ça, il avale de grandes bouchées, les yeux rivés sur sa nouvellemaîtresse.Je suis assez déroutée par la suite des événements, tout à l’heure j’étais comme égarée, maismaintenant, je me rends compte de la situation, J’ai fait à manger nue, pour ce type qui travaillepour mon mari. Je ne sais pourquoi ?? Je prends le torchon à vaisselle, je le tient négligemmentdevant moi, c’est assez puéril mais protégée ainsi, je me sens un peu moins vulnérable.Mamadou remarque ce petit changement d’attitude, il ne faut surtout pas que je reprenne le pouvoir,se dit il !– Enlève moi ça, en indiquant le torchon …. Viens près de moi !Envoûtée par le magnétisme de cet homme, j’obéis, je me place devant lui. Ses larges mainscaressent mon corps, ses mains chaudes, si douces.A nouveau, elle défaille.– Tourne toi, montre toi, tu es a moi !!!En femme soumise j’exécute un quart de tour et mes fesses sont présentées à Mamadou. Toujoursassis, il effleure le cul ?– Place toi à plat ventre sur la table, obéis moi……Je me plie à sa demande, je me fraye une place entre les assiettes non desservies et m’offreindécente.Mamadou se félicite de si vite me dompter, cette femme va devenir plus que docile, il en est certain.Il malaxe mes fesses– Tu as un beau cul, tu sais !!Je me détend malgré la posture lascive, je sens le souffle de l’homme, puis la langue qui lèche maraie des fesses.– MMMM…… Vas y écarte toi toute seule, que j’y mette la langue, j’ai envie de te bouffer le cul !Je m’exécute, j’ouvre bien mes fesses, il en profite et faufile sa langue humide. Parfois il cesse uninstant pour enfoncer son doigt……..Comme c’est bon, je me décrispe complètement tant la caresse buccale, et même son doigt estagréable, j’en arrive à vouloir sentir quelque chose de plus gros, bien plus gros.Il s’arrête au bout de quelques minutes. Je suis prête pour me faire enculer.– Je veux t’enculer, mais je veux que tu me le demandes dit il, supplie Mamadou !Sa langue reprend place sur mon anus, puis son doigt me pénètre à nouveau, je mouille, je coule,j’ai envie de sa queue, je ne résiste pas un instant et l’implore– OH !! OUIIII !!! Je le veux, baise moi encore, encule moi, baise moi le cul.Je ne vois pas le sourire radieux du chauffeur ravi, son phallus imposant se place à l’entrée de monanus encore fermé, puis il force sur la petite porte de mes reins, qui finit par engloutir ce pieu rigide.Je me sens alors envahie, il est beaucoup trop gros, je tente de me soustraire, une assiette tombe surle carrelage. Mamadou lui, n’est pas homme à s’arrêter en si bon chemin, sa bitte s’enfonceinexorablement dans les reins de la soumise que je suis.– Encore quelques centimètres et tu auras la queue de Mamadou dans ton cul !! AAHH !! Voilà j’ysuis, tu es chaude, serrée….. Monsieur Daniel avait dit que tu es bonne à baiser !Il me sodomise plus aisément, mes cris sont remplacés par des plaintes. Il glisse facilement dansmon rectum, je suis vraiment bonne à être défoncer comme une salope.Il me tient solidement par les hanches et regarde sa bite disparaître dans mon trou agrandi, mesfesses toutes blanches sont dévastées par la queue d’un black et j’aime ça ……….– Tu aimes la grosse queue de Mamadou ?? Mamadou aime ton cul, on va bien s’amuser tous lesdeux pendant que Monsieur Daniel est absent…. Ah !! Je baise Madame la baronne, j’encule lafemme de mon patron !! AAHHH !!!Je me fait défoncer royalement par mon chauffeur, je râle de plaisir sous ses coups de bite. Ilaccélère le rythme, une autre assiette tombe avec fracas.– Je vais arroser ton cul de chienne en chaleur.Je n’en peux plus, j’aime tout ce qu’il me fait, et même sa façon de me parler.Je vais au devant de son sexe, je m’empale moi-même dessus, l’orgasme arrive, terrassée par majouissance, je crie de plaisir. Mamadou se lâche lui aussi et envoie des longs jets de foutre chauddans mon ventre. Puis il s’écroule sur moi, tous les deux nous restons là un moment sans bouger,son sexe finit par sortir de mon anus, le sperme s’écoule de mon trou agrandi.Nous nous redressons, il m’embrasse et toujours ce magnifique sourire.– Mamadou doit bosser un peu !!!Il part en sifflotant.Je ramasse les assiettes brisées sur le sol. Ma vie a basculé en quelques heures, je me sens bien.Le sperme coule sur mes jambes, j’écarte mes fesses et passe mes doigts sur mon anus trempé et unpeu douloureux, je me rends compte qu’ils glissent sans la moindre résistance, dans mon petit puitstoujours ouvert. Je m’essuie et pense à la langue de Mamadou qui saurait si bien la nettoyer.Le reste de l’après midi s’écoule lentement, Je remet de l’ordre dans ma chambre, change les drapssalis.
Sam Botte
La suite demain même heure