Odile boit une tasse de café, avant de reprendre sa narration.– Tu vois ce qu’il m’a fait subir, et ce n’est qu’un petit échantillon de mes prouesses sexuelles defemme soumise.– Mais dit moi pourquoi tu portais une guêpier et des bas hier soir ??– Si tu avais vu mes hanches et mes mollets après le nuit d’Aix ?? C’est pour me protéger de leursgriffes, j’ai bien essayé de leurs mettre des chaussettes aux pattes, mais c’est laborieux et ça gâchela spontanéité de l’instant.– Dis moi ? Comment ça fait de faire prendre par un chien ??– C’est curieux, ça n’a rien d’humain, lui répond Odile. Pas de préliminaire, le chien vient etcherche a te baiser tout de suite. Il faut l’aider un peu, s’il n’a pas l’habitude, sinon il n’arrive pas àte saillir et il s’énerve………Mais quand il est dedans !!!! La bite du chien donne des sensationsabsolument différentes de celui d’un homme : plus visqueux, plus pointu, plus long aussi, je la senstrès profondément. Et le rythme aussi est différent, plus rapide. C’est le bonheur, il te lime a toutevitesse, tu sens sa queue qui gonfle à l’intérieur de ton ventre, lui il baise pour ce vider pourféconder sa femelle, pour purger son envie un point c’est tout.Tandis qu’elle me donne ces détailles, Pat voit dans ses yeux un nuage rêveur que perce toutefoisune lueur malicieuse.– Cette queue qui te laboure en cadence te procure bien plus de plaisirs que toutes autres choses, jene me préoccupe plus de son propriétaire c’est dans ces moments là que n’importe qui pourraitprendre la place de l’intrus. C’est dans ces moments là que les acteurs passent au second plan et queton esprit se concentre sur les chairs qui se dilatent à chaque poussé du membre qui te fouille.C’est dans ces moments là que tu rêve de bites énormes t’écartelant la moule en t’inondant desemence, que tu n’es plus qu’une femelle soumise à toutes les perversités inimaginables.C’est dans ces biens trop courts instants, juste au point de non retour, que ton âme se perd dans cemélange de sensations plus sales et vicieuses les une que les autres.Et c’est là, que tu sombre d’un seul coup dans l’abîme de la jouissance, espérant que cela puissedurer éternellement, tellement tu es submergé de plaisir. Puis tout a coup, comme en giclant deplusieurs trous sa semence te tapisse le col d’utérus ou le rectum d’un miel plus liquide que lesperme d’humain !! C’est vraiment chaud, car sa température corporelle est plus élevée que celledes hommes, c’est l’extase, il bouge, il bouge, et ça gicle, ça gicle……………– Tu le sens s’agiter sur ton dos, ses poils chaud sur ta peau, son souffle dans toncou…………………….. Tu sais que tu es une chienne a ce moment là– Dis moi aussi une chose, je t’ai vu sucer le sexe du chien et tu avais l’air d’aimer ça ??– Là ?? Sucer leur sexe c’est tellement différent !!! On peut penser qu’il y aurait une odeur et ungoût, mais non. Leur sexe est si doux, si chaud, sentir cette bite entre mes lèvres est si jouissif !! Deplus, c’est vraiment bizarre, du moment quelle commence à durcir, elle ne cesse de couler !!! Et aucontraire à ce que l’on pourrait bien croire, son liquide n’est pas dégouttant, loin de là, et il n’est pasaussi épais que du sperme !! J’ADORE tout simplement et elle est si douce lorsque je frotte meslèvres contre elle !!Pat l’écoute ébahit par son enthousiasme et de la voir ainsi heureuse et épanouie faisant plaisir avoir. Elle est tout simplement rayonnante de bonheur et de joie.– Tu sait pas ?? Mais Daniel m’a pas fait apprendre que ça !!– Il m’a fait faire l’amour avec un bon nombre de mecs, j’ai baisé avec beaucoup d’hommes, je mesuis fait sauter à deux, à trois, à plusieurs, j’ai été prise dans toutes les positions possibles, ensimple, en double, en sandwich, je peux dire qu’il m’a fait tout essayé, j’ai avalé des litres desperme, j’ai eu dans ma grotte des petites bites, des moyennes, des longues, des courtes, desgrosses, des bien membrées, des noires, mais rien ne me satisfaisait totalement. Il y avait toujoursquelque chose qui me manquait, un je-ne-sais-quoi ! Que se passait-il avec mon corps ! Quedevais-je faire pour retrouver un bien-êtreC’est pour échapper à l’emprise de mes parents que j’ai accepté d’épouser celui qui est devenu monmari. Lui c’est le maître idéal, celui qui comble tous mes fantasmes, assouvit tous mes vices.Lorsque nous avons officialisé notre liaison, il savait déjà que j’allais être une soumise.Nous étions en boite, il a posé une main sur ma croupe. Son doigt s’est enfoncé dans ma raie,écartant mes globes fessiers, cherchant à me forcer l’anus, j’avais honte mais je me laissais faire.J’étais totalement subjuguée par cet incroyable sans gêne. Dans la foule de la boite et le bruitassourdissant de la musique comme hypnotisé, il m’a fait m’agenouiller face à lui, Il a sorti saqueue et m’a dit de le sucer et je l’ai sucé. J’avais pas tellement envie de le sucer. Bien entendu,l’homme s’est laissé faire, savourant son triomphe.Depuis je suis une chienne soumise. Je le suis devenue sous l’éducation de mon homme. Il m’apermis de développer la soumise qui sommeillait en moi. Lorsque j’ai rencontré Daniel, j’étais uneoie blanche, c’est lui qui a pris mon pucelage. Cela faisait deux mois que nous sortions et couchionsensemble, je l’aimais et étais prête à tout pour qu’il m’épouse, pour que je soit enfin une femmelibérer de mon cocon familial.Nous nous sommes mariés lorsque j’avais dix huit ans et lui vingt cinq. Il était intelligent, sensible,il s’occupait merveilleusement bien de moi et grâce à lui je n’ai pas besoin de travailler. Ce n’étaitpas un apollon ni un tombeur, c’est quand il m’a approcher que ma vie a changé.Daniel était brillant, il a vécu le collège, le lycée puis les études comme un combat face au mondeentier. Il en sorti bachelier avec mention, diplômé de deux grandes écoles et chef dans un Ministèrea vingt sept ans.Je lui avais promis de m’offrir totalement à lui, j’acceptais tout ce qu’il exigeait de moi, je ne luidisais jamais non. Je voulais qu’enfin il sente qu’une femme le voyait tel qu’il était réellement :fort, généreux et charismatique. C’était ma façon de lui rendre tout ce qu’il m’offrait de bonheur etde sécurité.Ce soir-là ma vie de couple allait prendre un nouveau tournant. Daniel voulait que je fasse l’amouravec d’autres hommes devant lui. Il voulait me livrer à eux, que je me prête à toutes leursexigences, que je sois la plus exquise des amantes et qu’ensuite je reparte à son bras.J’étais à coté de mon mari, à la place passager de sa voiture de fonction. Je me suis regardée dans lemiroir du pare-soleil : maquillée avec des couleurs ocre et noir, mes cheveux presque mi long, je metrouvais jolie.Assise comme je l’étais, mon manteau court ne cachait ni mes bas ni les liens de mon porte jarretelles. Il faut dire que j’avais ôté ma robe avant de partir de la maison comme mon épouxl’avait exigé.Ces hommes allaient ne m’avoir qu’un instant alors que je resterai éternellement à la disposition demon mari. Ainsi, il verrait a quelle point je lui suis soumise.Nous entrâmes dans un parking comme il y en a beaucoup mais celui-ci était quasiment vide et étaitcensé être fermé. Nous nous garâmes au premier niveau, Daniel ouvrit ma portière puis ilm’embrassa dès que je fus sortie. Quand il quitta mes lèvres, il souffla :– Odile, rends moi fier. Fais tout ce qu’ils te demanderont.Il me fit enlever mon manteau, je ne portais plus que des chaussures à talons et l’ensemble completde lingerie qu’il avait acheté pour moi la veille.J’avais froid mais je ne voulais ni protester ni désobéir.Nous descendîmes la rampe qui menait au niveau inférieur et c’est là que je vis tous ces hommesqui n’attendaient que moi. Ils étaient au moins une douzaine. Je fis de mon mieux pour ne pascesser de marcher ni de tomber et je laissais Daniel m’amener au centre du cercle qui était en trainde se former.Quand nous nous arrêtâmes, il se plaça dans mon dos, il m’embrassa dans le cou puis il glissa sesmains au-dessus de mon soutien-gorge, je fermais les yeux et tournais mon visage pour offrir meslèvres mais Daniel ne me donna pas le baiser que j’attendais.A la place, il tira mon soutien-gorge vers le bas pour faire jaillir mes seins et il les empoignabrutalement, il les malaxa puis il saisit mes pointes pour les serrer et les tirer. Je fronçais les sourcilsen poussait un gémissement implorant mais mon mari ne me libéra pas immédiatement. Lorsqu’illâcha mes lobes, ils eurent comme un mouvement de rebond et je vis dans le regard du type le plusproche de moi une envie bestiale et sale jaillir comme une étincelle.Mon mari vint devant moi et il sortit un ciseau de sa poche pour couper ma culotte sur les côtésainsi que mon soutien-gorge. Il les jeta au sol, je n’avais plus que mes bas et mes porte-jarretelles.– Elle est à vous !Il recula de plusieurs mètres alors que les hommes autour de moi approchaient telle une meute. Jefermais les yeux au moment où le souffle de plusieurs mâles résonna dans mes oreilles. Il y euquelques secondes d’hésitation puis une main se posa sur mon ventre avant d’être imitée pard’autres. On touchait mes seins, mes fesses, mes cuisses. Une langue força mes lèvres pour venirm’embrasser puis on me fit tourner le visage de l’autre côté pour en faire de même.On pinça un de me tétons, puis les deux en même temps, on tira mes cheveux, on pétrit ma chairmais je me laissais faire. Je ne sais pas combien de temps cela dura.Quand je rouvris les yeux, la plupart des hommes s’écartèrent de plusieurs pas, seuls trois d’entreeux restèrent collés à moi.– Pas mal, la bourgeoise ! Mohamed m’avait prévenu… Du premier choix !Ils éclatèrent de rire et je blêmis…– Tu aimes sucer ?Je fis un hochement de tête pour répondre et je m’accroupis en essayant ne pas toucher le solrugueux avec mes genoux. L’un des types me fit tourner le visage vers l’entrejambe de celui quiétait à ma droite et il garda sa main agrippée à mon menton pour me faire ouvrir la bouche.Le zip de la braguette retentit quelques secondes avant que le sexe trapu de son propriétaire nevienne se poser sur ma langue. Jusque-là, je n’avais fait qu’accepter le contact de ces hommes surma peau mais ce qu’ils exigeaient maintenant était une toute autre chose.J’aurais hésité mais celui qui me tenait par la mâchoire me força à m’enfoncer sur le sexe dusecond. J’étais en train de sucer un inconnu ; Ce cap qui ouvrait la porte à tout le reste avait étéfranchi malgré moi et finalement ce n’était pas plus mal. De moi-même, peut-être n’y serais-jejamais parvenu.Je pensais aux recommandations de mon mari et je fis de mon mieux pour satisfaire ce premierpartenaire en m’imaginant qu’il était Daniel. Je le suçais amoureusement et en soufflant aveclangueur. Il semblait ravi mais bientôt ses deux compères voulurent goûter à ce plaisir.Ils me firent me tourner vers une autre entrejambe puis face à la dernière peu après. Après cela, lestrois queues alternèrent les allée et venues entre mes lèvres et je m’abandonnais en ne pensant qu’àmon mari et à la satisfaction qu’il devait ressentir en me voyant aussi obéissante.Je sentis mes seins et mon ventre être pris de picotement, cela me permis de me détendre et de melibérer d’une partie du stress qui m’avait envahie à mon arrivée. Cette folie n’était pas uniquementun sacrifice, j’avais souvent eu envie de vivre une expérience extrême et Daniel était en train de mepermettre de réaliser ce fantasme.C’est le moment que choisit l’un des trois hommes pour venir derrière moi. Il plaça ses mains surmes seins et il se mit à les caresser pendant que les autres baisaient toujours ma bouche. Il s’yprenait plutôt bien, mes pointes dardaient et je ne me forçais plus pour soupirer lascivement.Autour de nous, les types se déplaçaient sans cesse, cherchant le meilleur angle pour m’observer etne rien perdre du spectacle. Je ne savais pas si leur présence me gênait ou m’excitait, je ressentaisconfusément ces deux sensations.Je fus bientôt relevée, un genou me força à écarter les jambes et une main me fit me pencher enavant. Un des types en profita pour m’embrasser à pleine bouche et je sentis simultanément desdoigts venir maladroitement frotter mes lèvres intimes. J’étais trempée, le mélange de peur,d’excitation et de honte qui m’habitait transpirait de tous mes pores.Le plus grand, qui semblait commander me dit s’appeler Moussa. Il me présenta ses complices : unplus petit, le crane rasé, le regard méchant qui s’appelait Diouf et un gros, énorme, le ventre enavant. Il avait dû trop se nourrir de fast-food…La main de Moussa remonta le long de mes jambes. Je frémis au contact mais ne dis rien.Un doigt se glissa en moi, je tendis ma croupe et me cambrais pour être la maîtresse idéale commemon mari l’avait demandé. Je ne protestais pas non plus lorsque le doigt remonta et vint me masserentre les fesses.Le type restait doux, presque trop patient comme s’il guettait ma réaction et peut-être celle de monmari. Daniel avait été clair : « Offre toi quoi qu’ils exigent et rends moi fier ».La main de Moussa me caressa la vulve. Je commençais à mouiller. J’avais honte mais j’aimais cecontact. Cette main noire qui caressait ma peau blanche m’excitait terriblement.Moussa m’appuya sur les épaules et je dus m’accroupir. Il sortit son sexe. Un membre qui me paruténorme. Une matraque de chair qu’il m’enfonça brutalement dans la bouche. Je dus le pomperlonguement, salivant sur la hampe, lui léchant les couilles. Il éjacula, le sperme giclant contre monpalais. Je déglutis avec peine et avalais sa semence.Le gros, qui se prénommait Brice, me palpa sous toutes les coutures. Les seins, la moule, le cul.La caresse continua, je me mis à onduler mes fesses et je me retournais en lançant mon pire regardde traînée.– Tu aimes vraiment ça toi. Tu as envie qu’on te doigte le cul ?Les mots de mon mari me revinrent encore une fois : « Sois le fantasme qu’ils auront pour le restede leur vie » Alors je fis oui de la tête en continuant à tendre ma croupe.Le type derrière moi couvrit son index de salive et il vint le placer contre ma rondelle alors que letroisième larron m’écartait les fesses. Je tournais mon visage vers eux et je me mordis les lèvres enmiaulant lorsque la première phalange s’enfonça dans mon fondement.– Comme ça, c’est ça que tu aimes ?Je me mordis les lèvres une nouvelle fois en regardant mes amants du soir et je murmurais uneplainte pleine d’encouragements.Le doigt s’activa lentement entre mes fesses sans aller plus loin et je réagissais comme si cela avaitété délicieux. Les yeux des hommes autour de moi brillaient comme ceux de gamins devant lavitrine d’une confiserie. J’avais l’impression d’être à la hauteur, j’espérais que Daniel était fiermême si je ne le distinguais pas parmi les ombres autour de moi.Sadiquement, Brice remue ses doigts boudinés, je mouillais et j’entendais les clapotis. Pendant cetemps, Diouf m’enfonça son index dans mon anus… Je ne tarde pas à réagir à ses caresses et jedonne des coups de reins involontaires…Brice me branlait sauvagement faisant coulisser ses gros doigts dans ma fente… Diouf me suçait lestétons…Daniel filmait la scène avec une caméra numérique. Brice me branlait savamment en me caressantlentement puis plus vite me faisant haleter. Branlée par la chatte et le cul, je ne tardais pas à jouirsous le regard de la caméra.Le souffle court, je tentais de récupérer. Moussa se pencha vers moi :– C’est comme ça que ça te plaît ?Je souris en hochant la tête comme je l’avais fait plus tôt.– Ouvre-toi bien !Cette fois, je fermais les yeux et j’ouvris la bouche en sentant mon partenaire enfoncer ses doigtsautant qu’il pouvait.Plusieurs bites d’ébène se présentent déjà devant moi. J’engloutis les membres dans ma bouche.Plusieurs mains malaxent mes seins.– Vas-y la bourgeoise ! Ouvre la bouche, suce nous, tu vas nous vider les couilles, pute à blacks !Un grand black fit coulisser sa bite entre mes lèvres. Il éjacula rapidement m’étouffant avec sonsperme.J’avais l’impression que j’allais vomir et que mes chairs se déchiraient. Je voulais me débattre, jecommençais même à trépigner et me cabrer pour m’échapper mais je parvins à me calmer enpensant encore une fois à mon Daniel.On me suçait les seins. Daniel filmait bien sûr. Je suçais plusieurs bites. Et parfois deux en mêmetemps. J’étais essoufflée. On se vida dans ma bouche et je dus avaler le foutre.Je fus mise à quatre pattes et on me fessa le cul. Des doigts s’enfoncèrent dans mon cul et mafente… Puis une queue me pénétra et une autre s’engouffra dans ma bouche. Mon corps ballotaitsous les coups de pines. Je gémis. Je suis traitée comme une chienne mais j’y prends un sale plaisir !Celui qui me pilonnait éjacula sur mon dos et celui que je suçais se vida sur mon visage. Aussitôt unautre le remplaça. Ses va-et-vient violents me firent gémir… Il se retira de mon ventre et sansprécaution força mon anus. Je voulus crier mais bâillonnée par la bite que je suçais, mes cris semuèrent en gémissements plaintifs.– Quelle salope ! Une vraie pute…Daniel me filmait en gros plan…Mes partenaires alternèrent les rôles plusieurs fois, je ne savais plus qui me faisait quoi, je n’étaisconcentrée que sur le plaisir que j’offrais et celui confus que je ressentais même s’il était mélangé àd’autres sensations moins agréables.Il fallut encore plusieurs rotations pour qu’il me vienne à l’esprit que je suçais des verges quisortaient tout juste de mon fondement. Cela aurait dû me dégoûter mais je m’en moquais, seulcomptais le fait d’être la parfaite amante.Les hommes autour de nous scrutaient mon visage et mes réactions alors je leur en donnais pourleur argent. Mes sourcils restaient froncés mais je soufflais et je geignais comme une femme sur lechemin de l’orgasme.Régulièrement je me tournais vers mes enculeurs pour leur lancer des regards reconnaissants. Jetrouvais même la force de lancer quelques « Encore » a peine audibles mais parfaitement perçus parmon public.J’espérais agir tel que mon époux le souhaitait, je voulais être celle dont il avait rêvé quoi qu’ilm’en coûte.Mon corps ne m’appartient plus. Il leur appartenait. Les salauds en abusaient. Empalais sur une bite,enculais par une autre et contrainte d’en suçait une troisième, je jouissais sans discontinuer. On sebranla entre mes seins. Mes amants se soulagèrent en se vidant sur mon visage. Le sperme giclaallant s’écraser sur mes lèvres, mes cheveux, mes yeux. Un des hommes, plus pervers que lesautres, éjacula dans mes entrailles.Ce qui m’électrisa et poussé par la folie du moment autant que par mes sensations exacerbées, jeparvins à jouir. Mon ventre me sembla pris de spasmes délicieux qui se mêlèrent aux appels à l’aidede mon pauvre petit cul. Mes yeux se révulsèrent et ma bouche laissa s’échapper autant de salivesque de sonorités étranges. C’était divin et j’étais morte de honte.– Qu’est-ce qu’elle est bonne !– Tu m’étonnes. Qu’elle aime et elle en redemande !Lorsque le troisième eu fini, je cru pouvoir en rester là mais la voix de mon mari me fit comprendreque ce n’était pas le cas :– Ceux qui veulent se terminer de la même manière peuvent le faire !Je me rendis compte que la plupart des types s’étaient masturbés en me regardant me faire baiser etsodomiser et que la majorité n’avaient pas tenus jusque-là. Quatre hommes arrivèrent tout de mêmeet je dus attendre le cul tendu vers le haut qu’à leur tour ils éjaculent dans la raie de mes fesses.Je me sentais dégoûtante et collante quand Daniel vint prendre ma main pour m’aider à me relever.Il me tendit une serviette, je m’essuyais aussi vite que je pus et je la jetais par terre. Il me donnamon manteau que j’enfilais immédiatement puis il me prit de nouveau la main.Nous fîmes un pas en direction de la rampe de sortie puis il se retourna.– Au revoir messieurs !!Ceux qui discutaient se turent et tous me regardèrent puis fixèrent mon époux. Dans leurs yeux semêlaient une forme de tristesse, d’envie et d’admiration, exactement comme Daniel l’avait imaginé.Il posa ses lèvres sur les miennes et caressa mes cheveux puis il souffla.– Viens. On s’en va.Nous allâmes jusqu’à la voiture sans un mot puis de nouveau il me serra contre lui.– Je t’aime……….Tu es a moi, ta vie m’appartient.Il ne me fallut pas très longtemps pour réaliser que cette soirée m’avait changée. J’étais plusamoureuse de Daniel que je ne l’avais jamais été et je me sentais enfin réellement femme.Je m’étais montrée capable de me comporter comme une soumise et même si je comprends que celapuisse surprendre je ressentais cela comme une fierté. Pour l’homme que j’aime j’étais capable deme muer en la dernière des salopes, je n’allais pas le crier sur les toits mais au fonds de moi, j’enétais très heureuse.Et puis ce n’était pas tout. Depuis la nuit du parking, dès que Daniel me touchait je m’embrasaislittéralement. Au moindre baiser, à la moindre caresse j’étais immédiatement trempée et affamée desexe. Il s’en rendait compte et profitait de moi quasi quotidiennement. Il me prenait tendrement leplus souvent, parfois plus fermement. Qu’importe. Dans l’état ou j’étais je jouissais à chaque fois.
Sam Botte
La suite demain même heure