Je retrouvais Arielle dans la cuisine le lendemain matin, en train de préparer un café dont l’arôme m’avait réveillé en me chatouillant les narines. La fraîcheur de la nuit nous avait réveillés et en nous soutenant l’un l’autre, nous nous sommes dirigés vers nos chambres respectives pour nous écrouler ivres de sommeil. » Bonjour, bien dormi ?  » demandais-je » Très bien ! Au début, littéralement une perte de conscience puis un grand rêve où les souvenirs de la journée d’hier s’entremêlaient en une joyeuse sarabande ! Vraiment une très bonne nuit  » avoua -t-elle.Elle était vêtue d’un T-shirt long qui soulignait ses formes superbes et mon short prit de l’ampleur. Arielle sourit et me servit un bol de café. Du pain frais était posé sur la table, attention de ma voisine qui entretenait la bastide en mon absence. Je proposais à ma compagne de rendre visite à Anna dans la matinée, pour chercher du ravitaillement et visiter la ferme. Arielle accepta avec enthousiasme et se précipita dans l’escalier pour se préparer. J’entendis la douche puis le grincement du plancher. Arielle redescendit après quelques minutes et je restais bouche-bée devant sa beauté et sa fraîcheur. Elle portait un pantalon de toile écru sous lequel se dessinait un string blanc. Un T-shirt moulant révélait plus qu’il ne les cachait les seins magnifiques de ma compagne.Après une courte promenade, la main dans la main, nous sommes arrivés près de la ferme, accueillis par César un grand chien des Pyrénées qui gardait la maison et à l’occasion les troupeaux. Il me fit la fête et tourna autour d’Arielle en la reniflant prudemment.Anna vint nous accueillir sur le perron de la ferme. Elle portait une robe imprimée qui mettait en valeur un corps musclé, habitué aux travaux de la ferme. Elle m’embrassa et souhaita la bienvenue à Arielle tout en détaillant sa tenue. J’étais entouré de 2 superbes créatures et je me sentais tout ragaillardi. Il faisait déjà chaud et Anna nous proposa un verre de vin de sa propriété. Nous bavardâmes et Anna me demanda d’aller chercher une autre bouteille de vin au cellier situé à l’arrière de la maison. En sortant, je surpris un regard entre les 2 femmes qui me suggérait de prendre tout mon temps. En revenant, je passais devant la fenêtre ouverte et les bruits de la conversation me parvinrent par la fenêtre ouverte. Anna s’étonnait des vêtements d’Arielle et lui demandait si elle pouvait toucher les tissus de ces vêtements. Elles se levèrent et s’approchèrent l’une de l’autre. Je pouvais les voir dans le reflet du carreau. La main d’Anna se posa sur le sein d’Arielle qui frissonna. Elle le caressa en descendant vers le pantalon et là suivit le dessin du string pour aboutir aux fesses. Arielle le souffle court palpa alors également le corps fin et nerveux d’Anna. Doucement, leurs lèvres. La respiration des deux femmes s ’est alors accélérée et Arielle s’unirent et elles se déshabillèrent et tombèrent sur le tapis en un 69 effréné. Arielle était couché et Anna se penchait sur elle et explorait de la langue sa chatte. Le plaisir les agitait toutes les deux. Je décidais de rentrer dans la maison et de participer à la fête. En entendant la porte, elles se précipitèrent sur moi et d’un commun accord, me déshabillèrent. Je me laissais faire et bientôt ces 2 dames se partageaient mon corps.Arielle m’embrassait et me caressait le torse. Anna s’occupait de mon sexe et le suçait avec un bel enthousiasme en me caressant les testicules. L’action conjuguée des 2 bouches et des 4 mains me précipita au septième ciel, je me tendis dans un spasme et Anna ingurgita tout le foutre que mon sexe injectait au fond de sa gorge. J’eus alors le temps d’admirer le corps d’Anna, fin, presque maigre, très nature. Elle n’était pas épilée et arborait une toison pubienne vierge dépassant sur le haut des cuisses. Sous les aisselles dépassait aussi des touffes folles. L’épiderme était uniformément bronzé, témoignant de l’habitude de s’exposer aux rayons solaires dans sa totalité. Cette vision était un enchantement et je ne savais qui entre Arielle, sophistiquée, soigneusement épilée et maquillée ou Anna totalement naturelle et brute m’excitait le plus. Je gouttais alternativement aux deux chattes, découvrant deux sensations et 2 goûts différents agréables et envoûtant. Pendant que ma langue titillait un clitoris, mes doigts excitaient l’autre, quand ma langue pénétrait une intimité, mes doigts s’égaraient dans une grotte. Ces caresses alternatives excitaient mes compagnes qui gémissaient en se caressant les seins et en se pinçant les mamelons. Je bus l’excitation de ces deux corps et proposais à Arielle de me prendre en bouche pendant que je léchais la chatte et le cul d’Anna qui s’était accroupie sur mon visage. En peu de temps, j’explosais dans la bouche d’Arielle qui avala goulûment ma semence. Nous nous écroulâmes sur le plancher en un fouillis de membres et de troncs. Nous avons vidé la bouteille que j’avais été chercher. Anna m’embrassa en m’avouant que depuis quelques années elle rêvait de partager mon intimité, non pas exclusivement mais lors de mes passages. Elle n’était plus satisfaite des assauts brutaux et courts de ses ouvriers favoris qui ne faisaient que satisfaire un besoin physiologique. Elle regarda avec anxiété vers Arielle qui lui sourit en disant que le partage était une chose qu’elle approuvait et que je n’étais pas sa propriété. Par ailleurs, elle avait vraiment apprécié les caresses d’Anna et les répèterait volontiers à l’occasion.Dans une grande complicité, nous visitâmes l’ensemble de la ferme. De temps en temps, des mains baladeuses flattaient une fesse, une fente ou mon sexe. De belles perspectives s’offraient à nous. Nous avons pris congé d’Anna pour retourner à la bastide tout en la priant de venir partager notre souper autour de la piscine.Arielle avait oublié de mettre son string et pendant tout le chemin du retour, l’image de son bassin libre sous le tissu m’obsédait. La coquine le savait et prenait soin de marcher parfois quelques pas devant moi, me laissant admirer ses fesses moulées puis se retournait pour me monter une fleur, un arbre et alors sa chatte se montrait par transparence et m’attirait littéralement. J’étais donc une véritable bombe à retardement qui explosa brutalement au bord de la piscine. En approchant de celle-ci, je jetais littéralement Arielle à l’eau et la suivais. J’arrachais ses vêtements en les déchirant. Dans l’excitation, je la traitais de salope et de délurée. J’embrassais ses seins, ses fesses, sa chatte au fur et à mesure qu’elles étaient à portée de bouche. Mes mains malaxaient de même tous les éléments de son anatomie qui passait à leur portée. Enfin, la bloquant contre la margelle, je la pénétrais brutalement, lui arrachant un cri. Je l’empêchais de se débattre et continuais de la labourer à grands coups de bite. Son cri s’était mué en râle et elle agitait maintenant son bassin en mesure. J’éjaculais en la serrant contre le bord, pour mieux la pénétrer et l’empêcher de glisser. Enfin nous sortîmes essoufflés de l’eau et nous poursuivant, nous sommes retournés dans la Bastide pour nous sécher et préparer le déjeuner.