Vers midi, la chaleur devenait lourde, obsédante, rendant chaque geste plus difficile. Je rentrais dans la maison et entrepris de nettoyer les champignons cueillis le matin le long de la rivière en compagnie de Anna. Par la fenêtre, je voyais Arielle mettre la table sous la tonnelle. Ses cheveux bruns étaient retenus par un ruban de tissu multicolore et dégageaient ainsi sa nuque et son cou gracieux. Je restais un moment à l’espionner ainsi. Elle posait les assiettes sur la table et se penchait alors en avant, laissant ballotter ses seins libres sous une tunique blanche, rendue transparente par le contre jour. Les mamelons pointaient légèrement sous le tissu, irrités sans doute par le frottement. Ses fesses étaient couvertes par le bas de la tunique. On devinait néanmoins le bas d’un maillot de bain également blanc, laissant libre les 2 globes charnus. En se penchant, elle s’équilibrait parfois en tendant une jambe vers l’arrière. Ce mouvement déclencha en moi un début d’érection, en voyant s’ouvrir ainsi son entrejambe. Je restais hypnotisé par ce spectacle se déroulant à l’ombre des vieux arbres. Je m’arrachais à ce tableau pour me remettre à la préparation du déjeuner.Après avoir lavé et vérifié tous les champignons, je les fis revenir dans une poêle avec de l’ail. Quelques anchois au sel et des olives allaient nous fournir l’apéritif et un lapin tournait déjà sur sa broche au-dessus d’une braise de sarments. Le vin était au frais, tout était donc prêt, nous n’attendions qu’Anna qui devait se joindre à nous pour l’après midi.Elle arriva enfin, nous hélant de loin. Elle portait une robe blanche largement décolletée qui ne laissait deviner aucune trace de soutien-gorge. Nous prîmes le déjeuner à l’ombre. Je rentrais faire la vaisselle. Je comptais dans l’après midi retourner rapidement à la ville la plus proche pour réactiver la ligne téléphonique. Aucun portable n’était en réception de signal dans la vallée et un lien avec la civilisation restait nécessaire. J’avertissais donc les deux jeunes femmes de mes intentions et me retrouvais rapidement sur la route, bien au frais dans ma Jeep Cherokee, la climatisation poussée à fond.Pendant ce temps, à la Bastide, Anna et Arielle somnolaient à l’ombre de la maison. Arielle avait enlevé sa tunique et Anna avait laissé sa robe sur une chaise. Elles se prélassaient donc toutes les deux à demi-nues, recherchant la caresse d’un souffle de vent tiède. Après une heure de sieste, elles se levèrent pour aller se rafraîchir dans la piscine et enlevèrent alors leur culotte et se jetèrent à l’eau. Arielle félicita Anna pour son épilation. Après quelques longueurs, elles nagèrent plus lentement, l’une à la hauteur de l’autre en s’observant et discutant de leurs habitudes de vie respectives. Arielle plongea sous l’eau pour se rafraîchir le visage et les bras et en se retournant vit le corps magnifique d’Anna qui continuait sa brasse. Une onde d’envie fit frissonner la citadine. En remontant, elle se déclara un peu fatiguée et regagna le bord. En sortant de la piscine, elle s’attacha à bien s’étirer et montra à Anna son anatomie intime. Elle sortait dos au soleil pour permettre un bon éclairage de son corps. Puis elle se dirigea vers la maison pour se sécher un peu. Anna qui avait suivi son manège, sourit et regagna la rive également. Elles se retrouvèrent ainsi dans la maison, en train de se sécher. Arielle demanda à Anna de lui essuyer le dos. Elle ne se fit pas prier et passa lentement le tissu sur les épaules d’Arielle, elle descendit sur le dos et arriva sur les hanches. Elle sécha avec attention et douceur les deux fesses y compris dans le sillon. Elle s’accroupit pour sécher les 2 jambes puis les cuisses. Elle insista sur la face interne si douce et sensible. Elle monta jusqu’à la racine des cuisses et écartant les grandes lèvres essuya consciencieusement le sexe d’Arielle. Cette dernière ferma les yeux et dans un murmure la pria de l’essuyer aussi de l’autre côté. Anna n’en demandait pas mieux et mit un soin tout particulier à caresser les seins de sa compagne. Les mamelons déjà raidis par l’eau fraîche, se durcirent encore au contact du drap de bain. Le ventre et les cuisses furent bientôt sec et à nouveau Anna s’ingénia à sécher la fente qui restait mouillée malgré un premier essuyage. Arielle prit alors un autre drap de bain, s’approcha d’Anna. Elle déposa sur ses lèvres un baiser si léger qu’il semblait être une caresse. Elle lui essuya le ventre en remontant vers ses seins qu’elle empoigna et caressa avec le tissu. Chez elle aussi les mamelons réagirent. Anna observa tous les gestes comme pour encourager sa compagne. Celle ci descendit vers le pubis maintenant complètement épilé, émouvant de fraîcheur. Arielle insista sur la fente ainsi offerte et chatouilla le clitoris ce qui provoqua un long frisson chez Anna. Elle se retourna pour se faire essuyer le dos également. Les mains d’Arielle devinrent plus douces en lui touchant les fesses. Anna se pencha un peu en avant pour mieux offrir son intimité à sa compagne. Arielle prit Anna par la main et l’emmena vers sa chambre. Elles s’installèrent sur le lit, assises en tailleur. Elles se regardaient et se souriaient. Lentement leurs mains se sont jointes. Pendant un moment, les yeux dans les yeux, elles restèrent comme cela, puis leurs bustes se rapprochèrent comme si les regards étaient aimantés. Leurs bouches se sont joints et doucement, sans perdre leur union buccale elles s’allongèrent l’une contre l’autre, se serrant et entremêlant leurs jambes. Arielle caressa le dos d’Anne et s’arrêta sur ses fesses pour les empaumer et doucement les faire rouler. Puis elle glissa une main sur le pubis glabre pour rechercher le clitoris qu’elle caressa avec une pression croissante. Un gémissement échappa des lèvres de la fermière qui ouvrait ses jambes pour accueillir la caresse. Arielle décida d’aller goûter l’intimité de sa compagne tout en offrant la sienne. Et chacune s’ingénia de provoquer avec sa langue le maximum de sensation tout en goûtant la liqueur de l’autre. Chacune était secouée par un orgasme et après un long moment de sensations intenses, elles se sont retrouvées l’une dans les bras de l’autre, restant presque immobiles.Revenant de la ville où j’avais pu régler rapidement mes affaires, j’avais hâte de retrouver mes deux amies.J’allais vite sur les petites routes encore écrasées par la chaleur. J’arrivais donc rapidement en vue de la Bastide et n’y vis aucun signe apparent d’activité. Me doutant que ces dames avaient du se donner du bon temps, je m’approchais aussi silencieusement que possible. La voiture garée à l’ombre, je rentrais dans la maison, qui m’accueillit par une pénombre fraîche. Je me dirigeais vers le premier étage en faisant le minimum de bruit et là je découvris deux corps magnifiques dénudés, allongés l’un à côté de l’autre.Dans la chambre, je pouvais sentir des effluves ne laissant aucun doute sur les activités qui s’y étaient passées durant mon absence. Les deux jeunes femmes étaient admirables, Arielle semblant plus fragile, plus sculptée, plus précieuse qu’Anna qui était plus musclée, tout en force, un peu brute. Je restais un moment à les admirer, je surpris un mouvement de cils chez Arielle qui devait m’observer aussi. Je me déshabillais donc lentement en me montrant de face, de profil, de dos, penché en avant pour permettre à la spectatrice de me voir sous toutes les facettes. Je m’allongeais alors sur une partie du lit laissée libre et fermais les yeux. Tout resta tranquille pendant une dizaine de minutes. Je contrôlais ma respiration simulant un endormissement. Lorsque je sentis un mouvement à mes côtés, je changeais une inspiration que je rendis plus profonde et immédiatement le mouvement se figea. Ma respiration reprit sa régularité et je perçus un chuchotement ininterprétable. Je décidais donc de me laisser faire. Je sentis une reptation lente, mesurée suivie par un grincement discret du lit. Manifestation les 2 femmes faisaient une manœuvre d’approche. Je restais tranquillement allongé, les 2 jambes légèrement écartées et les bras le long du corps. Je me préparais à un contact imminent et effectivement, je sentis bientôt une main effleurant mon sexe, puis débutant une caresse. Une autre main vint m’effleurer la poitrine. Ces deux mains furent bientôt remplacées par deux souffles eux-mêmes suivis par deux langues. La première suçotait mes mamelons, la seconde s’occupait de l’extrémité de ma tige qui releva presque instantanément la tête. Je grognais un peu pour la forme mais les 2 langues continuèrent leur travail. Mon sexe fut bientôt pris dans une bouche qui commença un va-et-vient lent et ample, assistée par une langue très mobile. Je ne bougeais toujours pas pour provoquer l’imagination de ces dames. Jugeant mon membre viril suffisamment préparé, la bouche le quitta et je restais quelques secondes dans l’inquiétude d’un abandon pur et simple. L’instant d’après je fus rassuré en sentant de chaque côté de mon bassin des cuisses et le bout de mon gland buttait sur une surface douce humide et chaude. Cette surface s’incurva et je me retrouvais dans un conduit satiné qui allait et venait dans un charmant mouvement. J’attendais le changement de position de mon autre protagoniste. Mon nez me renseigna bientôt sur les intentions de la personne s’occupant de la partie supérieure de mon corps. Mon nez perçu une odeur, chaude, excitante et bientôt se trouva coiffé par un périnée qui se frottait sur lui. Je percevais la peau du mont de vénus, la petite perle dure du clitoris. Puis il s’enfonçait dans le vagin, envahi par des parfums riches. Il retrouvait la terre ferme avant de se retrouver devant un orifice plus serré mais palpitant. Ce mouvement se fit plusieurs fois, me permettant de constater que les sécrétions de la dame se faisaient plus abondantes. Les deux femmes manifestaient plus bruyamment leur plaisir et je me hasardais alors à risquer une petite sortie de langue. Cette dernière remplaça le nez qui repris sa fonction respiratoire. Je pus donc goûter à une liqueur enivrante. Ma langue explora tous les accidents du terrain avec une ardeur renforcée par les sensations de mon sexe toujours engagé dans l’autre dame.Elles se faisaient face et en profitaient pour s’embrasser et se caresser les seins. Je sentis monter en moi la pression de la semence que j’injectais sous pression en spasmes longs. À l’arrêt des spasmes, mon pénis fut libéré et lavé par une puis deux langues actives. Je vis enfin que j’embrassais le con d’Arielle et que je pénétrais Anna.Arielle vint lécher un peu de mon sperme s’écoulant d’Anna et tous les trois sommes restés mollement allongés, qui une main sur un sexe, un sein ou une fesse. Mon esprit sombra cette fois dans une brume de rêve où de superbes créatures s’occupaient activement de mon corps et de mes sens.Décidément je ne regrettais pas d’avoir gardé cette vieille Bastide qui avait déjà accueilli mes amours de jeunesse.