Résumé des épisodes précédents :Cécile, une prof trentenaire et célibataire, est venue passer ses vacances en mobil-home dans un camping de bord de mer avec sa nièce Julie, une splendide jeune femme en apparence, mais en fait hermaphrodite. La belle bisexuée a d’abord rencontré Clarisse, une jolie brune d’à peine vingt ans, en vacances avec sa mère et son frère. Puis elle est tombée sous le charme d’un beau jeune homme, brun aux yeux bleus, Yann. Et enfin, tard le soir, elle a rencontré Jessica, une jolie blondinette anglaise avec un corps de rêve, avec qui elle a vécu une des plus intenses expériences sexuelles de toute sa vie.Le lendemain, en rejoignant avec Jessica le jeune homme à son emplacement, elle découvre avec amusement que Clarisse et Yann sont en fait frère et sœur. Tous les quatre partent à la plage, chacun perdu dans ses pensées lubriques.À la plage, la belle hermaphrodite est partagée entre son attirance pour Yann et son désir pour Clarisse, les caressant discrètement dans l’eau l’un après l’autre. Mais c’est sa partie mâle qui prend le dessus, et pendant que Jessica entraîne le jeune homme nager au loin, Julie, en la caressant sous un drap de bain, offre à Clarisse un stupéfiant orgasme.____________________________________Les quatre jeunes gens sont parvenus jusqu’au cœur du camping et s’avancent vers l’emplacement de Clarisse et Yann. Officiellement pour boire un coup. Officieusement, pour en tirer un, se dit Julie. Elle bande toujours depuis qu’elle a fait jouir la jolie brune sur la plage, qui lui a éjaculé violemment sur la main. Et celle-ci lui a laissé entendre que sa caravane était libre, que sa mère ne serait pas là pendant un moment. Une parfaite occasion pour baiser. Et Jessica pourra baiser avec Yann.— M’man ? demande Clarisse en ouvrant leur auvent. T’es là  ?Personne ne semble présent. Elle s’en assure en entrant aussi vérifier la caravane.— Elle a dit qu’elle allait en ville faire des courses, je crois, déclare Yann d’une voix morne.Il n’a pas très bien pris ce que lui a dit Julie, tout à l’heure, qu’elle était également attirée par les filles, et en particulier par sa propre sœur. Il ne sait toujours pas ce qu’elle est vraiment, et après leur soirée passée ensemble, après les discussions agréables qu’ils avaient eues, il s’imaginait plus qu’un simple coup d’un soir. Pour Julie aussi, ça pourrait être plus qu’un simple coup, mais l’exclusivité ne lui est pas envisageable.— Oui, répond Clarisse depuis l’intérieur de la caravane. Et de toute façon, la voiture n’est plus là . Vous voulez boire quoi ?Personne ne lui répond. Jessica n’a pas compris la question ; elle a repéré un grand transat et y étend sa serviette avant de s’y asseoir ; et Julie, après avoir également déposé ses affaires, observe en détail la configuration des lieux.— On a combien de temps ? demande-t-elle finalement.Elle non plus, personne ne lui répond. Mais tout le monde la regarde avec stupeur.— Bah, de toute façon, on entendra la voiture… poursuit-elle en allant abaisser les rideaux intérieurs de l’auvent.Yann lui lance des yeux brûlants, indécis. Jessica l’observe en souriant. Et Clarisse est abasourdie, mais excitée elle aussi, même si elle refuse de l’admettre et si la présence de son frère l’indispose. Julie abandonne ses tongs et s’avance pieds nus sur le liner vers le jeune homme en le provocant du regard. Sous ses yeux fiévreux et incrédules, elle dénoue dans son dos le haut de son bikini, et laisse tomber le vêtement aux pieds du garçon, libérant ses deux gros seins lourds. Elle se colle contre Yann et l’embrasse ; il se laisse faire.— Tu es toujours fâché contre moi ? lui susurre-t-elle à l’oreille.Il ne réagit toujours pas, mais lorsqu’elle glisse sa main sur son ventre jusqu’entre ses cuisses, elle sent qu’il n’est pas indifférent à son petit manège.— Tu viens, Jess ? demande alors l’hermaphrodite avec un sourire vicieux.La superbe petite blonde se lève en retirant d’un geste le soutien-gorge de son maillot de bain, et s’avance auprès du couple sur la pointe des pieds, venant presser ses seins contre ceux de la merveilleuse bisexuée, l’embrassant à pleine bouche en joignant une main à la sienne dans le caleçon du garçon.— Pfff ! N’importe quoi ! Si c’est pour assister à ça, je me tire ! grommelle Clarisse en retournant à l’intérieur de la caravane.— Attends, ma belle, je vais venir m’occuper de toi… lui rétorque Julie d’une voix vicieuse.Yann n’en croit pas ses yeux ; il est subjugué par ce qui lui arrive. Il caresse les fesses des deux bombes sexuelles dont les gros seins s’écrasent juste sous son nez. Et il n’en croit pas non plus ses oreilles, ce qu’elle vient de dire… c’est hallucinant !Jessica se laisse glisser le long du corps presque nu de Julie, léchant et mordillant un instant ses seins, puis embrassant son ventre, jusqu’à finir agenouillée aux pieds du couple qui s’embrasse encore. Puis elle masse vivement le pénis durci du jeune homme à travers son maillot, et de l’autre main l’entrejambe de l’hermaphrodite, la bosse énorme qu’elle devine sous le short en jean.— J’ai envie de ta grosse queue… lui murmure la somptueuse blondinette en anglais. Et de la sienne…— Non, pas encore, répond-elle dans la même langue. Ma grosse queue, tu l’auras plus tard, pour l’instant, tu vas te débrouiller avec lui.Acquiesçant d’un clin d’œil, elle baisse le caleçon de bain du jeune homme dévoilant son sexe tendu.— Je vais être plus à l’aise que dans l’eau, et il devrait durer plus longtemps…Julie sourit, puis embrasse encore Yann en caressant les cheveux de Jessica qui l’a déjà enfourné.— Je vous laisse, je vais voir ta sœur… lui souffle-t-elle d’une voix démoniaque.Des images obscènes incroyables défilent dans sa tête. Ça a beau être avec sa sœur, ça le rend fou d’excitation d’imaginer Julie, la belle Julie, avec une autre fille. Et il est bien loin de la réalité. Il ne se doute encore pas le moins du monde de ce qui ne demande qu’à sortir de sous son vêtement serré.— Claaariiisse ! appelle-t-elle lentement. Prépare-toi, j’arrive…Et, ouvrant les premiers boutons de son short en jean, elle entre à son tour dans la caravane, laissant Jessica offrir une pipe incroyable au garçon désorienté.Sur le seuil de la caravane, Julie se dandine pour baisser avec difficulté le long de ses hanches le vêtement trop serré. Jessica et Yann voient apparaître ses fesses sublimes dans l’encadrement de la porte d’entrée juste avant qu’elle s’y engouffre et lance derrière elle son short en jean qui vole à travers l’auvent.De l’autre côté, à l’intérieur de la caravane, Clarisse, assise sur une banquette d’angle, l’observe entrer avec une moue réprobatrice et excédée, mais des yeux ronds pleins de stupeur et surtout d’envie, et reste même bouche bée lorsque l’incroyable hermaphrodite se dévêt de son dernier habit et lui dévoile sa queue déjà bien gonflée.Julie s’approche d’elle, souriant ; sa verge se durcit et grossit à vue d’œil. Elle se campe juste devant la jolie brune dont le regard fixé sur le gros pénis qui achève de se tendre trahit désormais le désir.Sans un mot, la jolie bisexuée pose ses mains sur les cheveux de la jeune femme, et maintient fermement sa tête, l’attirant vers son gland enflé et palpitant. Clarisse ouvre la bouche et laisse l’engin lui écarter les lèvres et toucher ses dents. Elle écarte encore ses mâchoires, très grand, pour livrer un doux passage à l’énorme chose qui s’enfonce lentement jusqu’au fond de son palais, venant presque l’étouffer.Et Julie lui baise alors la bouche, fort, rapidement, aussitôt, la tenant solidement par la tête. Elle enfonce et ressort à toute vitesse sa grosse queue, venant buter contre sa glotte puis s’échapper presque entièrement d’entre les savoureuses lèvres ruisselantes de salive et de bave.Mais elle est déjà surexcitée, elle n’a pas envie de plus, elle ne veut plus que baiser fort la chatte de Clarisse, pour la faire jouir encore, comme tout à l’heure sur la plage. La brunette se laisse faire quand l’hermaphrodite, sa queue totalement rigide encore plantée dans sa bouche, se penche un peu pour lui ôter le haut de son maillot de bain, avant de se reculer et de la faire se lever, se tourner, et s’appuyer les mains en avant sur la table de salon de la caravane.Alors Julie s’agenouille derrière elle et baisse le bas de son maillot, puis lui fait écarter un peu les jambes et se penche vers ses fesses pour aller lécher sa vulve. La jeune femme lâche de petits soupirs de plaisir à mesure que son sexe déjà humide s’ouvre sous la langue experte.— Hmmm, j’aime bien le petit goût d’eau de mer contre sa chatte, dit-elle fort en anglais à l’attention de Jessica.Celle-ci, toujours agenouillée sous l’auvent, retire le sexe tendu de sa bouche pour répondre :— Le mien est moins salé que quand je l’ai sucé tout à l’heure en pleine mer, j’aime autant comme ça.Et toutes les deux retournent à leurs tâches, arrachant de plus en plus de gémissements à leurs partenaires. Puis, sans se concerter et presque en même temps, changent de position. Jessica fait s’allonger Yann sur un transat et, retirant son slip de bain, s’avance pour l’enjamber et s’empaler sur lui en geignant. Et à l’intérieur, Julie se relève et mène d’une main son épaisse queue rigide contre le sexe ruisselant de Clarisse, qu’elle ouvre délicatement de l’autre pour faciliter le passage du gland dilaté.La jeune femme pousse une longue plainte d’extase quand la sculpturale hermaphrodite s’enfonce lentement en elle. Et contrairement à sa bouche un instant plus tôt, elle baise cette fois-ci sa chatte en douceur, par d’amples et alanguis va-et-vient interminables, qui lui arrachent tous un nouveau long soupir de plaisir quand le gros gland frotte ses lèvres, puis tout son vagin, avant d’aller buter tout au fond de son corps.Sous l’auvent, Yann baise fort la petite bombe sexuelle qui le chevauche et qui accompagne tous ses coups de bassin de violents déhanchements. Il masse ses gros seins, et l’embrasse goulûment.Julie opte peu à peu pour de brefs mouvements plus vifs, plus rapides, plus ciblés. Guidée par les petits cris ardents de sa partenaire, elle insiste avec son gland contre la partie antérieure de son vagin, juste au-delà des lèvres, frottant la zone qu’elle avait excitée si fort tout à l’heure sur la plage.La splendide bisexuée continue, fort, vite ; elle se concentre sur ce point sensible du sexe de Clarisse, dont les cris s’intensifient encore. Et ces cris se changent soudain en halètements crispés ; la jeune femme se met à se déhancher très rapidement, par à -coups secs et brutaux.Et quand elle sent que son point de non-retour est atteint, Julie lui assène alors une série rapide de puissants va-et-vient en la défonçant de toute la longueur de sa grosse bite à vive allure. Ses cris se changent en hurlements et elle explose d’un plaisir démesuré en même temps que sa vulve s’inonde d’un liquide projeté par son orgasme, qui ruisselle le long de la queue toujours violemment agitée et dégouline sur les cuisses des deux jeunes femmes. Les jambes de Clarisse se dérobent sous son corps, elle peine à se maintenir debout, et finit effondrée d’extase, appuyée en avant, son bassin s’agitant encore par spasmes alors que les dernières gouttes de liquide s’échappent de son sexe palpitant.— Mais ça va pas, Clarisse ! T’es dingue de crier comme ça ! beugle son frère. Y a des voisins !— Oh ta gueule ! lui répond-elle d’une voix cassée et essoufflée. C’est trop bon ! Baise ta pouf et fous-moi la paix !— T’as entendu ça, Jess ? demande Julie en anglais, fière et amusée.Elle tient Clarisse par les hanches et continue de la baiser tout doucement.— Oui, elle a encore éjaculé ? répond la petite blonde sans cesser d’accompagner les coups de bassin que lui assène toujours Yann.— Oui, c’est trop impressionnant. Y en a partout !— Oh putain, je veux voir ça ! Tu peux recommencer ? Enfin, je veux dire, tu crois qu’elle peut recommencer ?— J’en sais rien, je peux essayer, mais on va sortir, ça a coulé partout, y a carrément une flaque…La sublime hermaphrodite se penche par-dessus le corps inerte de sa partenaire pour lui murmurer à l’oreille :— J’adore te faire jouir comme ça ! T’es hallucinante !— Oh c’est trop bon ! lui souffle Clarisse. Ce que tu m’as fait… J’en veux encore !Julie se redresse et se retire lentement. Et toutes les deux poursuivent à voix très basse.— Ok… Mais je crois qu’il va falloir qu’on sorte pour continuer.— Mais… et mon frère ?— Bah tu vas t’y faire, à baiser devant lui, il comprendra que tu es une femme comme les autres.— Mais c’est à toi que je pensais…— Ah… oui… eh bien tant pis, il faudra bien qu’il le découvre un jour !Elle observe un instant Clarisse en silence.— Et puis de toute façon, j’ai bien trop envie de toi !Les deux jeunes femmes se roulent une grosse pelle, puis Julie reprend, à voix haute et en anglais :L’interpellée chevauche toujours son partenaire, assise à califourchon sur son bassin.— Oui ?— On va sortir, surveille bien ton mec…— Hmmm ! Oui !Mais elle ne surveille rien du tout et continue d’ahaner en savourant les longs et profonds déhanchements.— Yann ? appelle encore Julie.— Hmmmouais ?Clarisse s’est retournée et branle avec nonchalance la queue toujours tendue de l’hermaphrodite.— J’ai quelque chose à t’avouer.— Encore ? Qu’est-ce que ça va être, cette fois-ci ?— Euh… écoute, je vais sortir, tu risques d’être un peu surpris. J’ai… comment dire… en plus d’être attirée par les filles, j’ai également une petite particularité physique…Le beau jeune homme brun, intrigué, s’immobilise et redresse un peu la tête.— Petite ? Vraiment ? souffle Clarisse à voix basse, en souriant.Jessica cesse également un instant de se déhancher et attend l’apparition de sa copine bisexuée. Et celle-ci sort soudain, sans fard, complètement nue, arborant tendue devant son corps somptueux sa longue verge épaisse. En l’apercevant, Yann manque de s’étouffer dans un hoquet de forte stupeur.— Aaah putain j’hallucine !!! C’est quoi ça ?!? T’es un mec ?Elle descend de la caravane, tenant derrière elle la main de Clarisse qui sort à sa suite comme un pantin, également nue, et qui se laisse tomber dans un autre transat, visiblement épuisée. Mais ni Jessica ni Yann ne font attention à elle, c’est autre chose qui capte leur intérêt.— Mais c’est la folie ! T’avais déjà ça hier ?— Oui, ricane-t-elle, évidemment. Et non, je ne suis pas un mec. Tu t’en es quand même rendu compte hier, non ?— Ah putain j’hallucine ! répète-t-il. J’hal-lu-cine !Elle s’approche du couple ; Jessica reprend ses déhanchements au-dessus du garçon qui, lui, est toujours sidéré par ce qu’il voit. Il finit par regarder sa sœur.— Et toi… tu… tu…Il ne sait pas comment formuler ses pensées ahurissantes. Mais le bruit du moteur d’une voiture s’élève soudain, le coupant dans sa réflexion ; Clarisse et lui sont un instant sur le qui-vive. Mais c’est une fausse alerte, ce n’est pas leur mère, et la voiture poursuit lentement dans l’allée de leur emplacement et s’éloigne.— Putain ! s’exclame encore Yann.La magnifique blondinette qui le chevauche se penche pour attraper la grosse queue de Julie qui s’est avancée.— Alors ? Tu aimes ? fait-elle en français à son partenaire.Celui-ci scrute de nouveau le gros engin de plus en plus près de son visage à mesure que sa propriétaire se rapproche encore.— Tiens, touche, poursuit Jessica qui s’est mise à branler fort d’une main l’imposant pénis.— Attends, ne le brusque pas, lui répond Julie, en anglais. Il faut qu’il s’habitue.— En tout cas, il bande plus dur que jamais… lui répond la blondinette, également en anglais.— Putain ! répète-t-il une fois de plus.Puis il regarde de nouveau sa sœur.— Et toi, tu m’étonnes que tu gueulais ! Avec ça dans le cul !Clarisse ne lui répond pas. Elle aussi a les yeux fixés sur la grosse bite que Jessica masturbe vivement. Julie tourne la tête vers elle :— Je te laisse récupérer un peu quelques minutes…Et puis elle fixe Yann d’un air libidineux.— Puisqu’il paraît que tu bandes comme jamais, je crois que je vais en profiter un peu… Tu me laisses un peu ta place ? ajoute-t-elle à la petite blonde en anglais.— Hmmm… ok, mais dans ce cas-là , toi tu me baises.— Peut-être tout à l’heure, pour l’instant je suis sûre que Yann adorerait te lécher.Jess sourit, puis s’exécute ; elle lâche la queue de l’hermaphrodite et s’extirpe d’au-dessus du jeune homme dont le sexe trempé du plaisir de la belle Anglaise reste tellement tendu qu’il ne touche pas son ventre. Julie s’en saisit aussitôt sous les yeux curieux de Clarisse et le tient relevé pendant qu’elle l’enjambe et s’y empale d’un trait en gémissant. Yann grogne en la regardant ensuite se déhancher au-dessus de lui, et en observant encore sa grosse bite toujours gonflée osciller doucement.Puis sous ses yeux fous d’excitation, Jessica se rapproche pour l’enjamber à son tour au niveau de la tête, tentant de venir se positionner pour qu’il puisse la lécher. Mais le haut du transat relevé la gêne, alors elle en redescend, abaisse complètement le siège en position allongée, puis revient s’installer cette fois plus confortablement à califourchon sur son visage, un genou de chaque côté de son torse.Le garçon est aux anges, fou de désir, sa queue lui fait mal tellement elle est dure et dilatée. Il plonge la langue dans la vulve ruisselante de la petite Anglaise, lapant de son clito jusqu’à l’arrière de ses lèvres, et il la sent se dandiner en couinant au-dessus de lui. Et lui aussi soulève et abaisse fort son bassin, pénétrant fort cette incroyable salope de Julie qui gémit aussi. La seule chose qu’il regrette, c’est de ne plus voir sa grosse bite hallucinante.Clarisse est stupéfaite et excitée par la scène, mais c’est surtout Julie qui l’attire, Julie et sa queue magique dont elle a du mal à détacher le regard. Assise sur un autre bain de soleil, elle se demande si le leur va tenir sous leur poids. Et elle prie pour que sa mère n’ait pas la mauvaise idée de revenir trop vite de courses, pour qu’elle ait encore le temps de profiter de l’hermaphrodite et de jouir une nouvelle fois. Elle se caresse doucement la poitrine en observant le trio se tortiller et couiner à qui mieux mieux devant elle.Jessica et Julie s’embrassent, ou plutôt se lèchent mutuellement la langue, et jouent avec leurs gros seins. Mais la petite Anglaise se penche de plus en plus en avant, contre le corps brûlant de la belle bisexuée, léchant un instant ses mamelons durcis, mais les abandonnant bien vite pour attraper et relever vers sa bouche avide la longue verge épaisse. Elle suce le gland, elle y sent les traces du plaisir de Clarisse, ça l’excite encore. Sa lourde poitrine se balance contre le bas-ventre du jeune homme qui lui broute encore la chatte, qui lui suce le clitoris. Elle ne va pas tarder à jouir.Julie savoure à la fois les coups de bite endiablés de son amant toujours ultra rigide et les lèvres exaltées de la voluptueuse blondinette qui glissent autour de sa queue. Elle gémit fort, elle aussi. Mais Jessica se redresse soudain, se met à branler l’hermaphrodite à toute allure avec désordre et geint en se contractant par à -coups au-dessus du visage du jeune homme. Et elle jouit en criant, les yeux fermés, les sourcils crispés, écrabouillant la tête de son partenaire qui lèche encore quelques secondes son clitoris en feu.Puis elle se relâche, se détend, descend du transat et se laisse choir dans une chaise ordinaire du salon de jardin en soupirant longuement.— Ouah putain, il lèche bien… Il lèche mieux qu’il baise… Tu devrais essayer…Julie ne répond rien ; maintenant que Jessica l’a regonflée complètement en la suçant, elle a de nouveau envie de Clarisse. Elle se penche complètement par-dessus Yann, écrasant ses gros seins sur son torse, et comprimant entre leurs ventres sa bite épaisse, et l’embrasse à pleine bouche. Sa langue a le goût de la petite Anglaise. Lui referme ses mains sur ses fesses et la défonce de plus en plus fort.— Tu ne m’en veux pas trop de t’avoir menti ? lui susurre-t-elle à l’oreille entre deux gémissements. De t’avoir caché ma petite particularité ?Il ne répond rien mais grogne de plaisir et d’excitation.— Tu comprends pourquoi j’aime aussi les filles…— Oh putain !— D’ailleurs je vais retourner sauter ta sœur…— Raah… T’es vraiment une putain de salope !— Mais j’aime aussi les garçons, hein… Tu te souviens, hier, quand tu m’as enculée ? Je t’ai dit que si tu me le faisais, je te le ferais aussi…C’en est trop pour Yann qui lui assène d’ultimes violents coups de bite à toute allure avant de se figer en grognant plus fort et d’exploser d’extase au fond de son vagin, puis de décharger sa jouissance dans quelques derniers spasmes libérateurs. Julie attend qu’il ait fini pour se redresser, mais il presse fort son corps contre lui, satisfait.Quand elle se relève enfin, elle bande toujours et six yeux incrédules contemplent sa verge pointer vers Clarisse lorsque la jolie et charnelle hermaphrodite se tourne vers elle. Le sperme de Yann s’écoule entre ses cuisses tandis qu’elle avance vers la belle brune, l’invite à se lever. Elle l’embrasse, puis la guide pour qu’elle s’appuie contre la caravane, avant de se placer derrière elle et de frotter doucement son gland enflé le long de sa raie.Et un instant plus tard, sous le regard envieux et jaloux de Jessica et celui ébahi de Yann, Julie baise de nouveau Clarisse, comme précédemment dans la caravane, alternant d’amples et puissants va-et-vient avec de petits mouvements précis sur la zone qu’elle sait désormais être étonnamment sensible chez la jeune femme.En quelques minutes de ce traitement, comme la dernière fois, la jolie brune explose bientôt d’un orgasme sidérant en hurlant d’extase et en expulsant encore une grande quantité de liquide qui ruisselle le long de leurs quatre cuisses sous les yeux stupéfaits des deux jeunes gens pétrifiés.Mais Julie n’a pas joui, elle, et son excitation est intacte, si ce n’est même exacerbée par tout ce qui lui coule entre les jambes. Sans lui laisser le temps de reprendre ses esprits, elle se remet à défoncer à toute allure sa partenaire, et s’étonne lorsque, assez vite, elle la sent prête à jouir encore.De nouveaux cris d’extase, de nouveaux déhanchements incontrôlés, puis, une fois de plus, Julie sent le corps de la brunette se contracter autour de sa queue. Mais cette fois, elle se retire de son vagin. Et Clarisse la remplace aussitôt par sa main droite, se trémoussant à toute allure, tandis qu’un liquide clair jaillit de sa vulve en deux ou trois petits jets et qu’elle s’effondre à genoux en geignant par saccades. Elle a encore éjaculé, en bien moindre quantité que les premières fois, mais c’est encore impressionnant.— C’est prodigieux ! fabuleux ! s’enthousiasme Jessica. Je n’ai jamais vu ça !Yann, lui, est plus basique, se contentant de commenter en soupirant d’étonnement :Clarisse est agenouillée sur le liner mouillé, la tête baissée, appuyée d’une main contre la caravane ; elle a encore l’autre entre ses jambes et respire fort, comme après un effort violent. Elle relève péniblement des yeux sombres vers son frère et lui lance d’une voix aride :— Toi, si tu parles de ça à qui que ce soit, je te tue !Il hausse les sourcils d’un air désarmé, mais déglutit soudain en avisant Julie, qui bande toujours à bloc, branler doucement sa grosse bite et le couver d’un regard affamé. Il sent son pénis se regonfler malgré lui. Jessica se lève et darde elle aussi des yeux voraces sur celui de la voluptueuse hermaphrodite. Mais tous les trois sont sidérés d’entendre Clarisse supplier de sa voix éraillée par les hurlements qu’elle a poussés :— Baise-moi encore !La belle bisexuée est vraiment étonnée ; la jeune femme vient de jouir et d’éjaculer quatre fois en moins d’une heure, et elle a encore envie de sexe ! Tout ça l’excite encore, elle aussi, et elle s’agenouille derrière la fine et jolie brune. Celle-ci, toujours à genoux la main entre ses cuisses, s’est cambrée et se balance doucement d’avant en arrière. Sans un mot, Julie s’introduit de nouveau en elle, lui arrachant encore un long gémissement.Jessica, également incrédule, se rassoit tout contre Yann qui se serre pour lui laisser une place.— Ta sœur est complètement dingue de cul ! lui dit-elle en anglais. Ahurissante !N’ayant rien compris, il la regarde avec embarras en haussant les épaules.— Tu es comme ça, toi aussi ? demande-t-elle encore en se saisissant de sa bite qui s’est redressée.Julie ricane, sans cesser de défoncer Clarisse, et traduit pour le jeune homme :— Elle demande si tu es aussi insatiable que ta sœur…Il soupire en haussant de nouveau les sourcils, tandis que Jessica se penche par-dessus son ventre pour sucer son sexe regonflé. Mais de nouveau, le moteur d’une voiture se fait entendre.— C’est ma mère ! beugle soudain Yann en repoussant la blondinette.En effet, cette fois, le véhicule approche rapidement et s’immobilise tout près de l’auvent. Le jeune homme se lève pour ramasser son caleçon de bain. Dans sa hâte, il peine à l’extraire du tas de vêtements qu’il forme avec le bikini de la belle petite Anglaise et le soutien-gorge de baignade de Julie.Celle-ci enrage, elle n’a pas joui, sa queue est toujours toute dure, et elle a encore envie de baiser cette petite salope qui gicle dans tous les sens. Mais Yann les secoue :— Allez, les filles ! Vite !Il lance précipitamment les maillots de bain qu’il a dans les mains, le slip et le haut appareillés à Jessica, l’autre haut à Julie. Clarisse reprend ses esprits et se dégage de l’emprise de l’hermaphrodite, l’abandonnant agenouillée avec sa verge tendue trempée et sa frustration, puis elle file à quatre pattes jusqu’au short en jean et le lui lance.— Allez, rhabille-toi, vite !— Je ne peux pas me rhabiller vite ! Tu crois que c’est simple de faire rentrer ça là -dedans ?Mais personne ne lui répond, Clarisse a filé à l’intérieur récupérer son maillot de bain et essuie ses jambes trempées, Yann enfile le sien, et Jessica se drape dans sa serviette. La portière de la voiture claque. Une voix de femme se fait entendre :— Yann ? Clarisse ? Vous êtes là  ? J’ai le coffre plein et j’ai besoin de bras.— Oui, on arrive ! crie le jeune homme en rajustant son caleçon de bain.À voix basse, il s’adresse aux trois autres jeunes gens :— J’y vais, mais magnez-vous le cul !Julie soupire en grommelant et en levant une jambe pour la passer dans son short. Yann sort de l’auvent au moment où l’hermaphrodite remonte son vêtement et tente d’y coincer sur le côté sa bite toujours tendue. La petite Anglaise a renfilé sa culotte et se tourne dos à l’entrée pour ôter son drap de bain et passer en hâte son soutien-gorge. Clarisse revient, revêtue de son maillot, mais paniquée :— Y a une mare dans la caravane ! C’est trempé ! On n’a pas nettoyé !Julie sourit en essayant de refermer son short.— Arrête ! C’est pas drôle ! File-moi une serviette, vite !Mais elle n’attend pas et court elle-même chercher la sienne qu’elle retourne ensuite précipitamment jeter sur la petite flaque dans le salon de la caravane. Julie reboutonne enfin son vêtement, mais on devine une longue bosse gonflée sur tout son côté droit. En soupirant, elle va fouiller dans son sac de plage, et en sort un paréo qu’elle jette sur ses épaules au moment précis où la baie de l’auvent s’ouvre pour dévoiler une femme brune d’une quarantaine d’années qui entre les bras chargés de victuailles et de bouteilles.— Ah, vous n’étiez pas tout seuls ? Bonjour, les jeunes. Mais ça tombe bien, c’est le plein de courses hebdomadaire, et vos bras seront les bienvenus.— Bonjour, bredouille poliment Jessica qui n’a rien compris.Derrière sa mère, Yann entre, les bras pleins lui aussi. Il soupire de soulagement en apercevant la voluptueuse petite Anglaise revêtue de son beau bikini, et Julie qui se relève, décente à défaut d’être présentable. Une espèce de vêtement plus ou moins transparent couvre ses épaules, sa poitrine, et descend jusque par-dessus son short en jean. Ça ne lui cache pas vraiment les seins, et n’importe qui saurait affirmer sans peine qu’elle ne porte pas de soutien-gorge, mais au moins ne voit-on plus trop la bosse qui déforme son entrejambe. En étant attentif, n’importe qui verrait aussi le long de ses cuisses les traces des jouissances de Clarisse et de son frère.— Bonjour, souffle-t-elle à son tour, toujours agacée.— Eh ben, ça sent le fauve, ici ! commente la nouvelle venue. Pourquoi vous n’ouvrez pas ?— Oui, je vais ouvrir, répond Clarisse en ressortant enfin de la caravane.Son visage est rouge, et la sueur perle sur son front et ses tempes. Elle passe devant sa mère en baissant les yeux.— Tu m’aides, Julie ?Celle-ci lui adresse un regard assassin, puis observe la quarantenaire traverser l’auvent et entrer dans la caravane, et ses organes mâles survoltés se rappellent à elle lorsqu’elle contemple sa poitrine puis ses fesses. C’est encore une belle femme, aussi brune que ses enfants, au visage plutôt agréable, avec des kilos en trop, mais qu’elle porte fièrement dans des formes généreuses que dévoile sa robe d’été blanche à carreaux.— Arrête de regarder ma mère comme ça, conjure Clarisse à voix basse en venant ouvrir une baie de l’auvent près d’elle. Aide-moi plutôt. Et… Jess ? can you help us ?— Yes !Étonnée, mais contente, malgré le lourd accent, d’avoir entendu la jeune femme s’exprimer en anglais, elle va ouvrir à son tour une autre fenêtre en tissu.— Oh oui, ma chérie, murmure Julie d’une voix puérile et provocante, je vais t’aider !Et elle se serre contre Clarisse, juste derrière elle, referme ses mains sur ses hanches et presse contre ses fesses la bosse rigide de son short en faisant mine de se frotter à elle.— Arrête, tu es folle ! souffle la jeune femme en se dégageant. Tu ne veux quand même…Mais elle est interrompue par la voix contrariée de sa mère :— Qu’est-ce qu’il y a eu, ici ? C’est trempé ?Julie se délecte de voir Clarisse rougir encore et bafouiller :— Euh… oui… je… j’ai mis ma serviette pour éponger, mais… euh…L’hermaphrodite l’attire encore contre elle et lui dépose un baiser rapide, puis se tourne pour s’adresser fort à la mère de famille d’une voix cette fois innocente :— Excusez-moi, Madame, je suis désolée, j’ai renversé une boisson tout à l’heure.— Ah, bon, ce n’est pas très grave, alors… mais, qu’est-ce que c’était, comme boisson, ça a l’air bizarre ?— Je ne sais pas, c’est un mélange que Clarisse m’avait préparé, je m’en veux vraiment d’en avoir mis partout, j’en ai aussi renversé ici…Yann ressort à cet instant de la caravane et regarde les jeunes femmes en se retenant de rire. Mais Julie poursuit sur son air ingénu :— Je vais venir nettoyer.— Non ! crie la jolie brunette empourprée. Je vais y aller.La jolie bisexuée la regarde en souriant, puis reprend d’un ton candide :— Alors Clarisse va venir nettoyer, et mon amie anglaise et moi allons aider Yann à décharger votre voiture ; je vais tâcher d’être moins maladroite…— N’en fais quand même pas trop… lui chuchote le jeune homme en passant devant elle tandis que sa sœur la regarde bizarrement.Julie aide Jessica à accrocher la tenture qu’elle a ouverte, en lui expliquant en anglais qu’elles doivent aider Yann à décharger les courses, et tous les trois sortent tandis que la jolie brune, rougissant toujours plus, entre en soupirant rejoindre sa mère dans la caravane. Celle-ci s’affaire à répartir les courses dans les innombrables rangements de la kitchenette.— Pourquoi ce n’est pas elle qui nettoie ? lui demande-t-elle à voix basse.— Euh… c’est… parce que… euh… parce que c’est à cause de moi si elle a tout renversé. Je vais m’en occuper, ne t’en fais pas.— Je ne m’en fais pas, mais ce n’est pas vraiment le moment, quand je reviens avec toutes les courses. Tiens, prends ça.Elle lui tend une éponge et un flacon de détergent.— Euh… c’est l’éponge qu’on prend pour la vaisselle, celle-là  ? Il n’y en a pas d’autre ?Sa mère la regarde sans comprendre.— Oh mais tu es toute rouge ! Et tu es en nage ! Qu’est-ce qui t’arrive ?— Rien, on a juste euh… on a…Clarisse est sauvée par l’arrivée de Julie qui porte plusieurs petits sacs de produits alimentaires.— Où est-ce que je mets ça ?Les sacs qu’elle tient serrés contre elle rapprochent de son corps le paréo qui laisse nettement deviner ses gros seins sans soutien-gorge ni maillot de bain, et la quarantenaire ne peut s’empêcher d’y poser un regard appuyé lorsqu’elle entre dans la caravane.— Attends, donne…— Je mets ça sur la petite tablette, là -bas, à côté des plaques ?— Oui, si tu veux.Sous l’auvent, Yann et Jessica rangent des bouteilles et d’autres sachets.— Bon, je vais chercher de l’eau aux sanitaires, soupire Clarisse en sortant avec une bassine sous les yeux amusés de Julie.Celle-ci a volontairement désigné la tablette située de l’autre côté de la mère de famille, et l’étroitesse du petit couloir de la caravane ne permet que difficilement d’y tenir à deux. La belle hermaphrodite n’a aucun scrupule à se coller excessivement contre le corps de la femme en passant pour aller déposer ses sacs.— Attends, je vais me pousser, lui dit celle-ci.— Non, non, c’est bon, ça passe.Avec la mine de ne pas pouvoir faire autrement, Julie pivote en passant derrière elle, écrasant son bassin contre ses fesses, et y pressant un moment la bosse démesurée de son short. Elle dépose ensuite ses sacs, avant de revenir se coller tout contre la quarantenaire, d’appuyer de nouveau son entrejambe sur sa croupe en posant doucement ses mains sur sa taille, et de se pencher en écrasant sa lourde poitrine sur son dos pour susurrer à son oreille d’une voix ardente :— Est-ce que je peux faire autre chose pour vous ?Christelle, la mère de Clarisse et Yann, se dit d’abord que cette petite beauté sans soutien-gorge est effectivement bien maladroite, mais elle s’étonne ensuite en sentant ce qu’elle appuie derrière elle. Puis lorsqu’elle revient et se colle carrément contre son corps, elle a le réflexe de la repousser, mais elle a de drôles de sensations. Quelque chose de dur contre ses fesses, une main qui effleure sa taille, une autre sur sa hanche, un souffle chaud dans son cou… Elle en a un frisson. Cela fait bien longtemps qu’elle n’a pas ressenti ça. Et c’est cette gamine qui lui fait cet effet-là …Elle veut répondre que non, mais quelque chose la retient presque ; elle ne veut pas non plus se retourner ; elle ne sait pas quoi faire, ne comprend pas ce qui lui arrive. Mais la voix de son fils la tire de son hésitation :— Ça y est, m’man, on a fini. Tu as encore besoin de nous ?La belle Julie s’écarte du corps de la femme pour sortir sous l’auvent.— Non, c’est bon, ça va aller.— Ok, on va sûrement retourner se baigner. Tu viens, Julie ?— Oui, j’arrive. Mais on va attendre ta sœur, quand même.— Je suis là , répond justement celle-ci de l’extérieur avant d’entrer en portant sa bassine moussante et fumante. Je nettoie et je suis prête.— Bah, laisse ma chérie, je vais nettoyer ! lui crie sa mère.— Non, non, c’est bon, je vais le faire, insiste la brunette sous les yeux amusés de Julie.Yann soupire. Il a l’air empressé et agacé par la situation. Il se tourne vers Julie et la défie avec provocation en prenant la main de Jessica.— Bon, on part devant, vous nous rejoignez ?Lui non plus ne perd rien pour attendre, se dit-elle en lui renvoyant son regard glacé et en serrant les fesses dans un réflexe, crispant sa queue à l’étroit dans son short en jean. Jessica est ravie, et nargue à son tour Julie un instant, puis tous les deux sortent tandis que Clarisse répond :Alors que sa mère achève de ranger les dernières courses, celle-ci s’est agenouillée à quatre pattes à l’entrée du salon de la caravane et en frotte le sol, pendant que Julie serre les poings et les dents en regardant ses fesses avec envie. Mais la serviette que la brunette avait jetée pour éponger avait fait l’essentiel, et le liquide n’est pas collant du tout ; c’est finalement très rapide de nettoyer.Elle vient aussi éponger et frotter rapidement le sol en liner de l’auvent sous les yeux embrasés de désir de la belle hermaphrodite qui meurt toujours d’envie de terminer ce qu’elle avait commencé. Celle-ci ne s’aperçoit pas que, de l’intérieur de la caravane, la mère de ses copains l’observe et voit la façon dont elle regarde sa fille.— Je vais vider ça et je suis prête, dit Clarisse en se redressant.Et elle s’éloigne avec la bassine et le drap de bain qui a servi d’éponge. Christelle a pensé à lui dire non, qu’elle pourrait y aller. Mais elle ne l’a pas fait. Elle continue de fixer la jeune femme étonnante. Celle-ci tourne enfin les yeux vers elle, et la mère de famille détourne les siens.Julie bande toujours ; elle vient de voir le regard de la femme, elle a senti son trouble quand elle s’est penchée sur son cou tout à l’heure… Une pensée lui vient, une envie : rentrer dans la caravane, fermer à clé, baisser son short… et baiser cette femme ! Ses gros seins et son gros cul l’excitent ! Et peut-être qu’elle aussi giclerait, comme sa fille, peut-être que c’est héréditaire…Mais sa voix la sort de sa rêverie érotique ; Christelle rompt le silence pesant qui s’est installé :— Julie, c’est ça ? Est-ce que tu veux boire quelque chose ?— Euh… oui, je veux bien, merci.— Tiens, je te passe des verres.— Essaie de ne pas renverser, cette fois-ci, rigole Clarisse qui revient à cet instant, pimpante. Moi aussi, je veux bien à boire, une énorme bouteille d’eau. J’ai l’impression d’être complètement déshydratée…Elle caresse discrètement les fesses de Julie et lui adresse un clin d’œil en passant à côté d’elle. Et celle-ci serre une nouvelle fois les poings et les fesses en rongeant sa frustration et en se promettant d’aller lui exploser le cul dès que possible.Quelques minutes plus tard, les deux jeunes femmes quittent l’emplacement et traversent de nouveau le camping pour rejoindre Jess et Yann à la plage. Clarisse a changé de serviette et Julie a remis le soutien-gorge de son maillot de bain.— Merci de m’avoir tirée d’affaire, tout à l’heure, devant ma mère.— Merci à toi d’avoir nettoyé.— Ben c’est normal, c’est moi qui… enfin qui ai…— Oui, mais c’est sans doute à cause de moi.— C’est sûr que c’est à cause de toi ! lui répond la brunette en la regardant avec passion. Ou plutôt grâce à toi ! Je n’ai jamais joui comme ça ! Je ne sais pas ce qui m’est arrivé, c’est incroyable !— Tu n’avais jamais éjaculé ?— Je sentais bien parfois quelque chose en jouissant, mais jamais rien de tel, jamais autant.Alors qu’elles passent devant un bloc de sanitaires, Julie lui prend la main.— Tu viens ? On a quelque chose à terminer…— Oh non, pas maintenant, j’en peux plus, je suis désolée.L’hermaphrodite n’en revient pas, elle veut la baiser ! Maintenant !— Je ne sais pas ce qui m’est arrivé tout à l’heure, reprend la brunette, je ne pouvais pas m’arrêter, j’en voulais toujours plus, j’avais encore envie de toi, encore envie de jouir… Mais là c’est retombé, et je me sens bien, détendue… Et j’ai un peu mal, aussi. On verra ce soir, non ?Non, pas ce soir ! Maintenant !Tant pis pour elle, à la plage, il y aura Jessica et son petit cul insatiable, elle la baisera dans l’eau, s’il le faut.Mais à la plage, il y a maintenant beaucoup de monde, beaucoup d’yeux qui se tournent pour contempler les deux jeunes femmes. Elles mettent un moment à trouver Yann et Jessica, et lorsqu’ils les trouvent, Julie peste en ravalant son excitation : la voluptueuse blondinette est au beau milieu d’un groupe de jeunes hommes qui la dévorent des yeux en rigolant.Julie les reconnaît, ce sont les garçons avec lesquels Yann jouait au volley, la veille, quand elle l’a rencontré. Et ils bavent tous devant la beauté et le corps époustouflant de la petite Anglaise qui en rajoute en se donnant en spectacle devant eux ; elle est en train d’étaler de la crème solaire sur son ventre en se cambrant démesurément.Ils cessent de la dévorer des yeux lorsque Julie et Clarisse arrivent, et ne savent un instant plus très bien à quels seins se vouer, mais indéniablement, c’est Jessica qui a leurs faveurs. Pour leur faire la leçon, la belle hermaphrodite a envie d’aller l’embrasser et la baiser devant eux, devant tous ces garçons en rut. Mais elle se ressaisit, pense à autre chose, et voyant s’éloigner la perspective de sauter qui que ce soit et de soulager son excitation, annonce à Clarisse :— Je vais aller manger un morceau avec ma tante, on se retrouve ici tout à l’heure ?— Je ne sais pas trop, lui répond celle-ci. Pas sûr que je reste longtemps avec les copains de mon frère, mais bon… Sinon, je serai chez nous, tu sais où c’est…Yann, puis Jessica en anglais, lui demandent tour à tour pourquoi elle ne reste pas. Elle leur répond la même chose, ce qu’elle vient de dire à la jolie brune. Puis avant de partir, par fierté, pour marquer son pouvoir sur eux, et pour reconquérir les désirs des mecs qui l’entourent, elle vient déposer un baiser sur les lèvres de Yann, puis sur celles de Jessica, et enfin sur celles de Clarisse, déclenchant des hurlements chez les garçons. Et elle s’éloigne en roulant du cul, et en se promettant de leur faire leur fête à tous les trois dès que possible. En attendant, elle a une idée…Une demi-heure plus tard, Clarisse songe à rentrer. Les jeunes hommes se sont d’abord gentiment moqués d’elle (et de Yann et de Jessica), l’ont ensuite draguée un moment, dans l’eau puis sur la plage, mais ont fini, pour la plupart, par se désintéresser d’elle pour concentrer tous leurs efforts de séduction sur la petite blonde anglaise, plus belle, plus voluptueuse, et surtout infiniment plus provocante. Seuls deux ont continué à discuter un peu avec elle, mais aucun des deux n’est son genre, et elle a plutôt envie de retrouver Julie. Mais elle ne sait même pas le numéro de son mobil-home. Bah, elle va l’attendre à la caravane… elle finira bien par revenir.En partant, Clarisse remarque que son frère semble rembruni, ou contrarié. Elle ne s’en occupe pas vraiment, mais le prévient simplement qu’elle s’en va, et le laisse avec ses copains et Jessica, qui, malgré l’empressement de ses admirateurs, lui adresse tout de même un petit clin d’œil assorti d’un « See you later ! ».À peine entrée sur son emplacement, Clarisse s’immobilise pour tendre l’oreille : de discrets gémissements de plaisir, à peine étouffés, se font entendre et semblent provenir de leur caravane. Elle entre sans bruit sous l’auvent, cela se confirme ; les cris sont plus nets, seulement atténués par les vitres fermées, toutes fermées. Et nul doute possible pour la jolie brune, c’est bien sa mère qu’elle entend mugir.Elle sourit intérieurement, d’abord ; même si elle est un peu dégoûtée de l’imaginer baiser, elle sait que c’est une femme comme les autres, et une femme qui, à sa connaissance, n’a pas eu d’aventure depuis un moment. Mais une idée affreuse s’insinue rapidement en elle, et elle s’effraie soudain en imaginant qu’elle puisse être en train de se faire sauter par Julie. Elle se souvient très bien de la façon dont elle l’a vue regarder le corps de sa mère, tout à l’heure. Pourvu que ce ne soit pas elle !Elle s’approche de la porte de la caravane, jette un œil par les fenêtres aussi discrètement que possible, écoute plus attentivement. Mais rien d’autre que les gémissements répétés.Si ! Autre chose ! C’est incroyable ! La caravane qui se met à bouger, par à -coups répétés ! Elle est pourtant solidement posée sur ses cales.— Clarisse, c’est encore toi qui fais tout ce bordel ?C’est Yann qui entre à son tour sous l’auvent. Les cris et les coups sur la caravane s’arrêtent instantanément ; sa mère a dû l’entendre.— Chhut ! Ben non, c’est pas moi, tu vois bien… lui répond-elle à voix basse.— Ooops… C’est maman ? chuchote-t-il.— Faut croire…— J’sais pas trop…— Parce que ?Clarisse soupire sans répondre. Elle essaie de se rassurer en se disant qu’elle a l’esprit mal tourné, qu’elle pense à mal, que sa mère a tout simplement rencontré quelqu’un, un homme de son âge. Mais Yann comprend soudain ce qui inquiète sa sœur et lève les sourcils dans une mimique de stupeur.— Oh putain ! Tu penses que c’est…Ils se comprennent d’un regard. Presque imperceptibles, les mouvements répétés sur la caravane ont repris.— Qu’est-ce qu’on fait ?— Bah rien ! murmure le jeune homme. Qu’est-ce que tu veux faire… Elle fait ce qu’elle veut de son cul, après tout. Comme toi…Elle lui lance un regard noir ; il sourit, à peine, presque tristement.— Bon, de toute façon, on va pas rester là . Viens, on sort.Et elle le suit en soupirant jusqu’à l’extérieur de l’auvent. Ils vont s’asseoir sur le capot de la voiture.— Putain, j’hallucine ! souffle Clarisse.— Et moi donc…— Ça ne va pas ?— Si, si, c’est juste que…Il soupire. Elle sent qu’il n’est pas bien, qu’il n’a pas le moral.— Que quoi ? Qu’est-ce qui ne va pas ?— Que je croyais avoir rencontré une super nana hier soir…Clarisse pouffe malgré elle.— Et puis j’ai cru pouvoir me consoler avec Jess…Il observe un silence.— Et alors ?— Alors tu aurais dû la voir, cette énorme salope, sur la plage !— Ben oui, j’ai vu un peu…— C’était comme si j’existais plus !— C’est pour ça que t’es rentré ?— Ouais…— Mouais…Ils ne disent plus rien. Tous les deux n’arrivent pas à se départir de l’impression de s’être fait pigeonner. Et les gémissements reprennent de plus belle dans la caravane, devenant même de violents hurlements, que les vitres fermées et la malheureuse isolation ne suffisent vraiment plus à étouffer.— Qu’est-ce qu’on fait ? On va taper sur les fenêtres ?Mais les cris s’interrompent rapidement sur une longue plainte, que les jeunes gens imaginent chacun trahir la fin d’un orgasme. Des coups répétés de plus en plus rapides continuent de faire bouger la caravane un moment puis cessent également.Et moins d’une minute plus tard, alors que Clarisse et Yann soupirent toujours de dépit et de contrariété et espèrent encore au fond d’eux-mêmes que ce ne sera pas Julie qu’ils vont voir sortir, l’incroyable hermaphrodite surgit de sous l’auvent et leur lance un regard amusé.— Ah vous étiez là  ? Votre mère avait raison… Avec tout le bruit qu’elle faisait, je ne vous ai pas entendus…Ils l’observent avec stupeur refermer son short en jean et se recoiffer vaguement.— Ça va ? leur demande-t-elle.— Super ! lâche Yann. On ne s’est jamais senti mieux !— Qu’est-ce qu’il y a ?— Mais j’en reviens pas ! hurle soudain Clarisse. Comment est-ce que tu peux oser nous…— Oh stop ! l’interrompt Julie en criant plus fort. Tu n’as pas de leçon à me donner ! Je t’ai proposé d’aller tout à l’heure dans la douche, non ? Et je te l’ai déjà dit, je vous l’ai déjà dit à tous les deux, d’ailleurs, ne me demandez pas d’exclusivité !— Oui mais là c’est ma mère, bordel ! rétorque la brunette. Tu te rends compte ?La jolie bisexuée répond soudain d’une voix bien plus douce, surprenant ses deux compagnons.— Oui, d’ailleurs je confirme : c’est bien héréditaire.Ils la regardent tous les deux sans comprendre. En souriant, elle précise :— Si votre mère a repris ses esprits, j’imagine qu’elle est en train de nettoyer la caravane…Yann ne peut se retenir de pouffer, et Clarisse écarquille de grands yeux ronds dans une mimique de stupeur.— Allez, arrêtez de bouder et de m’en vouloir, reprend-elle après un instant de silence confondu. À dix minutes près, vous ne l’auriez jamais su… On est tous les trois physiquement satisfaits, maintenant. Venez, je vous paye un verre au bar, et vous allez me raconter pourquoi vous n’êtes pas restés à la plage.À suivre…