Deux semaines ont passĂ© depuis mon week-end de dĂ©couverte de nouveaux plaisirs en compagnie de Sonia et Roland (Week-end entre amis – SĂ©rie Christine n°2). En cette journĂ©e de RTT, j’ai pris la ferme intention tout raconter Ă Charles et de lui proposer un nouvel Ă©pisode de dĂ©couverte sous les bons offices de mes deux amis.Nous sommes vers les deux heures de l’après-midi, enlacĂ©s et marchant d’un pas lent le long des allĂ©es d’un petit parc arborĂ© du 13ème arrondissement. J’ai dĂ©jĂ amorcĂ© la conversation sur notre sexualitĂ© de couple et sur les attentes d’une femme passant la trentaine et sur sa soif de dĂ©couverte.Charles a une première rĂ©action amusĂ©e, taquine et me demande oĂą je veux en venir. Alors, je lui raconte tout, en commençant par le sauna avec Sonia. Il est d’abord surpris puis intriguĂ©. Son attention est Ă son comble quand je lui dĂ©cris mon trouble sous les caresses de cette femme, sur ma soif de franchir une nouvelle Ă©tape dans ma sexualitĂ©.Sa rĂ©action est beaucoup plus nuancĂ©e lorsque j’évoque Roland, il se tend, se braque mais bien vite je le rassure, l’ivresse du moment, la complicitĂ© entre femmes m’ont permis de laisser faire, d’abord en me donnant l’excuse de la situation, puis en lui avouant que j’en ai finalement eu envie.Il est clair qu’il en a pris un coup. Autant sur le fait de lui en parler un peu tard que sur la prĂ©sence d’un autre homme dans nos Ă©bats.— C’est pour cela que tu me parles de nouveaux trucs.— Je t’en parle parce je ne peux pas te mentir ou te cacher quelque chose, aussi parce que je veux que nous partagions tout.Il fait la gueule, nous sommes rentrĂ©s et il s’est murĂ© devant la tĂ©lĂ©. J’entre, m’assois Ă cĂ´tĂ© de lui et attends qu’il me dise quelque chose.— Qui sont-ils pour t’avoir mis dans cet Ă©tat de transe?— Je crois qu’ils aimeraient te rencontrer et de toute façon je pense que cela serait mieux.— Ok, voyons donc un peu qui sont ces gens qui ont perverti la femme de ma vie ».Finalement, cela ne s’est pas si mal passĂ© que cela, j’en suis rassurĂ©e mĂŞme si j’attends la première visite Ă la salle de sport avec une certaine impatience et beaucoup d’apprĂ©hension.Nous voilĂ donc dans le club, je choisis volontairement d’y aller tard, vers 20h pour limiter l’affluence et assurer la rencontre sans trop de tĂ©moins.La mine de Charles est Ă©pouvantable, il a le regard des mauvais jours.Son visage se transforme littĂ©ralement quand apparaĂ®t Sonia, radieuse et fendue d’un merveilleux sourire.— Tu dois ĂŞtre Charles, bienvenu dans notre Ă©tablissement, nous sommes impatients de faire ta connaissance.— Bonjour, Sonia je suppose. »La rĂ©ponse est courte mais sans rĂ©serve ni animositĂ©, son regard ne peut se dĂ©tacher de celui de Sonia, il est complètement absorbĂ© par son charisme de femme sĂ»re d’elle.La scène est en suspend puis troublĂ©e par une voix profonde et gorgĂ©e de soleil, d’homme mĂ»r, Roland entre en scène une poignĂ©e de main Ă Ă©craser les os, entre les deux hommes, des regards furtifs, les deux mâles se jaugent.— Bonjour Charles, le deuxième homme le plus heureux du monde après moi.— Bonjour »On n’en est pas encore aux finesses d’esprit.Plus tard dans la soirĂ©e, nous avons battu en retraite dans le bar de l’arrière salle, nous sommes tous les quatre et la glace est rompue, un vin italien est venu accompagner de dĂ©licieuses pizzas et chacun s’est prĂ©sentĂ©. Le courant est immĂ©diatement passĂ© entre Charles et Sonia, et pas si mal que cela entre Roland et Charles.Au bout d’une bonne heure de conversations diverses, c’est Sonia qui ouvre le bal.— Je suppose que Christine t’a racontĂ© son week-end avec nous, qu’en penses-tu ?— Je ne sais pas quoi en penser, d’abord j’ai toujours voulu qu’elle soit une femme Ă©panouie, mais cet Ă©pisode me confirme que je ne la connais pas encore sous tous ses aspects de femme.— Elle est merveilleuse et n’a cessĂ© de nous parler de toi pendant ce week-end »Ah comme les femmes mentent bien aux hommes.— Nous Ă©tions ainsi ravis de te rencontrer au plus vite pour t’associer Ă notre mode de vie, bref te le prĂ©senter au moins.— Je ne suis pas une sainte nitouche, mais lĂ je ne te suis plus…— Ah, elle ne t’en a pas parlĂ©, et bien disons que Roland et moi sommes des libertins, que Sonia est une femme extraordinaire, et qu’elle le serait encore plus si elle pouvait convaincre son mari des bienfaits du libertinage.LĂ , il est un peu pris de court, en plein doute.— Quoi ?— Nous avons proposĂ© Ă Christine de venir avec toi dans un club pour y ĂŞtre parrainĂ©s et dĂ©couvrir les joies du plaisir entre couples.— Ce n’est qu’une proposition mon amour, nous pouvons toujours refuser si cela ne te plaĂ®t pas.Il faut que j’assure le coup…Charles reste interdit puis se tourne vers moi :— Ça te plaĂ®t un plan comme cela ?— Je n’irai que si je suis avec toi et que tu en as envie.— Eh bien je suppose que je dois dire oui…Eclats de voix de notre groupe, qui se terminent par un baiser sur la bouche de Charles.Celui-ci sourit enfin.— Alors cap sur La petite sirène!La conclusion est donnĂ©e par Roland, restĂ© prudent dans les Ă©changes sur le sujet, sans doute avec les conseils de Sonia qui est dĂ©cidĂ©ment une tacticienne hors pair.— Il y a cependant du retard Ă rattraper en ce qui me concerne…Charles, mon Charles Ă moi a dit cela en se tournant vers Sonia.Mon homme est dĂ©cidĂ©ment un pragmatique.VoilĂ Sonia lovĂ©e sur ses genoux, leurs bouches se trouvent, se goĂ»tent, puis leurs langues font connaissance dans un baiser profond, Ă la fois sensuel et vigoureux.Sonia a passĂ© ses deux mains autour de la tĂŞte de Charles, façon bimbo et le fixe dans les yeux en souriant.— Ce soir c’est la Saint Charles.Les mains de mon homme ont investi le haut du combinĂ© de sport de Sonia, plaquĂ©e contre ses seins, malaxĂ©s sans mĂ©nagement mais sans grossièretĂ©. Puis elles passent dessous et font glisser doucement le vĂŞtement au-dessus de sa tĂŞte. Il se trouve devant le mĂŞme spectacle que moi pour mon premier tĂŞte Ă tĂŞte avec Sonia. La vue de cette poitrine fière et gĂ©nĂ©reuse a ravivĂ© l’homme qu’il est et il plonge dans la dentelle blanche pour humer cette poitrine de femme et caler sa tĂŞte entre les deux mamelles.Sonia a tout un arsenal de sortilèges pour les hommes, cette danse Ă©trange se prolonge avant que la dentelle ne s’éclipse et laisse le terrain libre pour la bouche et la langue de mon homme. Les tĂ©tons de Sonia sont caressĂ©s, mordillĂ©s, flattĂ©s par Charles qui ne voit plus qu’eux, doucement Sonia ferme les yeux et encourage Charles d’un premier soupir.Ce dernier, une fois passĂ© ce premier Ă©moi, n’est pas en reste, et ses mains ont plongĂ© sous le short de la combinaison, avec moins de prĂ©alable et plus d’impatience, il fait tomber le vĂŞtement Ă ses chevilles et son visage profite dĂ©jĂ des odeurs de femme excitĂ©e par ces premiers Ă©changes.Je contemple ces prĂ©liminaires avec plaisir et sans une pointe de rĂ©serve, cette scène commence Ă m’exciter diablement et c’est avec complicitĂ© que j’accueille le bras viril de Roland sur mes hanches.Ce dernier a ressorti son gros attirail, il veut dĂ©jĂ soulager le plaisir de voir sa femme livrĂ©e Ă un autre homme. Il lui faut une bouche pour attiser ou contrĂ´ler son plaisir de voyeur. Ainsi, je reprends mes rĂ©flexes de maĂ®tresse soumise, je suis vite Ă genoux en entame une dĂ©licieuse inspection de cette fière virilitĂ©. Ses lourdes bourses, ce mât imposant et veineux, il vient caler bientĂ´t ma tĂŞte avec ses mains pour accompagner ma succion de son sexe.J’ai perdu un instant de vue mon homme, et je le retrouve debout, calĂ© contre les reins de Sonia, elle est dĂ©vĂŞtue et cabrĂ©e contre le bar, les reins en arrière, la croupe offerte. Charles a bien installĂ© sa tĂŞte derrière ses fesses et dĂ©vore son intimitĂ© avec de bruyants bruits de succion. La belle a renversĂ© sa tĂŞte sous la caresse et fixe le plafond.Roland me ramène de ma rĂŞverie, ses grosses mains sont passĂ©es sous mon petit top et libèrent ma petite poitrine nue sous le tissus. Ses pouces ont trouvĂ© mes pointes, il caresse d’abord puis commence Ă pincer doucement mes tĂ©tons, je suis toujours Ă genoux devant lui, son sexe Ă moitiĂ© en bouche. Il me relève et me retourne, enlève la boucle de ceinture de mon petit short et plonge sa main dans mon intimitĂ© sans me dĂ©vĂŞtir. Ses doigts pĂ©nètrent mes chairs sans prĂ©avis, la prise est ferme et directe, elle m’arrache un râle de plaisir. Il commence Ă me fister fort pour me faire crier, il marque son territoire face Ă Charles, c’est lui qui me tient et qui sans me pĂ©nĂ©trer de son sexe me fait dĂ©jĂ jouir, il adresse un message, je suis soumise, il est le mâle dominant du groupe celui qui impose les règles du plaisir.Comme une rĂ©ponse et avec un synchronisme parfait, Charles est entrĂ© dans Sonia et il commence Ă prendre de plus en plus vite ma douce amie en levrette debout cambrĂ©e contre le bar. Les mouvements sont amples et fluides, le plaisir de sa partenaire plein. Les gĂ©missements de Sonia se joignent aux miens dans un ballet sonore fait de plaintes et de plaisir. Charles a retournĂ© Sonia, la fait s’agenouiller et Ă©jacule en plein dans son visage, souillant ses joues et son menton.Roland m’a pĂ©nĂ©trĂ© de sa main entière comme il me l’avait dĂ©jĂ fait lors de nos premiers Ă©bats, il me soulève malgrĂ© ma grande taille et me retourne la tĂŞte vers le bas pour que je le pompe Ă nouveau, j’ai des vertiges entre cette main qui fouille mon intimitĂ© dans mon short entrouvert, ce bras viril qui enserre mes hanches et ce sexe qui baise ma bouche.Sonia et Charles nous regardent, ma position est très inconfortable et dans un mouvement souple de ses cuisses, Roland explose dans ma bouche et tournant son poignet dans mes chairs intimes, j’explose dans un violent orgasme vaginal.Sur le trajet du retour je suis pensive, je m’attendais Ă une entrĂ©e en matière progressive, lente et douce de 4 corps qui se dĂ©couvrent dans la complicitĂ© et le respect. Au lieu de cela, nos Ă©treintes ont Ă©tĂ© sĂ©parĂ©es courtes et violentes et j’en suis assez troublĂ©e.J’ai Sonia le lendemain matin au tĂ©lĂ©phone.— Sonia je ne sais qu’en penser…— Rassure-toi ma douce chĂ©rie, les hommes sont tous les mĂŞmes, hier ils n’ont pas fait l’amour, ils ont baisĂ©, pour s’envoyer des messages et pour dĂ©terminer qui mènera le bal dans nos prochains contacts. Roland gagne toujours Ă ce jeu-lĂ , mais cela va s’arranger j’en suis sĂ»r. Ton homme a pris son pied, je l’ai lu dans ses yeux et il reviendra avec nous. Roland est accro sexuellement Ă toi, notre quartĂ© va marcher du tonnerre, une fois ces petites joutes de mâles terminĂ©es.»Et elle avait raison, Roland a appelĂ© Charles le soir mĂŞme, le rendez-vous « à la petite sirène » fut conclu pour le samedi suivant.Nous retrouvons Sonia et Roland devant l’entrĂ©e de ce qui ressemble davantage Ă une caserne qu’à un club avec une petite porte fort discrète au fond d’une ruelle de 5ème arrondissement et une petite lucarne.Roland prend les choses en main et après un rapide Ă©change avec les deux gorilles de service, habillĂ©s d’un impeccable costume noir, nous entrons dans un petit couloir.Une charmante jeune fille asiatique s’avance vers nous, elle est Ă©lĂ©gante, physiquement agrĂ©able au premier coup d’œil et se fend d’un merveilleux sourire.— Les amis de Monsieur Rolland veulent-ils rejoindre le sous-sol tout de suite ?— Non, nous dĂ®nerons d’abord, je compte sur le chef pour nous mettre en appĂ©tit.»Nous sommes ainsi accompagnĂ©s dans une vaste salle de restauration qui doit loger une cinquantaine de tables avec des boxes le long des murs, curieusement un cĂ´tĂ© complet de la salle est murĂ© par des miroirs opaques.Rolland a ses habitudes et commande un assortiment de poissons crus et de lĂ©gumes Ă la vapeur, «un repas pour rester lĂ©ger» dit-il dans un petit clin d’œil .Le repas est des plus agrĂ©ables et il semble que les rapports entre Roland et Charles aient dĂ©jĂ Ă©voluĂ©s depuis leur Ă©changes tĂ©lĂ©phoniques. Charles a l’air Ă l’aise, moi je ne peux cacher une pointe d’apprĂ©hension.Enfin, le repas se termine sur une agrĂ©able musique de fond et une coupe de champagne, j’ai un peu plus bu que d’habitude, tout comme Charles d’ailleurs.Rolland a repris les choses en main et il appelle la jeune asiatique.Elle lui remet alors une petite clef avec un numĂ©ro et nous accompagne jusqu’à un petit escalier vers le fond de la salle.La clef ouvre en rĂ©alitĂ© un petit vestiaire qui peut loger une demi-douzaine de personnes.— L’heure est venue mesdames de dĂ©voiler vos trĂ©sors.»J’avais Ă©tĂ© prĂ©venu par Sonia des règles du sous-sol. Chacun doit y apparaĂ®tre avec la tenue de son choix pour peu qu’elle montre un minimum de ses atouts.Roland a gardĂ© un pantalon de flanelle noir et reste torse nue, mĂŞme choix pour Charles avec un grand short beige qui lui arrive au-dessus des genoux. Place aux muscles si je dois bien comprendre.Sonia, avec la grâce et la fĂ©minitĂ© qui la caractĂ©rise, a jetĂ© son dĂ©volu sur un ensemble short et top en brassières de soie rouge et noire, elle est irrĂ©sistible. J’ai pour ma part misĂ©e sur le sexy et le charme, avec une très courte jupe noire qui descend juste au-dessus de fins bas noirs qui s’arrĂŞtent Ă mi-cuisse. Pour le haut du corps, un petit top en matière très souple dont le noir tranche avec mon dos presque nu.Les yeux gourmands de nos hommes nous rassurent sur nos choix.Sortis du petit vestiaire, nous descendons encore quelques marches et entrons dans un nouvel univers.Nous dĂ©bouchons dans une vaste salle aux lumières pourpres et tamisĂ©es, des moquettes au sol et aux murs et de petits boxes qui alternent avec des banquettes et mĂŞme deux grands lits dans le fond de la pièce. Un grand bar au zinc rutilant orne un autre cĂ´tĂ© de la pièce.Nous sommes rapidement dans l’ambiance, sur notre droite une blonde, sublime au corps de dĂ©esse des magazines, Ă la bouche dĂ©formĂ©e par le sexe d’un homme qui doit faire 3 fois son âge, Ă leurs cĂ´tĂ©s deux jeunes hommes se masturbent en les regardant.Sur notre gauche, c’est une femme de la quarantaine prise en levrette par un homme de son âge, qui de sa bouche, soulage un homme plus jeune.Partout autour de nous des corps sont mĂ©langĂ©s, des soupirs ou des petits miaulements se mĂ©langent Ă la musique de fond quand ce n’est pas une femme qui hurle son plaisir.C’est Ă la fois dĂ©rangeant et terriblement excitant de regarder ces corps. Pourtant, je sens aussi des regards, dès notre entrĂ©e des tĂŞtes se sont relevĂ©es, des conversations arrĂŞtĂ©es et des doigts pointĂ©s vers nous.— Les petits nouveaux et nouvelles suscitent toujours l’intĂ©rĂŞt» me glisse Sonia Ă l’oreille. Roland a traversĂ© une bonne moitiĂ© de la pièce d’un pas sĂ»r et sans tourner la tĂŞte. Il a choisi une large banquette plutĂ´t qu’un petit box, j’aurais pour ma part prĂ©fĂ©rĂ© un peu plus de discrĂ©tion.Nous voilĂ donc installĂ©s, bientĂ´t une nouvelle bouteille de champagne a rejoint notre table amenĂ©e par une jeune asiatique tout juste habillĂ©e d’un petit tablier blanc. Le regard de Charles s’attarde sur sa croupe offerte au regard de tous.— Christine tu es la reine du bal, toutes les tables ne parlent que de toi car je pense connaĂ®tre tous les gens ici et tu es avec Charles la seule attraction nouvelle de cette soirĂ©e.»Il a haussĂ© le ton sur la fin de sa phrase pour se faire entendre alors qu’un jeune asiatique manifeste bruyamment son contentement après l’introduction de son intimitĂ© par un membre de son espèce.— Eh oui, ici il y en a pour tous les goĂ»ts mais tout le monde doit ĂŞtre parrainĂ© au dĂ©but Ă l’exception du personnel de service qui peut aussi prendre part au jeu.— Ça c’est une expĂ©rience assez Ă©trange» dit Charles Ă cĂ´tĂ© de moi.Je sens les yeux d’un homme se fixer sur moi, il est de l’autre cĂ´tĂ© d’un box et ne fait rien pour ĂŞtre discret. Il doit avoir dans les cinquante ans et une bonne bedaine dĂ©forme son corps nu. Je le regarde Ă mon tour et il me sourit.— Nous devrions nous occuper avant que nos invitĂ©s ne soir trop accaparĂ©s par des sollicitations diverses» glisse Sonia qui a assistĂ© au manĂ©ge.C’est le moment que choisissent Charles et Sonia pour ouvrir le bal.Sonia a doucement ouvert la fermeture du short de Charles pour sortir son sexe dĂ©jĂ bien en Ă©veil. Cela me rend un peu anxieuse de voir mon homme dĂ©jĂ occupĂ© autrement que par moi. Je ne reste donc pas en plan et commence Ă occuper sa bouche en l’embrassant affectueusement. Roland n’est pas en reste et dĂ©jĂ il commence Ă embrasser le cou et le dos de sa femme. Celle-ci s’est penchĂ©e sur Charles et commence doucement Ă caresser son sexe, ses bourses, le dĂ©calottant doucement, ses ongles frĂ´lent le sexe maintenant bien raide. Les mains grosses et velues de Roland ont investi le haut de la petite combinaison de soie rouge et caressent la belle poitrine. Ses tĂ©tons sont dĂ©jĂ hĂ©rissĂ©s en leur pointe. Je veux partager les plaisirs de Charles et dĂ©cide d’instaurer une tournante sur son intimitĂ©. Je m’invite d’abord tout près de Sonia et entreprend de lĂ©cher ses bourses. La belle me sourit et nos tĂŞtes sont toutes proches l’une de l’autre, elle dĂ©gage un instant sa bouche pour m’offrir un baiser plein de l’odeur du sexe de Charles, cette double attention sur son intimitĂ© met Charles Ă rude Ă©preuve. Deux langues de lovent autour de lui, puis le sucent tour Ă tour. Il respire fort, la tĂŞte renversĂ©e et ferme les yeux. Sonia s’est mise Ă genoux sur la banquette pour que Roland, frustrĂ© de notre manque d’attention, puisse entamer une toilette intime de l’entrejambe sa femme. Le petit short est baissĂ© et une bouche mal rasĂ©e vient se frayer un chemin entre ses fines cuisses. Heureuse de cette attention, Sonia a redoublĂ© d’effort sur le sexe de Charles et celui-ci craque. Dans un long râle, il explose alors que nos deux bouches sont au travail. Sonia avec son sexe bien enfoncĂ© au fond de sa bouche manque de dĂ©glutir. Elle avale une bonne partie du foutre de Charles mais, complice, me prend la tĂŞte dans ses mains et m’embrasse Ă pleine bouche. Nos deux langues se lient et jouent avec le reste de semence, elle recrache sur moi pour mieux ravaler juste après. Nous jouons ainsi un petit moment avec le sperme tiède de mon homme comme deux vilaines petites filles avec un chewing-gum Ă la fraise dans une cour d’école. Mais bientĂ´t Roland refait parler de lui. Sonia est idĂ©alement penchĂ©e vers moi et accueillie en levrette son homme. Son gros sexe fouille dĂ©jĂ son intimitĂ© bien prĂ©parĂ©e. Contrairement Ă moi, elle ne semble avoir aucune difficultĂ© Ă accueillir un sexe aussi gros en elle. Roland est plus doux avec sa femme, ce qui me conforte dans la thèse qu’il aime bien me brusquer un peu. Ă€ bien y rĂ©flĂ©chir, j’aime vraiment cela.BientĂ´t Charles a repris de la vigueur et plutĂ´t que de s’occuper de moi il s’approche de Sonia. Dans une synchronisation parfaite, Roland a fait passer Sonia sur lui, elle est dos Ă lui et commence Ă monter et descendre le long de son bel organe en gĂ©missant. Charles profite de l’ouverture pour glisser sa langue sur le petit anneau de Sonia. Après quelques minutes de bon office, Sonia a complètement glissĂ© d’équerre sur Roland et Ă©cartĂ© grands les pinceaux. Pour Charles l’occasion est trop belle. Il se met Ă genoux en face d’elle, prend les deux cuisses dans ses mains et vient se blottir contre son bassin. Un doigt joue avec le petit trou de Sonia avant que Charles ne prĂ©sente son gros gland. En un instant, cette femme si belle et si douce se retrouve empalĂ©e par le sexe de son homme et sodomisĂ© par le sexe du mien. Son visage se dĂ©forme d’une horrible grimace d’effort et de plaisir.Mon attention est distraite, alors que j’avais doucement glissĂ© une main sous ma petite jupe pour me soulager, je ressens une prĂ©sence, Ă cĂ´tĂ© de nous un couple d’une vingtaine d’annĂ©e mate le spectacle en se masturbant. La jolie brunette me fait un clin d’œil. Je n’ai pas le temps d’y penser qu’une main douce s’est posĂ©e sur ma cuisse. Un jeune homme asiatique d’une vingtaine d’annĂ©e tout au plus s’est assis Ă cĂ´tĂ© de moi.— Me feriez-vous le plaisir de m’accepter auprès de vous ?»Je n’ai pas le temps de rĂ©pondre que sa main est remontĂ©e le long de ma cuisse sous ma jupe.— Des bas?! Vous n’êtes pas seulement belle, vous avez des goĂ»t exquis.»Il dĂ©pose un rapide baiser sur mes lèvres. Sa peau est extraordinairement douce, il est complètement nu et presque imberbe. Son excitation est seulement trahie par le sexe fin et court qui dĂ©passe de son entrejambe.Je rĂ©ponds Ă son baiser et l’accueille dans ma bouche. Sa fine langue embrasse dĂ©licieusement bien. Ses mains caressent mon dos nu et flattent les bords de mon petit top noir.— Ravissant, vous ĂŞtes le joyaux de cette assemblĂ©e.»Avec une infinie douceur, il a fait glisser mon petit string de dentelle rouge et l’exhibe un moment devant lui avant de l’humer.— Une odeur de geisha»BientĂ´t, il a relevĂ© ma jupe Ă mi-ventre et flatte mes cuisses, je me suis instantanĂ©ment ouverte Ă sa caresse toujours très douce. Deux doigts fins viennent doucement flatter mes grandes lèvres avant que la pointe de sa langue n’agace mon clitoris. Son expertise dans les prĂ©liminaires est Ă©vidente. Il alterne alors l’action de ses doigts, de sa langue et de sa bouche pour inonder mon intimitĂ© de nectar de femme. Il ose un doigt dans mon anus et mordille de façon infime mon clitoris. Ă€ cette dernière attention, j’explose dans sa bouche en serrant sa tĂŞte de mes mains.Pour le remercier de ses bons offices et ĂŞtre un peu plus active, je l’ai pris en bouche et habille habilement, Ă petit coup de langue, son sexe de latex.Il m’a placĂ©e dos Ă lui, accroupie Ă quatre pattes sur la banquette, il s’est redressĂ©, a cambrĂ© mes reins et m’a pĂ©nĂ©trĂ©e doucement. Je suis tellement habituĂ©e au gros phallus de Charles et depuis peu de Roland que cette pĂ©nĂ©tration est presque une caresse. Mais sa maĂ®trise de l’anatomie fĂ©minine est rĂ©elle, rapidement ma zone de plaisir de femme est sollicitĂ©e, ses mains sont posĂ©es sur mes fesses pour accentuer un peu sa pĂ©nĂ©tration. Il alterne des petits va-et-vient rapides, ressort de mon intimitĂ© avant de replonger jusqu’au fond. Au moment oĂą mon plaisir monte, il glisse malicieusement un doigt dans mon petit trou pour dĂ©cupler mon plaisir.Je le sent dĂ©charger entre mes cuisses mĂŞme si je suis un peu frustrĂ©e de ne pas le laisser souiller mon corps de son plaisir pour marquer son passage.Il m’embrasse dans le cou, sur les Ă©paules. Il me dit des mots tendres dans l’oreille tout en se dĂ©barrassant de son prĂ©servatif. Doucement il m’entoure de ses bras, ouvre ma bouche. Il attrape la capote par le bout et la place Ă la verticale au-dessus de ma bouche. Le liquide blanc et gras descend doucement le long du latex, puis telle une araignĂ©e au bout d’un fil vient en goutte Ă goutte vers ma bouche. Je ferme les yeux quand ce liquide tiède coule en moi et l’avale docilement jusqu’à la dernière goutte.Du coin de l’œil, je vois le corps de Charles qui tremblote et trois jets de jouissance qui arrosent le corps de Sonia toujours pilonnĂ©e par son mari.Nous avons repris notre souffle, Roland a entraĂ®nĂ© Charles vers le bar des hommes, dans une pièce adjacente, Sonia me prend par la main pour m’entraĂ®ner vers celui de la salle oĂą nous sommes.— Alors, on nous fait des infidĂ©litĂ©s ?— Tu dis cela alors qui tu as accaparĂ© nos deux hommes pour toi toute seule..— Yumi est dĂ©licieux n’est-ce pas ?— Je dois en dĂ©duire que tu connais mon visiteur de ce soir ?— Oui, il a un faible pour les femmes des autres et s’occupe assez peu de la sienne, mais elle fait le bonheur de la salle des filles.— Il y a une salle des filles ?— Aucun intĂ©rĂŞt et tu sais que je suis lĂ si tu as des envies Ă nouveau de ce cĂ´tĂ© lĂ .»Clin d’œil et Ă©clats de rire, nous avons bien mĂ©ritĂ© une nouvelle coupe de ce dĂ©licieux champagne.— La soirĂ©e n’est pas finie pour toi.— Qu’est-ce que tu as encore derrière la tĂŞte, petite peste ?— Quelque chose de très spĂ©cial mais qui est indispensable Ă connaĂ®tre dans ta vie de femme libertine.— C’est justement le principe, tu ne dois rien savoir avant d’aller dans la chambre mauve et tu dois y aller seule.— Et mon homme dans tout cela, rien s’il n’est pas là …— Laisse ton homme, viens avec moi.»Je traverse la salle de façon Ă©nergique avec Sonia qui me tient par la main, arrivant devant la salle du bar des hommes .— Regarde, il est très occupĂ©.»Un cercle d’homme s’est formĂ© autour d’un grand lit, comme un podium.Dessus, la sublime blonde aperçue en entrant est prise en sandwich par Charles et Roland qui lui pilonnent les reins. Les gĂ©missements de la jeune beautĂ© sont couverts par les railleries des spectateurs qui braillent et se masturbent.— Cela frise le dĂ©goĂ»t.»Je bas en retraite.Nous remontons d’une Ă©tage mais par un autre chemin et arrivons devant ce qui ressemble Ă un vestiaire pour le personnel.— Pose tes affaires ma belle et mets ça »Elle me tend un petit tablier blanc brodĂ© semblable Ă celui des serveuses qui officient dans les bars du club. Autant dire un timbre poste pour s’habiller.— C’est la tenue obligatoire pour la chambre mauve, Ă partir d’ici tu dois ĂŞtre seule avec toi-mĂŞme, c’est cette petite porte lĂ , Ă gauche.»Dans un recoin de cet escalier semblable Ă celui que nous avons aperçu en entrant, une petit porte dĂ©robĂ©e avec l’inscription «chambre mauve».Je suis Ă la fois intriguĂ©e, curieuse et inquiète par cette proposition, d’autant que Sonia a insistĂ© pour que j’entre seule. Ma dĂ©cision est prise, je ne suis pas lĂ pour jouer les jeunes vierges effarouchĂ©es.J’entre dans une petite salle Ă©trange, toute tapissĂ©e de mauve sur les murs et pour le sol une sorte de matière douce et meuble semblable Ă un matelas adouci par un dessus en matière noble.Tout un cĂ´tĂ© de la pièce est occupĂ© par un grand miroir Ă la façon d’une salle de gymnastique.Je m’aperçois dans ma tenue de soubrette, juste dĂ©corĂ© d’une broderie reprĂ©sentant une petite sirène.Dans un coin, une petite table avec dessus une enveloppe et un bandeau.Machinalement, je l’ouvre.«Mettez ce bandeau et savourez la suite»Ma curiositĂ© atteint son comble et je mets le bandeau, maintenant plongĂ©e dans un noir total.Après quelques secondes, j’entends un bruit que je devine ĂŞtre celui de la porte du fond de la chambre et ressens une prĂ©sence.Rapidement, quelqu’un me guide vers le centre de la pièce. Des mains commencent Ă caresser mes hanches, mes seins et mes cuisses, il en vient de partout au moins une dizaine. Je suis affolĂ©e, puis Ă ses mains se mĂŞlent des langues et des bouches, quelqu’un me force Ă me baisser et Ă me mettre Ă quatre pattes sur le sol doux et soyeux. Les caresses et intrusions de toutes sortes se font plus prĂ©cises sur mes seins, mes fesses, des doigts caressent mon intimitĂ© puis la fouillent, d’autres pincent mes tĂ©tons, une main que je devine grosse et puissante cherche sous mon jupon et pĂ©nètre mes chairs tendres.D’autres ont attrapĂ© mes fesses et fond mine de les Ă©carter au maximum, ma croupe est tendue au maximum vers l’arrière, une autre main Ă©carte bien mes cuisses. Un gros ventre rond et velu frotte mes fesses. De grosses mains m’attrapent de chaque cĂ´tĂ© et je suis Ă©peronnĂ©e par un sexe que je devine gros et nerveux. Dans un va-et-vient rĂ©gulier mes fesses viennent toucher ce gros ventre, un gros ventre d’homme j’en suis sĂ»r, puis je repense Ă l’homme qui me regardait tout Ă l’heure.Ma bouche est bientĂ´t forcĂ©e par 3 sexes, je les devine durs et impatients, un doigt ouvre ma bouche et la dirige vers ces virilitĂ©s, rĂ©gulièrement on me replace pour sucer ces queues en alternance, deux autres sexes se frottent sur mes joues comme pour se masturber. Des mains ont repris leur travail sur mes seins, malaxĂ©s et pincĂ©s sans mĂ©nagement. Je sens quelqu’un sous moi, la caresse de cheveux sous mon ventre me le confirme, une langue vient bientĂ´t prendre la place du gros monsieur, je le sens transpirer, se retirer puis revienir et me sodomiser. La douleur de la pĂ©nĂ©tration est attĂ©nuĂ©e par l’action de cette langue qui lèche mon mont de vĂ©nus. Un premier sexe vient d’exploser en moi et tout de suite un autre prend sa place, baisant ma bouche dans le foutre de son prĂ©dĂ©cesseur. BientĂ´t, le gros ventre nerveux est remplacĂ© par un autre homme plus fin, je le devine mais mieux membrĂ©. Je suis reprise sans mĂ©nagement par les reins. Mouvement sous mon corps, on me manipule, me dĂ©place et bientĂ´t cette langue apaisante est remplacĂ©e par un autre sexe nerveux et actif. Je suis lĂ , prise par tous les orifices, au bord du vertige, bourrĂ©e comme une besogneuse et livrĂ©e en pâture Ă la gent masculine.Deux sexes que je n’avais pas encore senti sont venus se dĂ©charger dans mes cheveux et sur mes joues, mais combien sont-ils ?Je sens Ă nouveau sur mes reins une contraction et une deuxième giclĂ©e vient inonder mes entrailles. Je suis retournĂ©e et allongĂ©e au sol, un nouveau visiteur s’affalent entre mes cuisses, il est lourd et bien membrĂ©, après quelques va-et-vient furieux, il dĂ©charge Ă son tour. MĂŞme sentence, dans la foulĂ©e alors que j’entends gĂ©mir et transpirer un tout jeune homme sur moi.DĂ©jĂ six hommes sont passĂ©s entre mes cuisses et mes fesses, un autre comprime mes petits seins pour se frayer un chemin et prendre son sexe en branlette espagnole, il ne tient pas deux minutes et macule mon visage, vite remplacĂ© par un autre comparse.Alors qu’un instant sans sexe en moi, je tente de reprendre mon souffle, un martinet vient s’abattre entre mes cuisses, Ă©cartĂ©es durement, les coups redoublent sur les chairs dilatĂ©es par le plaisir et les semences. Le fouet ne se calme que quand son manche perfore mon anus dans un miaulement de femme hystĂ©rique.Je suis bientĂ´t souillĂ©e, besognĂ©e Ă souhait et je sens que les hommes se sont regroupĂ©s autour de moi.Tour Ă tour, après m’avoir fait mettre Ă genoux devant eux, ils Ă©jaculent dans mes cheveux et sur mon visage et sur mon corps.Je me sens bien, le centre d’intĂ©rĂŞt des dĂ©sirs les plus basiques, l’outil de la satisfaction la plus primitive. Et lĂ , j’ai bien la rĂ©vĂ©lation que je suis devenue une mordue du sexe en quelques semaines, la femme normale en terme de sexualitĂ© Ă dĂ©couvert de nouveaux horizons et bientĂ´t un besoin irrĂ©sistible Ă satisfaire.Les mains reviennent et finissent d’enduire mon corps et mes orifices de semence, me voilĂ enduite de la jouissance d’au moins une dizaine d’hommes, douze peut-ĂŞtre que je connais dĂ©jĂ de vue ou que je ne verrai jamais.La porte derrière moi s’est ouverte et je sens sortir le groupe par la porte oĂą j’étais entrĂ©e.Un seul homme est restĂ© avec moi, il me guide et ouvre la porte opposĂ©e avec un bruit de fond que je ne parviens pas Ă cerner, je suis sortie et entre directement dans une pièce qui me semble plus grande.Les mains enserrent ma tĂŞte et enlèvent mon bandeau. Une vive lumière m’aveugle et quand je rĂ©ouvre les yeux je manque m’évanouir.LĂ , nue et couverte de sperme de diffĂ©rents hommes, je suis dans la grande salle de rĂ©ception devant une soixantaine de personnes attablĂ©es qui me regardent. Le mur de cĂ´tĂ© est en fait une glace sans teint qui donne sur la chambre mauve. Je rĂ©alise avec horreur que toutes ces femmes et ces hommes ont assistĂ© en dĂ®nant Ă l’orgie.D’un coup toute la salle se met Ă applaudire en me regardant.— Tu es une nouvelle petite sirène » me glisse le monsieur bedonnant et nu Ă cĂ´tĂ© de moi.Ainsi se termine la sĂ©rie consacrĂ©e Ă Christine, j’ai pris beaucoup plus de libertĂ© concernant la rĂ©alitĂ© de ce rĂ©cit que pour les premiers Ă©pisodes, juste un peu romancĂ©s. Les puristes me pardonneront. Ainsi vont l’imagination et les fantasmes d’une femme Ă la trentaine.Merci Ă tous les lecteurs pour vos commentaires.