Histoire coquine :La rue est dĂ©serte, le soleil Ă©crase de sa lumière et de sa chaleur tous les quartiers de la ville. Le pavĂ© et les murs ocres semblent comme les parois d’un four. Personnes n’est dehors, les volets sont clos dans toutes les habitations. On respire mal, les clim fonctionnent Ă leur maximum et toutes les activitĂ©s sont au ralenti. Quatorze heures c’est le plus mauvais moment de la journĂ©e, et c’est ce moment qu’a choisi ElĂ©onore pour aller Ă la piscine.Mais bien sur qu’elle a raison ElĂ©onore. Peut ĂŞtre pas pour l’affluence car la fraicheur est très recherchĂ©e et les baigneurs nombreux, mais justement pour la fraicheur de l’eau de la piscine. ElĂ©onore marche assez vite en essayant de rester autant que possible Ă l’ombre des arbres ou des murs. Elle est vĂŞtue très lĂ©gèrement, elle porte une mini jupe ample qui bouge a chacun de ses mouvements. Un petit haut vaporeux qui laisse voir, en les moulant, ses jolis gros seins naturels se balancer au rythme de ses pas. Elle est perchĂ©e sur des talons un peu hauts qui mettent en valeur la beautĂ© de ses jambes. C’est une très belle brune qui porte des lunettes de soleil pour ne pas abimer ses jolis yeux. Cette fille est un fantasme. Elle attire tous les regards des baigneurs fĂ©minins ou masculins dans l’enceinte de la piscine. D’autant que son maillot de bain est assez petit et surtout très enveloppant. Il est en effet rĂ©alisĂ© dans une matière qui moule parfaitement ses formes, Ă tel point qu’il rentre dans la fente de son sexe laissant voire la forme de sa chatte. Cette fille est un scandale, elle sait très bien ce que tout le monde regarde, et elle n’a qu’une envie c’est d’attirer dans ses filets un de ces beaux garçons qui viennent Ă la piscine pour se rafraichir, bien sur, mais surtout pour repĂ©rer les jolies femmes et les draguer. Ce qu’elle n’a pas rĂ©alisĂ©, c’est que la beautĂ© de son corps et sa tenue provocante, voir indĂ©cente, intimident mĂŞme les plus hardis. Elle passe donc l’après midi a se faire dorer par le soleil dans la partie ouverte de la piscine. Endroit oĂą le bĂ©ton carrelĂ© a Ă©tĂ© remplacĂ© par de l’herbe bien entretenue, et suffisamment arrosĂ©e pour avoir cette belle couleur verte, alors que partout ailleurs l’herbe est sèche et jaunie. Durant les 3 heures qu’elle est restĂ©e allongĂ©e sur sa serviette de bain, sa peau recouverte de crème anti UV suffisamment efficace pour ne pas attraper un coup de soleil, aucun mâle ne s’est approchĂ© d’elle. Elle s’est bien rendue compte que beaucoup l’ont regardĂ©e, avec des regards insistants sur son bas ventre ou sur ses seins. Mais aucun n’a bougĂ©, intimidĂ©s ou mĂ©fiants.Il est un peu plus de 17 heures, ElĂ©onore va rentrer chez elle, mais avant, elle dĂ©cide de passer Ă l’offensive. Elle a repĂ©rĂ© un beau brun qui l’a souvent regardĂ©. Elle marche droit sur lui les yeux rivĂ©s sur son corps d’athlète. Il se prĂ©nomme Arthur, elle ne le sait pas encore. C’est effectivement un sportif, joueur de rugby, avec un bel avenir professionnel qui s’annonce. Il a vu la manoeuvre d’ElĂ©onore et maintenant c’est lui qui plonge son regard dans le sien. Elle est contente il a mordu. ArrivĂ©e a sa hauteur elle lui fait un signe de la tĂŞte pour dire suis moi et elle change sa trajectoire pour prendre le chemin des douches et des vestiaires. Arthur s’est levĂ© et il la suit Ă quelques mètres de distance. Le couloir vers la sortie de la piscine s’Ă©tire devant ElĂ©onore. Un panneau indique, sur la droite, les douches et les vestiaires. ElĂ©onore s’engage dans le couloire Ă droite, s’arrĂŞte, se plaque contre le mur et attend. Arthur a vu ElĂ©onore tourner, il accĂ©lère le pas tourne a son tour et tombe, si je puis dire, nez a nez avec ElĂ©onore. Surpris il s’est arrĂŞtĂ© brusquement. Elle ne lui laisse pas le temps de rĂ©agir, passe sa main droite derrière la tète du rugbyman et attire ses lèvres contre les siennes. Elle provoque un long baiser oĂą les langues se mĂ©langent. La rĂ©action est immĂ©diate Arthur bande et elle le vĂ©rifie de sa main gauche qui palpe le boxer d’Arthur. Puis elle relâche son Ă©treinte, se retourne et part en courant vers le vestiaire des femmes. Arthur est restĂ© plantĂ© la, incapable de bouger et partagĂ© entre le plaisir qu’elle lui a donnĂ© et la frustration de ne pas avoir maitrisĂ© la situation. Il veut la revoir et lui parler, mais il ne rentrera pas dans le vestiaire des femmes. Donc il attend qu’elle sorte. Cela fait maintenant vingt minutes qu’il est la et ElĂ©onore n’est toujours pas sortie. Il commence a s’impatienter. Dans ce couloir, il y a beaucoup de passage surtout a cette heure oĂą les gens rentrent chez eux. Une jeune femme, parmi toutes les personnes qui dĂ©ambulent, s’approche d’Arthur et, sans rien dire, lui tend un papier pliĂ© en quatre. Arthur s’en saisit, le dĂ©plie et lit « voila mon tĂ©lĂ©phone appelles moi ». Arthur lit et relit pendant quelques secondes le message, il veut savoir oĂą est ElĂ©onore, il lève les yeux, regarde a nouveau dans le couloir, tente d’apercevoir la jeune femme qui lui a remis le message. Elle a disparue dans le flot des gens qui circulent. Il se dĂ©cide alors a continuer d’attendre, « il faudra bien qu’elle sorte pense-t-il ». Le flot des baigneurs adultes et enfants se rĂ©duit de plus en plus et ElĂ©onore ne sort toujours pas. En fait profitant de la remise du billet par sa copine, moment oĂą l’attention d’Arthur s’est portĂ©e ailleurs que sur la surveillance du couloir, ElĂ©onore s’est Ă©clipsĂ©e, et actuellement rentre chez elle. Arthur comprend qu’elle a dĂ©jouĂ© sa vigilance et revient Ă la piscine. Ses potes qui ne l’avaient pas vu partir lui demandent oĂą il Ă©tait. Sans leur rĂ©pondre il saisit sa serviette et s’en va en faisant juste un au revoir avec la main. L’un d’entre eux lui lance « tu bouffes avec nous ce soir? », « Non pas ce soir, a plus » et il se dirige vers son vestiaire. Il n’a qu’une chose en tĂŞte tĂ©lĂ©phoner Ă cette belle inconnue qui l’a choisi et en mĂŞme temps frustrĂ©. Il veut en savoir plus. Il veut l’embrasser Ă nouveau. Il veut la serrer contre lui, la toucher, lui faire l’amour. Toutes ces promesses qu’elle lui a faites en l’embrassant et le provocant, il veut maintenant les vivre. Arthur s’est habillĂ©. Il chausse ses Rayban en sortant du vestiaire, sa serviette de bain posĂ©e sur l’Ă©paule et se dirige vers la sortie puis vers sa voiture. Elle est garĂ©e en plein soleil sur le parking du complexe sportif oĂą se situe la piscine. Dehors, Il fait toujours aussi chaud et lorsqu’il ouvre la portière une bouffĂ©e de chaleur lui saute sur le corps. Il jette sa serviette sur le siège passager, s’assoie au volant, laisse la portière ouverte et dĂ©marre le moteur. Puis il met la clim en marche et attend que la chaleur s’estompe. Durant ces quelques minutes il lit le message d’ElĂ©onore et se remĂ©more ce long baiser qu’ils ont partagĂ©. La tempĂ©rature de l’habitacle a maintenant suffisamment baissĂ©, il ferme la portière, saisit son tĂ©lĂ©phone et compose le numĂ©ro d’ElĂ©onore. Deux sonneries sont passĂ©es, on dĂ©croche.
– « Allo » dit une voix de femme.
– « Allo » rĂ©pond Arthur……………
Les prĂ©sentations sont rapidement faites. Un rendez vous est pris pour diner dans un restaurant connu de la rĂ©gion, et ils doivent se retrouver vers 21h devant le cafĂ© des sports. Ils ont raccrochĂ©, Arthur est tout Ă©moustillĂ©, il n’en revient pas et rentre chez lui pour se prĂ©parer.A 21h il passe doucement en voiture devant le cafĂ© des sports, ElĂ©onore est la, elle l’attend. Elle est magnifique dans sa mini jupe noire moulante et son chemisier blanc, sobre, boutonnĂ© au deuxième bouton, laissant ainsi voir ses gros seins supportĂ©s par un soutien gorge pigeonnant. Elle s’approche de la portière, se baisse pour l’ouvrir, le spectacle est Ă tomber. Elle s’assoie, se tourne vers Arthur et dĂ©pose un baiser sur sa joue, « bonsoir Arthur, vous ĂŞtes magnifique ». « Bonsoir ElĂ©onore » bredouille Arthur, « c’est vous qui ĂŞtes magnifique » et il dĂ©marre pour se diriger vers le restaurant.Nous sommes en Ă©tĂ© et Ă 21h 30 il fait jour. Arthur ne cesse de regarder cette si jolie femme assise Ă ses cotĂ©s. Il ne se sent pas Ă l’aise, il est un peu bloquĂ©. Lui qui d’habitude est plutĂ´t volubile ne trouve, Ă son grand regret, rien Ă dire. Et il se sent con mais si con qu’il a envie d’en pleurer, ce qui n’apporte pas de solution Ă la situation prĂ©sente bien au contraire. ElĂ©onore sent très bien le malaise d’Arthur. Elle vient de dĂ©croiser les jambes, sa mini jupe remonte maintenant très haut sur ses cuisses bronzĂ©es. Arthur ne peut s’empĂŞcher de lorgner sur les cuisses d’ElĂ©onore et il se pose mĂŞme la question de l’absence de culotte. Alors ElĂ©onore Ă©carte les cuisses pour pouvoir se baisser et ramasser ses clĂ©s qu’elle vient de faire tomber. En une fraction de seconde Arthur a vu peu de chose mais il sait qu’elle ne porte pas de culotte. Cette vision l’a excitĂ© et maintenant Il bande. La voussure qui dĂ©forme son pantalon est du a son sexe en Ă©rection et il ne peut le cacher Ă ElĂ©onore. Celle ci s’est tournĂ© vers Arthur, a tendu la main gauche, l’a posĂ© sur la bosse qui dĂ©forme le pantalon et la caresse doucement. Il est surpris par l’audace d’ElĂ©onore, mais en mĂŞme temps ça lui plait beaucoup et il regrette d’ĂŞtre au volant car il ne peut pas toucher ElĂ©onore comme il le souhaiterai, sans prendre de gros risques. Pourtant dieu sait qu’il en a très envie. Ses seins sont Ă portĂ© de sa main droite et il aimerait lui sauter dessus. ElĂ©onore poursuit son envie de faire jouir Arthur, elle prend maintenant entre ses doigts le sexe d’Arthur, toujours dissimulĂ© dans son pantalon et fait glisser ses doigts sur toute la longueur de sa bite. Arthur n’en peu plus il accompagne le mouvement des doigts d’ElĂ©onore, il a envie de lui dire enlève mon pantalon mais il est obligĂ© de se concentrer sur sa conduite et il subit ce moment de plaisir, sans rien pouvoir contrĂ´ler. Mais comme si elle lisait dans ses pensĂ©es, voila que maintenant ElĂ©onore ouvre la braguette d’Arthur, dĂ©fait sa ceinture, tire sur les jambes du pantalon pour dĂ©gager la zone de son sexe, puis tire sur le boxer. La bite jaillit bien raide et bien grosse. ElĂ©onore est ravie de cette dĂ©couverte. Elle prend cette bite dans sa main droite, la dĂ©calotte, approche ses lèvres et commence Ă sucer le gland. Elle le suce comme on suce une sucette. Puis en tirant sur la peau vers le bas elle lèche le dessous du gland, puis toute la hampe et enfin les couilles. Arthur est aux anges il n’en peut plus. Il est particulièrement tendu, concentrĂ©, plus sur son plaisir que sur la route. Le va et vient des lèvres d’ElĂ©onore sur le gland associĂ© aux caresses de ses couilles provoquent maintenant des râles de plus en plus forts et rapprochĂ©s. ElĂ©onore, sentant l’Ă©jaculation proche, vient de lâcher la bite d’Arthur qui la supplie immĂ©diatement de continuer la masturbation. Arthur conduit toujours, sa bite est maintenant très raide, elle bouge d’avant en arrière accompagnĂ©e des supplications d’Arthur et brusquement lâche des giclĂ©s de sperme sur son ventre et sur les mains d’ElĂ©onore qui rit de voire les mouvements un peu ridicule de cette bite qui Ă©jacule.ÉlĂ©onore lèche maintenant la bite, la hampe puis les couilles d’Arthur il se dĂ©tend et passe sa main droite dans les cheveux d’ElĂ©onore qui très excitĂ©e l’invite Ă aller se garer dans un endroit tranquille oĂą ils ne seront pas dĂ©rangĂ©s. ElĂ©onore qui a dĂ©jĂ eu assez de mal Ă se mouvoir dans cet habitacle de voiture coupĂ© rĂ©alise soudain que dans ces conditions, la proposition qu’elle vient de faire Ă Arthur ne les mènera pas bien loin. Aussi elle s’excuse auprès d’Arthur qui rĂ©ajuste ses vĂŞtements et elle lui pose la question, « on va chez toi ou chez moi »? « Comme tu veux » rĂ©pond Arthur. Finalement ils vont chez lui. Le restaurant? OubliĂ© pour le moment, peut ĂŞtre plus tard ça dĂ©pendra de leur Ă©tat physique et de leur faim. Pendant le trajet vers l’appartement d’Arthur, il roule doucement, et de sa main droite il caresse les seins d’ElĂ©onore. Elle se tourne vers lui remonte sa jupe et lui offre sa chatte qu’il commence a caresser. Elle ferme les yeux et reprend le massage du sexe de son amant. Voila mon immeuble dit Arthur. ElĂ©onore se redresse et replace sa jupe. La voiture rentre dans le parking, une courte marche les amène jusqu’a l’ascenseur qui les dĂ©pose au quatrième Ă©tage. En sortant de l’ascenseur Arthur regarde ElĂ©onore, elle est tellement belle, il l’enlace, la serre contre lui, l’embrasse lui caresse les fesses puis les seins. ElĂ©onore lui rend ses caresses, le baiser se prolonge, Arthur se dit « mais on va pas rester la!!! », il ouvre la porte de son appartement, ils se prĂ©cipitent Ă l’intĂ©rieur, la porte claque derrière eux.ElĂ©onore saisit la tète d’Arthur et l’embrasse tendrement. Elle a dĂ©jĂ beaucoup donnĂ© et peu reçu, elle est très excitĂ©e et veut que son amant ai très envie d’elle pour en profiter au maximum. Aussi elle attrape la bite d’Arthur et la malaxe pour provoquer une belle Ă©rection puis elle se dĂ©shabille suivi par son rugbyman. Les vĂŞtements sont jetĂ©s dans le salon puis Arthur enlace ElĂ©onore. Il la soulève et la couche sur le canapĂ©, puis vient a genoux entre ses cuisses et entreprend de la sucĂ©e. Elle adore sentir la langue de son amant lui lĂ©cher les lèvres, puis tenter de pĂ©nĂ©trer son vagin et surtout lui lĂ©cher le clitoris en passant la langue de bas en haut comme s’il voulait le soulever pour mieux l’isoler du reste de son corps. Son excitation est grande et elle commence Ă avoir des spasmes avec de petits cris de jouissance qui se terminent par un cri plus strident et plus long que les autres. Le moment fut intense, ElĂ©onore savoure et se repose. Elle reste allongĂ©e le bras et la jambe gauche pendants en dehors du canapĂ©, la tĂŞte en arrière les yeux fermĂ©s. Le repos est de courte durĂ©e. Arthur très excitĂ© souhaite ne pas ĂŞtre oubliĂ©, Il pose dĂ©licatement ses lèvres sur celles d’ElĂ©onore, le baiser dure longtemps. Puis Arthur s’allonge sur le corps de sa belle qui Ă©carte ses cuisses et glisse sa main gauche entre son ventre et celui d’Arthur. Elle saisie la grosse bite bandante et chaude et l’introduit dans son vagin. Arthur accompagne ce mouvement en poussant avec son bassin. Sa bite est maintenant entrĂ©e profondĂ©ment dans la chatte d’ElĂ©onore et il la baise avec vigueur. En bougeant son bassin elle amplifie autant qu’elle peut les mouvements d’Arthur. La course Ă la jouissance est enclenchĂ©e. Arthur vient en premier, bruyamment et avec une grosse Ă©jaculation. Il se rend compte maintenant qu’il est en nage, qu’il a très chaud, mais il continue Ă baiser ElĂ©onore qui très excitĂ©e jouit une nouvelle fois. L’excitation passĂ©e la chaleur les accable Ă nouveau. Pour Ă©viter d’avoir trop chaud, Arthur ruisselant, se sĂ©pare d’ElĂ©onore en se laissant tomber par terre sur le tapis. Ils ne se sont mĂŞme pas rendu compte que la nuit Ă©tait tombĂ©e, et la chaleur toujours la.Arthur vient de se lever, il se dirige vers le balcon, « il fait peut ĂŞtre meilleur dehors », annonce-t-il Ă ElĂ©onore. Au passage il saisit son slip, le met et invite ElĂ©onore a en faire de mĂŞme et a le suivre sur le balcon. Elle enfile la chemise d’Arthur, mais elle n’a pas de culotte, alors Arthur revient sur ses pas et va chercher un short, elle le met, il est beaucoup trop grand pour elle, mais on s’en fout l’essentiel est ailleurs. A l’extĂ©rieur la chaleur est un peu moins suffocante et un petit courant d’air caresse leur corps. Arthur rapproche les transat, ils s’installent s’embrassent tendrement, se sĂ©parent pour Ă©viter d’avoir trop chaud, ferment les yeux et finissent par s’endormir.Partagez ce rĂ©cit coquin : Tweeter