Madame Bertin avait une poitrine particulièrement énorme. Cette grande brune rustique qui approchait peu à peu de la retraite travaillait depuis plus de dix ans au service du courrier. Elle y sévissait déjà lorsque j’avais été embauché dans cette petite entreprise stéphanoise.Notre première rencontre avait été fortuite. J’étais tombé nez à nez avec cette imposante paire de nichons au détour d’un couloir. J’avais même failli m’écraser dessus. Par la suite, traumatisé par cette surprenante découverte, j’avais cherché à savoir à qui appartenait cette poitrine hors normes. Qui était donc cette femme ? Où travaillait-elle ? Le mystère éclairci, mes visites au courrier se firent alors de plus en plus fréquentes, tous les prétextes étaient bons pour m’enquérir d’une missive. Les nibards de cette femme me fascinaient vraiment, de par leur gigantisme, et, lorsque j’étais près d’elle, je les matais sans gêne et sans même chercher à m’en cacher. J’avais pourtant des tas de petites copines, des nanas de mon âge plutôt bien roulées avec qui je flirtais et qui finissaient de temps en temps dans mon lit. Elles étaient plus belles, plus jeunes, plus attirantes, alors que la mère Bertin était plutôt grossière avec son début de moustache et puis son cou taurin.Louise, qu’elle s’appelait ! Elle avait un rire bien gras, reconnaissable entre tous. J’adorais lui sortir des plaisanteries bien lourdes pour l’entendre glousser comme une truie qu’on égorge. C’était mon péché mignon, mon petit plaisir de la journée. Au fil des semaines et des années, je prenais de l’assurance et c’était désormais souvent des blagues de cul que je lui glissais entre quatre yeux, lorsque nous étions seuls dans son local. Elle n’était pas réfractaire à ce genre d’humour et n’en semblait pas vraiment choquée. J’en profitais alors pour mater à loisir sa poitrine gigantesque qui se balançait négligemment sous mes yeux ébahis. Je n’en avais jamais vu d’aussi grosse, en tout cas jamais d’aussi près, et pas d’aussi réelle. Ses lolos étaient engoncés dans un sac à viande d’un autre âge, tout simplement propice à contenir leur divine opulence.Je crois qu’elle n’était pas dupe de mon petit manège et qu’elle ne l’avait en fait jamais été. Lorsque j’allais un peu trop loin dans mes plaisanteries grivoises, lorsque mes sous-entendus se faisaient un peu trop proches, elle remettait en général les pendules à l’heure en mettant des distances entre nous. Elle me parlait alors de son mari, chauffeur routier de son état, un grand type qui arborait une belle paire de bacchantes : un mec solide, bien charpenté, rien à voir avec le gringalet que j’étais. Ce colosse avait bien de la chance de pouvoir user ainsi d’une aussi belle paire de miches ! Je crois que pour ma collègue, à cette époque, je ne représentais en fait que l’archétype du petit vicieux sympathique, un petit obsédé obnubilé par ses protubérances mammaires. Elle en avait pleinement conscience mais n’y trouvait rien à redire. Simplement, elle y mettait quelques limites.Normalement et de façon logique, notre relation aurait dû en rester là  !J’ignore précisément ce qui la fit changer d’attitude à mon égard. Peut-être des problèmes récents avec son mari ou une envie soudaine de profiter un maximum de la vie avant la vieillesse ?Toujours est-il qu’un matin où j’avais embauché un peu plus tôt, je la vois débouler dans mon bureau et, comble de surprise, alors que je suis en train de faire des recherches sur mon ordinateur, la voici qui fait le tour de la table et qui vient se coller tout contre moi, sous prétexte de regarder ce que je fais. Durant toutes ces années, nous n’avions jamais été aussi proches. Elle s’était littéralement plaquée contre moi et je sentais clairement la chaleur irradier de son corps et ses formes pulpeuses rouler lentement contre ma peau. De son côté, pour ne pas avoir l’air, elle faisait mine de s’intéresser à mon travail. Pourtant, le but ultime de sa démarche ne faisait aucun doute. C’est avec un volontarisme sans ambages qu’elle plaquait ses énormes appas contre mon dos. Paradoxalement, j’étais traumatisé par cette envie soudaine que je n’aurais jamais pu soupçonner auparavant. Je n’osais d’ailleurs faire aucun geste. Un bruit dans le couloir m’arracha au supplice. Elle se détacha de moi pour revenir à une position plus correcte. Elle salua brièvement mon collègue qui venait d’entrer et s’en fut rejoindre son poste de travail, en me laissant dans un état second.Ce matin-là , je fus particulièrement inefficace dans mon job, je rêvassais en pensant à cette curieuse expérience. Pourtant, contrairement à mon habitude, je ne fis ce jour là aucun détour par le courrier, comme effrayé par ce qui allait être désormais inéluctable. Avais-je réellement envie « de me faire » cette grosse femme un peu trop moustachue ? Le soir-même, je me suis masturbé pendant des heures en repensant à elle, prenant soin de ne pas aller jusqu’au bout de ma jouissance. Envie d’elle ? Oui, j’avais très envie d’elle, c’est indiscutable, elle avait pourtant le double de mon âge et n’était pas très jojote. Il n’empêche que je la trouvais excessivement bandante.Je savais qu’elle embauchait particulièrement tôt et, le lendemain, je fis un effort pour m’arracher du lit de bonne heure. À six heures trente pétantes, je poussais la porte du courrier :— Oh Vincent ! Tu es bien matinal aujourd’hui ! se contenta-t-elle d’affirmer, à peine surprise de mon arrivée.Mais j’allai droit vers elle et l’enlaçai de suite avec vigueur. Ma bouche mit peu de temps à trouver la sienne et elle se donna sans aucune réserve, preuve de son attirance envers moi. Alors que je lui roulais un patin d’enfer, j’en profitais également pour palper abondamment ses miches. Debout dans un coin de la salle, collés l’un à l’autre contre un mur, nous continuions à nous bécoter comme deux collégiens qui découvrent l’amour, mes mains baladeuses se faisaient très pressantes. Elles ne tardèrent d’ailleurs pas à se risquer entre ses cuisses, malgré l’obstacle évident de sa longue jupe épaisse.Une succession de bruits dans les étages nous sortit de notre torpeur.— Viens, me dit-elle simplement. Ne restons pas là .Elle m’entraîna dans une réserve de papier dont elle avait la clef, sorte de réduit obscur où s’entassaient les cartons. C’est sous la lumière blafarde d’une veilleuse chancelante qu’elle me dévoila son opulente poitrine. Incroyablement lourdes une fois libérées de toute contrainte, ses mamelles lui descendaient presque jusqu’en bas du ventre. Je n’en pouvais plus de les embrasser, de les peloter, de les triturer. Ces objets de désir me mettaient dans tous mes états et je bandais comme un âne. Elle s’en aperçut bientôt et c’est avec une grande dextérité qu’elle libéra mon vit de sa prison, pour promulguer quelques savantes caresses à ma colonne de chair. Elle était loin d’être farouche, elle était même plutôt douée. Elle me branlait avec une lenteur exquise, tandis que je m’acharnais à dégrafer une jupe qui s’écrasa bientôt sur le sol poussiéreux. Alors que je m’évertuais à écarter sa large culotte pour démasquer son con poilu, elle me demanda carrément de l’arracher. Il faut dire que le bout de tissu était très ordinaire, acheté à bas prix en grande surface, je n’eus aucun scrupule à déchirer cette entrave au plaisir. Elle était très poilue et avait le pubis assez large. Une forte odeur de femme en chaleur émanait de sa chatte brûlante. J’y hasardai deux doigts, elle était déjà toute trempée.Ensuite, elle s’est allongée sur une palette de cartons presque vide, elle était visiblement déjà prête à se faire baiser. J’ai répondu à son appel en me ruant entre ses cuisses. Sa chatte était dégoulinante de mouille et je n’eus aucun mal à m’enfoncer d’un seul coup en elle, dans cet antre particulièrement humide. Elle était accueillante et m’attirait vers elle en me retenant par les fesses, m’incitant à bien pénétrer tout au fond de sa grotte. De mon côté, je malaxais avidement sa poitrine généreuse, m’arrêtant juste quelques secondes pour téter ses grosses outres. Pour moi, c’était les deux merveilles du monde : elles me rendaient vraiment comme fou.La situation était tellement excitante et je la besognais avec une telle vigueur que je ne tardai pas à m’épancher grassement en elle, entre deux gémissements. Elle plaqua alors sa main sur ma bouche pour me faire taire, puis elle me bascula sur le dos, décidant de prendre la suite des opérations en main. C’est ainsi qu’elle engloutit entre ses lèvres mon vit encore luisant de sperme et de ses sécrétions. Elle me pompait lentement, avec un délice qui faisait plaisir à voir, n’hésitant pas à m’engloutir entièrement dans sa gorge chaude. Son savoir-faire eut tôt fait de me redonner de la vigueur. Moi qui suis d’ordinaire plutôt feignant, et pourvu d’une machine à un seul coup, j’étais à nouveau dressé et impérial. Comble de bonheur pour moi quand elle entreprit de me branler avec ses excroissances, avec un regard vitreux particulièrement vicieux. C’est qu’elle en voulait, cette gourgandine !Puis, elle se releva et j’eus droit un instant au spectacle de sa chatte dégoulinante de sperme et avide de mon sexe. Elle s’assit sur moi et s’embrocha sans coup férir. Puis elle commença un va-et-vient profond et savoureux, allant de haut en bas en gémissant. Ses charmes débordants ballottaient au rythme de son plaisir qui était évident. Je continuais à lui peloter les seins, tour à tour les caressant doucement, torturant ses tétons ou les pétrissant comme de la bonne pâte. Lorsque je me décidai à carrément les téter, d’irrépressibles petits couinements sortirent de la bouche de ma partenaire. Elle se démenait maintenant comme une folle, apparemment au comble du désir. Quelques minutes plus tard, elle jouissait en se mordant les lèvres pour ne pas crier, étouffant tant bien que mal un long gémissement de plaisir non feint.À mon tour de la basculer et à mon tour de l’entreprendre. J’y allais, cette fois-ci, avec bon cœur, de toutes mes forces, fasciné par le ballottement convulsif de ses divines mamelles. Je m’évertuais, par mes coups de rein puissants à les faire aller et venir en tous sens. Je trouvais cela obscène et j’étais excité au dernier degré tant et si bien que c’est un jet ininterrompu de sperme qui s’épancha en elle. De mémoire d’homme, je ne m’étais jamais aussi bien vidé, avec autant de conviction.Ensuite, je me suis affalé sur elle au risque de l’étouffer. Je serais bien resté comme ça toute la journée, la queue fichée entre ses cuisses. C’est elle qui m’a secoué pour me réveiller. Le temps passait et il était l’heure pour nous, et surtout pour elle, de rejoindre notre poste de travail.Nous nous sommes encore bécotés pendant un instant, debout dans la réserve, le temps pour moi aussi d’admirer mon foutre épais qui coulait lentement le long de ses cuisses. Puis elle s’est rhabillée, probablement à contre-cœur, en prenant soin d’essuyer ma semence avec sa culotte déchirée, désormais immettable. Un dernier patin avant de sortir. Nous avons failli nous faire surprendre par un quidam qui passait à ce moment-là dans le couloir. Nous avons fait mine de rien, complices après ce moment formidable.À partir de ce jour, je reçus beaucoup plus de courrier ! Des missives personnelles se glissaient parmi les factures et autres lettres de relance. « Je n’en peux plus, j’ai trop envie de toi, rejoins-moi vers une heure dans la réserve. » ou « Ce soir mon mari est en déplacement à l’étranger, si tu veux passer à la maison… » ou encore « Avoue qu’elles t’excitent mes grosses mamelles. Je suis certaine que quand tu y penses, tu bandes comme un malade. J’imagine ta belle bite bien lisse glissant entre mes gros lolos et je me caresse en pensant à toi. »Nous avions décidé d’être plus discrets et de moins nous faire voir ensemble. Nous nous voyions beaucoup moins la journée et beaucoup plus en cachette. Il fallait faire taire les rumeurs qui allaient parfois bon train.Un matin qu’elle avait pris un RTT, elle m’appelle sur mon portable :— Mon mari vient de partir. Il m’a baisée mais j’ai encore très, très envie… Viens, je t’en supplie, je n’en peux plus, j’ai envie que tu me baises tout de suite. Si tu viens vite, je te donnerai mon petit trou.La demande était sans appel. Le temps pour moi de trouver un prétexte bidon pour m’éclipser du bureau, et je me retrouve chez elle. Elle m’accueille entièrement nue. Elle a encore du foutre gras sur les cuisses et aussi dans la touffe. Nul doute qu’elle vient de se faire baiser, et plutôt deux fois qu’une. Sans plus attendre, elle m’entraîne sur le lit conjugal et se met à quatre pattes pour me présenter son large fessier. Je la prends en levrette, vision grandiose de ses outres qui ballottent sur le lit, je vais et je viens dans le foutre de son homme, heureux que ce grand con soit cocu et que sa moustachue écarte les cuisses avec une telle facilité.Je la bourre avec grossièreté en regardant la photo de couple qui trône sur la table de nuit. Son homme est baraqué, avec de belles bacchantes, mais il est cornu. Qui plus est, il n’a plus le droit à tous les charmes de sa belle, elle lui refuse désormais son petit trou. Dans le passé, il lui arrivait fréquemment de sodomiser sa femme, mais maintenant cet antre sacré lui est interdit, quand il lui propose de passer par la petite porte, elle prétexte des problèmes hémorroïdaires pour se refuser à lui. Sur ma demande expresse, je suis désormais le seul qui ait ce privilège. Aussi, j’en use et j’en abuse. Ce jour-là , dès que sa jouissance éclate, je ressors de sa chatte et glisse ma queue gluante dans son cul. Son anus est accueillant, il m’engloutit sans trop de difficulté. J’adore ce moment où j’investis son fondement, où elle m’appartient totalement, cet instant où, m’enfonçant en elle, je perçois l’odeur âcre de son cul qui me prend à la gorge. Elle se donne entièrement, une fois habituée à cette présence étrangère dans son derrière, elle m’incite même à la bourrer de bon cœur. Elle se branle de concert, elle a encore besoin de jouissance, son imposante poitrine va-et-vient sur les draps froissés. Elle gémit comme une folle et moi j’ahane comme un goret.Je la limais maintenant depuis un bon moment, prenant grand soin de retarder l’instant fatidique. Elle était secouée de spasmes et elle avait cessé de se branler. Elle ne décollait plus de son oreiller, couinant comme une chienne à chaque coup de boutoir.— Humm, ma belle cochonne, tu aimes ça que je t’encule.— Ouiiii.— Ton mari ne te baise pas aussi bien, avoue ! Avoue que tu aimes que ma grosse bite te remplisse bien le cul.— Ouiii continue, remplie-moi bien le cul. Vas-y, j’aime ça, j’aime que tu me bourres à fond.— Je vais te graisser les boyaux, ma cochonne, je n’en peux plus de voir tes mamelles ballotter sous toi.— Humm…N’en pouvant plus, je me vidai alors dans ses entrailles puis m’affalai sur elle, épuisé par tant d’effort.Son anus dilaté recrachait désormais un liquide blanchâtre, nous étions tous les deux repus, vidés, ivres de jouissance. Je récupérai dans mes doigts un peu du précieux liquide et le portai à la bouche de Louise qui le lécha avec avidité.C’est alors que j’entendis un bruit derrière mon dos. Intrigué, je me retournai pour découvrir un homme, juste derrière moi. Il était entièrement nu, le sexe fier et érigé et il avait de belles moustaches. De suite, je reconnus son homme, il avait le torse incroyablement velu.— Francis a très envie de t’enculer, dit simplement Louise.Elle me tenait fermement tout contre elle mais j’aurais pu me dégager.— Laisse-toi faire, mon amour. Tu vas voir comme c’est bon de se faire mettre, insista-t-elle.Pour dire vrai, j’avais déjà essayé, je le faisais même assez souvent lorsque j’étais étudiant. J’avais été initié par un prof un peu pervers et j’avais continué avec un copain un peu vicieux. Je savais que ce n’était pas désagréable mais de là à me faire sodomiser par le mari de ma maîtresse…— Francis est au courant de tout, tu sais, depuis le premier jour ! C’est lui qui a insisté pour que je me donne à toi, et pour que je te revois ensuite, pour que je sois sans cesse plus vicieuse avec toi. Il adorait que je lui raconte tous nos ébats… mais maintenant il a envie de participer.C’est à ce moment que je sentis le gland bien dur de son homme entre mes fesses. Allais-je lui offrir mon fondement ? Curieusement, je me remis à bander, preuve que j’en avais vraiment envie. La situation était inhabituelle et bizarrement très excitante. Le camionneur glissa un doigt humide dans mon cul. Quelle salope, cette Louise, m’offrir ainsi à son mari. Mais j’avais envie de lui donner ce petit plaisir et très envie aussi de me faire déchirer l’oignon. Regardant à nouveau son homme, je fus tout excité par son torse velu :— Allez-y, lui demandai-je sans plus attendre, défoncez-moi bien le cul.Son gland frottait désormais sur ma rosette. Louise s’était dégagée et était venue sous moi pour engloutir ma queue. Ce fut l’argument décisif qui m’incita à ouvrir mes fesses. Le gland épais força lentement mon petit trou brun tandis que ma maîtresse me pompait le dard. C’était incroyablement bon d’être enculé et sucé en même temps, je n’avais jamais connu telle expérience. Ce sexe qui me paraissait énorme investit en entier mon fondement :— Alors, petite pédale, comme ça, tu aimes les grosses tétasses de mon épouse. Je veux bien te les prêter si tu me donnes ton petit fion, dit mon enculeur, pour m’humilier. Je vais te remplir l’anus et après tu suceras ma bite.J’en avais déjà la bave aux lèvres…— Oui, je la sens bien en moi, cette grosse queue, ai-je affirmé, j’adore ça, me faire mettre… Ohh, que c’est bon, cette grosse bite dans mon cul… tu me bourres bien ! C’est tellement bon.Il y allait de bon cœur et Louise aussi avec mon bâton qui glissait sans relâche entre ses lèvres, à tel point que je serais bien en peine de dire lequel d’entre nous deux jouit en premier, lui dans mon derrière ou moi dans la bouche de sa belle. Cela ne dura pas très longtemps mais cela fut très fort et très intense et la jouissance d’une puissance exceptionnelle.Après cet enculage, comme promis, j’eus droit à sucer sa queue. Je l’embouchai de bon cœur malgré cette forte odeur de fesses qui me prenait à la gorge.Les semaines qui suivirent, nous nous vîmes très souvent, chez eux ou chez moi, pour faire l’amour à trois. Je pense qu’à la longue, ils finirent simplement par se lasser de moi et par passer à autre chose, car les rencontres s’espacèrent, pour cesser finalement quelques mois plus tard. Entre-temps j’avais changé de boîte.