La détective aux yeux verts carburait au cognac.Quand j’ai envie de faire le vide dans ma tête j’abandonne mon travail quelques instants et je marche dans les rue de la ville pour me décontracter. Sans but précis, je flâne le nez au vent. C’est un traitement idéal pour le stress. Ce jour là, je me trouvais dans ce quartier un peu snob que tout le monde connaît. Devant moi marche une jeune femme aux cheveux courts auburn. De dos je ne vois que le blouson en cuir noir et un pantalon en jeans très collant qui moule une paire de fesses merveilleusement galbées , hyper-féminines. La rondeur des hanches est particulièrement mise en valeur par une taille très fine. Je la suis sans idée particulière admirant sa démarche féline ainsi que le balancement de ses hanches affolantes. Elle s’arrête … repart…, s’arrête… repart. Intrigué je l’observe. En fait, elle semble suivre, ou plutôt filer une homme qui marche devant elle . L’homme est un élégant quinquagénaire aux tempes argentées. Intéressé , je suis la jeune femme. Soudain celle-ci disparaît dans un porche d’immeuble. Je la suis et me retrouve nez à nez avec elle. Elle n’a pas l’air des plus aimable. Elle a environ 25 ans, un minois qui aurait pu être joli si le nez n’avait pas été cassé. Ses grands yeux verts sont pour l’instant furieux. Je sens tout un coup une fulgurante douleur au niveau de mon sexe qu’elle a saisi à pleines mains et qu’elle serre vigoureusement. Elle me demande pourquoi je la suis et je me trouve tout bête sans savoir quoi répondre. Je dois vraiment avoir l’air nouille car elle me lâche en haussant les épaules et soupire : » mon dieu que les hommes sont bêtes ». Elle fait quelques pas , puis se ravise et reviens vers moi : « au lieu de lorgner mes fesses comme un macho attardé en rut , voudriez vous me rendre un service ». Un peu échaudé je lui demande quel service elle attend de moi. Elle me propose de discuter de cela autour d’un pot. Nous entrons dans un café et nous isolons dans l’arrière salle . En tout cas, elle ne carbure pas à l’eau de vichy car elle commande un double cognac et je me sens obligé de la suivre. Elle sort son portefeuille et me montre une carte de détective privé. Elle m’explique qu’elle enquête sur l’homme aux tempes argentées suspecté entre autres de délits d’escroquerie, d’abus de biens sociaux., détournements de fonds.. Etc.. Peu à peu au fil de la conversation nous sympathisons. En fait elle est très habile et je me laisse manipuler avec un certain plaisir. Je sens que d’ores et déjà et si je me laisse faire cette nana me fera prendre des vessies pour des lanternes. D’instinct, elle sent que je suis sous son charme et la petite fûtée en joue très habilement. J’accepte finalement de l’aider. Selon elle, j’ai un look très sérieux ( costume croisé cravate petites lunettes) qui inspire confiance. Et une demi-heure plus tard je me trouve, à mon corps défendant , au comptoir d’un hôtel **** en train de négocier auprès d’un employé roublard un accès incognito à la chambre réservée par l’homme aux tempes argentées pour ses mystérieuses transactions . Après avoir longtemps marchandé il accepte et nous conduit devant une porte qu’il ouvre avant de s’éclipser non sans nous avoir délesté de quelques grosses coupures . La chambre est très grande. Solange ( c’est le prénom de ma détective) repère tout de suite le grand placard encastré qui fait face au lit. Elle me demande de m’asseoir dans le fond, les jambes écartées, le dos au mûr. Elle s’assoit entre mes cuisses ouvertes si bien que sa croupe généreuse est en contact étroit avec mon bas ventre. Je lui dis que c’est gênant mais elle se retourne , me fait signe de me taire et me colle un bisou sur le nez. Que répondre à cela! Plus je recule, plus elle avance. Un vrai pot de colle . Je me paie une érection monstre et elle ne peut l’ignorer tellement nous sommes collés l’un à l’autre. Je me demande si je lui fais autant d’effet.Nous n’attendons pas longtemps. Le quinqua à la chevelure argentée entre dans la suite. Il porte à la main une sacoche. Quelques minutes plus tard on toque à la porte. Une blonde très bien habillée rentre dans la pièce. Elle est accompagnée d’un grand black. Devant nos yeux surpris, une transaction se déroule. L’homme à la chevelure argentée sort des documents de sa sacoche et les donne à la blonde qui lui remet en contrepartie une enveloppe. Mais ce n’est pas fini. La blonde enlève son tailleur chic. En dessous, elle ne porte que des bas. Elle est intégralement épilée. Son corps trop parfait sent la chirurgie esthétique à plein nez. Elle se met à genoux devant l’homme. Celui-ci sort une grosse queue molle de sa braguette que la blonde avale aussitôt goulûment. Le black se déshabille. Il est maintenant tout nu et regarde la scène en se branlant. Tout se complique. Devant nos yeux ébahis la blonde sort de son sac à main une fiole. Elle répand du liquide dans sa main et en enduit copieusement le sexe du quinqua et du black. . Elle est maintenant debout. et présente ses fesses à l’homme aux cheveux argentés qui l’encule profondément. Le black écarte les fesses de l’élégant quinqua et sodomise celui-ci à son tour. Dans le placard, Solange remue de plus en plus pendant qu’elle prend des photos. Le trio s’agite dans tous les sens. L’homme pris en sandwich jouit bruyamment et le trio de désemboite. Le black présente sa queue au quinqua qui le suce et reçoit toute le purée dans la bouche. Mais ce n’est pas fini car l’homme aux tempes argentées s’allonge sur le dos et ouvre une bouche encore pleine de sperme. La blonde s’accroupit au-dessus de la bouche baillante Elle se masturbe frénétiquement et jouit en envoyant avec force trois longues giclées avec une précision diabolique dans la bouche ouverte de l’homme qui avale le tout avec un plaisir évident. C’est la première fois que je vois une éjaculatrice à l’œuvre et c’est impressionnant Tout ce beau monde se rhabille en vitesse et quitte la pièce.Quand nous sortons du placard, les jambes ankylosées, Solange pointe un doigt accusateur sur ma braguette gonflée et me dit que si je sors dans cet état on se fera remarquer . Elle ajoute très hypocritement que je n’ai qu’à secouer mon vermicelle et qu’après je serai plus calme Elle ajoute, narquoise: » cela ne sera pas la première que je verrai un homme se faire une queue ». Tout rouge, je refuse catégoriquement. Elle hausse les épaules , soupire et apparemment excédée dit qu’elle va s’en occuper. Et avant que je puisse réagir, elle dégrafe prestement ma ceinture et baisse mes pantalon et slip à mi cuisses. Je suis écarlate . D’habitude je suis plutôt fier d’être bien monté Mais en ce moment, tout cela me semble un peu incongru Mon sexe raide et rouge , très épais m’apparaît des plus obscène et je me sens ridicule. Solange regarde fixement la chose pendant qu’elle passe nerveusement sa langue sur ses lèvres. Je suis pétrifié sur place et le pire, c’est que je n’ai pas envie de bouger. Elle s’empare non sans hésitation à deux mains de mon phallus . Je crains un peu la suite, mais ses mains sont douces et je dois avouer qu’elle sait y faire. En tout cas elle semble étrangement troublée. Son teint rosit pendant qu’elle fait coulisser adroitement le prépuce sur le gland. La coquine attrape le flacon d’huiles abandonné sur la table de nuit. et s’en enduit copieusement les mains . Elle me fait ensuite un savant massage qui montre qu’elle connaît parfaitement l’anatomie masculine. Elle n’est plus du tout moqueuse et semble plutôt soucieuse de me procurer avec ses mains un maximum de plaisir Son regard devient trouble tandis qu’elle guette avec une légère inquiétude dans ses grands yeux verts l’effet de ses manipulations . Je ne boude pas ses caresses et me laisse aller à gémir de plaisir . Elle sourit alors doucement et accentue encore sa caresse. Je lui dis que je vais jouir. Je me trouve ridicule, le pantalon baissé à mi-cuisses . Je sens le plaisir arriver, je ferme les yeux en même temps que j’éjacule puissamment envoyant tout mon jus sur la moquette. Solange semble maintenant toute émue du plaisir qu’elle m’a procuré . Elle s’est mise à genoux et essuie délicatement et avec semble-t-il une certaine tendresse les dernière gouttes qui perlent du méat avec un kleenex puis soudain pose un bisou sonore sur mon gland. Elle se relève aussitôt et me dit de me dépêcher.Je lui propose de l’accompagner chez elle . Elle accepte bien volontiers. La rue où elle habite est particulièrement encombrée. Les places de stationnement sont rares. Elle me tend un exemplaire de ses clés et me glisse à l’oreille : »dépêche toi, j’ai très envie …… » et sort de la voiture.. Pas une place pour se garer. Enervé , je recule sans regarder et accroche un véhicule. Disputes, gueulantes, constat. Bref c’est avec 1 heure de retard que je pénètre dans son appartement. Quel bazar ! ce n’est pas une ménagère accomplie. Je suis effaré du désordre qui règne dans l’appartement. Par ailleurs on voit qu’elle pratique assidûment les arts martiaux ( photos d’elle en kimono et ceinture noire sur le mûr, ustensiles d’entraînement de toutes sortes ).Pas de solange. J’ouvre la porte de la chambre :elle est allongée toute habillée sur le lit et dort profondément La bouteille de cognac traîne sur le lit. J’hésite un instant. Je ne peux pas la laisser comme cela. Je lui enlève son éternel maillot de corps. Elle ne porte pas de soutien-gorge. Il faut dire qu’elle a de touts petits seins. À peine plus que moi. Je lui ôte ses bottines et ses chaussettes. Je dégrafe le jeans et le baisse lentement. Elle porte un slip blanc en coton, style petit bateau. Je suis intrigué par la grosse bosse qu’elle a entre les cuisses. Je baisse le slip et m’aperçoit qu’elle a entre les jambes une espèce de serviette périodique. Un peu gêné, je l’enlève. La coquine n’est pas indisposée. Elle coule simplement comme une fontaine. Je me disais bien que le rodéo dans la chambre, le contact étroit de nos corps dans le placard , le fait de me sentir vibrer entre ses mains complètement abandonné à ses caresses ne devaient pas la laisser indifférente. La serviette absorbante est complètement trempée .. Quand je pense au cinéma qu’elle m’a fait parce que je bandais . Elle m’a bien eu. Dans le placard, il m’avait semblé qu’à plusieurs reprise elle avait eu des mini-orgasmes . Maintenant je tiens la preuve de ses émois entre mes mains. Malgré moi je suis attiré par son corps nu comme par un aimant. À genoux devant elle je pose mes lèvres sur sa peau , ma langue caresse ses petits mamelons qui durcissent aussitôt . Dans son sommeil elle gémit doucement. Ma bouche glisse sur son corps décrivant des cercles de plus en plus étroits dont le centre est son bas ventre. Je ne suis pas pressé . Elle gémit doucement et ouvre instinctivement ses cuisses très musclées .J’ai maintenant ma tête entre ses jambes que j’écarte au maximum très doucement. Ses grandes lèvres sont ouvertes laissant apparaître la chair rose de son sexe. Sa toison est clairsemée ,d’un blond roux très clair. Elle ne s’épile pas souvent, car si sa touffe n’est pas très fournie, de longs poils clairs parsèment son bas ventre et le haut de ses cuisses. Je commence par lui lécher la fente longuement, titillant son clito du bout de la langue . Instinctivement elle soulève son bassin pour aller au-devant de la caresse. Elle mouille énormément. Je n’ai jamais vu une femme couler autant. Bien que j’aspire au fur et à mesure son nectar intime, cela dégouline sur mon menton. Je profite qu’elle soit un peu cambrée pour titiller sa rosette avec le médium. Celle ci est très élastique si bien que j’enfonce aussi l’index dans la corolle entr’ouverte. Je glisse le pouce dan son vagin détrempé. Pendant que ma langue torture son clitoris, je remue les 3 doigts profondément enfoncés dans ses deux trous. Je frotte la pulpe de mon pouce qui est dans sa chatte contre la pulpe de l’index et du médium profondément enfoncés dans son anus. Je sens la fine membrane séparant les deux orifices vibrer entre mes doigts. Elle gémit de plus en plus bruyamment se cambre brutalement et ouvre brusquement ses grands yeux verts qui me reconnaissent aussitôt. Elle soupire : « je t’aime’ et retombe complètement endormie . Lucide, je la regarde. Elle a du s’envoyer au moins la moitié de la bouteille de cognac. Elle se retourne sur le ventre me dévoilant son superbe cul. C’est sûrement le plus beau que j’aie vu à ce jour et pourtant j’en ai vu : des petits, des gros, des plats, des joufflus. Je ne peux résister , j’écarte les deux globes et lèche le raie, titillant la rosette très élastique. Bien qu’elle soit dans les vapes elle geint dans son sommeil comme une petite fille. Je bande comme un âne. Pour me calmer je fais le ménage et la vaisselle chez elle. Je ne pars qu’au petit matin laissant derrière moi un appartement nickel.Le lendemain soir, sur le coup de 19 heures je discute sur le trottoir devant le siège social de la société qui m’emploie avec deux de mes collègues, consultants de haut niveau quand soudain j’aperçois ma détective de choc. Je n’en crois pas mes yeux. Elle porte une perruque vert pomme, une mini-robe noire collante ultra courte et aux pieds de grosses galoches. Malgré son accoutrement on ne peut s’empêcher de regarder ses jolies jambes bronzées musclées mais bien fuselées .En tout cas elle est très sexy et à la limite de l’indécence. Tous les hommes de la rue ont les yeux rivés sur elle . Je crois que nous nous posons tous la même question. Porte-t-elle une culotte? Je n’ai pas le temps de répondre à cette question car elle fonce sur moi, se suspend à mon cou et me roule une pelle. J’essaye d’assurer au mieux cette situation délicate. Je vois les yeux de mes deux collègues s’écarquiller et je comprend aussitôt la situation. En levant les bras pour les mettre autour de mon cou Solange a fait remonter sa mini-robe très haut dévoilant aux yeux de mes collègues l’intégralité de son superbe cul et à voir le regard de mes collègues, je suis maintenant sûr qu’elle ne porte pas de culotte. Je laisse mes collègues interloqués empoigne Solange et l’entraîne vers le parking de la société où j’ai garé ma voiture. À l’abri des regards indiscrets je lui dis qu’elle devrait avoir honte et que si elle se fait violer , elle l’aura bien cherché. Elle répond du tac au tac » par toi ? ». Elle avise une superbe 2 CV luxueusement rénovée et s’accoudant sur le capot me présente sa croupe insolente. Je sais qu’elle pourrait m’envoyer au tapis avant même que je m’en rende compte mais j’ai trop envie d’elle. Je dégrafe mes pantalon et slip que je baisse à mi cuisses. Je bande comme il n’est pas permis. Je la prends debout. Mais en fait c’est elle qui m’attire dans un fourreau soyeux, très humide , tiède ajusté exactement à la taille de mon sexe. Un vagin sur mesure fait pour moi . Ma mère me disait souvent : il faut que tu trouves chaussure à ton pied et comme je lui demandai comment le saurai-je? , elle me répondait invariablement.: quand tu y seras , tu le sauras. Mais Y étais-je vraiment ? Je suis maintenant profondément enfoncé en elle. Et nous remuons en cadence tous les trois ( la 2 cv , Solange et moi). Ses gémissements deviennent de plus en plus fort et je sens son jus tiède couler sur ma tige , inondant mes bourses. Nous accélérons la cadence et la 2CV à laquelle est agrippée Solange , semble prise de folie. Elle monte, descend au rythme de mes coups de boutoirs grinçant horriblement . Nous jouissons ensemble très bruyamment et Je me déverse en elle l’inondant de mon sperme tiède . Nous récupérons lentement nos esprits, la sueur dégoulinant sur nos visages , quand soudain j’entends une voix bien connue dire: « maintenant que vous avez… euh… fini… pouvons nous récupérer notre véhicule, jeunes gens ? « Je lève un regard encore hagard et je vois le directeur général de la société qui m’emploie accompagné de sa femme devant nous. Je savais que celle-ci collectionnait les anciennes voitures. , mais je n’aurai jamais pensé que cela concernait aussi les 2CV. Depuis combien de temps sont-ils là.? .Je ne le saurai jamais. Sa femme s’installe au volant , il monte à côté d’elle et le véhicule démarre puis s’arrête au bout de quelques mètres . Le Directeur général ouvre la portière se retourne vers moi et me dit pince-sans-rire : « jeune homme si vous montrez autant d’enthousiasme et de fougue dans votre travail , je vous prédis un bel avenir dans notre société ». Et la 2cv s’éloigne en pétaradant. Je suis ulcéré alors que ma détective de choc attrape un fou rire inextinguible. Quand notre voiture arrive à la sortie du parking, nous sommes accueillis par un gardien hilare qui nous lance un grand merci tout en levant la barrière. Bon dieu, les caméras et les micros!. Depuis de récentes agressions et pour des raisons de sécurité, le parking en est truffé et tout à ma passion, je les avais oubliés. Plus tard je saurai que la scène avait été enregistrée et que la cassette circulait sous le manteau dans la société . Cette cassette avait fait aussi le plaisir du conseil d’administration , ces vieux messieurs décorés regrettaient sans doute l’époque où ils roulaient en 2CV. C’était le bon temps! Cet épisode eut un impact non négligeable sur ma carrière. En effet le 1er janvier de l’année suivante je fus promus au grade mirifique de premier adjoint au sous chef de bureau chargé de la logistique fonctionnelle et opérationnelle des archives en instance d’extinction.theo246@caramail.com