NDA : La 2e histoire de mes « passantes ». N’hésitez pas à me faire part de vos commentaires.Chapitre I – La duchesse AnneUn mois à attendre, à compter les jours puis les heures. Un mois à attendre une si petite semaine de vacances coincée entre une année de fac particulièrement chargée et un job d’été peu passionnant. Enfin, l’avion m’emporte sous le soleil de Sicile et à l’arrivée, c’est le paradis : cocktail d’accueil, 30° à l’ombre, la mer turquoise.Je retrouve avec joie les amis avec qui nous nous sommes donné rendez-vous et nous voilà partis pour sept jours de vacances intensives.Notre fine équipe est rapidement complétée par deux jeunes femmes : Nathalie et Anne. Venues seules, elles partagent le même bungalow et se sont jointes spontanément à nous.Étant le célibataire de la bande originale, j’ai vu d’un très bon œil l’intégration des deux filles. Nathalie est psychologue, 27 ans, assez grande, brune aux cheveux longs, un physique agréable aux formes généreuses. Anne est complètement différente. Elle a 28 ans, mesure environ 1,65 m, menue, les cheveux blonds et droit coupés en carré.Différentes par le physique, elles le sont aussi de caractère : Anne est une petite bourgeoise un peu coincée, Nathalie est au contraire naturelle et enjouée.J’avoue éprouver une attirance certaine pour Anne, son côté BCBG m’excite terriblement. Elle est ultra-mince, ses tout petits seins dardent à travers son haut de bikini inutile. Je me surprends à fantasmer sur sa poitrine que d’aucuns qualifieraient de planche à pain.Mon attirance est toute platonique car elle m’intimide un peu, plus âgée de six ans, elle a terminé brillamment ses études de droit. Elle ne fait pas l’unanimité parmi les nanas de notre groupe, et je sens déjà des tensions typiquement féminines.Je complexe sur mes 22 ans et mon statut de « petit jeune » de service, j’avoue que cela freine un peu mes velléités. Cependant, je la drague gentiment, l’air de rien, et elle semble se prêter au jeu.Aujourd’hui, elle m’a demandé de l’emmener en bateau sur un des petits voiliers du club, j’ai bien sûr accepté avec joie. Il n’y a pas beaucoup de vent, la promenade est très paisible. Elle s’est étendue à l’avant du bateau pour bronzer, je dévore des yeux ma figure de proue.Je fantasme sur son corps, j’aimerais promener mes mains sur ces deux mignons petits seins.J’ai découvert qu’elle était très complexée par sa poitrine d’adolescente. Sous les encouragements des autres filles, elle s’est résignée à enlever les bouts de tissus dérisoires afin de bronzer topless. Je suspecte ces encouragements de n’être pas tout à fait honnêtes, mais bon !Je profite de ma position à l’arrière du bateau pour la déshabiller du regard, ses jambes fuselées s’élargissent en cuisses fines et bien dessinées. Je distingue aisément la légère concavité de son pubis et son ventre parfaitement plat aboutissant aux légers vallons de sa poitrine.Me sentant un peu coupable de la détailler ainsi, je me laisse pourtant aller. J’aimerais qu’elle entrouvre un peu les cuisses pour que je puisse imaginer sa toison dorée. Est-elle rasée complètement ? J’imagine plutôt un chaste petit triangle de poils clairs semblant pointer dans la direction du fruit défendu.Si j’osais, j’immobiliserais le bateau, je m’approcherais d’elle doucement et lentement mes mains parcourraient son corps. Avec la même légèreté, je lécherais ses tétons comme une friandise. Je dégusterais son abricot parfait, la pénétrant de ma langue, me délectant de l’odeur délicate de son intimité. Les yeux fermés, les cuisses entrouvertes, elle s’abandonnerait à ma caresse avec un léger soupir lorsque j’effleurerais son clitoris…— On est bien, hein ?Retour à la réalité ! Je fais une embardée précipitée pour éviter le bateau que j’allais gaiement éperonner.— Oui oui, on est bien, réponds-je, tout heureux de ne pas nous avoir tous les deux envoyés à la baille.Plein de détermination, je suis décidé à tenter ma chance ce soir. Ha ha, ça passe ou ça casse !Le soir, comme à l’accoutumée, elle nous arrive toute pomponnée au dîner : bijoux, robe du soir. Je la trouve encore plus désirable : elle porte une jupe courte, blanche, et un petit haut très léger retenu par deux fines bretelles. Le repas se passe dans la bonne humeur habituelle, je fais un véritable show pour la séduire. J’ai cru surprendre son regard sur moi, ai-je rêvé ?Nous partons en boîte. Elle est encore plus belle de nuit, elle ne porte pas de soutient gorge, si bien que ses tétons dardent sous le tissu fin. Quelques danses, on boit un peu, on rit… Mes amis nous quittent pour aller se coucher, il ne reste plus que Anne, Nathalie et moi.Je suis dans un état optimum : j’ai assez bu pour être courageux, pas assez pour être saoul. J’aimerais être seul avec elle, histoire de ne pas me prendre une veste en public. Les silences s’éternisent, Nathalie comprend, elle se lève, se dit fatiguée, puis rejoint sa chambre. Je me retrouve seul avec Anne, je commence à la draguer. Joie ! Elle répond à mes avances, nous nous retrouvons bientôt tous deux enlacés, nous embrassant tendrement. Discrètement, je promène mes mains sur son corps, mais lorsque mes caresses se font plus pressantes je la sens qui se fige et me repousse… Je reprends les choses calmement.La nuit s’avance, je savoure ce moment de rêve avec cette fille qui m’est promise.Nous quittons la boîte et marchons tranquillement dans cette douce nuit d’été. Nous sommes arrivés à la bifurcation des chemins menant à nos bungalows. Je l’entraîne vers mon antre, elle se dérobe :Elle m’embrasse sur la joue puis s’enfuit.Un peu dépité, je regagne ma chambre, seul. Elle me joue la pucelle effarouchée du haut de ces 28 ans, moi qui croyais déjà la partie gagnée. Mais après tout, Anne n’est pas une fille facile, je vais devoir m’armer de patience.Je me lève plein d’entrain après une nuit trop calme, heureux de retrouver ma (future) nouvelle petite copine. Je la rejoins au petit déjeuner, et pan ! je me heurte à un mur d’indifférence.— Salut ! m’exclamé-je, enjoué.— Salut ! répond-elle, glaciale.— Heu… bien dormi ?— Oui, comme d’habitude… poursuit-elle, toujours glaciale.— Nat, s’il te plaît, peux-tu me passer le sucre ? conclus-je, plus du tout enjoué.Cela s’est passé comme ça toute la journée, Anne très froide, comme si je l’avais blessée la veille, et moi ne sachant plus quoi penser.Au dîner, ce soir, je suis d’une humeur un peu moins gaie que d’habitude. Mes amis ayant remarqué le changement tentent de me remonter le moral.— C’est pas une fille pour toi !— Tu perds ton temps !Etc.J’en conviens, je ne sais pas pourquoi je cours après cette gonzesse alors que le club ne manque pas de jolies filles.Le lendemain, Anne et Nathalie sont absentes pour la journée, elles sont en excursion sur le volcan sicilien. J’en profite pour me refaire une santé et la bonne humeur revient.La semaine touche à sa fin, cet après-midi j’ai emmené Nathalie en bateau. Pour m’aider à quitter le ponton, elle paye de sa personne : elle est à quatre pattes à l’avant pour tirer sur la corde qui nous permet de quitter la zone rocheuse. J’ai une vue imprenable sur ses fesses, décorées d’un bikini rose à poids noir. Terrible ! Ce spectacle me fait de l’effet, je commence à bander sérieusement. Il faut que je me calme !Elle a un très beau cul, rond et généreux à côté du petit cul serré d’Anne.— J’aime beaucoup faire de la voile avec toi, dis-je goguenard.— Arrête de mater, ou je raconte tout à Anne ! plaisante Nathalie en reprenant une position un peu plus décente. Sa poitrine est lourde et à l’image de ses fesses, très appétissante.Je me suis focalisé sur Anne alors que Nathalie offre d’autres charmes. Mais, si courtiser Anne semblait une folie, une aventure avec Nathalie me semble encore plus irréaliste.Nous parlons de notre amie commune. J’essaye d’en savoir plus :— Pourquoi Anne me déteste ?— Elle ne te déteste pas.— Alors pourquoi est-elle si désagréable ?— …— J’ai pourtant cru que l’autre soir… nous avons flirté un moment.— Je sais, Anne est une fille compliquée, essaye d’être patient.Patient, patient… ! La fin du séjour arrive bien vite, je ne vais pas mettre six mois à lui jouer la sérénade pour me prendre des seaux d’eau glacée.Le soir, nous retournons en boîte, mes amis s’en vont demain mais j’ai rempilé pour une semaine. Je reste avec les filles. Nous fêtons leur départ, la soirée est joyeuse, puis vers deux heures du matin nos compagnons nous quittent : ils prennent l’avion à l’aube.Je reste avec les deux filles puis seul avec Anne, Nathalie s’est encore effacée diplomatiquement. Anne est redevenue la jeune femme agréable qui me fait tant craquer. Elle reste avec moi ce soir et je me remets à croire en ma chance.Reprenant mon courage à deux mains, je me jette à l’assaut de la forteresse. Même approche, je suis drôle, doux, tendre.Cet après-midi, elle s’est confiée, et j’en sais un peu plus sur elle. Elle vient de se faire larguer par son petit ami après avoir passé six années ensemble. Pas étonnant, me dis-je, sarcastique, mais je l’ai écouté avec compassion.Les affaires s’annoncent bonnes, nous flirtons plus intimement. Nous nous sommes placés dans un coin sombre, je la pelote activement. Ce soir, elle est ravissante, elle porte une robe noire moulante s’arrêtant à mi-cuisse et montant jusqu’au cou. Ces épaules sont dénudées. Je la trouve terriblement sexy, je caresse ses cuisses, remonte sur ses hanches pendant que je lui roule un monstrueux patin. Elle ne se dérobe pas, une main s’est glissée dans ma chemise, l’autre effleure mes lèvres, elle glisse un doigt dans ma bouche. Ce geste est d’une rare intensité érotique. Je bande comme un taureau et, collés comme nous sommes, elle doit s’en apercevoir. J’explore ces seins, mes doigts se glissent dans l’échancrure de sa robe pour atteindre les petits cônes. Elle se raidit, je me méfie, mieux vaut ne pas insister pour le moment. À mon tour, j’insère mes doigts entre ses lèvres. Elle les suce délicatement. Wahoo ! Comme j’aimerais qu’elle fasse la même chose avec ma queue. J’imagine ses lèvres fines autour de mon sexe, j’imagine ma petite bourgeoise en train de me sucer, mon sexe se tend davantage.Après une éternité de tendres attouchements, nous nous levons. Je l’emmène dans mon bungalow. Arrivés au même embranchement, elle refuse de venir, elle me dit qu’il vaut mieux arrêter là , qu’elle n’est pas prête, etc., etc.Je tente de la persuader, je n’en reviens pas ! Elle m’embrasse gentiment puis se sauve en courant. Je regarde son petit cul disparaître dans la nuit.La stupeur laisse place à la consternation, puis la consternation au dépit. Je suis planté en plein passage et j’ai une trique d’enfer. Je commence à me marrer, le rire balaye mon amertume. Ce coup-là on ne me l’avait jamais fait, mais cette fois, j’en rigole. Je fais demi-tour, et retourne au bar pour finir ma nuit seul devant quelques bières.Quelques heures plus tard, je passe directement au petit déjeuner pour y saluer mes amis une dernière fois. Je les accompagne jusqu’au car, et je vois ma chère Anne nous rejoindre, elle est aussi venue leur souhaiter bonne route. Le car s’en va et, fidèle à son habitude, mon hypothétique future petite copine se montre glaciale.C’est bon, on ne m’y reprendra plus. Je ne lui en veux pas de ne pas se coucher dès le 1er jour, mais elle n’est pas obligée de m’envoyer systématiquement balader le lendemain. Cette nouvelle semaine m’appartient, et après ces quelques écueils amoureux, je me promets de m’attaquer à quelques spécimens plus dociles.Chapitre II – Nathalie s’amuseLe soir suivant, je prends l’apéritif avec Nathalie, c’est un instant privilégié, nous sommes affalés tous les deux dans de confortables fauteuils avec à notre droite la méditerranée comme invitée.Je lui raconte mes malheurs et elle sourit.— Elle a vraiment un problème cette fille !— Je te l’avais dit, c’est une fille compliquée. Je ne la connais pas depuis longtemps mais on a eu l’occasion de discuter le soir, et c’est un cas !— Je pense surtout qu’elle est frigide… peut-être même pucelle !Nathalie rit. Sa présence est rafraîchissante, elle porte une robe en jeans qui descend jusqu’aux chevilles et un corsage blanc qui sans en avoir l’air met en valeur sa poitrine.Un ange passe, nous sirotons tranquillement notre verre.Nathalie me regarde, elle semble hésitante, puis elle me lâche d’une petite voix :— Tu t’es peut-être trompé de cible, me dit-elle en me jetant un regard équivoque.Son ton ne laisse planer aucun doute quant à l’alternative qu’elle envisage. Je la regarde surpris, elle est tout à fait désirable, ça, je le savais, mais serait-elle intéressée ?Devant une telle perche, Je ne peux résister :— Aurais-je mes chances avec une autre fille ? louvoyé-je.— Peut-être. (Sûrement !)— Tu connais une personne qui saurait me faire oublier mes désillusions ?— Peut-être ! (Re-sûrement !)— Tu me la présenterais ?— On verra ! (Ce soir à la boîte !)Je suis pris de cours mais je me remets très vite, j’ai été envoûté par Anne la cyclothymique, et elle a masqué la jolie Nathalie comme un arbre cache la forêt. Il n’est pas trop tard pour partir explorer cette fameuse forêt.Anne nous rejoint pour le dîner, attitude mi-figue mi-raisin, mais je suis habitué et ce soir je m’en fous ! Nous continuons en boîte, cette fois-ci c’est Anne qui nous laisse après le repas pour aller se faire un soin du visage. On la regarde partir en riant : un soin du visage ici ? C’est tout elle.Nous ne brusquons pas les choses, je ne veux pas avoir l’air de lui sauter dessus, elle apprécie. On reste un moment à discuter ensemble près du Bar. Au loin, le spectacle se termine, je m’assois à côté de Nathalie, je l’enlace, on s’embrasse. Notre baiser devient passionné, je découvre son corps. Ma main glisse entre ses jambes, s’infiltre par l’ouverture de sa robe. Entravée par le tissu épais, je ne peux pousser très loin ma caresse. Je me reporte sur ces seins que je presse à travers le tissu, mon sexe se durcit terriblement, elle incline la tête en arrière.Les gens commencent à arriver, nous ne sommes plus tranquilles. Je l’enlève vers ma chambre. Nous tenant par la main, nous passons devant le funeste carrefour… sans encombre.Dès la porte fermée, elle se jette sur moi, m’arrache mon polo et se colle à moi, je sens ses seins contre ma poitrine, ses mains parcourent fiévreusement mon torse. Je cède volontiers à cette folie, je commence à déboutonner les multiples boutons de sa robe. L’émotion me rendant maladroit, je finis par faire sauter les bretelles de sa robe et le tissu tombe à ses pieds. De son côté, elle a déjà déboutonné mon jean et glisse sa main dans mon caleçon. Je la sens prendre mon sexe tendu dans sa main et après l’avoir délicieusement caressé, elle ne tarde pas à le libérer complètement. Je ne perds pas de temps non plus, mes doigts ont pénétré sous la dentelle de sa culotte et se fraye un passage dans sa fourrure intime.Nous-nous débarrassons fébrilement de ce qui reste de nos vêtements, elle apparaît nue devant moi. Je prends un instant pour la regarder, elle a tout, et en quantité. Ces seins lourds ornés d’une petite aréole brune ; sa toison pubienne dense mais taillée ; ses hanches larges ; de larges courbes… Je la désire furieusement et cela se voit :— Tu tiens la forme ce soir !— Ouais ! Une semaine de désirs frustrés, tu vas voir c’que tu vas voir, poupée ! fais-je d’une voix à la John Wayne.Elle rit, je me jette sur elle. En fait de John Wayne, c’est plutôt Rocco Sifredi (toutes proportions gardées) qui se jette sur elle.Nous basculons sur le lit, le temps n’est plus à la plaisanterie et je continue de la dévorer. Ma bouche lèche et mordille chaque parcelle de son corps. Ces seins n’ont plus de secrets pour moi. Je descends lentement vers son ventre, j’entends sa respiration lourde. Ma langue parcourt sa toison douce jusqu’à la commissure des lèvres. Elle écarte les cuisses, ma langue s’active, je lape sa vulve que je découvre humide, son sexe s’ouvre à moi.Elle est prête, elle m’invite.Je m’enfonce en elle, prenant possession des lieux abondamment irrigués. Ses mains parcourent mon corps, j’ai repris ses seins en bouche et je la pénètre tantôt doucement, tantôt furieusement.Elle gémit, le plaisir monte, je ne me sens pas le courage de le retarder plus encore. Mes mains empoignent ses fesses, ses jambes se nouent dans mon dos. Elle ondule du bassin pour intensifier encore la pénétration :— Ouiii, ouiiii, continue…Elle explose.— Aaahh ouiii, c’est bon…Je jouis en même temps dans un grognement. Un orgasme libérateur nous unit puis je m’écroule sur elle.Un peu plus tard, elle est dans mes bras.— Ça fait du bien, hein ?— Je te le fais pas dire !Elle me cherche :— Tu ne regrettes pas trop Anne ?— Que non ! Je la contemple, elle est couchée sur le flanc, sa tête sur mon torse. Son corps sinueux se fond avec la semi-pénombre de la pièce.Mon sexe est un peu moins à son avantage mais en m’attardant sur ses formes, je commence à ressentir un picotement dans mon bas-ventre.— Quoique… Je regoûterais bien…Elle comprend le message, sa main remonte à nouveau le long de mes jambes à la rencontre de ma queue. Elle la prend entre ses doigts.Elle se moque :— Tu parles beaucoup, mais tu es en petite forme !— À toi de me réveiller…Elle approche le visage de mon bas ventre, je sens son souffle chaud sur ma peau. Elle prend mon sexe dans la bouche et le suce lentement. Il ne lui en faut pas plus pour se redresser, puis se tendre au fur et à mesure de ces caresses. Nathalie me taille une pipe, je n’aurais jamais cru ça quelques heures auparavant. Ses cheveux devant son visage me cachent le spectacle de ses lèvres sur ma queue. Un plaisir naissant afflue, je me contorsionne et mes doigts arpentent ses fesses charnues, palpent, caressent, descendent dans le doux canyon vers son sexe. Je le découvre encore humide de son désir et de mon sperme, elle me tend sa croupe pour faciliter mes attouchements. Elle m’enjambe, face à moi, puis elle frotte longuement mon gland entre ses fesses. J’ai envie à nouveau de la pénétrer. Elle se masturbe avec mon sexe, nous procurant un plaisir immense, puis elle guide la verge gonflée dans son vagin et l’engloutit complètement. C’est elle qui tient les rênes, elle bouge lentement, j’ai tout le temps de savourer son fourreau moite. Ma partenaire fait durer le plaisir, parfois approchant trop près du gouffre, elle s’arrête et reprend son souffle, puis reprend ses ondulations crescendo. Soulagé par mon orgasme précédent, je me sens endurant, elle en profite. Viens le moment où elle abdique, ses gestes s’accélèrent. Je choisis ce moment pour changer de position, je la retourne et la place à quatre pattes.Je la prends en levrette, mon gland s’enfonce lentement dans sa moiteur, quelle croupe ! Je la tiens par les hanches et je commence à la posséder. Rien que la vue de son cul généreux sous moi me comble de plaisir. Elle est à la limite et je ne suis pas encore prêt, je m’immobilise au plus profond d’elle. Je la caresse doucement, elle se redresse, je lui mordille le cou, mes mains empoignent ses seins lourds et pleins.À nouveau, je reprends ma besogne, j’entre et sors en elle avec de tout petits mouvements, je glisse des doigts entre ses fesses, ils s’aventurent autour de son petit trou. J’humidifie mon majeur et lui glisse lentement dans l’anus.Elle accepte cette caresse, je sens son plaisir monter, le mien aussi. Je l’empale profondément, ses halètements deviennent plus forts, elle jouit enfin. Son orgasme longtemps retenu se libère et déclenche le mien. Elle fait aller et venir ses fesses sur ma bite en gémissant, puisant jusqu’à la dernière goutte de notre plaisir.Je reste un moment sur son corps luisant de sueur, toujours en elle.Quelques minutes plus tard, j’entends sa respiration régulière, elle dort et je ne tarde pas à la rejoindre.Je me suis réveillé un peu avant elle, j’ai doucement caressé ses courbes découvertes, pour m’assurer de sa réalité.Nathalie se réveille, contrairement à Anne, elle ne fait pas le coup de Dr Jekyll et Mrs Hide. La matinée est animée.Il est 11 heures du matin et je médite seul devant un café sur le comptoir du bar. Anne arrive à grandes enjambées.— Ah, te voilà , toi !— Bonjour, Anne, comment vas-tu ? dis-je onctueusement.— Tu as vu Nathalie ce matin ?— Nooonn ! Pourquoi ?— Figure-toi qu’elle n’est pas rentrée de la nuit, dit-elle outrée.— Nooonn ? (Il m’arrive, le matin, d’être un peu léger dans mes répliques.)— Tu es resté avec elle en boîte ?— Euuh, oui oui, mais je l’ai perdu de vue.Anne prend un air mystérieux :— Elle n’a pas été perdue pour tout le monde, je crois.J’ai joué à l’idiot du village pendant toute la journée, cachant, par jeu, ma nuit torride avec son amie. Mise dans la combine, Nathalie joua le jeu pour notre plus grand plaisir.L’après-midi, Anne revient à la charge :— Tu sais quoi, me dit-elle avec un air de conspiratrice.— Noooonn ? (Bon, il faut que j’arrête de faire le demeuré car elle va finir par se poser des questions.)— Je ne devrais pas te dire ça… mais…Elle fait durer le suspense mais elle meure d’envie de raconter.— Nathalie m’a décrit sa nuit « d’enfeeeer » avec un homme.— Sans blague… « nuit d’enfeeeer », NOTRE Nathalie ?— Absolument !On comprend pourquoi la presse people marche si bien ! Et Anne de me raconter avec plus ou moins de détails la description que Nathalie lui a faite de sa nuit. Description toute à mon avantage et même un peu exagérée, je sentais que Nathalie s’était amusée de son récit. Je notais au passage deux ou trois trucs que je ne manquerais pas de lui faire.— Incroyable, hein ?— Surprenant, mais pourquoi pas ? J’envie l’heureux élu.— Oohh !— Ben quoi, tu ne l’envies pas, elle, de s’être offert une nuit de folie ?Anne, faussement choquée, me certifie qu’elle n’est pas du genre à faire çà (je m’en étais rendu compte) ; qu’elle ne la savait pas comme ça ; etc.J’aurais pourtant parié, à voir ses yeux briller, que le récit de Nathalie l’avait un peu émoustillée.Nous avons passé le reste de la journée en jouant au chat et à la souris. Cette nuit, j’ai fait l’amour à Nathalie avec ardeur, je l’ai pénétrée, j’ai joui en elle, mais je reconnais que l’image encombrante d’Anne est quelques fois venue se substituer à la jeune femme que je serrais dans mes bras. Plus tard dans la nuit, j’en éprouve de la culpabilité et de la colère, puis le sommeil enfin, m’emmène rejoindre mon amante.Il est 16 heures, nous sommes tous les trois en train de lézarder au soleil, Anne la curieuse bombarde Nathalie de questions.— Allez, dis-nous qui est ce bel Italien ? (Tiens, c’est un Italien !) Nathalie est pliée en deux.— Je suis sûr que c’est le barman !— Quel Barman ?— Tu sais, Maximo, l’Italien.— Ha ! Peut-être, minaude Nathalie.Un peu faux-cul, je me joins à Anne.— Ou alors, le prof de Judo ?— Non ! Je la vois bien avec le barman.Nathalie se marre, elle tient bon, et Anne n’en apprend pas plus. Ce qu’elle apprend par contre c’est tous les détails de la dernière soirée. Si avec ça elle ne trempe pas sa culotte, c’est qu’elle est réellement frigide.De dépit, notre petite bourgeoise est allée piquer une tête dans la piscine. Un petit bain va lui permettre de se calmer de ses émotions, pensais-je revanchard.Anne a enchaîné avec la gym aquatique. Je la regarde s’ébrouer dans l’eau. Je ne peux m’empêcher d’être attiré par cette fille. Quel idiot je suis, je partage ma couche avec une vraie femme et je fantasme sur cette snobinarde ! Il n’empêche que je sens à nouveau une érection poindre.Proprement scandaleux et très inconfortable ! Je me traite de tous les noms. Les mecs, des fois, réfléchissent avec leur bite !Mon émoi n’échappe pas à Nathalie, ce soir-là , au moment tant apprécié de l’apéritif, elle me demande :— Tu en pinces toujours pour Anne ?Je nie en bloc, je n’ai plus rien à voir avec cette fille, je le jure devant mes grands dieux.— Ne me raconte pas d’histoires, je t’ai trouvé particulièrement ému cet après-midi à la piscine.La vache, rien ne lui échappe, je lui promets un brillant avenir professionnel.Inutile de mentir, je mens d’ailleurs très mal. J’avoue piteusement :— C’est vrai, j’ai du mal à m’en débarrasser.En bonne psy, elle me diagnostique un « fantasme obsessionnel » ou quelque chose comme ça.— Oui docteur. C’est grave docteur ?— Non, ce n’est pas grave, il faut soigner ça !Je vois très bien quel type de soin elle désire m’apporter…— Tu dois te la faire une bonne fois pour toutes, cela te libérera.— ???!!— Oui, visiblement tu idéalises tattatatatat… Je sèche mentalement la suite de son cours de psychanalyse. Ce n’est pas du tout le type de soin auquel je pensais. Parlait-elle sérieusement ?— … et donc, après avoir réalisé l’acte, le fantasme magnifique deviendra une simple tranche de vécu, vite fait, vite oublié ! Eh oui ! J’ai bien entendu, j’en reste bouche bée !— En plus, ça lui fera le plus grand bien… Ferme cette bouche, tu as l’air idiot !J’obtempère. Cette femme est une extra-terrestre, sous son air sage, se cache une diablesse.Dans un effort pour ne pas paraître trop largué, j’argumente :— Tu as peut-être raison, mais j’ai déjà essayé deux fois et je me suis pris deux râteaux.— Si je coopère, c’est jouable.— Coopérer ??? Que comptes-tu faire ?Elle répond en souriant,— Je vais te monter une cabane.J’en ai assez entendu, j’ai l’esprit saturé de surprises et d’émotions.La situation me dépasse, je décide, très raisonnablement, de m’en remettre à ma copine. Moi, d’habitude en vacances j’arrête de réfléchir !— OK, à toi de jouer.Chapitre III – Anne, le retourJe ne sais pas ce qui s’est passé entre les deux jeunes femmes mais peu à peu l’attitude d’Anne se radoucit. Je surprends quelques regards. J’ai l’impression que Nat est en train de lui bourrer le crâne, elle bosse pour moi.Anne ne me lâche plus et en bonne commère, elle me raconte les pseudo-confidences de Nathalie.— Et cela ne te tente pas ?Cette fois, elle ne prend pas son attitude de pucelle effarouchée.Elle m’a répondu timidement en rougissant comme une jeune fille parlant de sexe pour la première fois.— Alors, lâche-toi.— Il faut d’abord que je trouve un homme qui me tente…Je la coupe :— Viens, allons dîner.Je désire éviter la séquence de notations de tous les types aux alentours. Ma position actuelle de confident devient risquée. C’est moi qui suis censé me la faire !Nathalie nous rejoint, elle me glisse :— Ce soir, elle est prête.J’acquiesce d’un air de conspirateur.Et rebelote pour le grand cinéma, Marc le grand séducteur, le Clark Gable des sables (vous pouvez remplacer Gable par Brad Pitt). Nathalie se marre intérieurement, et je dois dire que je m’amuse aussi beaucoup. C’est la soirée chic, nous sommes tous endimanchés (pour moi, ça s’arrête au pantalon à pince – chemisette), Anne est splendide. Elle porte sa petite robe moulante que j’aime tant. Malgré toute l’affection que je porte à Nat, je reconnais encore une fois que Anne m’excite énormément.Après le repas, nous discutons un peu à table avec les autres convives, puis nous nous levons. Nathalie secoue ses troupes :— On va en boîte !— C’est parti !Anne traîne un peu.— Ce soir, je n’ai pas envie d’aller en boîte.Inquiet, je lui demande :— Tu es fatiguée ?— Non, non, j’ai plutôt envie de calme.— Ouf, c’est pour moi, pensais-je.Nathalie attrape la perche.— Bon, faites ce que vous voulez, mais moi j’y vais…Elle s’éloigne d’un pas décidé :— Je pars retrouver mon bel étalon italien !Anne me glisse :— Je suis sûr que c’est le barman !— Oui oui, sûrement… On va se promener un peu ?— D’accord !Elle a accepté avec empressement et nous partons tous les deux vers le rivage. Une petite séance d’escalade sur le bord rocheux est prétexte à rires et chahut d’écoliers. Galant, je ne manque pas une occasion de l’aider. Nous nous retrouvons dans une petite crique déserte jouxtant le club. Nous marchons un peu, je glisse ma main sur ses hanches.Pour l’instant, tout va bien, mais elle m’a déjà surpris. Je poursuis la tentative d’approche, nos corps se serrent.Le coucher de soleil sur la mer, la beauté des lieux et Moi ! Si ça ne suffit pas, je me la coupe (non sans avoir fait subir les pires outrages à Nathalie pour me venger du genre féminin).Mais ça ne sera pas nécessaire, elle s’arrête, se tourne vers moi, ses lèvres s’approchent des miennes. On s’embrasse. Se baiser est torride, elle me dévore la bouche, elle colle son corps à moi. Je promène mes mains sur son corps, descends le long de ses reins et m’arrête sur son petit cul que j’empoigne à deux mains. Elle suspend son baiser pour exhaler un souffle. J’en profite pour l’embrasser dans le cou, je lui mordille le lobe de l’oreille. Sa peau est douce, je respire son parfum, assemblage délicat de son odeur et de Chanel No 5. Mon sexe se tend, je presse ses hanches contre mon bas ventre, elle ne peut pas ignorer mon désir. Je lui caresse le bas des fesses, en lui retroussant sa robe. Elle s’abandonne complètement, je sens son désir. Je la soulève, elle m’entoure de ses bras et m’embrasse fébrilement. Ses jambes se nouent autour de mes cuisses.À l’horizon, le soleil se couchant colore la scène comme une carte postale, il ne manque plus qu’une légère bande sonore.Nos corps se dissocient, nous courrons vers le haut de la plage. Je la renverse sur le sable. Mes mains explorent maintenant la face pile. Je caresse ses cuisses, elle les écarte sensiblement. Je m’attarde sur la peau nue et douce, puis je remonte lentement sur son bas ventre. Mes doigts atteignent la terre promise, encore protégée par le tissu de sa robe.Je frotte sur ce triangle qui se dessine, je la surveille, les yeux fermés, la bouche entrouverte, elle s’abandonne. Remontant encore, je m’attarde sur son ventre si plat puis j’atteins sa poitrine. À peine un léger frisson lorsque je m’en empare. Je l’embrasse pour la détendre et poursuis mes investigations.Après la poitrine généreuse de Nathalie, je passe d’un extrême à l’autre avec les petits seins timides d’Anne. J’ai réussi à baisser un peu la fermeture de sa robe, hélas, le zip se trouvant dans le dos, le chemin des petites collines m’est encore interdit.Anne s’encanaille, elle me caresse doucement l’entrejambe. J’ouvre ma braguette pour me libérer et je pose sa main sur mon membre. Elle commence immédiatement à me masturber.Nathalie avait raison, Anne est prête.Je reviens vers son ventre, il est temps de passer aux choses sérieuses. Tout en la caressant, je retrousse petit à petit sa robe. Mes mains se promènent à l’intérieur des cuisses pendant que ma bouche se pose sur ces seins toujours chastement protégés. Je lui mordille les tétons à travers le tissu. Plus aucun signe d’inhibition, mes attentions assidues ont raison de ses doutes. À défaut de ses seins, je me concentre sur son bas ventre. Mes doigts investissent sa petite culotte. Je la masturbe délicatement à travers la dentelle, je la sens vibrer sous mes doigts, elle gémit tout doucement. Derrière ce dernier rempart attend sa chatte délicieuse et impatiente. Rien n’échappe à mon attention, j’ai l’intention de lui donner le meilleur. Écartant la membrane de tissu, j’investis son délicat minou. Mes doigts jouent avec ses fines bouclettes blondes, pressent doucement le début de son sexe. J’effleure plusieurs fois, comme par inadvertance, son clitoris. Je sais qu’elle va bientôt jouir, son corps se tend pour accentuer le contact de sa chatte avec mes doigts. Je m’attaque enfin à sa fente humide, je me promène, je joue, j’y insère une phalange qu’elle accueille avec un gémissement.Bien sûr, elle n’est pas vierge ni frigide. Plus tard, je la prendrais, je sais que je la baiserais, je la posséderais totalement dans un assaut sauvage et revanchard.Pour le moment, c’est du doigt que je la possède. Abandonnant son buste, j’approche ma tête de son entrecuisse, ma bouche est à quelques centimètres de son intimité. Elle doit sentir mon souffle chaud sur ses lèvres tandis que mon doigt fureteur crochète toujours plus profondément son puits. J’écarte ses jambes plus largement, elle se cambre davantage, attendant une langue qui tarde à venir. Sa position est complètement indécente, sa robe troussée jusqu’au haut du pubis, les cuisses largement ouvertes. Son abricot est semblable à mon imagination, c’est la plus jolie petite chatte que j’ai jamais vue, le coquillage nacré gonflé de jus m’appelle. Enfin, je pose mes lèvres sur ces lèvres intimes, je l’embrasse de plus en plus passionnément, ma langue s’en mêle, s’emmêle dans ses chairs délicates. Quelques coups de langue ont raison de sa raison et elle jouit dans un concert de gémissements où se mélangent des « ouiiii », des « ahhh », et des « mon amour ». Je ne quitte pas mon poste pendant que la tempête convulse son corps.Elle reprend ses esprits.Ses cuisses, ses fesses dénudées, son entrejambe écartelé et humide contrastent avec le haut de son corps : son buste recouvert de noir jusqu’au cou, son charmant minois, maquillé, paré de boucles d’oreilles. J’ai envie maintenant de profaner ce joli visage. Je m’agenouille à côté d’elle et je présente ma queue à quelques centimètres de sa bouche. Elle ne bouge pas, je lui glisse mon sexe un peu détendu entre les lèvres. Elle écarte légèrement celles-ci afin de me laisser le passage. Sa bouche est maintenant pleine, ces lèvres forment un « O » insérant ma hampe. Enfin, elle s’active, je sens sa langue parcourir mon gland, sa main s’empare de la base de mon membre, son autre main visite le haut de mes cuisses et vient palper mes bourses.Je bande à nouveau, ses lèvres fines emprisonnent mon gland tandis qu’elle me masturbe. Quelle fellation ! Mystérieuse Anne, tantôt coincée et maladroite, tantôt amante expérimentée. Je me couche sur le dos, elle me suit en ne lâchant pas mon sexe. À nouveau, ma main part fureter sur ses fesses, je la caresse, espérant raviver son désir. Un doigt pénètre son fruit tendre, rapidement il se mouille. De son côté, elle poursuit son ouvrage, elle alterne en me léchant le membre, les couilles puis reprend son travail de sape. Je profite que mes doigts sont bien humides pour m’enhardir un peu, ma main vient se perdre dans ses fesses. Je vais et je viens, frôle son anus, je m’y attarde chaque fois un peu plus, puis je retourne visiter ses lèvres. Sa raie est maintenant barbouillée de mouille, je la prépare patiemment. Je presse sur sa rosette, j’introduis lentement une phalange, elle se raidit :— Non, arrête ! souffle-t-elle.Ce n’est pas la douleur qui la freine, mon doigt lubrifié s’est enfoncé facilement, c’est plutôt l’interdit d’une demoiselle un peu sage. Cela m’excite encore plus.Elle reprend mon sexe en bouche, son anus toujours envahi. Je poursuis doucement ma caresse annale. Son anus est si serré que je ne rentrerais pas grand-chose d’autre qu’un doigt. Elle se détend peu à peu, semblant enfin prendre plaisir de mes attentions.Maintenant, je la veux, je la prends par les épaules :Elle se place sur moi, sa robe remontée jusqu’au nombril, ses cuisses de part et d’autre de mes hanches. Elle prend mon sexe dans une main et le guide elle-même à l’entrée de son vagin. Lentement, elle le glisse en elle, s’abaissant sur moi, il coulisse jusqu’au fond de ses chairs. Son fourreau est délicieusement serré, ma queue est maintenant engoncée dans la moiteur de son intimité. Nous profitons quelques instants de cette fusion, puis elle entame une langoureuse ondulation. Chaque geste est un plaisir, nous nous embrassons. Je baisse le zip de sa robe, en un instant je la fais glisser sur ses épaules pour libérer enfin sa poitrine si menue et si arrogante. Ma bouche se colle comme une ventouse sur ses petites collines, elles sont fermes, gonflées. Je joue avec ses tétons. Elle souffle, elle apprécie cet hommage à sa poitrine injustement méprisée. Elle ondule de plus en plus fort, elle est en route pour un nouvel orgasme et je sais que je la suivrai. J’empoigne ses fesses à  pleines mains, elle gémit :— C’est bonnn… c’est bonnn !Vicieux, je lui glisse à nouveau un doigt dans l’orifice étroit.— Ahhh ouiii, vas-yyy !Ses mouvements deviennent frénétiques, ma bouche quitte sa poitrine, je me mords les lèvres pour tenir encore un peu la jouissance que ses cris attisent. Enfin, elle explose dans un gémissement, son corps nerveux se tend, mon sexe au plus profond d’elle. Il ne m’en faut pas plus, je jouis, me libérant enfin d’une semaine de désirs contrariés. J’empoigne ses hanches et je la fais aller et venir sur moi comme un mannequin. Chaque retour en elle provoque une explosion de plaisir et de semence.Elle est couchée sur moi, mon sexe ramolli lentement dans son corps. Sur la rive, de paisibles vaguelettes, sans commune mesure avec l’ouragan qui nous a secoués, viennent lécher la plage. Ma petite bourgeoise, semble satisfaite. Sa robe retroussée ne couvre plus que son nombril. Tenue hautement indécente, son petit cul sourit à la lune.Elle émerge, se redresse et se rajuste rapidement. Elle cherche sa culotte qu’elle ne retrouvera pas.— On rentre ? me dit-elle d’une petite voix.— Oui, on rentre.On se lève, et main dans la main, nous nous redirigeons vers le club.La partie d’escalade sur la barre rocheuse est périlleuse sous le faible éclairage de la lune. Elle marche devant moi, ses fesses moulées par sa robe ravivent mon désir. Je ne manque pas une occasion de la peloter, elle s’enfuit en riant :Je la rattrape, l’empoigne à bras-le-corps pour plonger mes lèvres dans son cou. Mon bas ventre s’écrase sur ses fesses. Ce qui n’est qu’un jeu ravive notre désir. Mon sexe se tend, elle m’excite davantage en tortillant un peu sa croupe, plus femelle que jamais. Mes mains sont posées sur ces seins, elle tourne la tête, se tord le cou, nos lèvres se cherchent et se trouvent. On se lèche plus qu’on s’embrasse. Je pose une main sur son sexe. Elle essaye de se retourner pour me faire face, je la retiens.— Non, ne bouge pas !Je la pousse contre le rocher, je continue à lui embrasser le cou. Sous ma pression, elle s’incline contre le rocher, prenant appui contre la pierre. Je déboutonne mon pantalon pour frotter ma queue contre ses fesses, puis je retrousse sa robe. Je presse mon membre contre sa vulve, je veux investir à nouveau son fourreau serré. Cette fois, il n’y a pas de préliminaire, je la pénètre, elle pousse un petit cri aigu.Je n’ai jamais senti une telle sensation dans le ventre d’une femme, mon sexe est comprimé par ses chairs fermes. Elle ondule sa croupe en une danse tribale langoureuse, elle va et elle vient, tourne, s’agite. Son balai exotique nous emmène petit à petit vers les sommets.Je reprends l’initiative. Je la prends sauvagement, empoignant sa poitrine, son corps poids plume est secoué par mes coups de boutoir. Cette fois, nous ne faisons pas l’amour, nous baisons. Des mots qu’on ne dit pas d’ordinaire cinglent :— Tu aimes, hein ? Tu aimes ?Anne répond dans un souffle : — Ouii, ouii !— Dis-le plus fort !— Ouiiii, baise-moi ! vas-y, baise-moi !Nous explosons tous les deux. Il ne faut pas longtemps dans ce concert lubrique avant que l’orgasme nous emporte. Nous Perdons la raison pendant quelques instants de jouissance, puis nous nous affalons contre le rocher.ÉpilogueNathalie se trompait, « sauter » Anne ne m’a pas vacciné et c’est avec passion que je lui ai fait l’amour ce matin. Puis nous nous sommes levés, main dans la main, pour prendre un petit déjeuner tardif au bar.C’est Nathalie qui arrive toute pimpante.— Ça va plutôt bien.Nathalie nous adresse un clin d’œil :— Bien dormi cette nuit ?Anne rougit, je souris :Une voix interrompt notre conversation.— Ma, elle est où, ma fiancée ?C’est Maximo, le fameux barman italien, qui se dirige vers nous.— Ah ! Nathalie, bella.Il glisse la main sur les hanches de notre amie et l’embrasse. Nathalie lui rend son baiser.— J’ai oune pose à 15 heures après le café.Nathalie acquiesce et Maximo retourne vers son comptoir.Surpris mais ravi, je regarde Nathalie avec un large sourire. Le sourire se change en rire collectif lorsque nous entendons Anne s’exclamer :— J’en étais sûre ! J’en-é-tais sûre, le bel étalon italien. Ce ne pouvait être que lui ! J’ai un don pour ce genre de chose.