Commencer par une faute de français devrait éliminer les lecteurs les plus férus de grammaire et me permettre de vous conter mon histoire, libéré de mes complexes d’écrivain débutant.Agé de 33 ans j’ai connu une vie sexuelle amusante mais pas débridée. J’ai connu mon amie assez jeune (17 ans), je n’avais eu que 3 aventures auparavant qui m’avaient apporté la technicité (j’avais essayé plein de choses!) mais n’avaient pas libéré mon imaginaire.Si mon imaginaire s’est libéré, c’est la faute à Revebébé…Certes, j’étais peut être un terrain précoce puisque j’avais « fauté », en fac puis en coopération avec deux jeunes filles soit, en gros, une fois tous les cinq ans… mais je me considérais comme quelqu’un de rangé.C’est l’excitation procurée par Revebébé qui m’a poussé à profiter de mon succès pour passer à l’acte. Je sais, sur Revebébé, tout le monde est beau et séduisant dans toutes les histoires et ce n’est pas ça qui est important, moi je le suis et si j’étais moins prétentieux je le serais encore plus ! Mais on ne se refait pas. Mais vous verrez que moche ou laid, ce n’est pas ça qui compte dans mes histoires.Je n’ai pas envie de vous raconter par le menu les détails de mes aventures mais plus l’état d’esprit, la satisfaction l’excitation… tout ça part de Revebébé. Pourquoi je fais ça ? Je vous le dirai peut être en conclusion de mon histoire ….Emoustillé par la lectureJe suis allé voir des sites de communauté avec des photos pornos… J’ai vu des films pornos… puis j’ai cherché des confessions… et un beau jour j’ai découvert Revebébé.La, j’y ai trouvé des textes variés, certains sonnant faux mais beaucoup sonnant juste, réels !Et là j’ai découvert que finalement j’étais plus cérébral que visuel car l’excitation (moyenne) que m’avaient procuré les autres substituts de sexe était minime comparée à ce que je ressentais en lisant vos textes. Une drogue ! J’en ai lu jusqu’à 30 consécutivement.Bien sûr cela m’a travaillé, a modifié un peu ma vie sexuelle « en ménage » mais surtout m’a poussé vers l’adultère, selon moi, seul mode de retrouver l’émoustillement intellectuel que procure la lecture de textes érotiques. Vous comprendrez peut être les raisons de cette affirmation à la fin de mon/mes textes. Donc attention chers lecteurs, Revebébé, c’est pas que du bonheur, c’est perturbant aussi mais… captivant.Ce qui me plait ce ne sont pas les « pieux géants bourrant la chatte comme jamais » ou « les 38 hommes qui bourraient les 38 orifices de ma salope de femme qui découvrait pour la première fois la pluralité », mais plutôt l’émotion ressentie lorsqu’une femme écrit qu’elle se dépasse, sans savoir pourquoi, ni comment… en montrant un bout de jambe, en osant une première fellation et… pourquoi pas en s’adonnant à la pluralité. Ce qui compte n’est pas la performance réalisée mais l’émotion, le dépassement, le jeu.Et c’est un peu comme ça qu’émoustillé, je me suis mis à papillonner vers d’autres lits avec des bonheurs plus ou moins grands pour retrouver l’émotion, le dépassement, le jeu… Mais, et c’est là que je dis que c’est la faute à Revebébé je l’ai toujours fait avec l’impression de faire des choses normales, puisque je lisais tous les jours des histoires incroyables…Une première histoire assez classiqueJe lisais le journal à la terrasse d’un café vers 20 heures près de chez moi. Je matais un peu et remarquais une fille et son amie. Cathy a 38 ans. Elle a des yeux mémorables : gourmands, verts clairs, et n’y a pas froid (aux yeux). Nous nous reluquions comme tout le monde dans les cafés parisiens, et bien que tenté par des « extras », je ne serais pas spontanément passé à l’acte. Mais elle si ! Elle partit, je la suivis des yeux, elle me sourit, fit encore quelques pas puis se pencha dans son sac. Je la voyais de dos. Elle laissa son amie (dont je ne connais rien) fit demi tour, vint devant moi, me tendit un papier avec son numéro de portable en me disant « appelez moi, je ne suis pas libre ce soir mais serai ravie de dîner avec vous une autre fois ». Je bredouillai « oui bien sûr, avec plaisir », et elle partit très vite.Interloqué je restais un peu bête, et la laissai partir.Bien sûr on rêve tous de la fille qui n’a pas froid aux yeux, la mangeuse d’hommes (pas forcément à épouser mais au moins à rencontrer une fois…). Cela venait de m’arriver. Impossible d’en douter au vu de l’intensité de son regard. Mais n’empêche, tous les héros ont leurs faiblesses et voici la mienne : je n’avais pas réagi.La nuit j’y repensais un peu, sans plus. Le lendemain je me demandais si j’allais appeler et le souvenir de son regard décidé suffit à m’en donner envie. Premier essai, boite vocale. Je ne laisse pas de message (j’ai fait des progrès depuis). Au second essai nous discutons, moi mal à l’aise, elle ravie que je l’appelle et visiblement coutumière du fait. La preuve ? Je l’appelle en journée, elle me répond « tu es marié toi. Ce n’est pas grave tu arriveras bien à te libérer pour dîner avec moi ? » Mon excitation allait crescendo. Une vraie nympho ! Une bombe sexuelle ! Une mante religieuse ! Voila un fantasme, pas une petite BCBG comme celle dont on a l’habitude, une femme, une vraie ,juste pour le sexe… mmm, je me prenais à rêver en lisant vos récits dans l’attente du dîner. C’est pour ça que j’ai franchi le pas en espérant des trucs fous, à cause de vous !Le dîner au Restaurant ! Enfin c’est ce soir. Elle arrive. Elle a de beaux yeux je ne m’étais pas trompé. Des seins lourds, une tenue échancrée, une chevelure que dis-je une crinière sauvage. On s’embrasse. On boit un verre dans ce bar d’hôtel. On s’apprivoise. Et mon impression de plus en plus forte : je ne suis pas le premier, elle enchaîne tous les soirs un nouvel amant, un super coup sans prise de tête ! (je sais ça peut paraître macho mais au moins j’ai l’honnêteté de l’avouer). Impression désagréable de la voir allumer du regard tout ce qui bouge, mais en même temps elle sait me faire comprendre que ce soir, c’est mon tour.On se déplace vers un petit resto comme je les aime. Entrée, plat, des crevettes sautées… Elle suce ses doigts après avoir gobé une crevette en me regardant droit dans les yeux et en me disant « je crois que je suce bien, et pas que les doigts ! ». Je lui réponds du tac au tac, « tant mieux je n’ai pas les mains propres ». Elle rit (pourtant c’est pas top) et nous reprenons la conversations sur d’autres sujets. Elle a un fils, elle vit avec un homme qui travaille la nuit… et s’ennuie seule le soir. Elle aime les garçons grands (ouf) avec de beaux yeux (avec ma mère ça fait la deuxième qui apprécie les miens), une belle bouche (ça on me le dit tout le temps, comme les fesses) et finit « avec des cheveux poivre et sel comme les tiens j’adooore ». Je découvrirai que mes cheveux sont un atout majeur quand je pars en chasse, émoustillé par Revebébé mais c’est une autre histoire…Après le dessert et le digestif, la cigarette puis je lui propose de « bouger » et l’entraîne vers un bar cosy (dont je tairai le nom mais j’y vais très souvent). Chemin faisant je l’attrape par la taille, elle pose sa tête sur mon épaule… puis me regarde et nous nous embrassons. Elle se serre contre moi, elle embrasse bien ! Mes mains glissent sur ses fesses, caressent ses seins au travers de son body échancré (cf. supra) redescendent sur ses reins… elle ondule, se love, respire plus fort, pose ses lèvres contre mon cou. Mmm. Mes mains glissent sous son body, les siennes entre les boutons de ma chemise, elle respire plus fort puis se cambre en arrière ; me regarde droit dans les yeux et me dis « Je serai directe, j’ai envie de me faire mettre ce soir, et tu me plais beaucoup » et en même temps sa main empoigne mes couilles à travers le pantalon de costume. Je la laisse faire, son autre main dégrafe ma ceinture en pleine rue et se glisse pour se saisir de mon sexe qu’elle caresse tant bien que mal.Je la regarde, elle me fixe avec un regard provocant, un vrai regard de salope et tout en me caressant me dit « tu es veinard beau gosse ce soir, j’aime la peau de ta bite, je vais te la sucer, te l’avaler, te la gober et j’aime le sperme ! Tu es un homme de goût tu ne manges que des bonnes choses je suis sure que le tien est délicieux ». Nous étions en plein XVIIème, à 150m du resto sur le trottoir… J’étais assez «content ».Elle continuait sa provoc puis me dit « viens ». Elle recule entre deux voitures, baisse ma braguette sors mon sexe, me fixe encore droit dans les yeux et me dit « tu as tiré le gros lot, je me sens très coquine ce soir » se baisse et sans quitter mes yeux commence à me sucer doucement puis engloutit mon sexe.Elle se relève après une minute environ et rentre tout mon attirail. Elle me regarde à nouveau droit dans les yeux et me dit « t’as envie des mes seins ? » OUI ! « de ma chatte » OUI ! « de mon cul ? » OUI « de me faire crier ? » OUI OUI OUI OUI.Je lui pelote les seins, l’embrasse… je suis très excité, et en même temps j’ai moi aussi envie de la faire mariner un peu… je ne sais ou je trouve la force de lui dire « quel beau programme, mais on va boire ce verre avant, je veux encore me noyer dans tes yeux ».— Mmm répond elle, tu as envie que je t’excite encore, espèce de jouisseur !— Où est le mal ma belle ?— Nulle part au contraire, plus le temps passe plus j’en ai envieEt nous reprîmes notre marche vers le bar, avec tendresse… la conversation fut drôle et pleine d’allusions… les mojitos plus frais que nous… Qu’ai-je tant aimé ? Le mélange de tendresse et de vulgarité… essayez vous verrez !Plus tard au bar, je lui dis « je suis pas habitué des rencontres d’un soir, ne me déçois pas ». Elle me regarde, me répond « je suis investie d’une mission sociale ce soir, te faire prendre goût aux aventures… i tous les garçons comme toi y prennent goût j’aurais plus de choix et moins de concurrence».Sur ces paroles je lui propose de finir la soirée dans un hôtel du quartier et nous partons mais c’est pas si facile à Paris, un premier un second un troisième complet… et elle poursuit ses attouchements ses regards… le désir monte monte… mais le plan commence à être galère. Enfin, un hôtel me dit j’ai une chambre mais il me faut 5 minutes pour faire la chambre. Nous montons tous les trois dans l’ascenseur, elle me caresse à travers le pantalon avec un air gourmand sans s’occuper de l’employé qui sourit, amusé de me voir la désirer autant…Nous entrons tous les trois dans la chambre, l’employé de l’hôtel ramasse la poubelle, vide les cendriers enlève les draps, remet un drap de dessous et nous dit « je vous ramène des serviettes propres et un drap de dessus »… Tout à notre désir nous laissons la porte entrouverte…Quand il est revenu, cinq minutes plus tard, Cathy était torse nue (j’avais joué avec ses seins en l’embrassant) à genoux à mes pieds, me suçant alternant les commentaires et les gémissements comme si elle appréciait ces caresses plus que moi. L’employé avait frappé brièvement puis était rentré peut être dans le but de se rincer l’œil ( ?).. et il nous surprit dans cette position.A mon grand étonnement Cathy ne s’arrêta pas et continuait à me sucer sans vergogne. L’employé resta, peut être une minute, puis me fit un signe interloqué du regard… Je lui dit « ne vous en faites pas nous ferons le lit nous-mêmes » et il sortit quelques secondes avant que je ne vienne dans la bouche de Cathy qui joua avec le sperme, mon sexe et frissonna de plaisir. Elle ajouta quelques commentaires crus. J’étais aux anges !Je découvris ensuite en la déshabillant pour lui rendre le plaisir reçu que son sexe était trempé mais véritablement trempé : elle était mouillé jusqu’à mi cuisses. Incroyable (je n’ai jamais retrouvé ça !) Nous avons fait l’amour toute la nuit ou presque (c’est une histoire vraie, donc pas tout à fait toute la nuit j’ai du tomber raide mort vers 4 heures du mat), variant les positions, hurlant tour à tour ou ensemble notre plaisir, partageant tendresse et commentaires salaces.J’avis trouvé une perle, une fille qui prenait son pied à m’allumer et à jouer de mes envies… A la fois digne et salope, alternant les rôles de la maîtresse et la putain. J’avais découvert qu’on pouvait sans la complicité de l’amour prendre un pied incroyable et plutôt que de vous faire la description chirurgicale de « comment mon petit doigt a préparé son cul pour une sodomie mémorable », je préfère vous laisser imaginer et conclure, comme La Fontaine par une morale.J’ai découvert le plaisir du sexe sans amour. J’ai découvert que les histoires racontées sur Revebébé pouvaient arriver, j’allais donc laisser libre cours à mon côté joueur et me laisser aller à des (nombreuses) aventures, à condition qu’elles m’apportent du sexe mais surtout de l’excitation comme vos lectures. Merci à Cathy, merci à vous c’est grâce à vous que j’ai d’autres aventures à raconter (prochainement là faut que je bosse)…PS. pourquoi je raconte tout ça ? Parce que j’espère de nouvelles aventures avec des femmes ou des couples qui trouveront que nous sommes sur la même longueur d’onde, excités par les mêmes choses et qui verront dans des jeux et des rencontres autre chose que des pénétrations médicales… correspondons si vous pensez que certains de vos fantasmes/envies pourraient s’accommoder avec mon style… n’hésitez pas à m’écrire.