La fée des dents
Après une grosse opération d’une dent de sagesse, ce vendredi soir s’annonçait vraiment morose. Mais une visite impromptue et surprenante dans la nuit pourrait bien changer tout ça.
Proposée le 10/09/2020 par Méchant Lapin Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Première foisPersonnages: FHLieu: A la maison, intimeType: Roman
Le chirurgien ne m’a pas loupé. Je me regarde dans la glace et je constate avec effroi que je ressemble à un demi-hamster du côté gauche. Bon au moins, cette dent de sagesse-là ne me causera plus de soucis. Heureusement que je suis encore dans les vapes avec l’anesthésie sinon je pense que je serai en train de souffrir le martyr. Bon c’est vendredi soir 21h. Thibaud m’a ramené de la clinique tout à l’heure, pas question que je conduise dans cet état. Il est reparti depuis un bon petit moment déjà. Je ne vais pas manger quoi que ce soit et de toute façon je suis vanné, je crois que je vais aller me coucher directement. A 22 ans, se coucher à 21h un vendredi soir. Eh bien ce n’est pas comme ça que tu vas perdre ton pucelage mon grand. Avant de sortir de la salle de bain, je regarde la petite boite dans laquelle se trouve ma dent, délicate attention de l’infirmière (« ça vous fera un souvenir »). Qu’est ce que je vais en faire ? Allez, je vais la mettre sous mon oreiller, ça fera peut-être venir la fée des dents. Au point où j’en suis.…J’ai senti bouger un truc ! Je n’ai pas la moindre idée de l’heure qu’il est, ces médicaments m’ont assommé. J’envoie la main du côté du bruit et j’attrape quelque chose. Ça semble plutôt mou, chaud et enveloppé dans un tissu fin. Un petit cri aigu achève de me réveiller. Je cherche frénétiquement l’interrupteur de mon autre main pendant que j’affermis ma prise sur l’intrus. La lumière jaillit et il me faut de longues secondes pour m’habituer à la luminosité et finir de sortir des brumes du sommeil.
C’est une fille ! Je la tiens par le bras ! Je la lâche de surprise. Elle a de longs cheveux bleu clair qui semblent presque opalescents, des traits fins et elle est vêtue d’une sorte de tissu brillant qui moule son corps en révélant son anatomie.
– Mais vous êtes qui vous ? Et qu’est ce que vous faites là ?
J’aperçois la petite boite dans sa main. Et la lumière se fait, je dis lentement :
– Vous êtes …. la fée … des dents ? Mais, ce n’est pas possible, vous n’exis…
Elle se précipite pour mettre la main sur ma bouche.
– Non ! Ne le dis surtout pas !
– Quoi ?
– Ce que tu allais dire là, nous le regretterions tous les deux.
– Est-ce que vous êtes réelle ? Ou bien ce sont juste les médocs ?
Pour toute réponse, elle prend ma main et l’applique sur son sein. Je sens le contact du globe chaud dans ma main, souple mais ferme. Machinalement, je commence à le caresser à travers le tissu.
– Est-ce que c’est assez réel pour toi ça ?
– Mais comment c’est poss … ?
– Je suis une incarnation psychomorphique.
– … incarnation psy … cho … ?
– On va faire plus simple : Tu étais convaincu que j’allais venir et je suis venue.
– C’est vrai que j’en ai toujours pincé pour la fée des dents, l’idée d’une fille qui vient se glisser dans ma chambre la nuit … mais je suis grand maintenant, je ne devrai plus penser à ce genre de truc. Enfin si, mais, pas … je ne suis pas désespéré à ce point, si ? … vous comprenez, non ?
– Pas vraiment. Mais si tu es d’accord avec toi, ça me va. C’est vrai que c’est rare que ça arrive avec les adultes, mais pas impossible. Je dois avouer que ce sont les incarnations que je préfère. Tu m’as bien réussie, ça change des corps de petite fille sans forme avec une robe qui brille et des ailes. Chapeau pour les fringues. Plutôt sexy.
– Moi, je vous ai bien réus … ? Si vous le dites …
– Dis, tant que tu es réveillé, ça ne te dirait pas qu’on … enfin, tu vois, quoi. C’est que je n’en ai pas souvent l’occasion et ça me manque terriblement. Allez, s’il te plaiiiit.
Je m’aperçois que ma main est toujours en train de masser son sein et je prends conscience de la chaleur qui remonte le long de mon bras. Ses grands yeux me fixent avec désir.
– Attendez, vous voulez qu’on … tous les deux là … maintenant ?
– Je te donnerai une pièce si tu veux
– Non, mais ça va, je ne suis pas un gigolo non plus
– Pardon … c’est l’habitude, tu comprends
Elle me regarde l’air désolé de m’avoir contrarié. Elle me fait presque de la peine. Je finis par lui rendre son sourire et je la vois s’illuminer en retour. Elle me demande enfin :
– Alors … tu es d’accord ?
– Euh, oui …
– Génial, on y va !
En fait j’avais plus dit ça pour me laisser le temps de réfléchir à cette situation incongrue, mais elle l’a pris pour un accord ferme. Elle se lève et entreprend de déchirer le fin vêtement qui la couvre. En fait je ne sais pas trop comment elle aurait pu l’enlever autrement d’ailleurs, il n’y avait pas vraiment de fermeture visible.
– Mais, vos vêtements ?
– Pas grave, je les passerai en frais professionnels. Allez viens t’occuper de moi, baise-moi avec tout ce que tu as. J’en envie de toi, je veux que tu me possèdes, prends tout ce que tu veux … je suis à toi.
Elle attire ma tête sur sa poitrine et ma bouche se pose sur son téton que j’aspire avec plaisir. Il commence immédiatement à se durcir sous l’action de ma langue et de mes lèvres. Elle gémit tout doucement alors que j’aspire le bout de son sein en le caressant. C’est qu’elle est chaude la petite, je ne l’aurais jamais imaginée comme ça la fée des dents. Euh, attendez, si j’ai bien compris ce qu’elle a dit, je l’ai précisément imaginé comme ça … ou bien c’est sa … non, il faut que j’arrête de penser à ça, je vais me faire du mal. Profite, petit, profite. Ne pense pas trop.
Elle vient de me repousser sur le lit et enlève mon caleçon. Elle attrape ma verge qui est déjà bien ferme.
– Et qu’est-ce qu’on a là, méchant garçon ? Je vois que tu es déjà très content de me voir. Laisse ta bonne fée d’occuper de toi, tu vas adorer.
Elle me masturbe avec énergie en plongeant son regard dans le mien. Ses longs cheveux dissimulent à moitié sa poitrine qui rebondit avec chaque mouvement de son bras. Elle penche sa tête vers ma queue. Je pense qu’elle va me sucer, mais elle se contente d’abord de lécher mon gland par petits coups avec sa langue. Elle continue son manège et au moment où je crois qu’elle va me rendre fou avec ses coups hésitants, elle englobe mon gland dans ses lèvres, l’aspire et continue de le titiller en faisant tourner sa langue dans sa bouche. Mes mains se serrent sur les draps alors qu’elle accentue les mouvements de haut en bas de sa tête. Ses cheveux caressent mon corps tout autour de mon entrejambe. Les mouvements de sa tête accélèrent, ralentissent et tournoient. Parfois elle s’arrête un peu pour me branler en me regardant dans les yeux. Alors qu’elle vient de faire une accélération particulièrement fougueuse et que je me sens sur le point de craquer. Elle s’arrête, se redresse en écartant ses cheveux puis finalement s’allonge face à moi les jambes écartées.
– Tu ne comptais pas craquer maintenant quand même ? Il faut d’abord que tu t’occupes de moi.
– C’est que … je ne sais pas vraiment comment faire.
– Moi, je sais, je vais te guider, tu verras je suis une bonne enseignante
Elle attire ma tête vers son sexe. Je remarque alors qu’il est recouvert d’un fin duvet de la même couleur que ses cheveux. Étrange, mais loin d’être désagréable à regarder. Elle guide mes gestes et m’encourage. Quand je plonge dans sa toison, elle a une odeur délicatement mentholée. Je commence par des coups de langue timide, mais rapidement j’en viens à lécher vigoureusement, aspirer voire mordiller. Je viens même insérer un doigt dans son petit trou. Il est largement inondé. Je finis par prendre le rythme. Elle n’est plus capable de donner d’instructions car elle gémit désormais à chacun de mes coups de langue. J’entends sa respiration qui s’accélère et se fait plus profonde et j’augmente encore le rythme en aspirant son clitoris. Elle finit par se tendre dans un râle, secouée par des spasmes. Ses cuisses enserrent ma tête quelques instant avant qu’elle reprenne ses esprits et relâche son étreinte.
– Allonge-toi, je veux m’empaler sur ta queue !
Une proposition comme ça, ça ne se refuse pas. Elle me chevauche, appuie une main sur ma poitrine et utilise l’autre pour me guider vers son vagin alors qu’elle descend doucement le bassin. Je sens le fourreau de chair humide qui descend lentement sur ma verge en envoyant des décharges électriques. Elle aspire entièrement mon membre dans son sexe avant de commencer faire de petits mouvements de hanches. Elle a pris le contrôle, elle bouge son corps sur mon membre avec énergie. Je regarde ses seins s’agiter en face de mon visage qu’elle vient caresser avec sa chevelure. Mes mains pétrissent ses fesses avec force et je fais même glisser un doigt dans le sillon ses fesses jusqu’à agacer son autre petit orifice. Là encore je me sens sur le point de craquer. Mais elle me le refuse, elle se retire puis se met à quatre pattes sur le lit avec ses fesses tournées vers moi. Elle tourne sa tête dans ma direction et me lance :
– Vas-y prends moi comme une chienne ! Fesse-moi ! Baise-moi !
Je ne me fais pas prier et je me place derrière elle pour accomplir ses désirs. Je la tiens fermement par les hanches alors que donne de violents coups de bassin et que ma queue coulisse dans son vagin de plus en plus ferme. Selon ses ordres, je donne des claques sur ses fesses rebondies qui lui arrachent chacune des cris de douleur mêlé au plaisir. Je sens le fourreau de chair se contracter brutalement autour de mon gland et, n’y tenant plus, je lâche à mon tour des giclées chaudes dans ses entrailles. Je m’effondre en avant et je l’entraine avec moi. Nous restons unis sur le lit alors que je sens le liquide chaud qui coule le long de mon sexe et sur mes cuisses. Je la serre contre moi en enfouissant ma tête dans sa chevelure bleue. Je finis par sombrer dans le sommeil, achevé par l’effort et les résidus de médicaments.…J’ouvre un œil. J’ai du mal à décoller ma paupière. Le soleil intense qui filtre derrière les volets me dit que j’ai sans doute largement dépassé le début de matinée. J’ai l’impression que la nuit a été agitée. L’opération, les médocs sans doute. Puis les souvenirs me reviennent. Noooon, ce n’est pas possible, c’était juste un rêve. La fée des … non, elle bonne celle-là tiens. Faudra que je demande à la clinique où ils se fournissent, je veux les mêmes ! J’ai attrapé distraitement la boite qui contient ma dent. Je l’ouvre. Il y a une petite pièce brillante à l’intérieur, mais plus de dent …© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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