La femme aux yeux bandées – 1ère Partie.
Il fut une période (trop courte hélas!) durant laquelle j’utilisais un réseau téléphonique de rencontres coquines. Il m’a permis de vivre quelques expériences inintéressantes .
Voici l’une d’entre elles …
Proposée le 6/04/2022 par Troubles… Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: pratiques sexuellesPersonnages: FHLieu: HôtelType: Histoire vraie
Au début des années 2000, mon activité professionnelle de nuit me donnait l’occasion de tester un réseau téléphonique local qui, si on savait y faire et être patient et surtout courtois et sincère, pouvait s’avérer être intéressant !Le principe était tout simple: un message d’accueil permettant de se présenter et la possibilité de demander un duo avec la personne qui vous intéressez.C’est souvent en seconde partie de nuit vers 01h du matin que je me connectais. l’avantage par rapport à internet et qu’avec la voix on avait une idée un peu précise de la personne à qui on s’adressait. Cela rassurait la gente féminine qui savait faire du tri.Bref, lors d’une « soirée réseau », je fis connaissance d’une femme mariée, la quarantaine, qui avait le pseudo de Sandra et qui avait un fantasme qu’elle voulait assouvir depuis pas mal de temps et qui devenait obsessionnel au fil du temps: donner Rdv à un inconnu dans une chambre d’hôtel, les yeux bandés, livrée à la fantaisie sexuelle de cet inconnu…
Après plusieurs heures d’approches et lorsqu’elle fut totalement en confiance avec moi, nous avons convenu d’un Rdv.
j’avais vraiment trouvé cette femme hyper courageuse de vouloir ainsi réaliser ce fantasme. Et j’avais hâte de la rencontrer car je savais qu’elle serait à la hauteur vue sa motivation.
Il me restait un détail: quel fantaisie pourrai je lui réserver.
Les heures de conversation sur le réseau téléphonique me permirent d’affiner ses gouts afin de ne pas me tromper.
Ainsi quand ma décision fut prise, je la contactais comme prévu.Et me voilà dans la chambre de ce baladin en proche banlieue marseillaise. c’est la fin du printemps et il fait encore jour lorsque je m’installe, il est 20h40 et Ingrid doit arriver à 21H.Je lui ai envoyé le numéro de la chambre par texto. Je n’ai plus qu’à attendre.
je range le matériel que j’ai acheté pour la circonstance, vous découvrirez tous les détails de ceux-ci au fil de l’histoire, promis!
Même si j’ai une certaine expérience de ce genre de Rdv, j’avoue être très excité et la pression (dans mon caleçon!) monte , monte en voyant la grande aiguille de ma montre approcher les 21 heures…je dois vous avouer que c’est un des moments qui m’éclate le plus dans ces types de circonstance..!!!
Car j’ai plein de questions qui se percutent dans ma tête. V t elle venir déjà? Va t elle être fidèle à sa description, à son état d’esprit ? Je sens la chaleur de l’angoisse monter vers mon visage, une perle de sueur coule de mon front…
Et tout à coup : on tape à la porte! Mon cœur bat la chamade !!
Je baisse la lumière et me dirige vers la porte de la chambre et l’ouvre lentement un peu anxieux et super excité!!Elle est là, devant moi, ses yeux sont bandés d’un foulard noir. Elle porte un tailleur beige et un chemisier blanc : tout est parfaitement conforme à ce que nous avions convenu ensemble la veille au téléphone, voilà qui commence très bien !C’est une femme de 45 ans d’allure élégante et distinguée, des cheveux châtains clairs mi-longs bouclés.
Je prends sa main pour la guider et la rassure en lui murmurant :- Bienvenue Ingrid, entre…tu es magnifique !Je referme la porte. je la guide et la fait s’arrêter au pied du grand lit.
Je m’assois dans le fauteuil et sans un mot je l’observe. Elle se tient droite devant moi, je perçois sa profonde émotion.
Je vois sa carotide qui bat à un rythme effréné dans son joli petit cou étroit.
je m’approche et sans un mot ma main droite passe sous sa jupe.
je dois, comme convenu, vérifier qu’elle a bien suivi mes consignes : pas de culotte et sexe impeccablement épilé !Elle sursaute au contact de mes doigts effleurant l’intérieur de sa cuisse. En parfaite soumise, elle ouvre légèrement les jambes afin de me faciliter les choses: elle a bien saisi que c’est le moment de la vérification !Je sens ma bite se rigidifier au point de faire exploser les bouton de mon jean 501 ! Cette inconnue, les yeux bandés, ainsi livrée à mes mains vicieuses dans cette position provocante accentuée par ses talons hauts qui la cambrent juste comme j’aime : hum quel pied !!
J’en bande encore aujourd’hui en tapant sur mon clavier!Je m’applique avec une lenteur volontaire à remonter le long de sa cuisse.
Sa peau est très douce. Je sens son souffle s’accélérer. Un très discret gémissement de plaisir parvient à s’échapper de sa bouche entrouverte.
Lorsque mon index chercheur effleure sa vulve nue et vulnérable, elle sursaute.
Mon doigt vicieux joue avec ses grandes lèvres charnues, parfaitement lisses et veloutées.
Je remonte vers la naissance supérieure de sa fente et j’appuie délicatement mon index entre ses lèvres qui s’ouvrent sous la pression et m’invitent à prendre possession de son bouton tout durci d’envies…!
Ingrid gémit à nouveau sous cette attaque, elle vacille presque tellement la volupté du moment est intense.
Mon doigt délaisse le petit organe érectile sensible et s’engage dans le sillon vulvaire. Les petites lèvres d’Ingrid ne peuvent pas empêcher mon index de forcer l’entrée humide de son vagin.
Comme par automatisme, mon majeur le rejoint et mes 2 doigts voyous violent la cavité secrète d’Ingrid.
Cette coquine est trempée et mes doigts s’immiscent profondément dans son intimité, littéralement aspirés par cette accueillante cavité !Sans que je ne vois rien arriver, les jambes et le corps d’Ingrid se tendent brusquement et dans un gémissement contrôlé et bridé, ma belle invité jouit sous mes doigts.
De violents spasmes font onduler Ingrid qui déverse à présent un abondant filet brulant de cyprine chaude sur ma main toujours plantée en elle. C’est l’extase !…Fin de la 1ère Partie.© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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