Un jour, j’ai rencontré une femme dans le bus, elle était habillée légèrement, une petite jupe (je me demandais si elle portait une culotte) et un cache-cœur, elle n’arrêtait pas de me regarder. Je l’ai déshabillée du regard et, pour être plus près d’elle, je me suis levé et je suis allé m’asseoir en face d’elle, pour mieux la voir et mieux deviner son corps. J’ai vu qu’elle portait une alliance, donc elle était mariée, je ne savais encore rien d’elle, mais une femme qui s’habille ainsi ne peut qu’aimer le sexe.— Bonjour.— Bonjour.— Est-ce que la place est prise ?— Non c’est libre.— C’est la première fois que je vous vois sur cette ligne.— Je suis allé faire des courses dans un magasin qu’une amie m’a conseillé.J’ai regardé le paquet et je voyais des sous-vêtements très sexy posés en vrac à l’intérieur.— Humm, je vois, cela à l’air très joli.Elle a vu le paquet ouvert et a juste posé sa main dessus, pour que je ne puisse plus voir à l’intérieur.— Je vois que vous avez très bon goût.— … Merci— Je vous ai suivie depuis la gare et… regardez ce que vous avez perdu en montant dans le bus.C’était sa chaînette qu’elle avait autour du cou, je la lui montrais en la tenant devant ses yeux.— Oh… mais c’est ma chaînette.— Je sais.— Puis-je l’avoir s’il vous plait ?— Généralement je suis gentil garçon mais, là , j’aimerais un service en échange.— C’est la chaînette que mon mari m’a offerte pour nos un an de mariage.Elle voyait que je la balançais devant ses yeux, mais que je ne la lui donnais toujours pas.— Alors que décidez-vous ?— Que voulez-vous en échange ?— Vous… j’aimerais que vous me montriez que je ne me trompe pas.— De quelle façon ?— J’aimerais que vous essayez les dessous que je viens de voir, j’aimerais les voir sur votre corps, je suis sûr qu’ils vous vont à ravir.— Est-ce que vous me rendrez ensuite la chaînette ?— Vous avez ma parole.— Bon, et bien j’ai encore deux heures devant moi, mon mari m’attend.— Venez, descendons au prochain arrêt, je vous amène chez moi, nous serons tranquilles.Une superbe femme marchait à mes cotés j’avais envie de passer mon bras autour de son cou pour, mine de rien, en faire sortir un sein, juste en tirant un peu sur son cache-cœur. Mais chaque chose en son temps, nous avons pris les escaliers et, là , je pouvais voir la naissance de sa culotte sous sa mini jupe, je voulais lui dire :— Arrêtez-vous, enlevez votre culotte et donnez-la-moi.Mais je me suis contenté de regarder ses belles jambes que je pourrais voir à loisir quand elle sera en petite tenue dans mon salon.— Venez, rentrez, je ne vais pas vous manger. (Pas encore)— Vous habitez seul ?— Oui (mensonge), mais je suis avec vous à présent. Vous prendrez bien un verre ?— Oui, mais je ne supporte pas bien l’alcool.— Je ne vais pas vous violer, ce n’est pas mon intention.— Alors, que dois-je faire ?— La salle de bain est juste en face, laissez la porte ouverte et allez vous changer.Je l’ai regardée rentrer dans la salle de bain, je voulais la suivre et la regarder enlever sa minijupe et son slip, mais j’ai attendu, j’entendais le bruit des vêtements, c’est tout. Elle est apparue avec un soutien-gorge jaune et un joli string de la même couleur, je l’ai prise par la main et je l’ai faite tourner pour bien admirer son corps, je bandais, et oui, je bandais de plaisir.— Très jolie, faites-moi voir ce qu’il y a encore dans ce paquet.— Non… s’il vous plaît, je vais essayer le reste.— Regarder moi cela, mais ce sont des boules de geisha toute neuves. Humm je commence à aimer la suite.— C’est pour… pour faire une surprise à mon mari qui m’en a parlé plusieurs fois.— J’aimerais que vous les essayez, là , maintenant, devant moi, prenez encore un verre.Elle n’osait pas, mais je lui ai tendu les boules et je lui ai montré le fauteuil.— Prenez place, vous verrez, vous allez aimer. Tenez, montrez-moi comment cela fonctionne.Je n’en croyais pas mes yeux, cette femme mariée, dont je ne savais pas encore le nom, relevait ses jambes pour les mettre de chaque côté du fauteuil et, grâce à l’écartement, je commençais à voir quelques poils de sa chatte qui sortaient sur le coté.— J’ai honte.— Chut… vous verrez que c’est dans ces moments de honte que l’on jouit le plus.Elle a écarté le string pour me laisser voir sa fente. Oh, quel bonheur, j’en mangerais. Elle a posé une boule dessus et c’était tellement mouillé qu’elle est rentrée toute seule.Et, sans lui laisser le temps de me répondre, je me suis mis à genoux devant elle, une bonne odeur montait à mes narines, j’avais une envie terrible de sortir ma queue et de la pénétrer, là , sur le champ, mais je voulais faire durer le plaisir et j’ai pris la boule dans ma main. Je la voyais fermer les yeux, que j’ai aimé ce moment là  ! Mes doigts étaient à quelques millimètres de son vagin tout mouillé, oui, mouillé, elle devait apprécier cette séance d’exhibe face à un inconnu et, quand j’ai senti son soupir de satisfaction en rentrant la deuxième boule, j’ai compris que notre aventure n’allait pas s’arrêter là et que je pouvais lui demander ce que je voulais.— Caresse-toi devant moi, tu aimes cela, tu aimes le sexe et tu ne peux plus me le cacher, masturbe toi.Je suis resté tout bêtement à genoux et je la regardais. Elle avait ses yeux toujours fermés, elle prenait du plaisir, alors j’ai eu une idée.— Arrête de te masturber, vas essayer un autre sous-vêtement. Non, attends, cherche-les, tu n’as plus rien à me cacher à partir de maintenant.Obéissante, elle s’est levée et s’est dirigé vers la salle de bain, en revenant le sac à la main, je l’ai attirée contre moi et je lui ai fait une bise sur les lèvres.— C’est quoi ton petit nom?— Nadine, je m’appelle Nadine.— Très joli nom, Nadine. Tu sens bien les boules dans ton ventre ?— Oui, cela fait tout drôle, mais c’est agréable.— Tu me donneras le numéro de ton portable avant de partir, car je t’appellerai dans la journée, n’oublie jamais ces boules, porte les toujours avec toi où que tu ailles, tu as compris ?— Oui, que dois-je faire maintenant ?— Enlève ton string devant moi et regarde-moi dans les yeux en le faisant. Oui voilà c’est bien, donne-le-moi.Je l’ai porté à mes narines et j’ai respiré cette odeur de chatte en chaleur.— Ton odeur est terrible, tu sens bon, enlève ton soutif et mets celui à balconnet, ainsi je pourrai voir et toucher quand bon me semble tes seins.— Hum très jolie poitrine, ils remplissent bien la main à ce que je vois, attends, je vais fermer l’attache derrière ton dos.Je n’ai pas de suite refermé, je lui ai fais un bisou dans le cou et elle a penché la tête en arrière, elle devait apprécier, alors j’ai carrément passé ma main droite devant son ventre pour remonter vers son sein et bien le prendre en main.— Holala, quel bonheur de le toucher, regarde-moi ça l’autre est jaloux, je vais arranger cela.J’avais mes deux mains sur ses seins et je les caressais en titillant ses tétons.— Hé bien, tu vois, tu aimes cela, tes tétons durcissent à vue d’œil, voilà c’est mieux ainsi.J’avais refermé le soutif et on voyait bien pointer ses tétons, j’avais envie de les prendre en bouche et de les sucer, mais je me suis retenu.— Dis-moi que tu aimes t’exhiber ainsi à mes yeux.— Oui.— Oui quoi ?— J’aime m’exhiber ainsi à vos yeux, je suis toute mouillée et je ferais tout ce que vous voulez.— J’aime quand tu parles ainsi. Téléphone à ton mari et dis lui que tu as eu un imprévu et que tu vas rentrer un peu plus tard.Sans discuter elle a pris le téléphone et :« Allo Chéri, oui je sais, mais j’ai eu un petit imprévu, non ça va. (Moi pendant ce temps je me suis penché et j’ai pris en bouche un téton qui a de suite réagi). J’ai rencontré une copine et elle m’a invitée à boire un pot. (C’est là que j’ai tiré sur la ficelle et fais sortir les deux boules d’un seul coup, elle a poussé un petit cri de surprise). Haaaa…… non, c’est rien, je viens de me piquer à un cactus. D’accord, à tout à l’heure, je t’aime. »— C’est très bien, tu as un peu menti, mais tout va bien se passer. Enfile cette culotte. Nadine, tu es ravissante, attends, je reviens.— Mon mari, ne sait pas que je suis ici.— Oui, je sais, tu pourras le lui dire si tu veux.— …— Tiens, regarde, c’est pour toi. Viens, assieds-toi près de moi.— Embrasse-moi encore s’il te plaît.— Humm, je vois que tu commences à apprécier mes traitements. Ouvre la boîte.— Ho, mais c’est un…— Oui, c’est un gode, et il n’a jamais servi, mais on va remédier à cela et, grâce à toi, on va lui trouver une petite place entre nous.— Je n’ose pas, je ne l’ai jamais fait avec un gode.— Laisse-toi faire, tu vas en redemander. Oui, ouvre bien tes jambes, attends, j’écarte le slip, voilà , ho mais il rentre tout seul, dis donc, le gland est déjà à l’intérieur, tu en veux plus, demande-le-moi.— Oui, encore un peu, encore, baise-moi, j’aime ça, ouiiiii, je le sens bien, défonce-moi la chatte avec ce gode.— Regarde-moi ça, Nadine, il fait bien 30 cm et tu en as pris déjà au moins 25, tu es un vrai puits.— J’aime le sexe, demande-moi et je t’obéirais.— Ferme les yeux.J’ai ouvert ma braguette et j’ai sorti mon sexe bien dur, je n’en pouvais plus j’étais prêt à envoyer la sauce, tellement Nadine m’avait excité jusqu’à présent.— Ouvre ta bouche encore un peu, et maintenant laisse-toi guider.Nadine se laissait faire, j’ai appuyé un peu sur sa tête avec ma main droite et de la gauche j’ai guidé ma queue dans cette bouche ouverte qui n’attendait que cela. Trop bon le contact, trop excitant.— Haaaa, Nadine, ….suce-moi.— Hummmoui.— Hummm… tu fais cela très bien, si seulement ton mari pouvait te voir, je lui ferais des compliments sur sa femme. Oui, continue, j’en mourrais d’envie. Holala, je vais venir, tu suces trop bien. Non, reste, tu n’as jamais avalé de sperme ?— Humm, si, une fois seulement.— Cela va changer, avec moi, tu vas y goûter souvent, Nadine, Nadine, aaaa haaaa, bois tout, oui le gland avec ta langue, encore encore, avalllllle. Tu es sublime, nous allons bien nous amuser ensemble, c’est promis.En se relevant, j’ai vu quelques traînée de sperme sur sa bouche qu’elle a essuyée avec sa langue en me regardant droit dans les yeux, quelle perverse cette Nadine !— Je vais devoir partir, Monsieur.— Pierre, je suis Pierre pour l’instant. Tu m’as bien fait jouir, mais toi tu n’as pas encore joui.— Ce n’est pas grave.— Non, tu vas remettre les boules et tu ne les enlèveras que quand tu te déshabilleras pour prendre ta douche, n’oublie pas, garde-les toujours avec toi.— Bon, ben au revoir Pierre.— Demain je te téléphone à ton bureau sur ton portable. Arrange-toi pour m’inviter chez toi, trouve une excuse, tu feras un barbecue.— Nous faisons souvent des soirées entre amis, alors je te ferai passer pour un vieux copain d’école.— Très bonne idée, j’oubliais, demain, quand tu iras à ton travail, pas de culotte ni de soutien-gorge, je pourrai ainsi m’imaginer que tu es nue sous tes habits en pensant à toi.— Je le ferai.— Tu me l’as dit avant, que je pourrai faire ce que je veux avec toi.Avant de partir je l’ai attirée à moi et je l’ai embrassée, mais ce coup-ci ma langue à joué avec la sienne. J’ai sorti ses deux seins du cache-cœur et je lui ai dit :— Tu vas descendre les escaliers ainsi, au risque de croiser quelqu’un, et, avant de sortir de la maison, tu as le droit de les remettre en place.— Oui, Pierre.Elle rougissait, mais qu’est-ce que c’était bon de la voir ainsi soumise à mes désirs. Je ne lui ai pas dit mais, au premier étage, il n’y avait personne et, au second, Paul n’était pas encore rentré du boulot. Paul vit seul, c’est l’amant de ma femme Sylvie, mais Nadine ne le sait pas encore. Ma femme se fait baiser souvent par Paul, on a convenu qu’il ne devra plus aller voir les putes, pour une question de santé. Ainsi après un test hiv je le laisse jouir dans le ventre de mon épouse et j’aime voir cela.C’était ma première journée avec Nadine et je réfléchissais à ce que j’allais bien pouvoir faire pour voir où étaient ses limites avec le sexe. Elle avait peut-être des tabous, tiens j’avais oublié de lui demander le nom de son mari. Elle me l’avait dit mais sa beauté me l’avait fait oublier.La prochaine fois, j’avais envie de lui faire l’amour, je crois bien qu’elle aime cela, cherche t’elle un Maître ? J’ai plein de questions ou j’espère avoir une réponse. Pour l’instant, je la regarde monter dans le premier bus qui passe et elle me fait un petit signe de la main. Je bande. Eh oui, mon sexe est tout dur et ma femme n’est pas là , j’aurais dû lui demander de venir s’asseoir sur ma queue pour que je puisse me vider les couilles dans son ventre, ce n’est qu’un fantasme pour l’instant que je réaliserai bientôt avec Nadine, demain qui sait.A suivre