Je l’avais rencontrĂ©e sur un chat de la rĂ©gion ĂŽle-de-France que je frĂ©quentais rĂ©gulièrement Ă cette Ă©poque. Nous avions sympathisĂ©, elle avait un sens de l’humour certain, ce qui Ă©tait plaisant. Et elle Ă©tait assez entreprenante, curieusement, comme un certain nombre de femmes qui frĂ©quentent les chats de rencontre. Les choses allaient plutĂ´t vite et un rendez-vous futur ne semblait pas l’effrayer, au contraire. Après avoir fait connaissance et une fois nos photos respectives Ă©changĂ©es, j’étais de mon cĂ´tĂ© tout Ă fait partant pour la rencontrer.Le courant est bien passĂ©, rapidement nous avons fait l’amour. Dans le genre, Marianne Ă©tait ce que l’on pouvait rencontrer de meilleur sur un chat. Elle Ă©tait sincère, pas allumeuse ni menteuse sur la marchandise. Comme pressenti, c’était une jeune femme douce et saine qui Ă©tait restĂ©e pendant trois ans avec son petit copain qui venait de la quitter pour une autre du jour au lendemain, la laissant seule avec son amour et ses doutes. Elle avait mis un peu de temps Ă s’en remettre, puis elle avait Ă nouveau eu envie de faire des rencontres. Les boĂ®tes de nuit n’étant pas sa tasse de thĂ©, elle avait essayĂ© les chats, comme ça pour voir ; il se trouve que ce jour-lĂ c’est dans ma fenĂŞtre de conversation que la jeune femme s’était Ă©chouĂ©e.Elle correspondait Ă ce que je cherchais Ă cette pĂ©riode oĂą je passais vaguement de femme en femme, ne cherchant pas Ă les faire souffrir mais Ă expĂ©rimenter des choses, Ă m’envoyer en l’air sans souci du lendemain. Son corps me plaisait, sa personnalitĂ© et sa simplicitĂ© m’apaisaient. Je pourrais Ă©crire diverses choses Ă son sujet, mais ce qui nous intĂ©resse ici, ce sont particulièrement les choses du sexe.Avec elle, l’amour Ă©tait très agrĂ©able, elle semblait vraiment aimer ça. Au dĂ©but un peu gĂŞnĂ©e car elle n’avait pas fait l’amour avec un autre homme depuis des annĂ©es, elle s’est rapidement laissĂ©e aller, laissant ses apprĂ©hensions au vestiaire, livrant son corps et apprivoisant le mien, gĂ©nĂ©reuse en prĂ©liminaires, rĂ©ceptrice des miens pour accĂ©der Ă son plaisir. Je la baisais avec fougue et sincĂ©ritĂ©. Je la culbutais avec ardeur en regardant son visage, en fixant son regard et en guettant son plaisir. Ses mains posĂ©es sur mes Ă©paules, ses cuisses bien Ă©cartĂ©es Ă ma demande, je l’observais se faire emporter par le plaisir et m’efforçais de lui faire oublier son amoureux Ă force de coups de reins Ă©nergiques et rythmĂ©s.Mais venons-en Ă ce qui nous intĂ©resse, ma dĂ©couverte de son plaisir par et pour la sodomie.Je m’en suis aperçu un jour oĂą je lui lĂ©chais la chatte. Elle Ă©tait sur le lit, cuisses Ă©cartĂ©es, ma langue lapant son clitoris. Je lĂ©chais avec application sa chatte rasĂ©e de jeune femme de vingt-cinq ans quand le rĂ©flexe me vint de tenter de lui mettre un doigt dans le cul. Pardonnez-moi de parler ainsi mais appelons une chatte une chatte. J’avais remarquĂ© que certaines femmes ne rechignaient pas Ă se faire pĂ©nĂ©trer par un doigt dans l’anus pendant un cunnilingus, voire y prenaient mĂŞme du plaisir. Et, comme beaucoup de mecs, ça m’excitait. Par expĂ©rience, j’adoptais la stratĂ©gie de la diversion – continuer de lĂ©cher son clito en titillant petit Ă petit son anus avec mon doigt – plutĂ´t que d’aborder verbalement la question. La rĂ©action des femmes Ă ce moment-lĂ est toujours une surprise, et celle-lĂ fut bonne. La belle Marianne, les yeux fermĂ©s et les cuisses Ă©cartĂ©es, laissa Ă©chapper quelques gĂ©missements poussĂ©s que je pris naturellement pour des encouragements. J’enfonçai donc mon doigt, j’accentuai mes coups de langue et entamai un mouvement de va-et-vient. Les gĂ©missements encourageants de Marianne continuant, je me mis littĂ©ralement Ă lui branler le cul avec mon doigt, continuant le travail avec ma bouche sur son sexe mouillĂ© par son plaisir et ma salive. Quelques minutes plus tard, elle atteignit l’orgasme. Sa respiration s’accĂ©lĂ©ra, ses hanches se contractèrent. Elle poussa des gĂ©missements plus ou moins Ă©touffĂ©s, envahie par le plaisir et, dĂ©tail divin qui ne trompe pas, je sentis son anus se contracter distinctement lors de l’orgasme ; je sentis sans doute possible son sphincter se resserrer Ă plusieurs reprises, en rythme avec ses vagues de plaisir.EncouragĂ© par cette expĂ©rience, j’abordai le sujet sodomie au dĂ©tour d’une conversation sur l’oreiller.— Tu as dĂ©jĂ essayĂ©Â ?— Oui… On le faisait souvent avec mon ex, me rĂ©pondit-elle en souriant, gĂŞnĂ©e et coquine en mĂŞme temps. En fait c’est un truc que j’aime beaucoup.— Ah oui ? Et ça ne te fait pas mal ?— Non… En fait, la première fois ça m’a fait mal mais après ça passait de mieux en mieux. Et surtout, moi, j’ai des orgasmes comme ça…— Ah oui ?— Oui, le truc c’est de se caresser en mĂŞme temps, dit-elle en souriant. Du coup, ça fait pas mal et au contraire beaucoup de plaisir !Ce n’était pas tombĂ© dans l’oreille d’un sourd. J’avais bien dĂ©jĂ eu quelques filles partantes pour pratiquer la sodomie avec moi, mais de lĂ Ă adorer ça et jouir par-derrière ! C’était une première.Dès notre rapport suivant, au dĂ©tour d’une levrette je caressais son petit trou avec mon doigt, je l’amadouais. Le tout, c’est de le mater. Un petit trou, ça s’apprivoise, ça se mate. Ça se dilate. Et, n’y tenant plus, je lui demandai si elle voulait qu’on le fasse, elle me rĂ©pondit laconiquement oui.Elle se leva, partit Ă la salle de bain et revint avec un flacon de gel lubrifiant. Charmante jeune femme, bien Ă©quipĂ©e… Elle ouvrit le flacon, glissa une noisette sur mon prĂ©servatif ; puis j’en pris un peu sur mes doigts et caressai sa rondelle pour la lubrifier. Que les choses sĂ©rieuses commencent !J’enfonçai mon gland, doucement, Ă l’entrĂ©e de l’étroit orifice. Elle Ă©tait plus serrĂ©e que je ne l’aurais cru, au dire du rĂ©cit de son passĂ©. Elle avait eu beau se faire enculer quelques dizaines ou centaines de fois par son ex-chĂ©ri, que sais-je, le trou s’était bien resserrĂ© depuis sa dernière fois. Mais soudain, vision superbe, cambrĂ©e Ă quatre pattes, elle se pencha un peu en avant et glissa son bras droit sous son ventre pour que sa main atteigne sa vulve. Ses petits doigts s’agitèrent sur sa vulve, tandis que mon gland pĂ©nĂ©trait son trou du cul. J’entrais petit Ă petit, avec patience. Je n’étais pas un novice en la matière, je savais comment m’y prendre avec le trou de balle d’une fille. NĂ©anmoins, c’était la première fois que je le faisais Ă une femme rĂ©ellement excitĂ©e par cet acte. Je distinguais mal son visage Ă cause de la position, mais il m’arrivait de voir sa mâchoire serrĂ©e. Non, ce n’était pas facile pour elle, l’intrusion de mon sexe en elle par cette entrĂ©e, mais elle Ă©tait volontaire, elle savait que pour arriver au plaisir qui suivrait sans nul doute, il fallait en passer par cette douleur prĂ©liminaire. L’anus, avant de procurer du plaisir Ă Marianne, lui donnerait un peu de mal.Ça y est, mon sexe Ă©tait en elle, jusqu’à la base. Je me reculais, mon sexe faisait machine arrière, puis machine avant. L’anus rendait les armes. Il Ă©tait battu, le plaisir de Marianne Ă©tait lĂ et le mien aussi. Elle commençait Ă gĂ©mir de plaisir tandis que ses doigts s’agitaient en dessous. Mon rythme s’accĂ©lĂ©rait, jusqu’à aller franchement vite et fort. Je la prenais par-derrière, en sodomie. Je la baisais par le cul. Et, putain ! elle aimait ça !Vision formidable qu’une femme que l’on sodomise et qui aime ça. Je pensais aux autres en mĂŞme temps, aux autres femmes que j’avais connues ou dont je connaissais l’existence et qui dĂ©testaient – certaines avant d’avoir essayĂ© – cette pratique, et le plaisir physique de sodomiser se mĂŞlait Ă un plaisir mental, Ă ce plaisir du tabou, de l’acte interdit ou peu aimĂ©.Elle n’avait pas menti, elle adorait ça. Je tenais fermement ses fesses, je caressais son dos, ses cheveux. Je la chevauchais par le cul, j’y allais vraiment fort par moments. Et elle aimait, croyez bien que je ne la forçais pas. Après avoir pensĂ© aux autres femmes, je pensais aux autres hommes. Ă€ ceux dont l’épouse refuse cette pratique et qui fantasment chaque jour en se masturbant sur cette idĂ©e dans leur salle de bains. Et puis Ă l’ex-amoureux, celui qui l’avait tellement enculĂ©e, ma jeune Marianne, celui qui l’avait initiĂ©e Ă ce plaisir si rare. Pourquoi l’avait-il quittĂ©e ? Avait-il trouvĂ© mieux ? Si oui, je demandais Ă voir. Ă€ tous ces gens, je pensais rĂ©gulièrement au fil de mes pĂ©nĂ©trations anales avec Marianne. Que c’était bon de la sodomiser, ma jeune Parisienne douce et coquine ! Que c’était excitant ! Je ne vous relaterai pas tous nos Ă©bats, je terminerai seulement avec la conclusion de cette sodomie-ci.L’orgasme arriva. Pas le mien, le sien ! Cette coquine eut un orgasme violent – bien davantage que ceux qu’elle eut avec moi dans d’autres pratiques – alors que je l’enculais comme si mort devait s’ensuivre. Elle se fit jouir par le clito pendant cette pĂ©nĂ©tration anale. Avait-elle joui davantage du clito ou de l’anus ? Personnellement, je pense que jouir – au vrai sens de jouir, d’orgasme – de l’anus est dĂ©licat, mais que par contre le plaisir anal peut renforcer considĂ©rablement l’orgasme clitoridien.VoilĂ , lessivĂ©e, la belle avait joui, le plaisir chutant comme celui d’un homme après Ă©jaculation, de façon soudaine. Et ma queue Ă©tait pourtant toujours Ă l’intĂ©rieur, mon orgasme Ă moi n’ayant pas encore eu lieu. Je riais avec elle, marquant ma surprise et mon contentement d’avoir assistĂ© et participĂ© Ă cette chose superbe et bandante. Mais mon envie de jouir dans son cul Ă©tait trop forte, je la manifestai et lui demandai gentiment si je pouvais continuer un peu pour me finir. Gentille, elle accepta, mĂŞme si la sodomie devenait douloureuse après l’orgasme. Je repris donc mon va-et-vient, moins fort qu’auparavant, juste suffisamment pour arriver au plaisir. Je distinguais quelques petites grimaces de douleur sur son visage, et je dois avouer que mon cĂ´tĂ© très lĂ©gèrement sadique rendait cette vision excitante. Je bandais fort en la voyant grimacer et excitĂ©e en mĂŞme temps, et je dĂ©chargeai violemment dans la capote.VoilĂ . J’espère vous avoir communiquĂ© du mieux possible mon souvenir et vous avoir Ă©moustillĂ©s. Bien sĂ»r que nous pratiquâmes la sodomie plusieurs fois, le temps – pas si long que ça – oĂą nous restâmes ensemble. C’est un très bon souvenir car les femmes adorant – c’est le mot – la sodomie ne sont pas très nombreuses. Reste Ă chacun Ă trouver la sienne !