Jeune serveur de restaurant, fêtant le jour même mes dix-huit ans, j’ai été mandaté pour servir dans une soirée privée à la maison de mon patron, où Madame reçoit des invitées de marque.Pour ceux qui ne se souviennent pas de la beauté des vêtements de Miss London, en revoici la description : habillée selon les coutumes ancestrales de l’Angleterre, Miss London porte, tout candidement, une robe que la reine Élisabeth Première a dû mettre lors des grandes parades de son règne. Composée d’un bustier lui enserrant la poitrine, compressant ses seins comme si c’étaient des sardines en les poussant vers le haut et d’une jupe de grande ampleur, toute garnie de fils d’or et d’argent, crinoline et jupon inclus, cette robe est de toute beauté. Si ample qu’on ne voit pas les pieds de Miss London. Coiffée d’une petite couronne, elle fait vraiment reine avec son teint pâle et ses cheveux roux. Ceux et celles qui ont vu le film Élisabeth, l’âge d’or, peuvent l’imaginer ainsi vêtue et aussi belle que Kate Blanchett sait l’être.Alors que je terme le service du dernier Chateaubriand, ayant déjà flambé chacun d’eux devant ces dames plus enchantées du spectacle les unes que les autres, Miss London se lève et dit :— Excusez-moi Mesdames, mais je dois aller à la salle de bain. Un appel de la nature que je ne peux réprimer.Miss Laval me demande alors :— Alex, tu veux aller avec Miss London, elle ne pourra certainement pas défaire son corsage elle-même.J’ai soudainement l’impression que c’est un coup préparé d’avance, mais je ne vais surtout pas me plaindre car la Miss London en question est vraiment d’une grande beauté et surtout d’une classe à part dans ces vêtements qui lui vont à merveille.— Tout de suite, Miss London…— Mets son repas au chaud avant de monter, s’il te plaît.— Oui, Madame…Je m’exécute en me demandant pourquoi cette Miss London désire tant aller à l’étage pour satisfaire ses besoins alors qu’il y a une salle de bain tout près de nous. Je la retrouve au deuxième palier, elle attend que je délie son corsage, retenu en place par un cordon savamment lacé du milieu du dos jusqu’au bas des reins. J’entreprends alors mon nouveau boulot de déshabilleur de reine. Chose faite, Miss London prend une grande, voire énorme bouffée d’air, se remplissant ainsi les poumons d’air frais pour la première fois depuis son arrivée.— Ah ! Que ça fait du bien de pouvoir respirer un peu, de lancer miss London. Elles devaient souffrir en silence ces grandes dames avec la poitrine ainsi comprimée… Quel calvaire qu’est celui de porter un tel corsage, il te comprime les seins au point de ne plus pouvoir respirer.— Oui, j’imagine. Vous aviez l’air d’étouffer dans cette robe.— C’est que ça te compresse la poitrine au maximum et ils me font mal ces petits.Dos à moi, je l’imagine se dégager la poitrine afin de mieux respirer. Se retournant, elle me dit :— Regarde comme le tissu s’est incrusté dans la peau de mes seins, ils sont crevassés et me font terriblement mal… Viens plus près et fais-moi un petit massage de poitrine s’il te plaît. Mais vas-y doucement… Ah ! Qu’ils me font mal mes petites puces…J’ai sous les yeux deux petits nichons tout roses. L’aréole, tranchant à peine sur la peau, est surmontée d’un petit téton de même couleur, recroquevillé vers l’intérieur tellement la pression du corsage avait été forte. Prenant en main ces deux seins, je me mets à les masser doucement, pétrissant à peine la chair et roulant sous mon pouce le mamelon qui reprend sa forme habituelle. Après une minute ou deux de ce traitement, qu’elle semble apprécier, Miss London gémit doucement sous mes caresses.— Dis-moi, jeune homme, tu n’as pas l’air d’avoir tout à fait apprécié ta visite sous la table de tout à l’heure… Par contre, Miss Ouaga, elle, semble en avoir joui tout un coup…— Oui, c’est vrai, mais bon, disons que je me suis senti un peu comme de la chair à plaisir… En général, quand on fait ce genre de chose, chacune des deux parties doit y trouver un certain plaisir à caresser ou à se faire caresser et que là … ce n’était pas vraiment le cas. Disons que j’ai senti, de par son désir de se faire défoncer, que c’était plus un ordre de la faire jouir qu’une demande de caresses de ma part. Et ça m’a fait un peu décrocher, quoi…— C’est vrai que vu sous cet angle, tu n’as peut-être pas tout à fait tort. C’est peut-être comme cela qu’elle a l’habitude de faire chez elle. Il faut savoir aussi qu’elle se fait une gloire d’être la première femme de ce Monsieur Ouaga, qui en a déjà quatre et qui, à ce que j’ai entendu, en convoite une cinquième. Comment un homme peut-il bien s’occuper de cinq femmes à la fois ?— Ouais, il ne doit pas pouvoir les honorer toutes à la fois, car s’il a le même âge qu’elle…— À qui le dis-tu, pour l’âge ! Mon mari, il est vrai qu’il n’est plus de première jeunesse avec ses soixante ans bien sonnés, doit faire des pieds et des mains afin de trouver le temps de s’occuper de sa petite famille et de sa femme, alors imagine avec cinq femmes et une douzaine de mioufs, il ne doit pas savoir où donner de la tête… ou de la queue… HA ! HA ! HA !…Nous avons bien ri de cette dernière phrase.— Alex, si les douces caresses que tu me fais le sont dans le but de répondre à un ordre, tu peux arrêter tout de suite, si tu veux.— Non, Miss London. Je vous trouve très belle et le fait de caresser votre poitrine est un plaisir pour moi.— Tout le plaisir est pour moi. Tes caresses sont tellement douces et apaisantes ! Mais, même si j’adore tes caresses, je dois faire mon petit pipi quand même.— OUPS… S’cusez… Allez-y…— As-tu déjà vu une femme se soulager ?— Non, jamais.— Tu aimerais me regarder ?— Euh ! Je ne sais pas… Oui, j’imagine que oui… mais ça me gêne…— Allez… viens plus près, je vais te faire voir.Elle se penche et s’assied sur le siège de la cuvette, écarte largement les jambes, puis les lèvres avec ses doigts afin de bien me faire voir. Sans gêne, elle commence à uriner, à son grand soulagement. Pour ma part j’ai, à quelques centimètres du nez, une chatte toute belle, toute rose, entourée d’un petit duvet tellement mince, voire presque transparent, tout aussi rose que sa peau, qu’on a peine à le voir. Une paire de lèvres fines d’où s’écoule une petite douche dorée qui n’en finit plus de se perdre au fond de la cuvette en un bruit de ruisseau qui s’y enfonce tout doucement.— Tu aimes ?— Oui, c’est très beau… Vous êtes très belle.— Me dis-tu cela parce que tu me regardes le minou ou parce que tu me trouves belle en général ?— Je vous trouve très belle… Vous et votre minou, comme vous dites. Je trouve que vous avez la grâce d’une grande dame et le sourire d’une fillette espiègle. J’aime bien ce genre de femme. Dans mon cercle d’amies, il n’y en a pas beaucoup dans votre genre.— Et mon trésor, comment le trouves-tu ?— Vraiment beau, tel le trésor d’une reine… Vos lèvres sont finement dessinées et je peux même voir le bout de votre clitoris qui se cache au fond de sa gaine… C’est tout simplement magnifique, vraiment beau.— Merci pour le beau compliment. Dit avec tant de gentillesse, une femme ne peut que l’apprécier. Surtout à mon âge !— Ne me dites pas que vous avez soixante ans comme votre époux ?— Non, quand j’ai connu mon mari j’étais toute jeune. Il était conseiller juriste pour mon père. Cet homme est devenu veuf très jeune. J’étais à son service lorsque le drame est arrivé. Il a perdu son épouse dans un naufrage sur les côtes d’Irlande. Sans que je m’en aperçoive, je me suis rapprochée de lui, ne pouvant résister aux charmes de cet homme. Tu sais qu’il était chaud lapin, le monsieur… Maintenant, avec une vingtaine d’années en plus, disons qu’il est plus… discret, quoi. Par contre, il comprend mon besoin et me fait confiance dans le choix de mes partenaires, sachant très bien que pour moi, ce ne sera jamais autre chose à satisfaire qu’un besoin physique de tendresse et d’affection. J’adore cet homme et jamais je ne voudrais lui faire de mal.— Je vois…— Tu aimerais essuyer ma petite moule maintenant que j’ai terminé ?— Oh oui, j’aimerais bien !— Alors, fais-le, mais avec ta langue.— Ah oui ?— Pourquoi pas, tu as peur ?— Non, mais je n’ai jamais fait ça… hum !— Il y a un commencement à tout. Vas-y, et ne te gêne surtout pas si tu as le goût d’essuyer tout autour.— Hum ! OK… Là , je comprends… Pourrais-je dire à mes amis que j’ai léché le trésor de la reine d’Angleterre ?— Allez, petit fou, lèche-moi tendrement maintenant. J’adore le cunnilingus.— Oui, ma reine. J’espère que lorsque j’en aurai terminé avec vos joyaux, ils brilleront de tous leurs feux.M’approchant encore plus près d’elle, je sens son odeur, douce et âcre à la fois, un mélange de l’odeur de l’urine et de celle son intimité, maintenant à portée de langue. Fermant les yeux pour mieux goûter ce moment, je pose le bout de ma langue sur la dernière goutte qui perle d’une de ses lèvres puis toute la langue, enfermant ainsi tous les replis de ses lèvres dans ma bouche, glissant de haut en bas et de bas en haut tout en m’introduisant à l’intérieur au passage. Sa chatte devient toute juteuse et délicieuse à lécher. Ses poils roux mouillés sont plaqués contre ses grandes lèvres, ce qui me permet de passer ma langue sur toute la surface de cette vulve délicieusement aromatisée de plaisir et de désir.Elle gémit, me confirmant qu’elle aime la caresse et que je dois continuer dans cette voie. Ajoutant au passage une pression du bout du nez sur son bouton sorti de sa cachette, et il n’en faut pas plus pour qu’elle se mette à trembler et à gémir avec plus de force. Prenant ma tête entre ses mains pour mieux plaquer ma bouche sur sa vulve, je sens alors ses cuisses se contracter de chaque côté de ma tête et son bassin venir à la rencontre de ma langue. En gémissant de plus en plus fort, elle se met à onduler de la croupe de plus en plus vite, soudant ainsi mes lèvres à son sexe. Pensant bien faire en enfournant ma langue au fond de son vagin, je ne m’attends aucunement à une telle vague de plaisir de sa part. D’une dernière pression de son bassin sur ma bouche, émettant un cri rauque, elle se met à jouir brutalement, se déhanchant de tous côtés.— J’ai oublié de te dire… Je viens… OH OUIIIIIIIIIIIIIIIIIII !Sur cette phrase inachevée, elle se met, à ce que je crois sur le moment, à me pisser dans la bouche dans un grand jet qui dure une bonne seconde, puis deux ou trois plus petits. Pourtant, elle venait tout juste d’uriner, sous mes yeux, dans la cuvette. Alors comment pouvait-elle en avoir encore envie et m’en pisser une telle quantité dans la bouche ? Quoique… le jet que je viens de recevoir n’a pas le goût qu’on imagine de l’urine. Il est doux-amer certes, mais aucunement acide, telle l’odeur qui s’en dégage normalement. Si ce n’est pas de l’urine, alors c’est quoi ?Revenue sur terre, Miss London me dit tendrement :— Ah mon chéri, c’est que tu m’as fait voir toutes les étoiles du ciel ! De plus, je crois que tu as eu droit à la douche, n’est-ce pas ?— Oui, toute une douche, tellement que j’ai failli m’étouffer lorsque vous m’avez uriné dans la bouche.— Non Alex, ce n’est pas de l’urine. Je vois que c’est la première fois que tu rencontres une femme qui éjacule comme que je viens de le faire…— Euh ! Oui…— On appelle ça une femme fontaine. Nous jouissons tellement fort qu’une petite glande placée tout près de l’urètre, lors de l’orgasme, sécrète une quantité abondante de ce liquide, plus clair que la cyprine, mais un peu plus visqueux que l’urine. Ce dernier sort avec une telle pression que la femme éjacule réellement ainsi que je viens de le faire. On dit alors qu’elle a un orgasme explosif, si tu vois ce que je veux dire… Et crois-moi, celui-ci était semblable à une ogive de gros calibre… Tu as aimé ?— Maintenant que vous m’avez expliqué… Oui, mais je croyais réellement que vous m’aviez pissé en pleine gueule. C’est vrai que ça ne goûte pas la même chose. Vous jouissez ainsi tout le temps ?— Certainement pas. Cette façon de jouir, c’est l’exception, le summum, le Nirvana, quoi ! Ça ne m’arrive généralement que lorsque j’ai vraiment envie de quelqu’un et que le travail de ce quelqu’un est merveilleusement bien fait.— Euh… Vous… aviez envie de moi ?— Depuis que j’ai mis les pieds dans cette maison. Tu es un très bel homme, tu sais. De plus que, lorsque tu as fait jouir Miss Ouaga, je me suis caressée sous la table en pensant que c’était moi que tu faisais jouir ainsi. J’étais sur le point d’éclater lorsque cette dame s’est mise à crier. Ça m’a fait perdre le fil et mon plaisir s’est brisé. Alors, il fallait bien que je me reprenne.— Eh oui, j’imagine…— Assez maintenant. Prends une serviette de bain et suis-moi sur ce divan, que je te rende la monnaie de ta pièce. Tu dois avoir les bourses bien pleines après ces belles caresses. Je ne voudrais pas qu’elles explosent à la figure d’une de ces dames pendant que tu lui feras le soixante-neuf. Et qui sait, peut-être aurais-je le bonheur de me permettre un deuxième orgasme explosif…— Oui. Mais on va pas se poser des questions, en bas ?— Ne t’occupe pas d’elles, elles savent très bien ce que nous faisons, ou du moins elles l’imaginent et en sont peut-être même jalouses. Allez, viens que je m’occupe de toi maintenant que je suis revenue sur terre. Viens que je te fasse jouir à ton tour.Je prends donc une serviette à la barre et me lance à la poursuite de cette femme autant surprenante par son comportement qu’enivrante par ses pratiques. Sur le lit, elle étend la serviette et y pose ses jolies fesses. Elle m’attire devant elle et s’attaque au cordon qui retient ma culotte de planteur, la faisant rapidement glisser au sol. Elle regarde mon appareil dressé devant son nez et lui dit, comme si elle lui parlait directement :— Ça va être ta fête, mon beau ! Et ne te retiens surtout pas… Ça m’excite tellement de te voir ainsi dressé pour mon plaisir que je vais probablement jouir avant que tu m’arroses de ta semence.Sans autre mot, elle me regarde une seconde dans les yeux et me prend en bouche, tantôt léchant la hampe et les bourses, tantôt m’engouffrant au fond de sa gorge. Je peux sentir ma queue racler son palais et elle déglutir au moment où je touche le fond de sa gorge. Deux ou trois minutes de ce traitement suffisent pour que je me sente prêt à exploser dans sa bouche. Croyant que c’est ce qu’elle veut, je lui prends la tête à deux mains afin de parcourir une dernière fois le chemin de ses lèvres vers le fond de la gorge et d’y expurger tout ce que j’ai dans les couilles.— Non, pas dans ma bouche. Je te veux au fond de moi, je veux te sentir aller et venir en moi… Prends-moi, fais-moi l’amour. Moi aussi je suis prête à jouir, car je n’ai pu résister à me caresser pendant que je te taillais la pipe… Prends-moi et ne te retiens surtout pas, mon chéri. Vide-toi en moi dès que tu sentiras que ça vient… Si tu le fais avant moi, je te rejoindrai et si c’est moi qui pars en premier, tu n’auras pas d’autre choix que d’y venir toi aussi…Elle se laisse aller sur le dos, ouvrant grand ses cuisses et les relevant de façon à ce qu’elle puisse placer ses pieds sur mes épaules. Ayant une vue plongeante sur son sexe, je n’ai qu’à y présenter le gland et d’un coup de reins, elle m’introduit en elle, m’aspirant jusqu’à la garde.— Mon chéri, je veux que tu me regardes dans les yeux lorsque tu vas jouir, afin que je puisse te voir jouir et que toi aussi tu me vois jouir… D’accord ?— Oui, je vais essayer.— Maintenant, regarde-nous faire l’amour. Regarde-toi entrer et sortir de moi, profite du spectacle. C’est tellement beau de voir le sexe d’un homme prendre tendrement celui d’une femme… Vas-y doucement au début et lorsque tu sentiras que ça commence à monter, vas-y à fond. Au moment où tu te sentiras sur le point de partir, ou encore si tu me vois gicler comme tout à l’heure, regarde-moi dans les yeux et laisse aller ton plaisir.Je baisse les yeux, voyant mon membre entrer puis ressortir presque entièrement d’elle, avant de s’y engouffrer de nouveau, raclant les parois de son vagin et écrasant au passage son point G, puis butant au fond de son puits. Avec ce feeling, je me dis que je ne pourrais pas tenir le coup bien longtemps. Elle se devrait d’y aller bientôt car je sens déjà la sève monter en moi. Me perdant dans cette pensée, j’accélère alors le rythme, sentant mon membre bouillir dans ce sexe de femme déjà en ébullition. Puis j’ai tout un spectacle sous les yeux. Son bas-ventre se comprimant à plusieurs reprises, un jet puissant sort d’entre ses lèvres, m’aspergeant du torse au visage. Elle est en train de jouir telle une fontaine pour une deuxième fois de suite…Sous l’effet de la surprise, sans pour autant me souvenir de sa dernière demande, je relève la tête et croise son regard. Elle a le blanc des yeux rouge de sang et le regard perçant, les veines lui sortent du cou et des tempes. Je sens alors comme une décharge électrique émanant de son antre et atteindre le bout de mon sexe, je joins alors mon cri au sien, éjaculant en elle en plusieurs jets.Quelques instants plus tard, ses yeux s’étant détendus, elle me sourit. Nos esprits repris et nos idées remises en place, je laisse passer ses jambes sous mes épaules et nos bouches se joignent sans qu’aucun de nous n’en ait exprimé le besoin. Un baiser empreint de tendresse nous unit quelques instants.— Tu es très beau quand tu jouis, mon garçon… Surtout au moment où ta figure dégoulinait du plaisir que tu me donnais. Merci, mon cœur, c’était sublime !Elle met alors son doigt sur mes lèvres, me signifiant de ne pas lui répondre. Elle se dégage rapidement de mon emprise en me dit :— Viens à la douche, je crois que nous en avons grandement besoin.Sous la douche, nous échangeons quelques rapides baisers. Sortant en vitesse, nous nous séchons mutuellement, elle donnant un petit coup de langue sur le bout de mon gland, qui regarde maintenant vers le sol, et moi fouinant dans son sexe avec ma langue. Je l’aide ensuite à se reficeler dans sa belle robe, sans trop lui enserrer la poitrine cette fois-ci, lui laissant ainsi assez de place pour respirer convenablement, ce qui me permettra peut-être de plonger les yeux dans son corsage de temps en temps afin d’y voir un galbe parfait ou un petit téton dressé du plaisir de se sentir regardé à la dérobée.De retour à la salle à manger, j’ai droit à un sourire de Miss Laval, qui semble plus satisfaite qu’outrée du temps qu’a mis Miss London à se soulager la vessie.— Enfin de retour, vous deux ! sont ses premiers mots.— Mais vous ne nous avez pas attendus pour manger ? lance Miss London.— Non. Par contre, on vous a entendue VOUS faire manger, Votre Majesté, répondant d’un trait Miss Laval.— Et ça nous a semblé magistral comme orgasme, ajoute Miss Paris.— Et pas seulement une fois, car l’a eu en double, ajoute Miss Kyoto.— Pourquoi s’en priver, de répondre Miss London, où il y en a pour un, il y en a pour deux… Orgasmes, je veux dire.Et toutes éclatent d’un rire joyeux et si communicatif que je ne peux résister à m’y joindre.— Sers Miss London, Alex. Après toutes ces émotions, je crois qu’elle a bien mérité son assiette. J’en ai préparé une pour toi aussi. Aménage-toi une place entre nous deux, comme ça nous pourrons empêcher Miss Paris de te sauter dessus. Elle en avait la bave aux lèvres lorsque nous avons entendu hurler Sa Majesté… Surtout qu’elle n’a pas encore goûté à ta médecine, la Frenchie’s !Autre hilarité générale…Pour ma part, je me sens un peu divisé dans mes impressions. Ces dames ont entendu ce que nous avons fait en haut et ça me gêne de les voir en parler aussi ouvertement. J’ai comme le goût de courir à la cuisine pour m’y cacher, mais je dois continuer le service. Service qui ne me déplait pas du tout comme vous pouvez vous l’imaginer, mais qui me rend mal à l’aise en ce moment.En revenant, j’apporte les deux assiettes manquantes, les flambe comme il se doit, soutirant encore des Oh ! et des Ah ! de ces dames. Et Miss Laval de conclure :— Allez, mangez maintenant. Nous sommes ici pour baiser comme des fous et manger comme des ogres, et la soirée ne fait que commencer.— De plus, j’ai un spectacle à faire, moi. Je n’ai pas mis ce costume emprunté au Moulin Rouge pour rien, termine Miss Paris.À suivre…