Le soleil printanier baignait la classe d’une douce lumière.Il mettait en valeur les longs cheveux blonds , impeccables!, de Sophie.Il faisait ressortir le bleu turquoise de ses yeux.Elle savait ce que tout la petite ville assoupie de province pensait d’elle :  » belle, Ă©lĂ©gante, raffinĂ©e, sensuelle, vertueuse ».A part la dernière qualitĂ©, tout cela Ă©tait vrai! Les parents se battaient pour inscrire leurs enfants dans la maternelle de  » la dame du Rotary »!Elle se rĂ©vĂ©lait, pourtant, souvent autoritaire, voire cassante, avec les enfants et son atsem.Mais, avec les parents, le charme opĂ©rait!Les mères lorgnaient sur son superbe dĂ©colletĂ©, et auraient tout fait pour avoir son Ă©poustouflante garde robe!Les hommes bandaient pour elles! C’Ă©tait une plaisanterie rĂ©pandue dans la petite ville:beaucoup de petites filles lui ressemblaient, car c’est son corps qui avait envahi leur esprit, lors de l’Ă©jaculation finale!Sophie riait beaucoup de cette plaisanterie : elle ne manquait pas d’humour!La rĂ©alitĂ© Ă©tait plus prosaĂŻque: pour les mères et les filles, Sophie Ă©tait la nouvelle VĂ©nus!Toutes l’imitaient, consciemment!Elle adorait sĂ©duire. Pourtant, pendant des annĂ©es, la quadragĂ©naire avait eu une vie sexuelle peu Ă©panouissante . Son mari, plus âgĂ©, respectable et opulent chef d’entreprise ne s’intĂ©ressait pas au sexe.Une stricte Ă©ducation catholique lui avait interdit toute tromperie.Longtemps, elle avait acceptĂ© de se contenter des deux minutes mensuelles de tendresse accordĂ©es par son mari.Puis, elle avait rencontrĂ©…GĂ©rard!GĂ©rard! Tout avait commencĂ©, il y a quelques mois…Un plan de table hasardeux avait conduit son Ă©poux Ă placer ce commercial de trente- trois ans, Ă cĂ´tĂ© de son Ă©pouse!Un dragueur, un sĂ©ducteur : grand, brun aux yeux bleus, la plaisanterie facile, la main baladeuse.Son corps avait trahi Sophie : sans s’en rendre compte, elle avait largement ouvert les cuisses, quand sa main s’Ă©tait glissĂ©e sous sa jupe!Dès le lendemain , ils devenaient amants!!!!Le surlendemain, elle allait voir son confesseur .Le vieil homme la connaissait depuis longtemps, il Ă©nonça quatre règles:1) pas de divorce.2) pas d’enfant adultĂ©rin.3) pas de relation  » contre-nature ».4) Une seule rencontre par semaine!Les deux premières règles allaient de soi! GĂ©rard avait vite compris qu’il pourrait caresser les tendres fesses de Sophie , mais jamais les Ă©carter! ( Sophie, elle, stimulait systĂ©matiquement l’anus de son amant! ).Mais la belle blonde avait dĂ©couvert le dĂ©sir. Ses vendredis « rtt » ne revenaient …qu’une fois par semaine!Ce jeudi, Ă seize heures, elle se sentait….trempĂ©e!Elle jeta un regard circulaire : tous les enfants Ă©taient occupĂ©s! » Christelle?- Madame?- Je m’absente quelques minutes.- Bien Madame.- Vous surveillez les enfants?- Oui Madame »Sophie prit son portable et courut vers les toilettes.Elle promena, lentement, son sein rose contre l’Ă©cran .Elle Ă©carta les lèvres et stimula le clitoris.Folle de dĂ©sir, elle filma son trou du cul explorĂ© par son index. GĂ©rard allait adorer!La rĂ©ponse ne tarda pas!Le message de GĂ©rard , intitulĂ©  » en rĂ©union avec ton mari » Ă©tait accompagnĂ© d’une petite vidĂ©o explicite qui se terminait par du blanc : le sperme de son amant.Sophie lĂ©cha l’Ă©cran, se rhabilla et sortit, les joues rouges.Son sourire s’effaça quand elle croisa….Christelle! » Que faites-vous lĂ ?- NathanaĂ«lle voulait faire caca!- Et les autres enfants?- Dans la classe!- Seuls!- Oui Madame!- Idiote! Incapable!- Pardon , Madame! « Folle de rage, Sophie faillit s’Ă©trangler quand elle vit Jessica.La mère de Jessica n’Ă©tait pas vulgaire, elle Ă©tait la vulgaritĂ©! Et la gamine Ă©tait une peste!La mère Ă©tait enceinte jusqu’au cou , et, par charitĂ© chrĂ©tienne, Sophie ignorait les provocations de l’enfant, pour ne pas accabler une femme prĂŞte Ă accoucher.Jessica riait, riait après avoir renversĂ© et mĂ©langĂ© les cinquante puzzles de la classe!Sophie hurla : »Jessica!-Oui maĂ®tresse?- Que fais-tu?- Je joue!- Non tu fais des grosses bĂŞtises!- De toute façon t’es jamais contente!- Jessica!!!!!!!!!!!!!!!!- Maman, elle dit que t’es juste bonne Ă sucer les bites!!!! »La première gifle laissa Jessica interdite. La seconde envoya la paire de lunettes au bout de la classe.Christelle ramassa les lunettes cassĂ©es. Jessica et Sophie pleurèrent…Sophie ne comprit pas, tout de suite, que sa vie venait de basculer…La mère de Jessica, Ă la sortie, vint voir la maĂ®tresse. » Jessica dit que…- Il ne faut pas croire les enfants!- Les lunettes?- Elles sont tombĂ©es Ă la recrĂ©ation!- Les joues rouges?- Elle a couru!- Menteuse!!!!! »Sophie fusilla Christelle du regard! La vieille dame pipi rĂ©pĂ©ta: » Vous mentez!- Oui, j’ai giflĂ© votre fille! murmura Sophie.- Vous viendrez chez moi Ă 18 heures!- Mais!- Avec 2000 euros!- Mais!- Et sois Ă l’heure, petite salope!!! «Â