A la seconde oĂą je commence ce rĂ©cit, je ne sais s’il sera long et surtout s’il est le reflet de mon apogĂ©e de vie de jeune fille devenue femme ou la marque de ma dĂ©cente aux enfers.BrunoA cette Ă©poque je suis dans ma troisième annĂ©e de fac de sciences Ă©conomiques et poursuis des Ă©tudes brillantes malgrĂ© une vie des plus agitĂ©e. Je vis depuis 3 ans avec Bruno mon copain rencontrĂ© lors de la soirĂ©e d’arrosage de mon baccalaurĂ©at. Bruno est moi sommes insĂ©parables, dans les Ă©tudes, dans les loisirs et sous les draps. J’en suis Ă©perdument amoureuse et nous vivons une entente sexuelle parfaite pour lui et exigeante pour moi. Bruno m’a sorti de mes rapports sexuels de routine, inventif, provocateur, il aime Ă me surprendre, me choquer parfois et m’a fait dĂ©couvrir ou pratiquer des choses que je m’interdisais jusqu’à prĂ©sent : fisting, fellation, Ă©jaculation faciale. Je l’ai fait par amour pour lui, bien avant d’y prendre goĂ»t.Mais Bruno aime rĂ©aliser ses fantasmes, quitte Ă aller au bord de la rupture comme le jour ou il a couchĂ© avec une jeune hollandaise pendant les vacances de notre deuxième annĂ©e et me forçant Ă rester Ă ses cĂ´tĂ©s pour « le surveiller ». Je suis passĂ©e tout près de la quitter mais j’en Ă©tais incapable.Un nouveau fantasme a vu le jour dans sa tĂŞte : celui de me donner Ă un autre homme et de contempler nos Ă©bats. Je m’y suis violemment opposĂ©e comme Ă chaque fois qu’il me provoque pour obtenir la satisfaction d’une de ses pulsions ou de ses fantasmes. Comme Ă chaque fois il me donne raison mais revient sans cesse Ă la charge.CharlesEt puis Charles est entrĂ© dans notre vie. Il est arrivĂ© aux vacances d’étĂ© dans la rĂ©sidence d’étudiant ou nous logeons. C’est un jeune martiniquais qui vient terminer ses Ă©tudes de mĂ©decine. Nous nous sommes instantanĂ©ment plus et il m’a laissĂ© dans un trouble sans limite. Mon amour inattaquable pour Bruno et ce trouble pour ce jeune homme souriant et sportif ne cessait de m’embrouiller.Et Bruno revenait Ă la charge pour la rĂ©alisation de ses envies sexuelles me concernant, il savait que je finirais pas accepter par amour pour lui ou par rĂ©signation devant son incroyable obstination Ă toujours obtenir de qu’il veut de moi.Une nouvelle fois, il aborde le sujet et je sens couver en moi, forte d’une nouvelle confiance en moi liĂ© Ă l’arrivĂ©e de Charles, un vent de rĂ©volte et d’émancipation.Le point d’orgue arrive en fĂ©vrier quand Bruno est obligĂ© de rentrĂ© prĂ©cipitamment dans sa famille pour le retour au pays d’un de ses frères expatriĂ© en Asie. La nouvelle de sa venue, arrivĂ©e eu dernier moment l’oblige Ă rentrer en me laissant seul sur Paris. N’ayant rien prĂ©vu, je dĂ©cide de passer le week-end dans la rĂ©sidence pour des rĂ©visions de partiels.Le sort s’acharne : le dimanche soir en d’une ballade dans le tout Paris pour me changer les idĂ©es, je casse la clĂ© dans la serrure de ma porte et me retrouve fermĂ©e dehors Ă 21 heures dans une rĂ©sidence sans personne Ă qui parler.Je sors mon portable pour appeler une copine de fac Ă la rescousse mais suis arrĂŞtĂ©e dans mon mouvement par la porte de l’étage qui s’ouvre et par une tĂŞte de girafe en bois de cajou qui passe la porte, bientĂ´t suivi par un immense et longiligne corps pour ce qui s’avère ĂŞtre une longue statue qui ne passe que par les escaliers.Charles en sort, en sueur, car le voyage vers le 4ième Ă©tage Ă l’air des plus Ă©prouvant. VoilĂ ma chance de trouver un bricoleur sous la main.— un petit coup de main ? »— c’est pas de refus, je suis cramé »Nous voilĂ donc reconvertis en transporteur de girafe, celle-ci fait en rĂ©alitĂ© un poids immense et s’avère peu facile Ă manier. Nous finissons devant la porte de sa studette, extĂ©nuĂ©s tous les deux.L’intĂ©rieur est un peu dĂ©pouillĂ© mais charmant, avec des meubles de bambous et de bois pins et un grand canapĂ© qui fait sans doute office de lit.— une petite bière, dĂ©solĂ©, je n’ai rien d’autre pour aujourd’hui »— pas de refus »Je crois que j’aurais bu n’importe quoi après l’effort »Il s’approche de moi et me tend un verre avec un grand sourire, malgrĂ© moi je rougis bĂŞtement et manque d’échapper la bouteille.« je ne savais pas que ma girafe pouvait provoquer cet effet »Grand Ă©clat de rire.Tout dans ce garçon est charmant.Me voilĂ donc Ă Ă©voquer ma porte et mes petits ennuis, il rĂ©pond en se levant et en exhibant fièrement une petite sacoche Ă outils qu’il sort de derrière son bar.En dix minutes, la serrure est dĂ©montĂ©e et remontĂ©e et je ne peux faire Ă moins que d’inviter mon aide pour le dĂ®ner.— patte et fromage ? »« un festin des temps modernes »Philosophe maintenantJe fais plus ample connaissance avec ce garçon charmant, souriant et pour lequel rien ne semble avoir d’importance.Nous passons toute la soirĂ©e ensemble Ă rire, boire et dĂ©crire nos vies dans ce qui est dĂ©jĂ une amicale complicitĂ©.3h00Je dois Ă mon grand regret le mettre dehors, les cours reprennent le lendemain 8h30 ;— il va falloir y aller »Il me regarde avec un drĂ´le de sourire ;— tu ne me garde pas »Je suis un peu prise au dĂ©pourvu— J’ai des cours et un homme dans ma vie, rien de bien compatible, mais j’ai passĂ© une soirĂ©e très agrĂ©able avec toi ».— je ne suis pas jalou »LĂ , c’est moi qui souris— je lui appartiens corps et âme »— un jour tu verras que l’on appartient Ă personne et qu’il faut profiter de l’instant prĂ©sent ».Il a le bon goĂ»t de ne pas insister et tout juste me vole t-il un infime baiser sur le pas de ma porte.« pour ne pas oublier, tu es merveilleuse », nouveau sourire, la porte se ferme, je tremble.Je me retrouve seul dans mon grand lit et pour la première fois depuis longtemps me masturbe violemment en gĂ©missant, sans penser Ă Bruno.ChristineAu fait je n’ai pas fait les prĂ©sentations, je m’appelle Christine, j’ai vingt trois ans et j’ai repris la routine de ma vie d’étudiante. Cours, travaux dirigĂ©s, soirĂ©e Ă©tudiante et marathon sexuel avec Bruno.J’ai toujours et très vite plu aux hommes et me suis obstinĂ© Ă les fuir jusqu’à mes 18 ans. Vers 11 ans, transformation, mes jambes s’allongent irrĂ©sistiblement mais le reste de mon corps reste frĂŞle et longiligne Ă l’exception de deux petits seins blancs qui ont poussĂ© tout d’un coup et me donne une allure de grande cheminĂ©e tant je m’habille sage.Le lycĂ©e fut pour moi une Ă©preuve avant qu’un cousin, de passage dans la ferme ou mes parents Ă©taient en vacances avec moi et ma sĹ“ur, ait raison de ma virginitĂ©. Le jour de mes 16 ans, comme ça, sans raison apparente avec mon consentement sans que je sache Ă jamais pourquoi lĂ et avec lui.Puis ce fut avec un jeune garçon de ma classe de première, trois ou quatre fois pendant les cours de français que nous sĂ©chions pour nous retrouver Ă l’arrière de sa voiture.Je n’avais donc Ă jamais connu que deux garçons avant de faire la connaissance de Bruno qui allait faire exploser mes dĂ©sirs et mes sens.Mais ma vie sexuelle avec Bruno n’est pas le sujet de ce rĂ©cit, peut-ĂŞtre y reviendrai-je un jour pour vous la conter.Nous revoici donc Ă la facultĂ©, en troisième annĂ©e dans notre studette.Je viens de faire l’amour avec Bruno, je suis extĂ©nuĂ©e et il me garde dans ses bras après nos Ă©bats, c’est suffisamment rare pour attirer mon attention.— as tu rĂ©flĂ©chis Ă ma demande, je pense que ce serait vraiment bien de le faire avec Johan, il bave sur toi et on le connaĂ®t tous les deux, avec lui j’ai confiance et je pourrai très facilement le convaincre. Il trouve que tu as un petit cul d’enfer et il aime bien les grandes brunes »— va te faire foutre, ton tordu de copain ne mettre pas les mains sur moi »Le dĂ©nommĂ© Johan est un petit bourgeois, tombeur de fille car mignon mais vraiment creux et inintĂ©ressant.— tu fais chier, tu gâche tout, je suis sĂ»r que cela serait très plaisant de le voir te sauter et regarder, je pourrai mĂŞme vous filmer, pour nous la repasser »Regard noir, lĂ il va trop loin.Il me prend dans ses bras, me câline, me supplie comme je le dĂ©teste car je sais que je vais cĂ©der.Il le lis dans mes yeux— super, je le branche demain et on s’organise ça pour jeudi »Je me rĂ©signe donc, mais germe dĂ©jĂ en moi une drĂ´le d’idĂ©e.— D’accord mais je choisi avec qui et je m’occuperai du film, je ne veux pas que tu sois lĂ Ă nous mater »Il a l’air surpris et enthousiaste Ă la fois— ok, c’est un bon compromis, mais après cela j’aurais enfin droit Ă ton petit derrière »Et allons y, maintenant il veut nĂ©gocier, cela, il m’épuise.Bruno a essayĂ© plusieurs fois de me sodomiser sans succès, je suis très contractĂ©e et rĂ©ticente.— on verra »— Super ».Il se jette sur moi pour me couvrir de baisers et de coup de langue.RĂ©vĂ©lationLendemain matin, nous sommes au petit dĂ©jeuner.— au fait, avec qui as tu dĂ©cidĂ© de sauter le pas, Mike, Christophe, Thomas ? »— je te le dirais ce soir »— tu es gĂ©niale, maintenant je suis très curieux de savoir avec qui ».C’est un aspect du problème dont je prends conscience. J’ai croisĂ© furtivement Charles dans les Ă©tages et gentiment flirtĂ© avec lui le soir de l’épisode de la clĂ©, mais de lĂ Ă lui proposer de coucher avec moi et de filmer nos Ă©bats, il va me prendre pour une folle et je serais morte de honte Ă l’idĂ©e de lui demander.Une idĂ©e germe dans ma tĂŞte.Je me fends donc d’une courte lettre, dĂ©crivant le fantasme de Bruno et terminant sur mon trouble pour la soirĂ©e ensemble, histoire de ne pas passer pour une folle du cul. D’ailleurs c’est vrai qu’il ma troublĂ©e.Je rentre le soir de mes cours et m’approche tremblante de notre boĂ®te aux lettres. Une petite carte y a Ă©tĂ© glissĂ©e.« DĂ©licieuse idĂ©e, mĂŞme la girafe est d’accord, jeudi soir, 22h chez elle. Charles. »Je suis Ă la fois tĂ©tanisĂ©e et excitĂ©e par sa rĂ©ponse, pas une seule allusion au fantasme, juste au plaisir d’être ensemble, dĂ©cidĂ©ment ce garçon me plait.Jeudi, 18 heures, j’ai fini les cours en ne me concentrant pas une seule minute sur la jordanisation des matrices de 4 colonnes. (c’est des maths pour les littĂ©raires).Je saute dans un bus et fais une halte devant un magasin de lingerie et accessoire fĂ©minin. Ă€ bien y rĂ©flĂ©chir, pas question de faire l’amour avec des sous-vĂŞtements utilisĂ©s avec Bruno.Pas trop riche et pressĂ©e je jette mon dĂ©volu sur un petit ensemble noir, un petit soutien-gorge Ă balconnet et surtout une culotte, dĂ©licieux croisement entre un string sur le bas et une culotte sur le haut qui habille Ă moitiĂ© mes fesses. Petit regard dans la glace de la cabine, manque un peu de bronzage mais c’est vrai qu’avec mes grandes jambes et ma chute de reins, je suis quand mĂŞme Ă croquer comme ça.A oui, au fait je fais 1m76 pour 52 kilos.Le tout est rapatriĂ© chez moi pour une petite sĂ©ance de rinçage. Bruno a tenu ses engagements et est parti au cinĂ©ma pour la soirĂ©e.Jeudi 21h30, l’ensemble a fini de sĂ©cher grâce Ă tous mes efforts et la quasi panique Ă l’idĂ©e de devoir y renoncer sinon. Dernier essayage devant la grande glace.— ma pauvre fille, tu es folle ».Dernier ajustement, une petite jupe plissĂ©e un peu au-dessus des genoux, un petit top blanc et un fin gilet avec un petit nĹ“ud au milieu. C’est Ă la fois très mignon et assez sage.Je ne suis quand mĂŞme pas une traĂ®nĂ©e.Je meurs de faim mais suis incapable de manger tellement je suis Ă©nervĂ©e.Jeudi 22h, j’ouvre ma porte et mon portable sonne, « – merde », Bruno « -je voulais juste ĂŞtre sĂ»r que tu ne te dĂ©binerais pas, n’oublie pas le camĂ©scope, j’ai mis une cassette neuve, Ă tout Ă l’heure, mon ange ».— salut », j’allais mĂŞme en oublier la casette.Jeudi 22h05, je sonne Ă sa porte, une boule Ă la place du ventre.— bonsoir Christine, je suis très heureux de ta proposition »— bonsoir » bredouillai-je.Il s’efface derrière moi pour me laisser entrer et je constate avec bonheur que la table est dressĂ©e avec deux bougies allumĂ©es, très sobrement. Il sort de derrière le bar deux cocktails.— si ma princesse veut bien s’asseoir »Un petit vase est placĂ© au centre de la table avec une unique rose rouge. Je souris. Il lève son verre :« à cette inoubliable rencontre et Ă sa suite »Je ne rĂ©flĂ©chis pas trop Ă ces mots et trempe mes lèvres. Le cocktail est dĂ©licieux mĂ©lange de goyave et de rhum, mais il a l’air carabinĂ©.— un petit Rhum du pays »La suite est un vĂ©ritable dĂ©lice de fruits et de viande marinĂ©e accompagnĂ©s par un vin rouge robuste et corsĂ©.— c’est dĂ©licieux, tu cuisine comme un chef »— je suis bien meilleur pour ça qu’au lit »Nouveaux regards, nouvel Ă©clat de rire.Nous finissons sur son grand canapĂ©, un dernier verre Ă la main, je crois que le rhum me monte un peu Ă la tĂŞte, j’ai posĂ© le petit gilet. Je remarque alors sa chemise, riche de couleurs chaudes et son pantalon blanc, sa façon Ă lui de se mettre sur son 31.Puis enfin après toutes ces attentions, il s’approche de moi :— j’ai envie de t’embrasser », presque timidement.Nous deux bouches de trouvent, puis nos deux langues qui se caressent puis se lient, il a un goĂ»t de sucre et sa main vient de poser sur ma hanche, je suis paralysĂ©e par la tension et l’excitation de ce baiser.Ma main passe doucement Ă travers deux bouton de sa chemise et je dĂ©fais un des boutons pour caresser un peu son torse. Il est ferme et complètement lisse. Sa main s’enhardi quelque peu et descend sur ma cuisse et relève de façon infime ma jupe plissĂ©e. Nous soupirons.Ses baisers descendent dans mon cou puis sur le haut de ma gorge, avec une infinie douceur son autre main vient flatter le tissu de mon petit haut blanc puis s’attarde en effleurant un de mes seins.Mon souffle court gonfle ma poitrine, sa bouche vient trouver mon ventre puis mon nombril que la pointe de sa langue vient flatter puis lĂ©cher assidĂ»mentJ’emprisonne sa tĂŞte de mes mains, il descend sur les genoux, mes chevilles et vient doucement enlever mon petit mocassin.Son doigt caresse la plante de mon pied puis ses lèvres viennent caresser le bout de mon pied, il s’attarde puis suce goulĂ»ment mon pied.Je n’aurais jamais cru que les pieds Ă©taient une zone aussi Ă©rogène.J’ai basculĂ© sur le canapĂ© pour plus m’allonger et me dĂ©tendre, je suis encore toute crispĂ©e.Sa tĂŞte reprend son Ascension et vient embrasser l’intĂ©rieur de mes cuisses, ses mains flattent mes genoux et imperceptiblement, j’écarte doucement les cuisses sous ces caresses. BientĂ´t ma petite jupe plissĂ©e remonte Ă mi-cuisse. Il me prend doucement par les genoux et bascule avec une infinie tendresse mes jambes vers l’arrière, saisit les pans de ma jupe qu’il fait glisser lentement le long de mon ventre, mes cuisses puis mes chevilles. Ă€ la vue de ma culotte, il s’arrĂŞte, me regarde et me souris :— tu es dĂ©cidĂ©ment exquise »— je parie que Bruno ne l’a jamais vue »Bruno, j’avoue que le l’ai complètement oubliĂ©.Je m’apprĂŞte Ă Ă©voquer la camĂ©ra quand un doigt se pose sur ma culotte noire juste Ă l’endroit le plus fin , et commence Ă faire quelques petites circonfĂ©rences, ce point s’échauffe rapidement et m’arrache un soupir. Il s’est rapprochĂ© et embrasse goulĂ»ment l’intĂ©rieur de mes cuisses, puis le haut de mon ventre en continuant Ă flatter ce point de dentelle Ă travers l’étoffe. sa langue contourne le petit Ă©lastique de la culotte.La main libre attrape le petit camĂ©scope est le pose sur la table basse bien en face de nous.Il m’a fait relevĂ©, doucement en m’embrassant et m’a fait mettre dos Ă la camĂ©ra— tu l’oubliera plus vite »— oui »Il appuie doucement sur mon cou pour cambrer mes reins en arrière et offrir Ă la camĂ©ra une vue imprenable sur ma coupe et ma jolie culotte.Deux doigts habiles ont filĂ© sous l’élastique et cette dernière glisse le long de mes fesses, une petite perle humide descend de mon sexe et coule sur sa cuisse.Sa langue la stoppe dans son Ă©lan et remonte d’un coup Ă mon vagin qu’elle investit fĂ©brilement. Il a plongĂ© entre mes lèvres et savoure mon intimitĂ© bien ouverte et humide, c’est fois-ci je gĂ©mis doucement. Un doigt vient accompagner sa langue pour titiller mon clitoris puis se manĂ©ge se prolonge, sa langue toujours plus gourmande et ce doigt qui joue avec mon petit bouton. Je sens l’orgasme monter en moi et me crispe, il m’abandonne vite et entreprend de dĂ©faire son pantalon.BientĂ´t un slip sombre apparaĂ®t odieusement dĂ©former par l’excitation de son sexe que l’on devine emprisonnĂ©.Il se penche, les genoux en appui sur le canapĂ© et je peux apprĂ©cier la plastique parfaite de ses abdominaux et de ses cuisses musclĂ©es.A mon tour de lui donner un peu de plaisir.Ma main est passĂ© entre ses cuisses et flatte doucement ses bourses Ă travers le slip, je les cajole. En libĂ©rant son sexe de sa prison de tissus j’écarquille les yeux ce qui se prĂ©sente devant moi. Si il est de taille respectable mais normale, je suis surtout affolĂ©e par la grosseur de son sexe parsemĂ© de grosses veines bleues. Je reprends ses lourdes bourses en main que je caresse affectueusement pour m’attarder sur son sexe, je le malaxe, le flatte, le dĂ©calotte m’approche pour le prendre en bouche.— non tu es trop pure pour cela »Il prend ma tĂŞte dans ses deux mains et m’embrasse.— laisse moi faire »Il me sourit et ma langue vient trouver son gland puis je prends la moitiĂ© de son sexe dans ma bouche, je suis pleine et j’ai peine Ă le garder en bouche, pourtant de mes lèvres je l’enserre et je parvient Ă le caresser aussi avec ma langue.Il caresse mes cheveux en souriant, il a basculĂ© la tĂŞte en arrière devant le plaisir qui le foudroie.Nous sommes lĂ avec le bas de nos corps dĂ©nudĂ©s Ă attendre la libĂ©ration de la pĂ©nĂ©tration pour nous lâcher complètement après ces dĂ©licieuses attentions.Il se crispe et je dĂ©loge prestement son sexe de ma bouche.A nouveau je suis de dos et complètement cambrĂ©e vers l’arrière, ses mains et sa bouche flattent mes fesses et mes cuisses, moi j’attends la dĂ©livrance de son sexe car je n’en peu plus d’attendre malgrĂ© le plaisir de nos prĂ©liminaires.Je sens son gros sexe au bord de mes lèvres, offerte et fĂ©brile. Ses grandes mains sont passĂ©es de chaque cĂ´tĂ© de mes fines hanches et les enserrent comme de petits jouets.Ses cuisses fortes frĂ´lent les miennes.Enfin son gland Ă©carte mes lèvres et il entre doucement en moi, je suis Ă©troite et lĂ©gèrement forcĂ©e par la taille de son membre, il bouche doucement puis commence des va-et-vient plus rapides. MalgrĂ© ma volontĂ©, je ne peux rĂ©primer de bruyants gĂ©missements quand il me secoue, je suis complètement rempli par son sexe, bientĂ´t il trouve sa cadence quand il est complètement rassurer sur mon plaisir, il a pris appui sur mes cuisses et profite de ma cambrure et de longues jambes pour s’appuyer avec force et accentuer son mouvement. Nos corps sont collĂ©s, je suis littĂ©ralement soulevĂ©e par ses reins et chaque aller et venu Ă©carte mes lèvres et force dĂ©licieusement mon vagin. Il entre et ressort de moi, puis plonge Ă nouveau jusqu’au fond accompagnĂ© par mes gĂ©missements de plaisirs.Je suis terriblement Ă©prouvĂ©e par cette levrette interminable mais dĂ©licieuse et soulagĂ©e quand dans un grognement presque bestial, il s’abandonne en moi et inonde abondamment mon intimitĂ©.Je suis assise contre lui, de dos, sur le canapĂ©, complètement nue cette fois. Un petit filet coule de mon entre-jambe, tĂ©moin de notre orgasme rĂ©ciproque. Je bois un nouveau cocktail pendant qu’abandonnant le sien, il se lève. Il a rejoint la table et rapproche le sceau Ă glaçon et les bougies de la table qu’il pose Ă cĂ´tĂ© du camĂ©scope.Il voit mon regard interrogatif.— fais moi confiance » et il m’embrasse gentiment.Sa main a commencĂ© Ă agacer la pointe de mes petits seins ronds et durs.— que tu es belle et douce, un ange »Sa deuxième main est dĂ©jĂ descendue Ă mon infime toison, il me caresse doucement et je me dĂ©tends complètement cette fois, excitĂ©e par cette caresse et rassurĂ©e par mon premier orgasme.Il a pris un glaçon et commence Ă le balader autour de mes tĂ©tons, mes seins finissent de durcis et trĂ´nent sur mon joli buste blanc. Il suce les pointes dures et les pinces doucement. L’effet des glaçons attĂ©nue la douleur, j’ai basculĂ© la tĂŞte en arrière et gonflĂ© le buste.Puis il a pris la bougie et verse doucement de la cire tiède sur mes seins et sur mon ventre, la chaleur irradie mon ventre et l’effet froid chaud supplicie Ă nouveau la pointe de mes seins, je gĂ©mis et sans m’en rendre compte,j ’ai largement ouvert mes cuisses au-devant de lui.Quelques gouttes de cire atteignent la limite de ma toison, il les arrĂŞte avec le doigt et m’investi avec sa main, ses doigts fouillent mon intimitĂ© et l’inondent de plaisir. Il retourne la bougie et vient jouer avec le bout le plus large contre mes grandes lèvres qui tentent de l’aspirer. Il l’enfonce dans mon con, joue avec mon plaisir et ressort. Puis il ressort la bougie et la lèche doucement, replonge en moi et ressort pour le prĂ©senter, je la gode sans hĂ©sitation, goĂ»tant mon propre plaisir.Il m’a placĂ© de cĂ´tĂ© et m’a pĂ©nĂ©trĂ© avec son sexe, nous sommes serrĂ©s l’un contre l’autre dans cette position et il me fouille ; mon corps tout entier fibre de plaisir, je mouille abondement et il joue de son doigt, tantĂ´t Ă secouer mon petit bouton Ă la limite de mes lèvres, tantĂ´t Ă humidifier mon petit trou.Je garde en bouche un doigt qu’il ma offert et ferme les yeux car il accĂ©lère entre mes cuisses.Il me lime Ă fond maintenant et je gĂ©mis brutalement.Une curieuse sensation touche mon bas ventre et, avant que j’ai compris de quoi il retournait, la bougie Ă forcer mon petit anneau. Je tente de me dĂ©gager et il m’enserre fermement, continue Ă progresser dans mes entrailles, au moment ou la douleur se fait plus vive, l’orgasme vaginal me foudroie des pieds Ă la tĂŞte. Pendant ce court laps de temps suspendu, je suis fouillĂ©e puis souillĂ©e par ce sexe tant dĂ©sirĂ© et cet intrus qui fouille mes reins.— tu as aimé »— oui, merci ».Nous nous reposons mais je n’ai pu rĂ©sister Ă l’envie de goĂ»ter Ă son plaisir, pas Ă©goĂŻste en effort, il a transformĂ© cette dĂ©licate attention de ma part en un langoureux 69, nous langues fouillent, lèchent et nettoient toutes traces de nos plaisirs mĂŞlĂ©s. Son sperme est Ă©pais et acre.Il n’arrĂŞte plus de flatter les courbes de mon corps, mes hanches, mes reins et mes seins. Il s’est relevĂ© d’un coup et me charge sur ses Ă©paules. Le petit clip de la camĂ©ra se fait entendre fin de bande.Eclats de rire direction la douche.— à la douche »— ensemble alors »— j’espère bien ».Eau bouillante, il me place dos Ă lui sous le jet brĂ»lant de la douche, ses gros doigts pĂ©nètrent mes chairs intimes dans un mouvement plus brusque et plus autoritaire, qui tranche avec la tendresse et la progression de nos Ă©bats jusque lĂ . Ses doigts me fouillent fort et commencent Ă me faire jouir puis il me colle contre la proie, cambre mes reins au maximum et reprends sa pĂ©nĂ©tration, bientĂ´t toute sa main est dans mon sexe, il tourne vigoureusement et le met au supplice. Enfin, sa main ressort, il place son gros sexe entre mes cuisses. Je suis soumise, offerte, fatiguĂ©e de ces Ă©bats malgrĂ© l’habitude des marathons frĂ©nĂ©tiques de Bruno.Il a pris appui sur ses cuisses puissantes et me soulève littĂ©ralement en me plaquant les mains contre la paroi de la douche, il me dĂ©fonce, cette fois je crie de plaisir.Il se retire hors d’haleine et son gland se bloque contre mon anneau. Il a durci sa prise, enserre mes frĂŞles Ă©paules avec ses bras et mes seins s’écrasent contre la paroi.D’un coup il me force en bloquant mon bassin pour ne pas que je bouge.Mon corps tendu comme il arc et baignĂ© par les eaux brĂ»lantes hurle de douleur et de plaisir. Sa pĂ©nĂ©tration bute sur mon anneau qui rĂ©siste et me brĂ»le. Sa deuxième tentative dĂ©chire mon petit cul serrĂ©, Ă©cartelĂ© par sa virilitĂ©. Il ne bouge d’abord pas, puis commence un petit mouvement de bassin, mes deux mains ont attrapĂ© ses cuisses avec une force folle et avec la douleur je plante mes ongles dans ses chairs. Ne le fuyant plus, il a libĂ©rĂ© une main et passe par le devant pour caresser mon sexe libre, sa main rentre progressivement puis toute entière. Mon intimitĂ© est complètement Ă©cartelĂ©e par son sexe et sa main. Il ondule des Ă©paules pour mimer un petit balancier d’avant en arrière. N’y tenant plus je mors Ă pleine dent le gant posĂ© devant moi. Il embrasse mon cou et m’encourage.— tu va venir, tu vas venir, tiens bon, tu es divine »J’ai fermĂ© les yeux, laissĂ© faire puis crier sans retenu mon plaisir quand mon premier plaisir anal m’a foudroyĂ©. Je me suis laissĂ© descendre contre la paroi bercĂ©e par l’orgasme et la chaleur. Mes chairs rougies incroyablement ouvertes mĂŞme après qu’ils se soit retirĂ©. J’ai rouvert les yeux et plusieurs jets chauds ont baignĂ© mon visage et mon buste accompagnĂ©s pour accompagner sa propre dĂ©livrance.Il m’a lentement lavĂ©e et essuyĂ©e par la suite, avec une infinie douceur puis m’a portĂ© sur le canapĂ© lit ou j’ai du m’endormir extĂ©nuĂ©e et comblĂ©e.Epilogue6 mois plus tard je me rĂ©veille au cĂ´tĂ© de mon futur mari après une bonne nuit de sommeil. J’ai eu mes examens haut la main et profite de mes vacances Ă fond. Bruno a reçu la casette de nos dĂ©bats, Ă l’exception du dĂ®ner et de ma première sodomie sous la douche.Je caresse mon ventre dĂ©jĂ rond en pensant en souriant au bĂ©bĂ© cafĂ© crème qui sommeille en moi.A cĂ´tĂ© du canapĂ©-lit, une grande girafe veille sur nous trois.Premier essai d’écriture, autobiographique pour celui-ci, merci pour vos commentaires et suggestions. Echanges bienvenus pour progresser.C.