Il y a bientĂ´t vingt ans que je la connais. Une copine de mes enfants du temps de l’école maternelle, puis de l’école primaire, du collège, du lycĂ©e et des bringues entre Ă©tudiants. Moi je l’ai toujours considĂ©rĂ©e comme une gamine faisant partie de la famille, toujours de passage dans la maison comme si elle Ă©tait de la famille et encore maintenant malgrĂ© ses 22 ans. Je viens de divorcer pour cause de plus d’amour et de plus rien. Avec le temps on n’aime plus.Vendue la grande maison toute vivante. Je suis seul dans un grand quatre pièces Ă rĂ©nover, mais pĂ©nard. Elle est restĂ©e pour m’aider Ă refaire les peintures avec la bande d’adolescents rigolos et pleins de la belle Ă©nergie de leurs vingt ans. Je suis le papa gentil qui paie les Ă©tudes et l’essence de la voiture ou plutĂ´t de ma voiture. Fin de la matinĂ©e, ils sont partis comme un vol d’étourneaux vers une activitĂ© plus prometteuse de joyeux moments et surtout sans adulte gentil mais gĂŞnant pour l’ambiance.Elle est restĂ©e pour ne pas me laisser seul. J’avais bien repĂ©rĂ© un changement dans son attitude ces derniers mois. Pas franchement de l’allumage, mais de la sĂ©duction retenue sĂ»rement. Gamineries pensais-je sans rĂ©flĂ©chir plus loin. Puis un jour j’ai trouvĂ©, sur l’appareil photo de la maison, un reportage sur une bringue qui avait eu lieu dans mes murs. La belle marrade ! Chaude ambiance, confettis et strip-tease debout sur la table. Je reconnais plusieurs tĂŞtes complètement allumĂ©es au mauvais whisky ou au Get 27. Beurk. Mais bon ! Je zappe vite mes enfants, je ne veux rien savoir. Le voyeurisme a ses limites.J’avais donc pu admirer son acadĂ©mie Ă loisir et vĂ©rifier qu’elle Ă©tait vraiment une belle fille, avec des petits seins bien fermes et droits pointĂ©s Ă l’horizontale comme deux pyramides Inuit. Si ! Les Inuits avaient construit des pyramides comme des Igloos. Moins cons que les gars du sud qui passent leur temps Ă chercher le moyen de se donner du boulot. L’oisivetĂ© ça fait faire des conneries. Donc des seins qui tiennent le soutif quand les autres sont tenus par le soutif. Deux collines superbes et infatigables retenues lĂ comme par magie sans attache, sans fil transparent. Deux pâtĂ©s de sable sur la sirène dessinĂ©e sur la plage que caresse les vagues. Gna gna gna. Pas un grain de cellulite sur les fesses galbĂ©es comme des dunes de sable blond. Des gambettes en fuseau, un cou comme un tee de golf portant la tĂŞte de la princesse aux longs cheveux blond vĂ©nitien. Tous les autres la mataient, garçons comme filles. J’ai trouvĂ© une photo oĂą elle roule un patin Ă la petite timide de la bande. J’aurais bien aimĂ© voir la suite mais rien. Bon !S’en Ă©tait suivi une Ă©rection comme un bâton de bois dur. Du « bois bandé » comme ils disent aux Antilles, mais c’est pas trop vrai. Il vaut mieux essayer les belles mĂ©tisses qui ont des bondas… Holalalala ! Comme des cĹ“urs Ă l’envers ! Seule une amie très très gentille avait pu redonner un peu de souplesse Ă mon corps dĂ©fendant. Une amie qui sait ĂŞtre lĂ quand il faut et se donner Ă fond pour me sauver du pĂ©ril et se servir au passage. Elle connaĂ®t mes dĂ©fauts et moi les siens. Nous nous sommes dĂ©jĂ déçus et rĂ©conciliĂ©s, ce qui est la vraie preuve de l’amitiĂ©. Merci pour elle, je l’aime de vrai et tranquillement.Depuis ces Ă©vĂ©nements, j’avais une ou des arrière-pensĂ©es interdites quand la gamine passait dans mon paysage. Pensez donc une gamine de l’âge de mes enfants ! Une conviction ferme, tenant au respect absolu de l’enfance, me dĂ©fendait de toute vellĂ©itĂ© de passage Ă l’acte. Et puis les parents sont des amis et je n’ai jamais baisĂ© sa mère, alors… Non ! Non, rien Ă faire. Je serais digne de la Belle et du Clochard de Brassens « tout doucement arrĂŞte un peu ton tir, j’ai pas tellement l’étoffe du satyre ». J’en Ă©tais lĂ , campĂ© sur ma morale quand elle s’était faite absolument chatte avec moi. Seuls dans l’appartement elle s’en donnait Ă loisir pour m’échauder. J’avais une grosse boule au fond de la gorge qui illustrait complètement mon combat intĂ©rieur. La lutte du bien contre le mal, le dĂ©mon de midi contre celui de six heures moins le quart. Bien accrochĂ© au pinceau pour peaufiner les coins et les angles. Le rouleau bien ferme dans la main droite je m’évertuais Ă parler d’autres choses malgrĂ© le dĂ©colletĂ© dans lequel mon regard plongeait du haut de mon Ă©chelle, vers son nombril, Ă moins que ce ne soit le clitoris ? Non, non, c’est le nombril ! Le clito est plus bas que les poils pubiens et dessous le mont de venus. CQFD. Pas de soutif. C’est vrai, pourquoi faire ?Ma digue a cĂ©dĂ© par petits Ă -coups. Ses frĂ´lements innocents ou pas, les regards qui en disent trop long sur ses envies, ses poses, ses sujets de conversation, ses interrogations sur les photos de la fĂŞte. Il y a eu prĂ©mĂ©ditation. L’appareil n’est pas restĂ© chargĂ© et bien en vue pour faire joli et moi je suis tombĂ© dans le panneau. Le piège Ă©tait en marche et j’avais dĂ©jĂ un pied dedans. Elle a dit vers deux heures :— J’ai chaud, je vais prendre une douche.Ouf, un peu de rĂ©pit ! Et puis elle est sortie nue de la douche. Elle sentait bon et mettait de l’eau partout. Mon sexe n’a fait qu’un demi-tour vers le haut. Ouille les poils coincĂ©s ! Le bonheur commence t-il par la douleur ? La pression intracrânienne est montĂ©e dangereusement vers la zone rouge et mĂŞme violette ; j’étais lĂ comme un gland avec mon Ă©rection et mon rouleau dans la main. Pas dans la mĂŞme main vous aurez compris. Une pure beautĂ©. Une merveille… Quelques secondes en suspens sans rien d’autre a faire que de vivre ce moment rare, incroyable, rythmĂ© par les palpitations de mon cĹ“ur.Une Ă©ternitĂ© après je descends de mon escabeau. Elle me retire le pinceau des mains et se colle Ă moi – Ouille ouille encore trois poils arrachĂ©s – et approche sa bouche de la mienne. Je maintiens trois millimètres d’écart. Elle semble dĂ©contenancĂ©e mais comprend rapidement le jeu sensuel. De nos lèvres qui ne se touchent pas nous devinons la chaleur de l’autre. Nous exacerbons nos sens du toucher et olfactif. Sa respiration sur ma joue, le fin duvet au-dessus de sa lèvre qui effleure les miennes. RĂ©sister Ă l’envie de prendre contact, tenir la frustration le plus longtemps possible pour cueillir les fruits de la jouissance cĂ©rĂ©brale. Je parcours son cou, ses oreilles, sa poitrine, ses seins. Je mime de sucer le tĂ©ton sans le toucher. C’est elle qui a craquĂ© la première. Perdu ! Elle m’a collĂ© son nichon dans la bouche en me plaquant la tĂŞte contre sa poitrine. Message compris, de toutes les façons je n’y tenais plus et j’ai tĂ©tĂ© sans tâtonner son tĂ©ton entĂŞtĂ© et sucer en aspirant l’arĂ©ole et mordiller le bout, les bouts, pendant que ses jambes emprisonnaient la mienne pour cause de frottement vulvaire. Nos langues ont fini par se trouver, se sont mĂŞlĂ©es, entremĂŞlĂ©es comme deux organes sexuels archaĂŻques, vestige d’une fonction oubliĂ©e par l’évolution et ma belle mère.Je l’ai soulevĂ©e, debout comme au cirque, comme une danseuse, pour lui mettre tout de suite ma bouche sur le con. Ă€ califourchon sur mes Ă©paules, elle tortillait du cul pour m’enfoncer son vagin sur ma langue, tout en tenant l’équilibre en plaquant ses mains au plafond. Nous avons fait le tour de la pièce Ă cause de la peinture fraĂ®che qui glissait. Son jus de grotte coulait dans ma barbe, sur ma glotte, couvrait mon visage. Elle a joui en s’accrochant au chambranle de la porte du salon et je n’avais plus un poil. Avec ma bite je suis rentrĂ© dans son con brĂ»lant en un seul mouvement direct, vers le fond, Ă tel point que nos ischions (avec un ch Ă prononcer que vu la racine grecque) se sont entrechoquĂ©s dans un bruit mat (non, ça c’est pas possible). J’ai limĂ© pendant une Ă©ternitĂ©, refait l’alĂ©sage comme un ouvrier clandestin qui a la trouille des quotas d’immigrĂ©s Ă reconduire Ă la frontière. Du travail bien lĂ©chĂ©.Je ne sentais plus ma bite parce que j’étais une bite, je n’étais qu’une bite, une machine Ă foutre, Ă jouir, Ă faire jouir. Et j’accĂ©lère dans les virages, et maintenant la danse du ventre, et la charge du zouave, et NapolĂ©on devant l’obĂ©lisque, et Bir Hakeim, et la guerre de la brouette espagnole, et la brouette chinoise (la mĂŞme mais il n’y as pas de roues). Elle a dĂ» jouir deux ou trois fois mais pas moi. Nous avons pris toutes les positions, elle m’a sucĂ©, branlĂ©, doigtĂ© et j’avais toujours un pieu comme je ne pensais plus en avoir un jour un comme ça, surtout avec ma femme. Cinq minutes, et puis voilĂ , le samedi matin avant le marché… Impossible d’atteindre l’orgasme pour moi. Parce qu’elle a eu le temps de prendre son fade avec tous les bonus.Par pitiĂ© pour moi, elle m’a demandĂ© de l’enculer. Pas spĂ©cialiste de la question je l’ai posĂ©e sur le ventre, sur le dossier du fauteuil de grand-mère (pardon grand-mère) pour lui faire une feuille de rose digne du jardin du roi. Bien dilatĂ©e je suis allĂ© chercher le beurre dans le frigo; merde y’en a plus ! CĂ©libat Ă la con ! Vite le lubrifiant pour les pistons ! Non l’huile d’olive ! PlutĂ´t celle de noix ! Je me suis assis dans le fauteuil et elle est venue sur moi, me tournant le dos en passant ses jambes sur chaque accoudoir. Au poste de pilotage je contrĂ´lais toute la manĹ“uvre d’orientation en lui tenant les hanches. De son cotĂ©, elle contrĂ´lait la vitesse de la pĂ©nĂ©tration. Un peu hĂ©sitante au dĂ©but, elle se caressait l’anus avec ma turgescence, puis me faisait rentrer un petit peu, puis faisait un petit dĂ©tour par son connil pour lubrifier et rebelote. Le gland, puis un centimètre de plus et encore un aller retour dans le trou de devant et encore et encore jusqu’au fond de son cul. J’avais les mains libres pour lui caresser la chatte, lui tordre les seins, jouer avec son bouton. Elle se limait avec ma bite comme une grande le fait avec un toy les soirs de dĂ©sĹ“uvrement.Pour en finir, par une contorsion, elle m’a attrapĂ© les boules quand je l’ai limĂ©e sur l’accoudoir et m’a mis un doigt dans le cul. J’ai joui Ă en avoir mal pendant une Ă©ternité ; des flots de sperme au fond d’elle. Elle a eu un orgasme concomitant et je me suis Ă©croulĂ© sur Elle complètement vide d’énergie. Nous nous sommes endormis sur le parquet, dans un rayon de soleil du soir.